En fait on est tous à peu près d'accord finalement
Aya c’est vrai. C’est plutôt de pinaillage finalement. En gros on est pas d’accords sur la causes mais d’accord sur les conséquences.
Essentialiste et 0 dose les shills. Mon serv Discord : https://discord.gg/2ceWppkcN6
Ils ont pas dit ça. Ils ont juste constaté que les températures étaient plus extrêmes et encore plus variables qu’il y a 10 ou 20 ans.
Ah bon ?
C'est quand le dernier hiver qu'on a eu où y'a réellement fait froid ? Perso ça fait 10 piges que j'ai pas vu de neige durer plus de 2 jours alors que c'était le cas pendant des semaines quand j'étais gosse.
Idem côté chaleur, je déteste ça, genre vraiment c'est un sale temps pour les gros
, et j'ai toujours pas craqué pour m'acheter une clim chez moi alors que je vis sous les combles parce que je sais que les grosses chaleurs c'est 10 putains de jours par an à tout péter.
Bon après j'suis lorrain, les grosses chaleurs on sait que ça dure pas. Mais la neige putain, ça fait combien de temps que t'as pas vu de neige toi ?
Edit : J'vois que j'fais un peu un contre mon camp avec ce message alors je damage controle pour rester honnête intellectuellement.
Pour moi au mieux c'est à mon avis l'inverse de ça, y'a pas de gros pics et c'est au contraire une "moyennisation" des saisons été / hiver pour avoir un printemps / automne un peu plus long. Est-ce que c'est dramatique à proprement parler ? Je ne pense pas.
C'est quand le dernier hiver qu'on a eu où y'a réellement fait froid ? Perso ça fait 10 piges que j'ai pas vu de neige durer plus de 2 jours alors que c'était le cas pendant des semaines quand j'étais gosse.
Idem côté chaleur, je déteste ça, genre vraiment c'est un sale temps pour les gros
Bon après j'suis lorrain, les grosses chaleurs on sait que ça dure pas. Mais la neige putain, ça fait combien de temps que t'as pas vu de neige toi ?
Edit : J'vois que j'fais un peu un contre mon camp avec ce message alors je damage controle pour rester honnête intellectuellement.
Pour moi au mieux c'est à mon avis l'inverse de ça, y'a pas de gros pics et c'est au contraire une "moyennisation" des saisons été / hiver pour avoir un printemps / automne un peu plus long. Est-ce que c'est dramatique à proprement parler ? Je ne pense pas.
Ah bon ?
C'est quand le dernier hiver qu'on a eu où y'a réellement fait froid ? Perso ça fait 10 piges que j'ai pas vu de neige durer plus de 2 jours alors que c'était le cas pendant des semaines quand j'étais gosse.
Idem côté chaleur, je déteste ça, genre vraiment c'est un sale temps pour les gros
, et j'ai toujours pas craqué pour m'acheter une clim chez moi alors que je vis sous les combles parce que je sais que les grosses chaleurs c'est 10 putains de jours par an à tout péter.
Bon après j'suis lorrain, les grosses chaleurs on sait que ça dure pas. Mais la neige putain, ça fait combien de temps que t'as pas vu de neige toi ?
Edit : J'vois que j'fais un peu un contre mon camp avec ce message alors je damage controle pour rester honnête intellectuellement.
Pour moi au mieux c'est à mon avis l'inverse de ça, y'a pas de gros pics et c'est au contraire une "moyennisation" des saisons été / hiver pour avoir un printemps / automne un peu plus long. Est-ce que c'est dramatique à proprement parler ? Je ne pense pas.
C'est quand le dernier hiver qu'on a eu où y'a réellement fait froid ? Perso ça fait 10 piges que j'ai pas vu de neige durer plus de 2 jours alors que c'était le cas pendant des semaines quand j'étais gosse.
Idem côté chaleur, je déteste ça, genre vraiment c'est un sale temps pour les gros
Bon après j'suis lorrain, les grosses chaleurs on sait que ça dure pas. Mais la neige putain, ça fait combien de temps que t'as pas vu de neige toi ?
Edit : J'vois que j'fais un peu un contre mon camp avec ce message alors je damage controle pour rester honnête intellectuellement.
Pour moi au mieux c'est à mon avis l'inverse de ça, y'a pas de gros pics et c'est au contraire une "moyennisation" des saisons été / hiver pour avoir un printemps / automne un peu plus long. Est-ce que c'est dramatique à proprement parler ? Je ne pense pas.
Alors moi je suis dans le Roussillon (66). Et de la neige on en voit pas à la plaine, ou extrêmement rarement. Ça c’est normal. Par contre on a aussi des montages et là c’est sensé neiger. Au sommet ça neige encore mais c’est moins épais. Quand j’étais gamin ça nageait beaucoup. La je vie actuellement dans une zone intermédiaire (montagneuse mais basse), et c’est rarissime qu’il neige. Mais je sais pas si avant il neigeait par ici. La chaleur j’ai le sentiment qu’elle a augmentée. On admet tous les 2 qu’il y a moins de neige, ça prouve bien qu’un truc à changé je pense. Sinon en Europe, d’après les scientifiques, le dérèglement prend plus la forme d’un réchauffement, là où ailleurs ça pourrait justement être inversé. Il y a beaucoup eu de sècheresse dans le Roussillon ces dernières années. La végétions jaunit, il pleut moins, et les lacs et les rivières sont moins profonds. Donc les gens par ici se plaignent d’une hausse de chaleur et d’une baisse d’humidité surtout.
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Alors moi je suis dans le Roussillon (66). Et de la neige on en voit pas à la plaine, ou extrêmement rarement. Ça c’est normal. Par contre on a aussi des montages et là c’est sensé neiger. Au sommet ça neige encore mais c’est moins épais. Quand j’étais gamin ça nageait beaucoup. La je vie actuellement dans une zone intermédiaire (montagneuse mais basse), et c’est rarissime qu’il neige. Mais je sais pas si avant il neigeait par ici. La chaleur j’ai le sentiment qu’elle a augmentée. On admet tous les 2 qu’il y a moins de neige, ça prouve bien qu’un truc à changé je pense. Sinon en Europe, d’après les scientifiques, le dérèglement prend plus la forme d’un réchauffement, là où ailleurs ça pourrait justement être inversé. Il y a beaucoup eu de sècheresse dans le Roussillon ces dernières années. La végétions jaunit, il pleut moins, et les lacs et les rivières sont moins profonds. Donc les gens par ici se plaignent d’une hausse de chaleur et d’une baisse d’humidité surtout.
Pour le coup moi c'est l'inverse, ça fait 4 ans qu'il pleut genre tous les 2 jours. Et t'as quand même des gens qui viennent dire que les nappes phréatiques dans le coin sont au plus bas, genre ils ont pris leur jauge en métal de 200m pour aller checker eux-mêmes.
Après le Roussillon c'est pas non plus un endroit où y'a de base énormément de pluies non plus, niveau végétation ça ressemble plus au climat espagnol un peu désertiques qu'aux énormes forêts de feuillus imposantes qu'il peut y avoir par chez moi quoi.
Et de toute façon, le climat on peut justement rien y faire tant au niveau individuel que communal ou national donc y'a aucune raison à s'emmerder avec, les chinois, américains, indiens et africains vont pas arrêter du jour au lendemain de se développer pour les délires des écolos à la con. Donc autant se concentrer sur ce qu'on peut faire localement et nationalement, et ça passe avant tout par recréer un modèle industriel qui fait de bons produits durables sur le sol français et avec des normes françaises afin d'arrêter d'importer des merdes du bout du monde qui durent 2 ans. Et ça créerait de l'emploi et de la richesse en France au passage, donc tout bénef. Mais pour ça faut sortir de l'économie mondialisée car effectivement un français pourra jamais concurrencer un roumain en terme de salaire.
Après le Roussillon c'est pas non plus un endroit où y'a de base énormément de pluies non plus, niveau végétation ça ressemble plus au climat espagnol un peu désertiques qu'aux énormes forêts de feuillus imposantes qu'il peut y avoir par chez moi quoi.
Et de toute façon, le climat on peut justement rien y faire tant au niveau individuel que communal ou national donc y'a aucune raison à s'emmerder avec, les chinois, américains, indiens et africains vont pas arrêter du jour au lendemain de se développer pour les délires des écolos à la con. Donc autant se concentrer sur ce qu'on peut faire localement et nationalement, et ça passe avant tout par recréer un modèle industriel qui fait de bons produits durables sur le sol français et avec des normes françaises afin d'arrêter d'importer des merdes du bout du monde qui durent 2 ans. Et ça créerait de l'emploi et de la richesse en France au passage, donc tout bénef. Mais pour ça faut sortir de l'économie mondialisée car effectivement un français pourra jamais concurrencer un roumain en terme de salaire.
Pour le coup moi c'est l'inverse, ça fait 4 ans qu'il pleut genre tous les 2 jours. Et t'as quand même des gens qui viennent dire que les nappes phréatiques dans le coin sont au plus bas, genre ils ont pris leur jauge en métal de 200m pour aller checker eux-mêmes.
Après le Roussillon c'est pas non plus un endroit où y'a de base énormément de pluies non plus, niveau végétation ça ressemble plus au climat espagnol un peu désertiques qu'aux énormes forêts de feuillus imposantes qu'il peut y avoir par chez moi quoi.
Et de toute façon, le climat on peut justement rien y faire tant au niveau individuel que communal ou national donc y'a aucune raison à s'emmerder avec, les chinois, américains, indiens et africains vont pas arrêter du jour au lendemain de se développer pour les délires des écolos à la con. Donc autant se concentrer sur ce qu'on peut faire localement et nationalement, et ça passe avant tout par recréer un modèle industriel qui fait de bons produits durables sur le sol français et avec des normes françaises afin d'arrêter d'importer des merdes du bout du monde qui durent 2 ans. Et ça créerait de l'emploi et de la richesse en France au passage, donc tout bénef. Mais pour ça faut sortir de l'économie mondialisée car effectivement un français pourra jamais concurrencer un roumain en terme de salaire.
Après le Roussillon c'est pas non plus un endroit où y'a de base énormément de pluies non plus, niveau végétation ça ressemble plus au climat espagnol un peu désertiques qu'aux énormes forêts de feuillus imposantes qu'il peut y avoir par chez moi quoi.
Et de toute façon, le climat on peut justement rien y faire tant au niveau individuel que communal ou national donc y'a aucune raison à s'emmerder avec, les chinois, américains, indiens et africains vont pas arrêter du jour au lendemain de se développer pour les délires des écolos à la con. Donc autant se concentrer sur ce qu'on peut faire localement et nationalement, et ça passe avant tout par recréer un modèle industriel qui fait de bons produits durables sur le sol français et avec des normes françaises afin d'arrêter d'importer des merdes du bout du monde qui durent 2 ans. Et ça créerait de l'emploi et de la richesse en France au passage, donc tout bénef. Mais pour ça faut sortir de l'économie mondialisée car effectivement un français pourra jamais concurrencer un roumain en terme de salaire.
