Encore?
BigpharmED
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Cancer colorectal, stade III (T4 N+), diagnostiqué en 2024.
Traitement lourd : Folfirinox + radiochimiothérapie + chirurgie début 2025.
Réponse complète pathologique (TRG1, T0 N0) = pas de cellules tumorales résiduelles détectées, rémission totale.
Dans ce contexte, la situation décrite dans le premier message correspond à une rechute rapide (métastases pulmonaires seulement 6 mois après le dernier scanner clair).
Espérance de vie typique pour un cancer colorectal avec métastases pulmonaires :
Quand une rechute survient aussi vite après la rémission, le pronostic est généralement moins favorable.
Pour un cancer colorectal métastatique (stade IV), les chiffres globaux sont :
-Sans traitement : survie médiane ~6–12 mois.
-Avec chimiothérapies modernes et thérapies ciblées (FOLFOX, FOLFIRI, + bévacizumab, anti-EGFR si mutations favorables) : médiane ~24–36 mois.
-Réponses exceptionnelles (mutations KRAS/NRAS/BRAF favorables, MSI-high → immunothérapie) : certains patients vivent 5 ans et plus.
Mais une rechute rapide après un traitement complet suggère une tumeur agressive, ce qui rapproche souvent la médiane vers 1–2 ans, sauf réponse remarquable aux traitements.
Fourchette réaliste (basée sur les données connues pour cancer colorectal avec métastases pulmonaires) :
Courte : 6–12 mois (si la maladie résiste aux traitements).
Classique : 18–30 mois avec les traitements actuels.
Longue : 3–5 ans ou plus dans les cas favorables (bonne mutation, bonne réponse).
Traitement lourd : Folfirinox + radiochimiothérapie + chirurgie début 2025.
Réponse complète pathologique (TRG1, T0 N0) = pas de cellules tumorales résiduelles détectées, rémission totale.
Espérance de vie typique pour un cancer colorectal avec métastases pulmonaires :
Quand une rechute survient aussi vite après la rémission, le pronostic est généralement moins favorable.
Pour un cancer colorectal métastatique (stade IV), les chiffres globaux sont :
-Sans traitement : survie médiane ~6–12 mois.
-Avec chimiothérapies modernes et thérapies ciblées (FOLFOX, FOLFIRI, + bévacizumab, anti-EGFR si mutations favorables) : médiane ~24–36 mois.
-Réponses exceptionnelles (mutations KRAS/NRAS/BRAF favorables, MSI-high → immunothérapie) : certains patients vivent 5 ans et plus.
Mais une rechute rapide après un traitement complet suggère une tumeur agressive, ce qui rapproche souvent la médiane vers 1–2 ans, sauf réponse remarquable aux traitements.
Courte : 6–12 mois (si la maladie résiste aux traitements).
Classique : 18–30 mois avec les traitements actuels.
Longue : 3–5 ans ou plus dans les cas favorables (bonne mutation, bonne réponse).
Il en a pour combien de temps ?
3 pages 0 Source
Et toient ?
Et toient ?
Cancer colorectal, stade III (T4 N+), diagnostiqué en 2024.
Traitement lourd : Folfirinox + radiochimiothérapie + chirurgie début 2025.
Réponse complète pathologique (TRG1, T0 N0) = pas de cellules tumorales résiduelles détectées, rémission totale.
Dans ce contexte, la situation décrite dans le premier message correspond à une rechute rapide (métastases pulmonaires seulement 6 mois après le dernier scanner clair).
Espérance de vie typique pour un cancer colorectal avec métastases pulmonaires :
Quand une rechute survient aussi vite après la rémission, le pronostic est généralement moins favorable.
Pour un cancer colorectal métastatique (stade IV), les chiffres globaux sont :
-Sans traitement : survie médiane ~6–12 mois.
-Avec chimiothérapies modernes et thérapies ciblées (FOLFOX, FOLFIRI, + bévacizumab, anti-EGFR si mutations favorables) : médiane ~24–36 mois.
-Réponses exceptionnelles (mutations KRAS/NRAS/BRAF favorables, MSI-high → immunothérapie) : certains patients vivent 5 ans et plus.
Mais une rechute rapide après un traitement complet suggère une tumeur agressive, ce qui rapproche souvent la médiane vers 1–2 ans, sauf réponse remarquable aux traitements.
Fourchette réaliste (basée sur les données connues pour cancer colorectal avec métastases pulmonaires) :
Courte : 6–12 mois (si la maladie résiste aux traitements).
Classique : 18–30 mois avec les traitements actuels.
Longue : 3–5 ans ou plus dans les cas favorables (bonne mutation, bonne réponse).
Traitement lourd : Folfirinox + radiochimiothérapie + chirurgie début 2025.
Réponse complète pathologique (TRG1, T0 N0) = pas de cellules tumorales résiduelles détectées, rémission totale.
Espérance de vie typique pour un cancer colorectal avec métastases pulmonaires :
Quand une rechute survient aussi vite après la rémission, le pronostic est généralement moins favorable.
Pour un cancer colorectal métastatique (stade IV), les chiffres globaux sont :
-Sans traitement : survie médiane ~6–12 mois.
-Avec chimiothérapies modernes et thérapies ciblées (FOLFOX, FOLFIRI, + bévacizumab, anti-EGFR si mutations favorables) : médiane ~24–36 mois.
-Réponses exceptionnelles (mutations KRAS/NRAS/BRAF favorables, MSI-high → immunothérapie) : certains patients vivent 5 ans et plus.
Mais une rechute rapide après un traitement complet suggère une tumeur agressive, ce qui rapproche souvent la médiane vers 1–2 ans, sauf réponse remarquable aux traitements.
