✎✎OFFICIEL✎✎TOPIC ÉCRITURE ENTRE ONCHOIS ✎✎

Vous êtes priés d'y observer les règles de courtoisie élémentaires

C'était cousu de fil blanc mais laissons sa chance au topic


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Qui est chaud pour un concours de poèmes amoureux ?

Cest du vite fait je promet pas du moliere
La poésie cest pas mon fort m'enfin bon



J’ai rêvée ton visage au bord d’un précipice ou l’écho de ton nom sculpte encore mes supplices

Ton regard, clair abîme aux reflets de velours
Me hante comme un glas qui pleure nos amours

J’ai saignée sur tes mots, fleures carnivores qui buvaient mes serments et mes aurores

Dans tes bras j’ai goûtée la mort et la fièvre
Et ton baiser brulait plus froid que mes lèvres

La nuit m’a vu tomber cœur fendu, voix éteinte sous la pluie qui melait ton parfum à ma crainte

Car même au fond du gouffre je t’appelle encore
muse infidèle dont la douceur me dévore

Si l’amour est un feu le mien est de cendre
Ou chaque braise cherche encore à t’entendre

Dans le glas de mon dernier soupire Ton nom sera mon plus doux martyre

Merci j'ai envie de m'ouvrir les veines verticalement maintenant

Et de manger un chat

Bah cest toi qu'à demander un poème d'amour

Donne moi un prénom de meuf je vais essayer d'en faire un

Yennefer

Yennefer

Alors qu'il était allongé sur le lit de sa cellule, le regard vissé au plafond, cherchant des réponses à des questions qui n'existent pas, Jiva entendit des bruits de pas dans le hall, suivi du clinquement singulier du trousseau de clé des gardes.

C'est alors qu'une petite silhouette s'infiltrat dans la cellule exigue. La silhouette se révéla être une jeune blonde cendrée dans sa vingtaine, le regard timide et fuyant, des yeux noirs en amandes coiffés de longs faux-cils, un teint hâlé aux airs d'Orient et des lèvres charnues d'un rose sombre.
Elle était vetu d'un simple haut noir avec un col en V plongeant, dénudant le haut de son buste, une ceinture à boucle dorée entourant sa taille et une jupe à tartan rouge d'écolière, laissant légèrement entrevoir de plantureuses cuisses bien lisses.

Alors que Jiva était en train de l'observer du coin de son oeil furtif, elle brisa le silence d'une timide voix douce mais légèrement cassante :

- "Bonjour, je m'appelle Sabrina, je suis ta nouvelle partenaire de chambre"

- "Euh... Salut moi c'est Jiva, mais... ? Pourquoi est-ce que tu te retrouves ici ?" Dit-il interloqué.

- "Je... je me promenais dans la rue et quand je suis passée devant un groupe de policiers, une bourrasque de vente est arrivée et a soulevé ma jupe. Ils m'ont alors interpellés pour attentat à la pudeur parce qu'ils ne sont pas tolérants envers les personnes de mon genre..." Dit-elle de sa petite voix penaude.

- "Ah oui je vois... Euh bas viens, installes toi sur mon lit, je te fais de la place. Il n'y a plus qu'un seul lit par cellule depuis les restrictions budgétaires votées par le président Kev ADAMS."

Elle le remercia d'un petit hochement de la tête et s'en alla en direction du lit.

C'est à ce moment là que leur yeux s'accrochèrent, leurs regards se verrouillant l'un dans l'autre, comme s'observant mutuellement l'âme de leurs pupilles. Un regard d'une seule seconde, mais dont une éternité ne suffirais pas à l'expliquer.
Une seule seconde, une seconde de trop pour Jiva ?

Il se mit à rougir et une sensation étrange, mais d'une chaleur familière, s'empara de sa poitrine.

Il s'allongea sur le côté, les yeux fixés vers le mur. Sabrina en fit autant et se tourna de l'autre côté.
Les deux compagnons de cellules se retrouvèrent ainsi allongés, dos à dos sur le même lit simple, plongés dans l'obscurité intime de la nuit.

"Bonne nuit Jiva."

"Bonne nuit Sabrina."

Fin du 1er Chapitre

Un livre dont vous êtes le héros ?

Yennefer Yennefer
Hier, j'ai croisé ta mère
Je lui ai chanté tes louanges
A quel point elle pouvait être fière

D'avoir portée, mis au monde et élevée
Une fille en or comme toi
Je ne me lasse jamais tu le sais
De raconter tes exploits

Je lui ai dit carrément tout
J'en suis même venu
Aux sujets plus tabous
Sa tête quand elle à su

Qu't'aimais la faciale par dessus tout
J'avais un peu trop bu

Pardon Yennefer, Yennefer pardon
Elle m'a dit moi aussi
Viens
On va dans un buisson

...t'es poète dans les Yvelines ?

T'aimes pas mon histoire @Lysaelia ?