Totalement d’accord. S’il y a bien un dérèglement climatique il est de toute façon impossible de l’endiguer car ça demanderait une coordination mondiale impossible. En comme tu le souligne très justement, la cause principale de la pollution c’est le mondialisme économique. Il faut couper court avec et mettre en place des circuits cours. Un pays digne de ce nom fait ça, pour sa souveraineté et la santé de son peuple. Sinon j’étais allé en Alsace l’année dernière (début printemps) et je confirme qu’il pleuvait comme vache qui pisse. Mais genre c’était n’importe quoi, il y avait des champs inondés sur la route.
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Totalement d’accord. S’il y a bien un dérèglement climatique il est de toute façon impossible de l’endiguer car ça demanderait une coordination mondiale impossible. En comme tu le souligne très justement, la cause principale de la pollution c’est le mondialisme économique. Il faut couper court avec et mettre en place des circuits cours. Un pays digne de ce nom fait ça, pour sa souveraineté et la santé de son peuple. Sinon j’étais allé en Alsace l’année dernière (début printemps) et je confirme qu’il pleuvait comme vache qui pisse. Mais genre c’était n’importe quoi, il y avait des champs inondés sur la route.
C'est p'tet ça la fameuse montée des eaux qu'ils nous chantent depuis des décennies.
C'est p'tet ça la fameuse montée des eaux qu'ils nous chantent depuis des décennies.
Je te jure c’était fou. C’était des étangs les trucs, même quand il pleuvait pas ça restait comme ça.
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Je te jure c’était fou. C’était des étangs les trucs, même quand il pleuvait pas ça restait comme ça.
Ouais y'a des endroits aussi comme ça sur la route quand j'vais voir mes parents en Meuse.
La science évolue vont ils probablement te dire.
Scientists set out to verify there is a current human-induced "climate crisis" using 200 years of Greece climate data.
Instead they find decreasing extremes.
"The current period can be characterized as normal without notable climatic events".
https://www.mdpi.com/2073-4441/15/9/1711
Publié par le MDPI par
by Demetris Koutsoyiannis
1,* [ORCID] , Theano Iliopoulou
1 [ORCID] , Antonis Koukouvinos
1, Nikolaos Malamos
2 [ORCID] , Nikos Mamassis
1, Panayiotis Dimitriadis
1 [ORCID] , Nikos Tepetidis et David Markantonis
en avril 2023
" Figure 11 shows the time series of annual maximum values over the entire Greek territory. The record high occurred in the year 2016–17, but there was a similar high in 1956–57. The overall statistical trend is decreasing, albeit slightly (−1.4 mm/decade), thus not supporting the allegation of the intensification of extremes. "
These results do not contradict earlier studies by Stefanidis et al. [40] and Varlas et al. [41], both of which found climatic fluctuations rather than linear trends. The former identified precipitation decreases in 1981–2000 and increases since 2000. The latter concluded that precipitation did not linearly change during the past 7 decades, but it first increased from the 1950s to the late 1960s, consequently decreased until the early 1990s and, afterwards, presented an increase until 2020 with a lower rate than the 1950–1960s.
The two over-century-long rainfall time series of Greece (Athens and Thessaloniki) show that the record average and maximum rainfall depths occurred in the 19th or early 20th century. Compared to other locations on the globe with long time series, these two time series of Greece show much smaller to negligible climate variability, both in mean and maximum rainfall heights.
The current period can be characterized as normal without notable climatic events. Regarding maximum daily precipitation, the number of stations with time series of 60 years or more (238 stations in all water districts) allows us to safely conclude that there are no notable climatic events during the period in question. Both the temporal distribution of record highs and climatic fluctuations thereof are in impressive agreement with theoretical expectations under stationarity, while there is a balance between positive and negative climatic trends.
If CO2 doubles (380→760 ppm), climate forcing changes ~0-1 W/m². In Antarctica, Arctic, tropics, 2xCO2 forcing is sometimes negative.
In contrast, cloud radiative forcing is 120 W/m².
But they say CO2 drives climate and melts ice sheets.
https://agupubs.onlinelib[...]/pdf/10.1029/2023GL106433
Publié par Advancing Earth and Space Science - AGU
sur le sujet : The Cause of Negative CO2 Forcing at the Top-Of-Atmosphere: The Role of Stratospheric Versus Tropospheric Temperature Inversions
Publié par Yan-Ting Chen1, Timothy M. Merlis, et Yi Huang
Publié en 2023.
Negative TOA forcing of CO2 increase also happens outside of Antarctica. The Arctic sometimes exhibits strong negative CO2 forcing (Figure 1a). This phenomenon even occurs in the tropics and mid-latitudes for instances of strong longwave cloud radiative effects (CRE), when the all-sky OLR is much lower than the clear-sky OLR
This study explores the CO2 forcing sensitivity to the vertical temperature structure, with an emphasis on what leads to a small, and even negative TOA forcing in the current climate.
" Clouds are known to reduce the CO2 forcing (Govindasamy & Caldeira, 2000). Here, we examine the role of clouds in reducing tropical forcing (Figure 1) and assess the role of stratosphere temperature structure in reducing the forcing, as was important for the clear-sky forcing in Antarctica. "
" These parameters create a range of longwave CRE from 50 to 190 Wm −2. "
Autre étude :
CO2 increased 24% from 1948-2008 (310→385 ppm).
IR flux observations show the CO2 rise delivered a negative radiative imbalance: -0.75 W/m². CO2 had a 𝘤𝘰𝘰𝘭𝘪𝘯𝘨 effect.
"atmospheric CO2 increase cannot be the reason for global warming"
Publié sur le sujet : Greenhouse Gas Theories and Observed Radiative Properties
of the Earth’s Atmosphere
Publié par Ferenc Miskolczi
Foreign Associate Member of the Hungarian Academy of Sciences, Budapest, Hungary
Par Science of Climate Change.
https://scienceofclimatec[...]Greenhouse-Gas-Theory.pdf
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-042952.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-042958.png
" The IR flux optical depth has no correlation with time and the strong signal of increasing atmos-
pheric CO2 content in any time series is not present in the IR flux optical thickness data. Conse-
quently, the atmospheric CO2 increase cannot be the reason for global warming. It is interesting to
note, that in the individual time series the H2O does not correlate with the time, while in the mean
values the negative correlation is quite obvious (in Figure 10) "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043025.png
" IPCC scientists ignore the fact that the clear sky OLR is governed by the unpredictable stochastic
nature of the upper tropospheric humidity field (and also the global cloudiness and wind field)
which cannot be modelled by any deterministic global climate model. The theoretical constraints
governing the global mean radiation flux components are also not part of the GCMs "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043043.png
" More details are presented in Figure 14 where the no-feedback responses of some other GHGs
are also displayed. The observed 23.6 % increase in CO2 causes -0.75 Wm-2 radiative imbalance
(red dot). In the same time period, based on the NOAA-R1 archive the real change is 3.02 Wm-2
(blue dot). There is no such thing that the OLR remains constant and the surface warms up due to
some incorrect GHG GE hypothesis, or because of the outcomes of CO2 doubling experiments
conducted with never validated GCMs "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043102.png
Autre étude
Scientists (IPCC, NSIDC) predicted Arctic sea ice would decline rapidly as CO2 rose from 385 (2007) to 422 ppm (2023).
But there's been no change in summer sea ice area in 17 years, and "no apparent correlation" between CO2 and sea ice trends.
https://scienceofclimatec[...]-Trend-Arctic-Sea-Ice.pdf
Publié par Science of Climate Change sur le sujet : Time Trend of the Arctic Sea Ice Extent
Since 2007 no significant decline has been observed
Publié par Allan Astrup Jensen
Nordic Institute of Product Sustainability, Environmental Chemistry and Toxicology, Denmark
Publié en 2023.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043122.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043128.png
" However, since the dramatical decline of the ice extent in 2007, the summer
Arctic Sea ice area has not declined further. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043200.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043148.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043153.png
" The ice extent is much lower now (2023) than in 1978, when the satellite measurements began.
However, it has not been a gradual decline. A major decline happened during the years 1997 - 2007
Before that the decline was minimal and after that period, there was no significant down-
ward trend. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043234.png
" These predictions ignore the fact that the Arctic Sea ice extent during the last 17 years from
2007 to 2023 – almost two decades – has been stable without a downward trend. Therefore,
there is no indication that we should expect the summer Arctic Sea summer ice to disappear
completely in one or two decades, as predicted. "
Scientists set out to verify there is a current human-induced "climate crisis" using 200 years of Greece climate data.
Instead they find decreasing extremes.
"The current period can be characterized as normal without notable climatic events".
Publié par le MDPI par
by Demetris Koutsoyiannis
1,* [ORCID] , Theano Iliopoulou
1 [ORCID] , Antonis Koukouvinos
1, Nikolaos Malamos
2 [ORCID] , Nikos Mamassis
1, Panayiotis Dimitriadis
1 [ORCID] , Nikos Tepetidis et David Markantonis
en avril 2023
" Figure 11 shows the time series of annual maximum values over the entire Greek territory. The record high occurred in the year 2016–17, but there was a similar high in 1956–57. The overall statistical trend is decreasing, albeit slightly (−1.4 mm/decade), thus not supporting the allegation of the intensification of extremes. "
These results do not contradict earlier studies by Stefanidis et al. [40] and Varlas et al. [41], both of which found climatic fluctuations rather than linear trends. The former identified precipitation decreases in 1981–2000 and increases since 2000. The latter concluded that precipitation did not linearly change during the past 7 decades, but it first increased from the 1950s to the late 1960s, consequently decreased until the early 1990s and, afterwards, presented an increase until 2020 with a lower rate than the 1950–1960s.
The two over-century-long rainfall time series of Greece (Athens and Thessaloniki) show that the record average and maximum rainfall depths occurred in the 19th or early 20th century. Compared to other locations on the globe with long time series, these two time series of Greece show much smaller to negligible climate variability, both in mean and maximum rainfall heights.
The current period can be characterized as normal without notable climatic events. Regarding maximum daily precipitation, the number of stations with time series of 60 years or more (238 stations in all water districts) allows us to safely conclude that there are no notable climatic events during the period in question. Both the temporal distribution of record highs and climatic fluctuations thereof are in impressive agreement with theoretical expectations under stationarity, while there is a balance between positive and negative climatic trends.
If CO2 doubles (380→760 ppm), climate forcing changes ~0-1 W/m². In Antarctica, Arctic, tropics, 2xCO2 forcing is sometimes negative.
In contrast, cloud radiative forcing is 120 W/m².
But they say CO2 drives climate and melts ice sheets.
Publié par Advancing Earth and Space Science - AGU
sur le sujet : The Cause of Negative CO2 Forcing at the Top-Of-Atmosphere: The Role of Stratospheric Versus Tropospheric Temperature Inversions
Publié par Yan-Ting Chen1, Timothy M. Merlis, et Yi Huang
Publié en 2023.