Courte : 6–12 mois (si la maladie résiste aux traitements).
Classique : 18–30 mois avec les traitements actuels.
Longue : 3–5 ans ou plus dans les cas favorables (bonne mutation, bonne réponse).
conclusion, mangez correctement
conclusion, mangez correctement
post
Bon tg
J'avais lu qu'on pouvait plus faire la même chimio après une rechute, c'est vrai ou fake ?
Bordel le pauvre .
On ne peut pas dire, autrement qu'en disant, alors je le dis.
Un scanner de contrôle auquel j'allais confiant, me sentant en pleine forme, a révélé que mon cancer s'était diffusé aux poumons, 6 mois seulement après le dernier scanner.
Nous parlons ici de métastases.
Il y a des lignes de traitements, tels que les médecins le disent, mais le pronostic n'est plus le même.
Une vie à se surveiller, traquer les métas ici et là, du mieux qu'on peut. La rémission longue et complète, au bout du chemin, n'est pas tout à fait impossible, mais peu probable.
Il faut tenir.
L'existence n'a pas été tendre avec moi, à pleins de niveaux. Parfois par ma faute, parfois celle du hasard.
J'ai choisi un combat politique difficile, et je l'ai attaqué par le versant le plus dur.
- En 2023, mon père est mort en un mois d'un cancer foudroyant, et cela m'a beaucoup affecté (mais perdre son père est dans l'ordre des choses)
- En 2024, j'ai subi un traitement long, douloureux, mutilant, pour sortir à mon tour du cancer. La chimio m'a fait beaucoup souffrir, l'opération m'a mis dans un état humiliant, que je ne souhaite à personne.
- En 2025, je replonge dans la maladie, à un stade plus avancé.
Aussi fou que cela puisse paraître, quand on est jeune, plein d'idées, de projets en cours, de rêves, d'énergie, même quand on vous annonce un stade métastatique, vous ne croyez pas vraiment à votre propre mort.
Dans l'immédiat pourtant, le sentiment d'injustice est surpuissant et occupe tout mon cerveau.
LA COLÈRE.
Énorme, noire, sans cible précise, sinon le sort.
Une colère pure.
Aussi, la colère de ne pouvoir assumer mon rôle de père et d'idéologue politique, mes deux fonctions premières, comme je l'entends, et à 100% de mes capacités physiques et morales.
Cette colère va tourmenter mes nuits.
Franchement je suis dégouté pour lui , j'ai de la peine mais bon ... je me rappel quand il traité les anti vax de débile
Oui il y en a beaucoup qui disent ça et qu'il l'aurait avoué lui même, ça va être compliqué si on arrive pas à tenir un peu plus pour qu'il y ait une transmission
Ils ont tué Turlupin, comment leur pardonner?
Soutien à un Orteil un des clé les plus créatifs du RoomFou
Ouais j'espère que personne s'en réjouit mais je vois déjà les dz ricaner
ça fait longtemps que je t'avais pas parlé j'espère que tu vas bien
ça fait longtemps que je t'avais pas parlé j'espère que tu vas bien
Ils ont tué Turlupin, comment leur pardonner?
Soutien à un Orteil un des clé les plus créatifs du RoomFou
Il a de nouveau un cancer Conversano ? Il est maudit c'est pas possible.
Je suis triste pour lui
Je suis triste pour lui
J'aime ma signature
Franchement je suis dégouté pour lui , j'ai de la peine mais bon ... je me rappel quand il traité les anti vax de débile
Il a pris toutes les doses possibles c'est vrai.
J'aime ma signature
On ne peut pas dire, autrement qu'en disant, alors je le dis.
Un scanner de contrôle auquel j'allais confiant, me sentant en pleine forme, a révélé que mon cancer s'était diffusé aux poumons, 6 mois seulement après le dernier scanner.
Nous parlons ici de métastases.
Il y a des lignes de traitements, tels que les médecins le disent, mais le pronostic n'est plus le même.
Une vie à se surveiller, traquer les métas ici et là, du mieux qu'on peut. La rémission longue et complète, au bout du chemin, n'est pas tout à fait impossible, mais peu probable.
Il faut tenir.
L'existence n'a pas été tendre avec moi, à pleins de niveaux. Parfois par ma faute, parfois celle du hasard.
J'ai choisi un combat politique difficile, et je l'ai attaqué par le versant le plus dur.
- En 2023, mon père est mort en un mois d'un cancer foudroyant, et cela m'a beaucoup affecté (mais perdre son père est dans l'ordre des choses)
- En 2024, j'ai subi un traitement long, douloureux, mutilant, pour sortir à mon tour du cancer. La chimio m'a fait beaucoup souffrir, l'opération m'a mis dans un état humiliant, que je ne souhaite à personne.
- En 2025, je replonge dans la maladie, à un stade plus avancé.
Aussi fou que cela puisse paraître, quand on est jeune, plein d'idées, de projets en cours, de rêves, d'énergie, même quand on vous annonce un stade métastatique, vous ne croyez pas vraiment à votre propre mort.
Dans l'immédiat pourtant, le sentiment d'injustice est surpuissant et occupe tout mon cerveau.
LA COLÈRE.
Énorme, noire, sans cible précise, sinon le sort.
Une colère pure.
Aussi, la colère de ne pouvoir assumer mon rôle de père et d'idéologue politique, mes deux fonctions premières, comme je l'entends, et à 100% de mes capacités physiques et morales.
Cette colère va tourmenter mes nuits.
D'après la ligue contre le cancer qui demande des sous pour la recherche, ceux qui naissent aujourd'hui ont une chance sur deux d'attraper le cancer. C'était mieux avant quand la recherche ne cherchait pas.
