Sondage – 18 votes
Putain, c'est plus cher que le cinéma !
Du moment que l'état ne finance pas les mosquées...
Autres...
Personnellement, j'y vais mais je ne donne rien !
Par principe solidaire, l'état ponctionne + pour les financer !
J'envoie déjà mes enfants faire les putes au catéchisme !
C'est pour ça que j'y vais pas !
si t'enlèves tous le bordel gauchiste et migratoire et qu'à la place tu mets ça on paiera moins le golem
"Une patrie, un Etat, un chef ."
Je suis prêt à donner 50€ pour avoir droit à une fellation de Jesus.
Viva New Vegas ! 
Les croyants ont qu'à financer leur secteur eux mêmes. Ça vaut pour les églises comme pour les autres.
Meuh si tu as le choix, il y a la messe sur les chaînes publiques tous les dimanches au moment des rediffusions des Simpson
Meuh si tu as le choix, il y a la messe sur les chaînes publiques tous les dimanches au moment des rediffusions des Simpson
Ah oui
Dans les départements d’Alsace et de Moselle, le concordat napoléonien de 1801 reste en vigueur. Les diocèses n’y sont donc responsables ni de l’entretien des lieux de culte construits après 1905, ni des salaires des curés qui sont pris en charge par l’Etat
Selon la loi de 1905, les revenus des diocèses sont liés au financement des tâches principales de l’Eglise: Le culte, la pastorale, la charité et autres. Les diocèses ont des situations financières très inégales selon les biens propres dont ils disposent, le nombre et la générosité des fidèles.
Dans les départements d’Alsace et de Moselle, le concordat napoléonien de 1801 reste en vigueur. Les diocèses n’y sont donc responsables ni de l’entretien des lieux de culte construits après 1905, ni des salaires des curés qui sont pris en charge par l’Etat
Selon la loi de 1905, les revenus des diocèses sont liés au financement des tâches principales de l’Eglise: Le culte, la pastorale, la charité et autres. Les diocèses ont des situations financières très inégales selon les biens propres dont ils disposent, le nombre et la générosité des fidèles.
C'est vrai qu'on ne paie pas déjà assez d'impôts et de taxes
#FreeLagaf #JeSuisLagaf
Ah oui
Dans les départements d’Alsace et de Moselle, le concordat napoléonien de 1801 reste en vigueur. Les diocèses n’y sont donc responsables ni de l’entretien des lieux de culte construits après 1905, ni des salaires des curés qui sont pris en charge par l’Etat
Selon la loi de 1905, les revenus des diocèses sont liés au financement des tâches principales de l’Eglise: Le culte, la pastorale, la charité et autres. Les diocèses ont des situations financières très inégales selon les biens propres dont ils disposent, le nombre et la générosité des fidèles.
Dans les départements d’Alsace et de Moselle, le concordat napoléonien de 1801 reste en vigueur. Les diocèses n’y sont donc responsables ni de l’entretien des lieux de culte construits après 1905, ni des salaires des curés qui sont pris en charge par l’Etat
Selon la loi de 1905, les revenus des diocèses sont liés au financement des tâches principales de l’Eglise: Le culte, la pastorale, la charité et autres. Les diocèses ont des situations financières très inégales selon les biens propres dont ils disposent, le nombre et la générosité des fidèles.
Ben écoute, tu m'as appris plein de trucs aujourd'hui
En Alsace et en Moselle, c'est le chef de l'État qui nomme les évêques. Cette particularité est liée au régime concordataire qui n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.
L'un nomme, l'autre donne l'institution canonique
C'est l'une des particularités de l’Alsace et de la Moselle, où le régime concordataire n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (la région était alors sous régime allemand): c'est le président de la République qui nomme les évêques. Contacté par BFMTV.com, Bernard Xibaut, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, préfère dire que le chef de l'État n'est pas seulement consulté, mais "associé".
Ce dernier rappelle l'article 5 du Concordat signé en 1802 par Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII: "les nominations aux évêchés seront faites par le premier consul et l’institution canonique sera donnée par le Saint Siège".
Et d'ajouter: "tel que le concordat est rédigé, c’est le président de la République qui nomme et le pape qui donne l’Institution canonique. Mais dans la réalité des faits, on sait bien que c’est le pape qui choisit quelqu’un et qui soumet ensuite son choix, par l'intermédiaire des ambassades, à la France. Contrairement au reste de la France, où le gouvernement n’a qu’un avis à donner, là il doit donner son consentement. Donc, s’il refuse quelqu’un, le pape ne pourra pas le nommer".
https://www.bfmtv.com/als[...]ourg_AN-202402280919.html
En Alsace et en Moselle, c'est le chef de l'État qui nomme les évêques. Cette particularité est liée au régime concordataire qui n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.
L'un nomme, l'autre donne l'institution canonique
C'est l'une des particularités de l’Alsace et de la Moselle, où le régime concordataire n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (la région était alors sous régime allemand): c'est le président de la République qui nomme les évêques. Contacté par BFMTV.com, Bernard Xibaut, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, préfère dire que le chef de l'État n'est pas seulement consulté, mais "associé".
Ce dernier rappelle l'article 5 du Concordat signé en 1802 par Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII: "les nominations aux évêchés seront faites par le premier consul et l’institution canonique sera donnée par le Saint Siège".