Negative TOA forcing of CO2 increase also happens outside of Antarctica. The Arctic sometimes exhibits strong negative CO2 forcing (Figure 1a). This phenomenon even occurs in the tropics and mid-latitudes for instances of strong longwave cloud radiative effects (CRE), when the all-sky OLR is much lower than the clear-sky OLR
This study explores the CO2 forcing sensitivity to the vertical temperature structure, with an emphasis on what leads to a small, and even negative TOA forcing in the current climate.
" Clouds are known to reduce the CO2 forcing (Govindasamy & Caldeira, 2000). Here, we examine the role of clouds in reducing tropical forcing (Figure 1) and assess the role of stratosphere temperature structure in reducing the forcing, as was important for the clear-sky forcing in Antarctica. "
" These parameters create a range of longwave CRE from 50 to 190 Wm −2. "
Autre étude :
CO2 increased 24% from 1948-2008 (310→385 ppm).
IR flux observations show the CO2 rise delivered a negative radiative imbalance: -0.75 W/m². CO2 had a 𝘤𝘰𝘰𝘭𝘪𝘯𝘨 effect.
"atmospheric CO2 increase cannot be the reason for global warming"
Publié sur le sujet : Greenhouse Gas Theories and Observed Radiative Properties
of the Earth’s Atmosphere
Publié par Ferenc Miskolczi
Foreign Associate Member of the Hungarian Academy of Sciences, Budapest, Hungary
Par Science of Climate Change.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-042952.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-042958.png" The IR flux optical depth has no correlation with time and the strong signal of increasing atmos-
pheric CO2 content in any time series is not present in the IR flux optical thickness data. Conse-
quently, the atmospheric CO2 increase cannot be the reason for global warming. It is interesting to
note, that in the individual time series the H2O does not correlate with the time, while in the mean
values the negative correlation is quite obvious (in Figure 10) "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043025.png" IPCC scientists ignore the fact that the clear sky OLR is governed by the unpredictable stochastic
nature of the upper tropospheric humidity field (and also the global cloudiness and wind field)
which cannot be modelled by any deterministic global climate model. The theoretical constraints
governing the global mean radiation flux components are also not part of the GCMs "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043043.png" More details are presented in Figure 14 where the no-feedback responses of some other GHGs
are also displayed. The observed 23.6 % increase in CO2 causes -0.75 Wm-2 radiative imbalance
(red dot). In the same time period, based on the NOAA-R1 archive the real change is 3.02 Wm-2
(blue dot). There is no such thing that the OLR remains constant and the surface warms up due to
some incorrect GHG GE hypothesis, or because of the outcomes of CO2 doubling experiments
conducted with never validated GCMs "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043102.pngAutre étude
Scientists (IPCC, NSIDC) predicted Arctic sea ice would decline rapidly as CO2 rose from 385 (2007) to 422 ppm (2023).
But there's been no change in summer sea ice area in 17 years, and "no apparent correlation" between CO2 and sea ice trends.
Publié par Science of Climate Change sur le sujet : Time Trend of the Arctic Sea Ice Extent
Since 2007 no significant decline has been observed
Publié par Allan Astrup Jensen
Nordic Institute of Product Sustainability, Environmental Chemistry and Toxicology, Denmark
Publié en 2023.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043122.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043128.png" However, since the dramatical decline of the ice extent in 2007, the summer
Arctic Sea ice area has not declined further. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043200.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043148.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043153.png" The ice extent is much lower now (2023) than in 1978, when the satellite measurements began.
However, it has not been a gradual decline. A major decline happened during the years 1997 - 2007
Before that the decline was minimal and after that period, there was no significant down-
ward trend. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043234.png" These predictions ignore the fact that the Arctic Sea ice extent during the last 17 years from
2007 to 2023 – almost two decades – has been stable without a downward trend. Therefore,
there is no indication that we should expect the summer Arctic Sea summer ice to disappear
completely in one or two decades, as predicted. "
.Publie sur Climatic Change and Northern Development :
https://journalhosting.uc[...]/article/view/65855/49769
Publié par M. J. DUNBAR.
" Moreover, the measured increase in carbon dioxide in the atmosphere, according to the most recent computations, would not be enough to have any measurable climatic effect. Rasool and Schneider (1 971) conclude that an increase in the carbon dioxide content of eight times the present level would produce an increase in surface temperature of less than 2OC, and that if the concentration were to increase from the present level of 320 parts per million to about 400 by the year 2000, the predicted increase in surface global temperature would be about 0.1 "C. "
" Meanwhile, it seems far more likely that the observed increment in the carbon dioxide of the air at low levels in both Europe and eastern North America is due to changes in the biological mechanisms of the cycle rather than to any increase in industrial output "
" A few very tentative predictions, on the shorter time scale, are being made. For instance Johnsen et al. (1 969), on the basis of ice-cap measurements in Greenland, expect the present cooling trend to continue for one or two decades with subse- quent warming reaching a maximum in about 40 or 50 years. Winstanley (1973) does not expect a change in the cooling trend for another 60 years. "
Autre étude :
AGW proponents use subjective forcing models and unmeasured estimates of past solar activity to claim humans drive warming.
A reassessment finds the Sun can drive climate, ECS (2xCO2 + feedbacks) is 1.14°C, and human forcing is overestimated.
https://www.opastpublishe[...]a-to-agw-reassessment.pdf
Publié dans Earth & Environmental Science Research & Reviews sur le sujet : Volume 6 | Issue 2 |410Eart & Envi Scie Res & Rev, 2023
From Behavioral Climate Models and Millennial Data to AGW Reassessment
Publié en 2023 par Philippe de Larminat de Institut de Recherche en Communication et
Cybernétique de Nantes (IRCCyN), now LS2N (Nantes, France)
" Indeed, there is no direct measurement
of TSI before 1978, let alone in paleoclimate times, not even an
order of magnitude "
" he value αanth << 1 confirms that the anthropogenic forcing
reconstruction remains strongly overestimated by CMIP. In
contrast, the solar scaling factor αsol is now close to 1, confirming
the likelihood of the CHRONOS reconstructions. "
" ECS = 1.14 [0.83 to 1.36] °C "
" In section 8 above, a set of consistent climate series is explored,
from which solar activity appears to be the main driver of climate
change. To eradicate this hypothesis, the anthropogenic principle
requires four simultaneous assessments"
" None of these conditions is strongly established, neither by
theoretical knowledge nor by historical and paleoclimatic
observations. "
" The simulations
show that solar activity contributes to current climate warming in
proportions depending on by the assessed pre-industrial climate
anomalies. Therefore, adherence to the anthropogenic principle
requires that when reconstructing climate data, the Medieval
Warming Period and the Little Ice Age be reduced to nothing, and that any series of strongly varying solar forcing be discarded "
Paleoclimate reconstructionists smooth away (disappear) >±2°C errors in the record so as to claim there is a neat, single trend line representing "global" mean temperature. There isn't.
Herzschuh et al., 2023
https://essd.copernicus.o[...]23/essd-15-2235-2023.html
Publié sur le sujet LegacyClimate 1.0: a dataset of pollen-based climate reconstructions from 2594 Northern Hemisphere sites covering the last 30 kyr and beyond dans Earth System Science Data au cours de l'année 2023.
McGregor et al., 2015
https://static-content.sp[...]ngeo2510_MOESM302_ESM.pdf
Publié dans Nature Geoscience sur le sujet : Robust global ocean cooling trend for the pre-industrial
Common Era
Publié par Helen V. McGregor*, Michael N. Evans, Hugues Goosse, Guillaume Leduc, Belen Martrat,
Jason A. Addison, P. Graham Mortyn, Delia W. Oppo, Marit-Solveig Seidenkrantz, Marie-
Alexandrine Sicre, Steven J. Phipps, Kandasamy Selvaraj , Kaustubh Thirumalai, Helena L.
Filipsson, and Vasile Ersek
" The mean RMSEPs and their standard deviations for Tann are 1.98±0.52 (MAT), 2.61±0.53 (WA-PLS), and 2.24±0.61 ∘C (WA-PLS_tailored) "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043743.png
" Reconstruction error (shaded blue) and the chronological error (shaded red) around the reconstruction smoothed by the time uncertainty (i.e., when we interpolate at regular time steps for the 1000 realizations and average over the ensemble; dashed white). The original reconstruction with the median ages is also shown for comparison (solid white); this underlines the point that averaging over the age models only preserves the low frequencies but (unrealistically) smooths out the high frequencies. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043755.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043809.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043803.png
Publié par M. J. DUNBAR.
" Moreover, the measured increase in carbon dioxide in the atmosphere, according to the most recent computations, would not be enough to have any measurable climatic effect. Rasool and Schneider (1 971) conclude that an increase in the carbon dioxide content of eight times the present level would produce an increase in surface temperature of less than 2OC, and that if the concentration were to increase from the present level of 320 parts per million to about 400 by the year 2000, the predicted increase in surface global temperature would be about 0.1 "C. "
" Meanwhile, it seems far more likely that the observed increment in the carbon dioxide of the air at low levels in both Europe and eastern North America is due to changes in the biological mechanisms of the cycle rather than to any increase in industrial output "
" A few very tentative predictions, on the shorter time scale, are being made. For instance Johnsen et al. (1 969), on the basis of ice-cap measurements in Greenland, expect the present cooling trend to continue for one or two decades with subse- quent warming reaching a maximum in about 40 or 50 years. Winstanley (1973) does not expect a change in the cooling trend for another 60 years. "
Autre étude :
AGW proponents use subjective forcing models and unmeasured estimates of past solar activity to claim humans drive warming.
A reassessment finds the Sun can drive climate, ECS (2xCO2 + feedbacks) is 1.14°C, and human forcing is overestimated.
Publié dans Earth & Environmental Science Research & Reviews sur le sujet : Volume 6 | Issue 2 |410Eart & Envi Scie Res & Rev, 2023
From Behavioral Climate Models and Millennial Data to AGW Reassessment
Publié en 2023 par Philippe de Larminat de Institut de Recherche en Communication et
Cybernétique de Nantes (IRCCyN), now LS2N (Nantes, France)
" Indeed, there is no direct measurement
of TSI before 1978, let alone in paleoclimate times, not even an
order of magnitude "
" he value αanth << 1 confirms that the anthropogenic forcing
reconstruction remains strongly overestimated by CMIP. In
contrast, the solar scaling factor αsol is now close to 1, confirming
the likelihood of the CHRONOS reconstructions. "
" ECS = 1.14 [0.83 to 1.36] °C "
" In section 8 above, a set of consistent climate series is explored,
from which solar activity appears to be the main driver of climate
change. To eradicate this hypothesis, the anthropogenic principle
requires four simultaneous assessments"
" None of these conditions is strongly established, neither by
theoretical knowledge nor by historical and paleoclimatic
observations. "
" The simulations
show that solar activity contributes to current climate warming in
proportions depending on by the assessed pre-industrial climate
anomalies. Therefore, adherence to the anthropogenic principle
requires that when reconstructing climate data, the Medieval
Warming Period and the Little Ice Age be reduced to nothing, and that any series of strongly varying solar forcing be discarded "
Paleoclimate reconstructionists smooth away (disappear) >±2°C errors in the record so as to claim there is a neat, single trend line representing "global" mean temperature. There isn't.
