Depuis le lundi 18 mars, Salim Berrada est jugé devant la cour criminelle de Paris. Né à Casablanca, l’homme de 38 ans est certain que toutes les plaignantes mentent ou « croient dire la vérité ». À son huitième jour de procès, il déclare : « Il y a des personnes ici dont je suis convaincu du mal-être, de leur croyance que je suis un violeur, que je les ai drogué. D’autres mentent, je le sais, j’en suis persuadé. Mais elles pensent réellement dire la vérité et servir une cause qui est noble et que ça vaut la peine de mentir ».
Entre 2014 et 2016, Salim Berrada, se fait passer pour un photographe de mode pour rencontrer des femmes en ligne.
Il se défend d’avoir abusé d’elles. Mais toutes livrent, à quelques détails près, des version similaires du jour où le « violeur de Tinder » est passé à l’acte : des messages sur l’application de rencontres ou sur les réseaux sociaux, une séance photo payante ou offerte dans son studio du 20e arrondissement de Paris, de l’alcool, une suspicion de soumission chimique et un rapport sexuel non consenti.
Au total, il révèle avoir « rencontré entre 200 et 300 filles, peut-être même plus » en « deux ou trois ans ».
quand il s'est fait cancel sur X :
Il y est allé avec les codes de triche
+ de 300 meufs baisées, il a le VIH et l'a allègrement répandu
Toujours les mêmes.
C'est que de l'amour putain !
18 ans dont 9 ferme ou il sera fermement sous bracelet electronique, la justice ne rigole pas
Bravo à lui.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
18 ans dont 9 ferme ou il sera fermement sous bracelet electronique, la justice ne rigole pas
Elles se plaignent, mais elles sont allées chez lui de leur plein gré, non?
Une sentence FERME
il l'es pour les politiciens et les riches intouchable
Depuis le lundi 18 mars, Salim Berrada est jugé devant la cour criminelle de Paris. Né à Casablanca, l’homme de 38 ans est certain que toutes les plaignantes mentent ou « croient dire la vérité ». À son huitième jour de procès, il déclare : « Il y a des personnes ici dont je suis convaincu du mal-être, de leur croyance que je suis un violeur, que je les ai drogué. D’autres mentent, je le sais, j’en suis persuadé. Mais elles pensent réellement dire la vérité et servir une cause qui est noble et que ça vaut la peine de mentir ».
Entre 2014 et 2016, Salim Berrada, se fait passer pour un photographe de mode pour rencontrer des femmes en ligne.
Il se défend d’avoir abusé d’elles. Mais toutes livrent, à quelques détails près, des version similaires du jour où le « violeur de Tinder » est passé à l’acte : des messages sur l’application de rencontres ou sur les réseaux sociaux, une séance photo payante ou offerte dans son studio du 20e arrondissement de Paris, de l’alcool, une suspicion de soumission chimique et un rapport sexuel non consenti.
Au total, il révèle avoir « rencontré entre 200 et 300 filles, peut-être même plus » en « deux ou trois ans ».
Si il était resté en france il aurait eu 5 mois de sursis
Le Phoenix renait toujours de son 410 ! 
il l'es pour les politiciens et les riches intouchable
Pas de compassion pour les p de Tinder
Liberté conditionnelle dans 5 ans