Et d'ajouter: "tel que le concordat est rédigé, c’est le président de la République qui nomme et le pape qui donne l’Institution canonique. Mais dans la réalité des faits, on sait bien que c’est le pape qui choisit quelqu’un et qui soumet ensuite son choix, par l'intermédiaire des ambassades, à la France. Contrairement au reste de la France, où le gouvernement n’a qu’un avis à donner, là il doit donner son consentement. Donc, s’il refuse quelqu’un, le pape ne pourra pas le nommer".
si t'enlèves tous le bordel gauchiste et migratoire et qu'à la place tu mets ça on paiera moins le golem
Très largement moins
Je prends
Je prends
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
2% de son salaire pour les entendre promouvoir l'invasion
Ben écoute, tu m'as appris plein de trucs aujourd'hui
En Alsace et en Moselle, c'est le chef de l'État qui nomme les évêques. Cette particularité est liée au régime concordataire qui n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.
L'un nomme, l'autre donne l'institution canonique
C'est l'une des particularités de l’Alsace et de la Moselle, où le régime concordataire n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (la région était alors sous régime allemand): c'est le président de la République qui nomme les évêques. Contacté par BFMTV.com, Bernard Xibaut, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, préfère dire que le chef de l'État n'est pas seulement consulté, mais "associé".
Ce dernier rappelle l'article 5 du Concordat signé en 1802 par Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII: "les nominations aux évêchés seront faites par le premier consul et l’institution canonique sera donnée par le Saint Siège".
Et d'ajouter: "tel que le concordat est rédigé, c’est le président de la République qui nomme et le pape qui donne l’Institution canonique. Mais dans la réalité des faits, on sait bien que c’est le pape qui choisit quelqu’un et qui soumet ensuite son choix, par l'intermédiaire des ambassades, à la France. Contrairement au reste de la France, où le gouvernement n’a qu’un avis à donner, là il doit donner son consentement. Donc, s’il refuse quelqu’un, le pape ne pourra pas le nommer".
https://www.bfmtv.com/als[...]ourg_AN-202402280919.html
En Alsace et en Moselle, c'est le chef de l'État qui nomme les évêques. Cette particularité est liée au régime concordataire qui n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.
L'un nomme, l'autre donne l'institution canonique
C'est l'une des particularités de l’Alsace et de la Moselle, où le régime concordataire n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (la région était alors sous régime allemand): c'est le président de la République qui nomme les évêques. Contacté par BFMTV.com, Bernard Xibaut, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, préfère dire que le chef de l'État n'est pas seulement consulté, mais "associé".
Ce dernier rappelle l'article 5 du Concordat signé en 1802 par Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII: "les nominations aux évêchés seront faites par le premier consul et l’institution canonique sera donnée par le Saint Siège".
Et d'ajouter: "tel que le concordat est rédigé, c’est le président de la République qui nomme et le pape qui donne l’Institution canonique. Mais dans la réalité des faits, on sait bien que c’est le pape qui choisit quelqu’un et qui soumet ensuite son choix, par l'intermédiaire des ambassades, à la France. Contrairement au reste de la France, où le gouvernement n’a qu’un avis à donner, là il doit donner son consentement. Donc, s’il refuse quelqu’un, le pape ne pourra pas le nommer".
Ben écoute, tu m'as appris plein de trucs aujourd'hui
En Alsace et en Moselle, c'est le chef de l'État qui nomme les évêques. Cette particularité est liée au régime concordataire qui n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.
L'un nomme, l'autre donne l'institution canonique
C'est l'une des particularités de l’Alsace et de la Moselle, où le régime concordataire n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (la région était alors sous régime allemand): c'est le président de la République qui nomme les évêques. Contacté par BFMTV.com, Bernard Xibaut, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, préfère dire que le chef de l'État n'est pas seulement consulté, mais "associé".
Ce dernier rappelle l'article 5 du Concordat signé en 1802 par Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII: "les nominations aux évêchés seront faites par le premier consul et l’institution canonique sera donnée par le Saint Siège".
Et d'ajouter: "tel que le concordat est rédigé, c’est le président de la République qui nomme et le pape qui donne l’Institution canonique. Mais dans la réalité des faits, on sait bien que c’est le pape qui choisit quelqu’un et qui soumet ensuite son choix, par l'intermédiaire des ambassades, à la France. Contrairement au reste de la France, où le gouvernement n’a qu’un avis à donner, là il doit donner son consentement. Donc, s’il refuse quelqu’un, le pape ne pourra pas le nommer".
https://www.bfmtv.com/als[...]ourg_AN-202402280919.html
En Alsace et en Moselle, c'est le chef de l'État qui nomme les évêques. Cette particularité est liée au régime concordataire qui n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.
L'un nomme, l'autre donne l'institution canonique
C'est l'une des particularités de l’Alsace et de la Moselle, où le régime concordataire n'a pas été abrogé par la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905 (la région était alors sous régime allemand): c'est le président de la République qui nomme les évêques. Contacté par BFMTV.com, Bernard Xibaut, chancelier de l'archevêché de Strasbourg, préfère dire que le chef de l'État n'est pas seulement consulté, mais "associé".
Ce dernier rappelle l'article 5 du Concordat signé en 1802 par Napoléon Bonaparte et le pape Pie VII: "les nominations aux évêchés seront faites par le premier consul et l’institution canonique sera donnée par le Saint Siège".
Et d'ajouter: "tel que le concordat est rédigé, c’est le président de la République qui nomme et le pape qui donne l’Institution canonique. Mais dans la réalité des faits, on sait bien que c’est le pape qui choisit quelqu’un et qui soumet ensuite son choix, par l'intermédiaire des ambassades, à la France. Contrairement au reste de la France, où le gouvernement n’a qu’un avis à donner, là il doit donner son consentement. Donc, s’il refuse quelqu’un, le pape ne pourra pas le nommer".
L'état me ponctionne déjà
donc je donne 1 à 2€ et plus pour pâques et Noël
Belgo-chasseur.