Herzschuh et al., 2023
Publié sur le sujet LegacyClimate 1.0: a dataset of pollen-based climate reconstructions from 2594 Northern Hemisphere sites covering the last 30 kyr and beyond dans Earth System Science Data au cours de l'année 2023.
McGregor et al., 2015
Publié dans Nature Geoscience sur le sujet : Robust global ocean cooling trend for the pre-industrial
Common Era
Publié par Helen V. McGregor*, Michael N. Evans, Hugues Goosse, Guillaume Leduc, Belen Martrat,
Jason A. Addison, P. Graham Mortyn, Delia W. Oppo, Marit-Solveig Seidenkrantz, Marie-
Alexandrine Sicre, Steven J. Phipps, Kandasamy Selvaraj , Kaustubh Thirumalai, Helena L.
Filipsson, and Vasile Ersek
" The mean RMSEPs and their standard deviations for Tann are 1.98±0.52 (MAT), 2.61±0.53 (WA-PLS), and 2.24±0.61 ∘C (WA-PLS_tailored) "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043743.png" Reconstruction error (shaded blue) and the chronological error (shaded red) around the reconstruction smoothed by the time uncertainty (i.e., when we interpolate at regular time steps for the 1000 realizations and average over the ensemble; dashed white). The original reconstruction with the median ages is also shown for comparison (solid white); this underlines the point that averaging over the age models only preserves the low frequencies but (unrealistically) smooths out the high frequencies. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043755.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043809.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-043803.pngArctic regions with 6+ months of sea ice today were ice-free year-round 9-5k years ago (2°C warmer) and 130-115k years ago (7-8°C warmer).
Polar bears don't need sea ice to hunt prey. Extinction alarm is rooted in the false claim that they do.
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S0277379123003256 Publié dans ScienceDirect
Publié en octobre 2023.
Publié par Heikki Seppä, Marit-Solveig Seidenkrantz, Beth Caissie et Marc Macias Fauria.
Respectivement du : Department of Geosciences and Geography, University of Helsinki, Finland
Paleoceanography and Paleoclimate Group, Department of Geoscience, Arctic Research Centre and Climate centre, Aarhus University, Denmark
U.S. Geological Survey, Geology, Minerals, Energy, and Geophysics Science Center, Menlo Park, CA, USA
Ocean Sciences Department, University of California, Santa Cruz, CA, USA
School of Geography and the Environment, University of Oxford, UK
" The period 9–5 ka was the warmest of the Holocene (Holocene Thermal Maximum, HTM) in much of the Arctic, with mean temperatures 1.5–2.5 °C higher than at present (Fig. S2) and summer Arctic sea ice significantly reduced (Alsos et al., 2016). "
" he findings from St. Paul and Unalaska islands are remarkable because they represent the southernmost polar bear presence in the Holocene and date to the Middle Holocene, when climate was generally warmer than today and sea ice in the Bering Sea was only present in the winter, if at all (Fig. 1B). "
" This is illustrated by the occurrence of the polar bear as far south as 56°N during the Late Glacial in Scandinavia, when climate there was comparable with modern low Arctic climate (Fig. 1A) "
" and polar bears living on the St. Paul Island and Unalaska may not have relied only on the presence of sea ice for hunting but utilized locally exceptionally abundant seal rookeries. "
" Nevertheless, similar mechanisms may also explain the survival of polar bear during the Eemian interglacial 130–115 ka ago (one fossil in Svalbard (Alexanderson et al., 2013)), when summer temperatures in the Arctic were up to 7–8 °C above present (NEEM community members, 2013). "
" terrestrial haul-out behaviour has been observed in the absence of sea ice (Lydersen et al., 2017). Alternatively (or additionally), polar bears in these islands might have preyed on animals other than seals, since behavioural responses towards terrestrial-based hunting and foraging have been observed in several polar bear populations around the Arctic at present (Rode et al., 2014, 2015a; Hamilton et al., 2017; Stempniewicz, 2017; Ware et al., 2017). "
Observations don't align with models? Fix them.
"the trend was 0.03°C/decade for HadCRUT3, and became 0.08°C/decade for HadCRUT4, 0.10°C/decade for HadCRUT5 non-infilled data, and 0.14°C/decade for HadCRUT5 infilled data"
Scafetta, 2023
https://www.mdpi.com/2073-4433/14/2/345
Publié par le MDPI.
Sur le sujet : CMIP6 GCM Validation Based on ECS and TCR Ranking for 21st Century Temperature Projections and Risk Assessment
Publié par Nicola Scafetta, Department of Earth Sciences, Environment and Georesources, University of Naples Federico II, Complesso Universitario di Monte S. Angelo, Via Cinthia, 21, 80126 Naples, Italy
Publié en 2023.
Another new study indicates the climate average was much warmer (19.9°C) during the mid-Holocene than today (13°C) in Japan.
The climate here was also warmer than today ~35-40k and ~55-60K years ago, when CO2 was said to be under 200 ppm.
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S0009254123000906
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : Coevolutions of terrestrial temperature and monsoonal precipitation amounts from the latest Pleistocene to the mid-Holocene in Japan: Carbonate clumped isotope record of a stalagmite
Publié par Hirokazu Kato, Department of Earth and Planetary Science, Graduate School of Science, The University of Tokyo, 7-3-1 Hongo, Tokyo 113-0033, Japan, Taiki Mori, Chuo Kaihatsu Corporation, 3-13-5 Nishi-Waseda, Shinjuku-ku, Tokyo 169-0051, Japan, Shota Amekawa, Department of Earth and Planetary Science, Graduate School of Science, The University of Tokyo, 7-3-1 Hongo, Tokyo 113-0033, Japan; Chung-Che Wu, Laboratory of Inorganic Chemistry, Department of Chemistry and Applied Biosciences, ETH Zurich, 8093 Zurich, Switzerland; Chuan-Chou Shen, High-Precision Mass Spectrometry and Environment Change Laboratory (HISPEC), Department of Geosciences, National Taiwan University, Taipei 10617, Taiwan, ROC
Research Center for Future Earth, National Taiwan University, Taipei 10617, Taiwan, ROC; Akihiro Kano, Department of Earth and Planetary Science, Graduate School of Science, The University of Tokyo, 7-3-1 Hongo, Tokyo 113-0033, Japan
Publié en 2023.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-044236.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-044246.png
" Even after considering these larger errors and uncertainties, the average temperature during the period from 5.4 to 3.8 ka (considering the larger dating error for OT02 mentioned above, which likely corresponds to the warm maximum of 6.3–4.9 ka recorded in Hiro-1) is 19.9 °C ± 6.0 °C and is higher than the present cave temperature of 13 °C. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-044307.png
Polar bears don't need sea ice to hunt prey. Extinction alarm is rooted in the false claim that they do.
Publié en octobre 2023.
Publié par Heikki Seppä, Marit-Solveig Seidenkrantz, Beth Caissie et Marc Macias Fauria.
Respectivement du : Department of Geosciences and Geography, University of Helsinki, Finland
Paleoceanography and Paleoclimate Group, Department of Geoscience, Arctic Research Centre and Climate centre, Aarhus University, Denmark
U.S. Geological Survey, Geology, Minerals, Energy, and Geophysics Science Center, Menlo Park, CA, USA
Ocean Sciences Department, University of California, Santa Cruz, CA, USA
School of Geography and the Environment, University of Oxford, UK
" The period 9–5 ka was the warmest of the Holocene (Holocene Thermal Maximum, HTM) in much of the Arctic, with mean temperatures 1.5–2.5 °C higher than at present (Fig. S2) and summer Arctic sea ice significantly reduced (Alsos et al., 2016). "
" he findings from St. Paul and Unalaska islands are remarkable because they represent the southernmost polar bear presence in the Holocene and date to the Middle Holocene, when climate was generally warmer than today and sea ice in the Bering Sea was only present in the winter, if at all (Fig. 1B). "
" This is illustrated by the occurrence of the polar bear as far south as 56°N during the Late Glacial in Scandinavia, when climate there was comparable with modern low Arctic climate (Fig. 1A) "
" and polar bears living on the St. Paul Island and Unalaska may not have relied only on the presence of sea ice for hunting but utilized locally exceptionally abundant seal rookeries. "
" Nevertheless, similar mechanisms may also explain the survival of polar bear during the Eemian interglacial 130–115 ka ago (one fossil in Svalbard (Alexanderson et al., 2013)), when summer temperatures in the Arctic were up to 7–8 °C above present (NEEM community members, 2013). "
" terrestrial haul-out behaviour has been observed in the absence of sea ice (Lydersen et al., 2017). Alternatively (or additionally), polar bears in these islands might have preyed on animals other than seals, since behavioural responses towards terrestrial-based hunting and foraging have been observed in several polar bear populations around the Arctic at present (Rode et al., 2014, 2015a; Hamilton et al., 2017; Stempniewicz, 2017; Ware et al., 2017). "
Observations don't align with models? Fix them.
"the trend was 0.03°C/decade for HadCRUT3, and became 0.08°C/decade for HadCRUT4, 0.10°C/decade for HadCRUT5 non-infilled data, and 0.14°C/decade for HadCRUT5 infilled data"
Scafetta, 2023
Publié par le MDPI.
Sur le sujet : CMIP6 GCM Validation Based on ECS and TCR Ranking for 21st Century Temperature Projections and Risk Assessment
Publié par Nicola Scafetta, Department of Earth Sciences, Environment and Georesources, University of Naples Federico II, Complesso Universitario di Monte S. Angelo, Via Cinthia, 21, 80126 Naples, Italy
Publié en 2023.
Another new study indicates the climate average was much warmer (19.9°C) during the mid-Holocene than today (13°C) in Japan.
The climate here was also warmer than today ~35-40k and ~55-60K years ago, when CO2 was said to be under 200 ppm.
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : Coevolutions of terrestrial temperature and monsoonal precipitation amounts from the latest Pleistocene to the mid-Holocene in Japan: Carbonate clumped isotope record of a stalagmite
Publié par Hirokazu Kato, Department of Earth and Planetary Science, Graduate School of Science, The University of Tokyo, 7-3-1 Hongo, Tokyo 113-0033, Japan, Taiki Mori, Chuo Kaihatsu Corporation, 3-13-5 Nishi-Waseda, Shinjuku-ku, Tokyo 169-0051, Japan, Shota Amekawa, Department of Earth and Planetary Science, Graduate School of Science, The University of Tokyo, 7-3-1 Hongo, Tokyo 113-0033, Japan; Chung-Che Wu, Laboratory of Inorganic Chemistry, Department of Chemistry and Applied Biosciences, ETH Zurich, 8093 Zurich, Switzerland; Chuan-Chou Shen, High-Precision Mass Spectrometry and Environment Change Laboratory (HISPEC), Department of Geosciences, National Taiwan University, Taipei 10617, Taiwan, ROC
Research Center for Future Earth, National Taiwan University, Taipei 10617, Taiwan, ROC; Akihiro Kano, Department of Earth and Planetary Science, Graduate School of Science, The University of Tokyo, 7-3-1 Hongo, Tokyo 113-0033, Japan
Publié en 2023.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-044236.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-044246.png" Even after considering these larger errors and uncertainties, the average temperature during the period from 5.4 to 3.8 ka (considering the larger dating error for OT02 mentioned above, which likely corresponds to the warm maximum of 6.3–4.9 ka recorded in Hiro-1) is 19.9 °C ± 6.0 °C and is higher than the present cave temperature of 13 °C. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-28-044307.pngSea levels around Sweden, Finland, Germany, Netherlands...were 20-22 m higher than today from 7.5 to 4.6k years ago due to "eustatic sea level rise" [less ice on land] and a "warmer climate".
