Un allocataire du RSA a récemment réussi ce que même la Silicon Valley n’avait pas osé imaginer : transformer un reliquat corporel douteux en véritable lingot d’or.
Tout a commencé dans le studio HLM de Célestin , 25 ans, qui avoue avoir “un peu trop laissé vieillir” son slip de semaine. “Au début, ça puait le roquefort, mais un matin, je me réveille, je vois un éclat doré entre deux plis. J’ai cru que c’était le soleil. Bah non, c’était de l’or massif !” raconte-t-il, encore incrédule.
Les experts de la Monnaie de Paris, appelés sur place, confirment l’incroyable : le “fromage de bite” aurait subi une mutation alchimique naturelle, transformant la moisissure corporelle en pépites dignes d’une ruée vers l’or.
“C’est une révolution scientifique !” s’enthousiasme le professeur Jean-Michel Croutard, spécialiste en fermentation humaine. “On savait que le corps produisait de la sueur et du désespoir, mais pas de l’or !”
Le jackpot du RSA
Grâce à ses lingots intimes, Célestin a pu quitter le RSA et s’offrir une villa avec jacuzzi et distributeur automatique de Kro. “Maintenant, c’est les banquiers qui me sucent, et pas l’inverse !” jubile-t-il, en roulant un cigare payé avec un seul poil fossilisé.
Le gouvernement, déjà inquiet, envisagerait de mettre en place une taxe spéciale sur le smegma aurifère. “On ne peut pas laisser le peuple s’enrichir avec ses propres parties génitales”, a déclaré un porte-parole du ministère de l’Économie.
En attendant, les chercheurs recommandent aux Français précarisés de ne plus se laver pendant au moins six mois. L’or est peut-être au bout du gland.
Créateur du délire "n'existe pas"
En cas de problème