Sea levels were still 3.3 m higher 1.6k years ago
https://onlinelibrary.wil[...]fdirect/10.1111/bor.12605
Publié sur le sujet : Holocene relative sea level changes in the Västervik-Gamlebyviken region
on the southeast coast of Sweden, southern Baltic Sea
Publié par CHRISTOS KATRANTSIOTIS , MARTIN DAHL , VERONICA PALM, JOHAN R €ONNBY , THOMAS ANDREN
AND ELINOR ANDREN
" Arelative sea level rise by 7 m a.s.l. is recorded between 8.0
and 7.5 cal. ka BP with a highstand at 22 m a.s.l. between 7.5 and 6.2 cal. ka BP. These phases coincide with the
second and third Littorina Sea transgressions, respectively, in the Blekinge area, southern Sweden and are consistent
with the final deglaciation of North America. After 6.2 cal. ka BP, the relative sea level dropped below 22 m a.s.l., and
remained at 20 m a.s.l. until 4.6 cal. ka BP coinciding with the fourth Littorina Sea transgression in Blekinge. From
4.6 to 4.2 cal. ka BP, the shore displacement shows a regression rate of 10 mm a1 followed by a slowdown with a mean
value of 4.6 mm a1 until 1.6 cal. ka BP, when the relative sea level dropped below 3.3 m a.s.l. The Middle to Late
Holocene highstand and other periods of minor sea level transgressions and/or higher salinity between 6.2 and 1.7 cal.
ka BP are attributed to a combination of warmer climate and higher inflow of saline waters in the southern Baltic Sea
due to stronger westerlies, caused by variations in the North Atlantic atmospheric patterns."
Autre étude :
Coral growth was slow during the Little Ice Age (LIA), but grew rapidly as SSTs warmed after 1850.
Ocean pH levels were lower (more acidified) than recent during the LIA.
Human CO2 can only affect pH variability (acidification) by 0.05 unit.
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S0031018223001062
Publié dans Science Direct.
Publié le 1 mai 2023 par 12 auteurs.
" The average growth rate of four colonies living in the LIA is 0.87 ± 0.11 cm/yr, which is significantly (t-test, p < 0.0001) lower than the colonies in the 20th century. "
" The observed low average growth rates during the LIA can be explained by the ∼1 °C lower SST at Xisha compared to the 20th century (Yan et al., 2015). "
" However, anthropogenic CO2 can only induce a ∼ 0.1 pH unit drop in pHsw, which translates into about 0.05 units of pHcf variation (McCulloch et al., 2012). The observed large variability of 0.1–0.2 pHcf must be linked to other mechanisms. "
Relative sea levels were anywhere from 1 to 7 meters (~3.9 m) higher than present throughout the Mid-Holocene (7k to 4k years ago) at 15 of 16 assessed sites across Southeast Asia.
CO2 levels were at a "safe" ~265 ppm during this period.
https://www.sciencedirect[...]cle/pii/S0277379123003803
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : Glacial Isostatic Adjustment modelling of the mid-Holocene sea-level highstand of Singapore and Southeast Asia
Publié par 11 auteurs différents en 2023.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034129.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034144.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034151.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034158.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034206.png
Sea levels were still 3.3 m higher 1.6k years ago
Publié sur le sujet : Holocene relative sea level changes in the Västervik-Gamlebyviken region
on the southeast coast of Sweden, southern Baltic Sea
Publié par CHRISTOS KATRANTSIOTIS , MARTIN DAHL , VERONICA PALM, JOHAN R €ONNBY , THOMAS ANDREN
AND ELINOR ANDREN
" Arelative sea level rise by 7 m a.s.l. is recorded between 8.0
and 7.5 cal. ka BP with a highstand at 22 m a.s.l. between 7.5 and 6.2 cal. ka BP. These phases coincide with the
second and third Littorina Sea transgressions, respectively, in the Blekinge area, southern Sweden and are consistent
with the final deglaciation of North America. After 6.2 cal. ka BP, the relative sea level dropped below 22 m a.s.l., and
remained at 20 m a.s.l. until 4.6 cal. ka BP coinciding with the fourth Littorina Sea transgression in Blekinge. From
4.6 to 4.2 cal. ka BP, the shore displacement shows a regression rate of 10 mm a1 followed by a slowdown with a mean
value of 4.6 mm a1 until 1.6 cal. ka BP, when the relative sea level dropped below 3.3 m a.s.l. The Middle to Late
Holocene highstand and other periods of minor sea level transgressions and/or higher salinity between 6.2 and 1.7 cal.
ka BP are attributed to a combination of warmer climate and higher inflow of saline waters in the southern Baltic Sea
due to stronger westerlies, caused by variations in the North Atlantic atmospheric patterns."
Autre étude :
Coral growth was slow during the Little Ice Age (LIA), but grew rapidly as SSTs warmed after 1850.
Ocean pH levels were lower (more acidified) than recent during the LIA.
Human CO2 can only affect pH variability (acidification) by 0.05 unit.
Publié dans Science Direct.
Publié le 1 mai 2023 par 12 auteurs.
" The average growth rate of four colonies living in the LIA is 0.87 ± 0.11 cm/yr, which is significantly (t-test, p < 0.0001) lower than the colonies in the 20th century. "
" The observed low average growth rates during the LIA can be explained by the ∼1 °C lower SST at Xisha compared to the 20th century (Yan et al., 2015). "
" However, anthropogenic CO2 can only induce a ∼ 0.1 pH unit drop in pHsw, which translates into about 0.05 units of pHcf variation (McCulloch et al., 2012). The observed large variability of 0.1–0.2 pHcf must be linked to other mechanisms. "
Relative sea levels were anywhere from 1 to 7 meters (~3.9 m) higher than present throughout the Mid-Holocene (7k to 4k years ago) at 15 of 16 assessed sites across Southeast Asia.
CO2 levels were at a "safe" ~265 ppm during this period.
Publié dans ScienceDirect sur le sujet : Glacial Isostatic Adjustment modelling of the mid-Holocene sea-level highstand of Singapore and Southeast Asia
Publié par 11 auteurs différents en 2023.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034129.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034144.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034151.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034158.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034206.png.
E. Mediterranean summer temps were 1.5°C to 3°C "greater than the present" from about 11,000 to 7,000 years ago, when CO2 levels were approximately 265 ppm. Then the temperatures "followed a gradual decline towards present-day conditions".
https://cp.copernicus.org/articles/19/2093/2023/
Publié par European Geosciences Union sur le sujet : Pollen-based reconstructions of Holocene climate trends in the eastern Mediterranean region
Publié le 1 novembre 2023 par Esmeralda Cruz-Silva, Sandy P. Harrison, I. Colin Prentice, Elena Marinova, Patrick J. Bartlein, Hans Renssen, et Yurui Zhang
" Here, we use tolerance-weighted, weighted-averaging partial least squares to derive reconstructions of the mean temperature of the coldest month (MTCO), mean temperature of the warmest month (MTWA), "
" The MTWA also showed an increasing trend from 9 ka and reached a maximum of ca. 1.5 ∘C greater than the present at ca. 4.5 and 5 ka, followed by a gradual decline towards present-day conditions. "
" The TRACE-21k-I simulation shows peak summer temperatures between 11 and 9 ka, when the MTWA was ca. 3 ∘C greater than the present (Fig. 6). "
" 9 ka, when the MTWA was ca. 2.5 ∘C greater than the present (Fig. 6). "
New study:
"global warming is not caused by increased CO2"
"neither the increase in CO2...nor global warming can be stopped by reducing combustion"
"the rate of change in CO2 concentration is controlled, not by emissions, but by the global temperature"
https://www.inderscienceo[...]/10.1504/IJGW.2023.132276
Publié dans InderScience sur le sujet : Global temperatures, CO2 concentrations and oceans
Publié par Allan T. Emrén le 30 juin 2023.
The Horn of Africa and "global tropics as a whole" were "1.6°C warmer than today" during much of the Holocene.
Today's mean surface T, 23°C, is among the coldest in 10k years.
It was as warm as today ~10k years ago and even ~55-30k years ago.
https://www.nature.com/articles/s41586-023-06272-5
Publié dans la revue nature sur le sujet : Reversed Holocene temperature–moisture relationship in the Horn of Africa
Publié le 9 août 2023 par D. Verschuren, F. Peterse, D. G. Miralles, C. M. Martin-Jones, A. Maitituerdi, T. Van der Meeren, M. Van Daele, C. S. Lane, G. H. Haug, D. O. Olago, J. S. Sinninghe Damsté et A. J. Baxter.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034717.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034727.png
" . In our data, this timing corresponds to the onset of a rapid temperature increase across the YD–Holocene transition, such that by about 10 kyr ago, regional MST values consistently approached or exceeded today’s value of about 23 °C (Fig. 4e). "
" Peak Holocene temperatures are inferred to have occurred between 8.5 kyr ago and 5 kyr ago, consistent with the mid-Holocene thermal maximum documented from other lakes in eastern Africa (Extended Data Fig. 4a), southern Africa (Extended Data Fig. 4f) and the global tropics as a whole29. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034759.png
" ). After rescaling, MST variation amounts to 4.8 °C over the past 75 kyr, with glacial temperatures up to 3.2 °C cooler than today and peak mid-Holocene temperature 1.6 °C warmer than today, consistent with compilations from the global tropics29,31. "
E. Mediterranean summer temps were 1.5°C to 3°C "greater than the present" from about 11,000 to 7,000 years ago, when CO2 levels were approximately 265 ppm. Then the temperatures "followed a gradual decline towards present-day conditions".
Publié par European Geosciences Union sur le sujet : Pollen-based reconstructions of Holocene climate trends in the eastern Mediterranean region
Publié le 1 novembre 2023 par Esmeralda Cruz-Silva, Sandy P. Harrison, I. Colin Prentice, Elena Marinova, Patrick J. Bartlein, Hans Renssen, et Yurui Zhang
" Here, we use tolerance-weighted, weighted-averaging partial least squares to derive reconstructions of the mean temperature of the coldest month (MTCO), mean temperature of the warmest month (MTWA), "
" The MTWA also showed an increasing trend from 9 ka and reached a maximum of ca. 1.5 ∘C greater than the present at ca. 4.5 and 5 ka, followed by a gradual decline towards present-day conditions. "
" The TRACE-21k-I simulation shows peak summer temperatures between 11 and 9 ka, when the MTWA was ca. 3 ∘C greater than the present (Fig. 6). "
" 9 ka, when the MTWA was ca. 2.5 ∘C greater than the present (Fig. 6). "
New study:
"global warming is not caused by increased CO2"
"neither the increase in CO2...nor global warming can be stopped by reducing combustion"
"the rate of change in CO2 concentration is controlled, not by emissions, but by the global temperature"
Publié dans InderScience sur le sujet : Global temperatures, CO2 concentrations and oceans
Publié par Allan T. Emrén le 30 juin 2023.
The Horn of Africa and "global tropics as a whole" were "1.6°C warmer than today" during much of the Holocene.
Today's mean surface T, 23°C, is among the coldest in 10k years.
It was as warm as today ~10k years ago and even ~55-30k years ago.
Publié dans la revue nature sur le sujet : Reversed Holocene temperature–moisture relationship in the Horn of Africa
Publié le 9 août 2023 par D. Verschuren, F. Peterse, D. G. Miralles, C. M. Martin-Jones, A. Maitituerdi, T. Van der Meeren, M. Van Daele, C. S. Lane, G. H. Haug, D. O. Olago, J. S. Sinninghe Damsté et A. J. Baxter.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034717.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034727.png" . In our data, this timing corresponds to the onset of a rapid temperature increase across the YD–Holocene transition, such that by about 10 kyr ago, regional MST values consistently approached or exceeded today’s value of about 23 °C (Fig. 4e). "
" Peak Holocene temperatures are inferred to have occurred between 8.5 kyr ago and 5 kyr ago, consistent with the mid-Holocene thermal maximum documented from other lakes in eastern Africa (Extended Data Fig. 4a), southern Africa (Extended Data Fig. 4f) and the global tropics as a whole29. "
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-034759.png" ). After rescaling, MST variation amounts to 4.8 °C over the past 75 kyr, with glacial temperatures up to 3.2 °C cooler than today and peak mid-Holocene temperature 1.6 °C warmer than today, consistent with compilations from the global tropics29,31. "
.
Critical review of a methodologically-flawed "99.5% consensus" study finds 67% of 3000 scientific papers analyzed actually reject the AGW paradigm when it is not just assumed 2104 "uncertain" papers with "no position" on AGW support AGW anyway.
https://www.mdpi.com/2225-1154/11/11/215
Publié par le MDPI sur le sujet Ninety-Nine Percent? Re-Examining the Consensus on the Anthropogenic Contribution to Climate Change
Publié par 1 [ORCID] , Ran Damari
, Yanir Marmor, Avner Niv, Mor RosesYonatan Dubi et David Dentelski durant l'année 2023.
Longwave (LW) radiation data (71 sites) indicate the post-1900 CO2 rise (300→420 ppm) "has not altered, in a discernible manner, the greenhouse effect [GHE]".
All-sky LW radiation has even been declining - the opposite of a CO2-enhanced GHE.
https://www.tandfonline.c[...]080/02626667.2023.2287047
Publié par Hydrological Sciences Journal sur le sujet : Revisiting the greenhouse effect – a hydrological perspective
Publié par Demetris Koutsoyiannis le 24 novembre 2023.
. " We conclude that the observed increase of the atmospheric CO2 concentration has not altered, in a discernible manner, the greenhouse effect, which remains dominated by the quantity of water vapour in the atmosphere, and that the original formulae used in hydrological practice remain valid. "
Claiming CO2 changes are 100% human-caused relies on a disparate accounting model, with residence time (RT) for natural CO2 <5 yrs, but RT for human CO2 50-100 yrs.
When RT is compared equally (<10 yrs), modern CO2 change is 65-96.5% natural.
https://scienceofclimatec[...]anding-Increasing-CO2.pdf
Publié par Science of Climate Change.
Publié en 2023 par Hermann Harde
Helmut-Schmidt-University Hamburg, Germany
Sur le sujet : Understanding Increasing Atmospheric CO2.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035152.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035200.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035215.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035221.png
" In particular, they allow to deduce an
upper limit of 35% for the anthropogenic contribution to the observed increase of CO2 over the
Mauna Loa Era, and a more likely value of 14%. Under non-equilibrium conditions between the
Earth's surface and troposphere this even gives a lower bound of only 3.5%. "
" The mean rates of natural and anthropogenic emissions over the
period from 2010-2019 are estimated as eTot 226.9 PgC/yr 832.7 PgCO2/yr 106.8 ppmv/yr, "
" one
for the natural cycle as in pre-industrial times with a residence time of 3 to 4 yrs, and an anthro-
pogenic box with an adjustment time between 50 yrs and more than 100 yrs (e.g.: Siegenthaler &
Sarmiento 1993; Dietze 2001; Cawley 2011; Lüdecke & Weiss 2016). At least this results again
in different timescales and an effectively separate treatment of natural and anthropogenic emis-
sions in these models (see: Harde 2019, Subsec. 5.1). "
" is the airborne fraction AF(t) = (CCO2(t)/t):eA(t) as calculated concentra-
tion changes per year relative to the published FFE and LUC data (Green Dots), which despite of
increasing anthropogenic and native emissions is slightly declining and by far does not reveal any
saturation of the sinks; just opposite it indicates a faster growing uptake of the extraneous reser-
voirs with rising human and natural emissions. "
" So, the actual human emissions of eA 5.5 ppmv/yr contribute less
than 6% to the total emissions, and as average over the Mauna Loa Era with eA = 3.4 ppmv/yr
less than 4% "
" in Fig. 5a nature contributes with 65 ppmv
twice as much to the incline (Green Dots) and in Fig. 5b with 86 ppmv even six times more than
human emissions. So, despite a larger uptake than 1960 it would be strange and misleading to
designate nature as a net sink, when it significantly amplifies the CO2 increase over the Mauna
Loa Era. Altogether, the natural emissions are growing faster than the absorption, and together
with the anthropogenic emissions they pretend an almost constant airborne fraction. "
Critical review of a methodologically-flawed "99.5% consensus" study finds 67% of 3000 scientific papers analyzed actually reject the AGW paradigm when it is not just assumed 2104 "uncertain" papers with "no position" on AGW support AGW anyway.
Publié par le MDPI sur le sujet Ninety-Nine Percent? Re-Examining the Consensus on the Anthropogenic Contribution to Climate Change
Publié par 1 [ORCID] , Ran Damari
, Yanir Marmor, Avner Niv, Mor RosesYonatan Dubi et David Dentelski durant l'année 2023.
Longwave (LW) radiation data (71 sites) indicate the post-1900 CO2 rise (300→420 ppm) "has not altered, in a discernible manner, the greenhouse effect [GHE]".
All-sky LW radiation has even been declining - the opposite of a CO2-enhanced GHE.
Publié par Hydrological Sciences Journal sur le sujet : Revisiting the greenhouse effect – a hydrological perspective
Publié par Demetris Koutsoyiannis le 24 novembre 2023.
. " We conclude that the observed increase of the atmospheric CO2 concentration has not altered, in a discernible manner, the greenhouse effect, which remains dominated by the quantity of water vapour in the atmosphere, and that the original formulae used in hydrological practice remain valid. "
Claiming CO2 changes are 100% human-caused relies on a disparate accounting model, with residence time (RT) for natural CO2 <5 yrs, but RT for human CO2 50-100 yrs.
When RT is compared equally (<10 yrs), modern CO2 change is 65-96.5% natural.
Publié par Science of Climate Change.
Publié en 2023 par Hermann Harde
Helmut-Schmidt-University Hamburg, Germany
Sur le sujet : Understanding Increasing Atmospheric CO2.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035152.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035200.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035215.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-035221.png" In particular, they allow to deduce an
upper limit of 35% for the anthropogenic contribution to the observed increase of CO2 over the
Mauna Loa Era, and a more likely value of 14%. Under non-equilibrium conditions between the
Earth's surface and troposphere this even gives a lower bound of only 3.5%. "
" The mean rates of natural and anthropogenic emissions over the
period from 2010-2019 are estimated as eTot 226.9 PgC/yr 832.7 PgCO2/yr 106.8 ppmv/yr, "
" one
for the natural cycle as in pre-industrial times with a residence time of 3 to 4 yrs, and an anthro-
pogenic box with an adjustment time between 50 yrs and more than 100 yrs (e.g.: Siegenthaler &
Sarmiento 1993; Dietze 2001; Cawley 2011; Lüdecke & Weiss 2016). At least this results again
in different timescales and an effectively separate treatment of natural and anthropogenic emis-
sions in these models (see: Harde 2019, Subsec. 5.1). "
" is the airborne fraction AF(t) = (CCO2(t)/t):eA(t) as calculated concentra-
tion changes per year relative to the published FFE and LUC data (Green Dots), which despite of
increasing anthropogenic and native emissions is slightly declining and by far does not reveal any
saturation of the sinks; just opposite it indicates a faster growing uptake of the extraneous reser-
voirs with rising human and natural emissions. "
" So, the actual human emissions of eA 5.5 ppmv/yr contribute less
than 6% to the total emissions, and as average over the Mauna Loa Era with eA = 3.4 ppmv/yr
less than 4% "
" in Fig. 5a nature contributes with 65 ppmv
twice as much to the incline (Green Dots) and in Fig. 5b with 86 ppmv even six times more than
human emissions. So, despite a larger uptake than 1960 it would be strange and misleading to
designate nature as a net sink, when it significantly amplifies the CO2 increase over the Mauna
Loa Era. Altogether, the natural emissions are growing faster than the absorption, and together
with the anthropogenic emissions they pretend an almost constant airborne fraction. "
.
Per a reliable sea ice biomarker proxy (IP25), the Labrador Sea ice was lowest (~0.1 μg/gTOC) 9.3-8.9k yrs ago and low (~0.4 μg/gTOC) 7.5-4k yrs ago.
In contrast, modern sea ice lasts 23 weeks/yr and is the highest in 10k yrs (~1.6 μg/gTOC).
https://agupubs.onlinelib[...]full/10.1029/2022PA004578
Publié dans Advancing Earth And Space Science sur le sujet : Biomarker Records of Environmental Shifts on the Labrador Shelf During the Holocene
Publié le 2 septembre 2023 par Henriette Kolling, Ralph Schneider, Felix Gross, Christian Hamann, Markus Kienast, Stephanie Kienast, Kristin Doering, Kirsten Fahl, Ruediger Stein.
" where sea ice is present for around 23 weeks annually "
" However, the only proxy directly produced inside sea ice is a highly branched isoprenoid (HBI) with 25 carbon atoms, namely IP25 (Belt et al., 2007). IP25 is produced exclusively by specific diatom species inhabiting Arctic sea ice (Brown et al., 2014; Limoges et al., 2018) and appears to be a reliable and stable proxy for Arctic sea ice as far back as the Miocene (Belt, 2019; Belt et al., 2018; Stein et al., 2016; Stein & Fahl, 2013). "
" Concentrations of the sea-ice biomarker IP25 are lowest from 9.3 to 8.9 Kyr BP (∼0.1–0.2 μg/gTOC) and rise gradually toward a peak around 8.2 Kyr BP (∼0.8 μg/gTOC) (Figure 4). This peak is followed by decreasing concentrations which reach intermediate values around 7.5 Kyr BP (∼0.4 μg/gTOC). IP25 concentrations then remain constant until 4 Kyr BP, rising continuously thereafter toward highest values in the modern samples (∼1.6 μg/gTOC) (Figure 4). "
" This increase in seasonal sea ice on the Labrador Shelf is associated with the Neoglacial cooling trend, linked to declining solar insolation (Figure 7). Our findings agree with results from the northwest Labrador Sea, where dinocyst-based reconstructions indicate colder, less saline sea surface conditions with increased ice cover after 2 Kyr BP (Gibb et al., 2014). "
21.5 to 19.5k years ago Antarctic sea ice began its dramatic decline.
This was 2000 years before the climate began warming (8°C) and CO2 began rising (80 ppm).
CO2 change was thus a lagged consequence of sea ice melt and warming. Not a cause.
https://www.science.org/d[...]df/10.1126/sciadv.adh9513
Publié dans Science Advances sur le sujet : Early sea ice decline off East Antarctica at the last
glacial–interglacial climate transition
Publié en 2023 par les auteurs : Henrik Sadatzki1*†, Bradley Opdyke, Laurie Menviel, Amy Leventer, Janet M. Hope,
Jochen J. Brocks, Stewart Fallon2, Alexandra L. Post, Philip E. O’Brien, Katharine Grant,
Leanne Armand
" Ice core records reveal that the last deglaciation was marked by a
warming over Antarctica of ~8°C and concomitant atmospheric
CO2 rise of ~80 ppmv between ~17.5 and ~11.7 thousand years
(ka) ago (1–3). "
" A piecewise linear interpolation of the
PIPSO25 record of PC08 shows that 50% and thus a substantial
portion of the glacial–interglacial sea ice reduction had happened
by ~19.5 ka ago (pink dashed line in Fig. 3), "
" early sea ice and surface
ocean changes in the Southern Ocean initiated as early as ~19.5
ka ago (with signs of summer sea ice retreat in our reconstruction
as early as ~21 ka ago) and thus (at least) about 2 ka before major
deglacial changes in global ocean circulation, climate, and atmo-
spheric CO2 (49)"
" This
early increase in local integrated summer insolation at 65°S,
which is independent of the longitude, may have thus provided
enough energy to initiate melting of the near-perennial sea ice
cover in late glacial summer at site PC08 off East Antarctica and
induce concomitant early sea ice retreat off West Antarctica as ob-
served in the WDC ssNa record (19)."
Per a reliable sea ice biomarker proxy (IP25), the Labrador Sea ice was lowest (~0.1 μg/gTOC) 9.3-8.9k yrs ago and low (~0.4 μg/gTOC) 7.5-4k yrs ago.
In contrast, modern sea ice lasts 23 weeks/yr and is the highest in 10k yrs (~1.6 μg/gTOC).
Publié dans Advancing Earth And Space Science sur le sujet : Biomarker Records of Environmental Shifts on the Labrador Shelf During the Holocene
Publié le 2 septembre 2023 par Henriette Kolling, Ralph Schneider, Felix Gross, Christian Hamann, Markus Kienast, Stephanie Kienast, Kristin Doering, Kirsten Fahl, Ruediger Stein.
" where sea ice is present for around 23 weeks annually "
" However, the only proxy directly produced inside sea ice is a highly branched isoprenoid (HBI) with 25 carbon atoms, namely IP25 (Belt et al., 2007). IP25 is produced exclusively by specific diatom species inhabiting Arctic sea ice (Brown et al., 2014; Limoges et al., 2018) and appears to be a reliable and stable proxy for Arctic sea ice as far back as the Miocene (Belt, 2019; Belt et al., 2018; Stein et al., 2016; Stein & Fahl, 2013). "
" Concentrations of the sea-ice biomarker IP25 are lowest from 9.3 to 8.9 Kyr BP (∼0.1–0.2 μg/gTOC) and rise gradually toward a peak around 8.2 Kyr BP (∼0.8 μg/gTOC) (Figure 4). This peak is followed by decreasing concentrations which reach intermediate values around 7.5 Kyr BP (∼0.4 μg/gTOC). IP25 concentrations then remain constant until 4 Kyr BP, rising continuously thereafter toward highest values in the modern samples (∼1.6 μg/gTOC) (Figure 4). "
" This increase in seasonal sea ice on the Labrador Shelf is associated with the Neoglacial cooling trend, linked to declining solar insolation (Figure 7). Our findings agree with results from the northwest Labrador Sea, where dinocyst-based reconstructions indicate colder, less saline sea surface conditions with increased ice cover after 2 Kyr BP (Gibb et al., 2014). "
21.5 to 19.5k years ago Antarctic sea ice began its dramatic decline.
This was 2000 years before the climate began warming (8°C) and CO2 began rising (80 ppm).
CO2 change was thus a lagged consequence of sea ice melt and warming. Not a cause.
Publié dans Science Advances sur le sujet : Early sea ice decline off East Antarctica at the last
glacial–interglacial climate transition
Publié en 2023 par les auteurs : Henrik Sadatzki1*†, Bradley Opdyke, Laurie Menviel, Amy Leventer, Janet M. Hope,
Jochen J. Brocks, Stewart Fallon2, Alexandra L. Post, Philip E. O’Brien, Katharine Grant,
Leanne Armand
" Ice core records reveal that the last deglaciation was marked by a
warming over Antarctica of ~8°C and concomitant atmospheric
CO2 rise of ~80 ppmv between ~17.5 and ~11.7 thousand years
(ka) ago (1–3). "
" A piecewise linear interpolation of the
PIPSO25 record of PC08 shows that 50% and thus a substantial
portion of the glacial–interglacial sea ice reduction had happened
by ~19.5 ka ago (pink dashed line in Fig. 3), "
" early sea ice and surface
ocean changes in the Southern Ocean initiated as early as ~19.5
ka ago (with signs of summer sea ice retreat in our reconstruction
as early as ~21 ka ago) and thus (at least) about 2 ka before major
deglacial changes in global ocean circulation, climate, and atmo-
spheric CO2 (49)"
" This
early increase in local integrated summer insolation at 65°S,
which is independent of the longitude, may have thus provided
enough energy to initiate melting of the near-perennial sea ice
cover in late glacial summer at site PC08 off East Antarctica and
induce concomitant early sea ice retreat off West Antarctica as ob-
served in the WDC ssNa record (19)."
In 2001 the l'IPCC_CH
had a choice of using Keith Briffa's accurate reconstruction, or MichaelEMann
's "nature trick." They went with Mann because he gave them the propaganda they wanted.
Les températures au Groenland sont en chute libre et ont chuté d'environ 5°F depuis le récent maximum de 2010. Les années les plus chaudes du Groenland ont été de 1916 à 1941.
Soit de - 15 degrés Celsius.
Aucune de ces techniques n’est légitime, avec des barres d’erreur bien plus grandes que la tendance revendiquée. Ils n’ont également que peu ou rien à voir avec le climat actuel du Groenland – qui est défini par le bilan de masse en surface.
La surface de la calotte glaciaire du Groenland a en effet gagné 300 milliards de tonnes de glace depuis le 1er septembre 2023 ce qui représente une augmentation de 90 millions de tonnes par heure.
Le consensus peut être utile, mais il est essentiel de se rappeler que le vote est lié à la politique et que la science pure est plutôt le discernement direct de la vérité objective via les mathématiques et la méthode scientifique, même contre le consensus, en particulier contre le consensus fabriqué, comme dans les cas fascinants que vous avez évoqués. je trouverai ici :
LETTRES DE RECHERCHE GÉOPHYSIQUE, VOL. 26, NO.6, PAGES 759-762, 15 MARS 1999 Températures dans l'hémisphère Nord au cours du dernier millénaire
https://www.geo.umass.edu[...]ulty/bradley/mann1999.pdf
En janvier 1937, le Kentucky reçut d'énormes quantités de pluie et les pires inondations jamais enregistrées se produisirent le long de la rivière Ohio.
satellite observations have been used to map sea-ice extent routinely since the early 1970s. The American Navy Joint Ice Center has produced weekly charts which have been digitised by NOAA. .... in 1972-1975 sea-ice extent was significantly less."
https://archive.ipcc.ch/i[...]c_far_wg_I_chapter_07.pdf
En 1989, @NOAA
ont rapporté que les États-Unis ne s'étaient pas réchauffés depuis 1895. Ils montrent maintenant beaucoup de réchauffement au cours de cette même période.
https://realclimatescienc[...]g-scientists-2/#gsc.tab=0
8 MARS 1977
Le gouverneur Edmund Brown Jr, a averti aujourd’hui que la Californie, frappée par la sécheresse, était « confrontée à un désastre d’une ampleur incommensurable ».
12 mois plus tard, l’ouest des États-Unis était extrêmement humide. Les changements rapides des conditions météorologiques constituent le climat normal de la Terre.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-040533.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-040541.png
En juin 1904, le sud-ouest des États-Unis connaissait une sécheresse extrême. Douze mois plus tard, ils étaient extrêmement humides. Les changements dans les conditions météorologiques ne sont pas contrôlés par le dioxyde de carbone.
En janvier 1942, la majeure partie du nord-est des États-Unis était en proie à la sécheresse.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-040603.png
had a choice of using Keith Briffa's accurate reconstruction, or MichaelEMann
's "nature trick." They went with Mann because he gave them the propaganda they wanted.
Les températures au Groenland sont en chute libre et ont chuté d'environ 5°F depuis le récent maximum de 2010. Les années les plus chaudes du Groenland ont été de 1916 à 1941.
Soit de - 15 degrés Celsius.
Aucune de ces techniques n’est légitime, avec des barres d’erreur bien plus grandes que la tendance revendiquée. Ils n’ont également que peu ou rien à voir avec le climat actuel du Groenland – qui est défini par le bilan de masse en surface.
La surface de la calotte glaciaire du Groenland a en effet gagné 300 milliards de tonnes de glace depuis le 1er septembre 2023 ce qui représente une augmentation de 90 millions de tonnes par heure.
Le consensus peut être utile, mais il est essentiel de se rappeler que le vote est lié à la politique et que la science pure est plutôt le discernement direct de la vérité objective via les mathématiques et la méthode scientifique, même contre le consensus, en particulier contre le consensus fabriqué, comme dans les cas fascinants que vous avez évoqués. je trouverai ici :
LETTRES DE RECHERCHE GÉOPHYSIQUE, VOL. 26, NO.6, PAGES 759-762, 15 MARS 1999 Températures dans l'hémisphère Nord au cours du dernier millénaire
En janvier 1937, le Kentucky reçut d'énormes quantités de pluie et les pires inondations jamais enregistrées se produisirent le long de la rivière Ohio.
satellite observations have been used to map sea-ice extent routinely since the early 1970s. The American Navy Joint Ice Center has produced weekly charts which have been digitised by NOAA. .... in 1972-1975 sea-ice extent was significantly less."
En 1989, @NOAA
ont rapporté que les États-Unis ne s'étaient pas réchauffés depuis 1895. Ils montrent maintenant beaucoup de réchauffement au cours de cette même période.
8 MARS 1977
Le gouverneur Edmund Brown Jr, a averti aujourd’hui que la Californie, frappée par la sécheresse, était « confrontée à un désastre d’une ampleur incommensurable ».
12 mois plus tard, l’ouest des États-Unis était extrêmement humide. Les changements rapides des conditions météorologiques constituent le climat normal de la Terre.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-040533.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-040541.pngEn juin 1904, le sud-ouest des États-Unis connaissait une sécheresse extrême. Douze mois plus tard, ils étaient extrêmement humides. Les changements dans les conditions météorologiques ne sont pas contrôlés par le dioxyde de carbone.
En janvier 1942, la majeure partie du nord-est des États-Unis était en proie à la sécheresse.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-040603.pngEt aujourd'hui on nous parle d'ère glaciaire du au réchauffement climatique.
En janvier 1931, la majeure partie du nord-est des États-Unis était en proie à une sécheresse extrême.
En janvier 1909, une grande partie de l’est des États-Unis était en proie à la sécheresse.
Un professeur allemand a confirmé ce que les sceptiques, de la Grande-Bretagne aux États-Unis, soupçonnaient depuis longtemps : que l'Institut Goddard d'études spatiales de la NASA avait largement inventé le "réchauffement climatique" en falsifiant les enregistrements bruts de données de température.
Du 6 au 14 janvier 1939, à Mildura, Victoria, la température était supérieure à 42°C chaque jour, avec une moyenne de 45°C et un pic à 47,2°C le 10 janvier.
La plupart des terres forestières de Melbourne à Canberra ont brûlé en janvier 1939.
Les glaciers reculaient rapidement avant 1910, qui, selon certains, fut l'année la plus froide du dernier millénaire. À un moment donné, vous allez devoir accepter que les fondements de la religion climatique sont frauduleux.
https://www.newspapers.co[...]pahoe%2Bglacier%2Bmelting
les observations satellitaires sont utilisées régulièrement depuis le début des années 1970 pour cartographier l’étendue des glaces de mer. ... entre 1972 et 1975, l'étendue de la glace de mer était nettement moindre Le rapport du GIEC
https://archive.ipcc.ch/i[...]c_far_wg_I_chapter_07.pdf
De la neige à Hawai en janvier 2024.
http://mkwc.ifa.hawaii.ed[...]m=irtfC166&mode=multi
Pour une grande partie du SH entre 40 et 60S, les normales sont en grande partie constituées car il y a très peu de données de navires à cet endroit.
http://di2.nu/foia/foia2011/mail/2729.txt
Il y a de la neige dans tous les États sauf en Floride. Les experts prédisent un mois de janvier chaud aux États-Unis.
https://www.nohrsc.noaa.gov/nsa/
L’étendue de la glace de mer en Antarctique est presque identique à celle de 1981.
L'étendue de la glace de mer arctique est presque identique à celle de 1996. La superstition largement répandue selon laquelle la glace de mer arctique est en train de disparaître n'est étayée par aucune preuve.
https://noaadata.apps.nsi[...]02135/north/daily/images/
La quantité d’eau stockée dans la neige dans l’hémisphère Nord est bien supérieure à la moyenne et ce, toute l’année.
Le prix Nobela été attribué à algore en 2007 pour avoir réalisé un film de science-fiction de troisième ordre.
1892 fut une année particulièrement chaude à Victoria. Mildura a établi ses températures records de février 120F, mars 116F, mai 96F, juin 84F, juillet 85F et août 90F.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-041208.png
"Il ne peut y avoir eu de glaciers sur le Mont Blanc au Moyen Âge." "au XIIIe siècle, la température maximale d'été était capable de faire fondre la neige et la glace à une hauteur beaucoup plus élevée" Mercredi 14 août 1929
https://trove.nla.gov.au/[...]/article/94383187/8944831
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-041232.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-041241.png
En janvier 1931, la majeure partie du nord-est des États-Unis était en proie à une sécheresse extrême.
En janvier 1909, une grande partie de l’est des États-Unis était en proie à la sécheresse.
Un professeur allemand a confirmé ce que les sceptiques, de la Grande-Bretagne aux États-Unis, soupçonnaient depuis longtemps : que l'Institut Goddard d'études spatiales de la NASA avait largement inventé le "réchauffement climatique" en falsifiant les enregistrements bruts de données de température.
Du 6 au 14 janvier 1939, à Mildura, Victoria, la température était supérieure à 42°C chaque jour, avec une moyenne de 45°C et un pic à 47,2°C le 10 janvier.
La plupart des terres forestières de Melbourne à Canberra ont brûlé en janvier 1939.
Les glaciers reculaient rapidement avant 1910, qui, selon certains, fut l'année la plus froide du dernier millénaire. À un moment donné, vous allez devoir accepter que les fondements de la religion climatique sont frauduleux.
les observations satellitaires sont utilisées régulièrement depuis le début des années 1970 pour cartographier l’étendue des glaces de mer. ... entre 1972 et 1975, l'étendue de la glace de mer était nettement moindre Le rapport du GIEC
De la neige à Hawai en janvier 2024.
http://mkwc.ifa.hawaii.ed[...]m=irtfC166&mode=multi
Pour une grande partie du SH entre 40 et 60S, les normales sont en grande partie constituées car il y a très peu de données de navires à cet endroit.
http://di2.nu/foia/foia2011/mail/2729.txt
Il y a de la neige dans tous les États sauf en Floride. Les experts prédisent un mois de janvier chaud aux États-Unis.
L’étendue de la glace de mer en Antarctique est presque identique à celle de 1981.
L'étendue de la glace de mer arctique est presque identique à celle de 1996. La superstition largement répandue selon laquelle la glace de mer arctique est en train de disparaître n'est étayée par aucune preuve.
La quantité d’eau stockée dans la neige dans l’hémisphère Nord est bien supérieure à la moyenne et ce, toute l’année.
Le prix Nobela été attribué à algore en 2007 pour avoir réalisé un film de science-fiction de troisième ordre.
1892 fut une année particulièrement chaude à Victoria. Mildura a établi ses températures records de février 120F, mars 116F, mai 96F, juin 84F, juillet 85F et août 90F.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-041208.png"Il ne peut y avoir eu de glaciers sur le Mont Blanc au Moyen Âge." "au XIIIe siècle, la température maximale d'été était capable de faire fondre la neige et la glace à une hauteur beaucoup plus élevée" Mercredi 14 août 1929
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-041232.png
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-041241.pngChaud.
L'étendue de la glace de mer arctique reste proche de la moyenne depuis 1979, et la presse continue de prétendre que la glace est en train de disparaître.
https://time.com/vault/year/1977/
Michael E Mann le parano.
Les températures au Groenland sont en baisse depuis près de quinze ans depuis le pic de 2010
Les plus grands incendies d'Australie se sont produits il y a cinquante ans, au plus fort de la peur de l'ère glaciaire - la même année où Brisbane a connu des inondations historiques, Darwin a été détruite par le cyclone Tracy et les États-Unis ont connu leur pire épidémie de tornade.
La Tasmanie et la Nouvelle-Zélande étaient en feu à cette date en 1898.
Le relevé de température par satellite commence près du bas de l'oscillation multidécennale de l'Atlantique. Cela amène beaucoup de gens à confondre météo cyclique et « réchauffement climatique »
Il n’y a eu aucune tendance dans le minimum d’été de la glace de mer dans l’Arctique depuis seize ans. Le plus grand « prophète du climat » a prédit que la glace disparaîtrait entre 2013 et 2018.
Fausses prédictions sur le climat.
NASA
La température maximale moyenne aux États-Unis en décembre était de 49F, un peu plus fraîche qu'en 1939 et plusieurs autres années. La plupart des gens ne décriraient pas 49F comme « chaud »
Le pourcentage de lectures supérieures à 60F était le 26ème plus élevé.
Il n'existe pas de « glace de mer arctique à long terme ». Au bout de quelques années, toute la glace est rejetée dans l'Atlantique Nord.
L'épaisseur de la glace de la mer Arctique est à peu près la même qu'en 1958, soit deux mètres.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-042224.png
https://timesmachine.nyti[...]15262.html?pageNumber=327
L'étendue de la glace de mer arctique reste proche de la moyenne depuis 1979, et la presse continue de prétendre que la glace est en train de disparaître.
Michael E Mann le parano.
Les températures au Groenland sont en baisse depuis près de quinze ans depuis le pic de 2010
Les plus grands incendies d'Australie se sont produits il y a cinquante ans, au plus fort de la peur de l'ère glaciaire - la même année où Brisbane a connu des inondations historiques, Darwin a été détruite par le cyclone Tracy et les États-Unis ont connu leur pire épidémie de tornade.
La Tasmanie et la Nouvelle-Zélande étaient en feu à cette date en 1898.
Le relevé de température par satellite commence près du bas de l'oscillation multidécennale de l'Atlantique. Cela amène beaucoup de gens à confondre météo cyclique et « réchauffement climatique »
Il n’y a eu aucune tendance dans le minimum d’été de la glace de mer dans l’Arctique depuis seize ans. Le plus grand « prophète du climat » a prédit que la glace disparaîtrait entre 2013 et 2018.
Fausses prédictions sur le climat.
NASA
La température maximale moyenne aux États-Unis en décembre était de 49F, un peu plus fraîche qu'en 1939 et plusieurs autres années. La plupart des gens ne décriraient pas 49F comme « chaud »
Le pourcentage de lectures supérieures à 60F était le 26ème plus élevé.
Il n'existe pas de « glace de mer arctique à long terme ». Au bout de quelques années, toute la glace est rejetée dans l'Atlantique Nord.
L'épaisseur de la glace de la mer Arctique est à peu près la même qu'en 1958, soit deux mètres.
https://image.noelshack.c[...]ran-2025-08-29-042224.pngL'étendue de la glace de mer en Antarctique est légèrement inférieure à la moyenne depuis 1979 et supérieure à celle de 1981, 1997 et 1998. @abcnews
a récemment déclaré qu'il s'agissait du niveau le plus bas depuis "7,5 milliards d'années".
Après le coucher du soleil, la quantité de rayonnement à ondes longues sortant diminue assez rapidement. Après plusieurs jours d’hiver arctique sombre, il est proche de zéro.
http://weather.ou.edu/~jhall/lab5.html
L'Arctique s'est réchauffé de dix degrés entre 1900 et 1947, lorsque les niveaux de CO2 étaient faibles, puis les températures ont chuté dans les années 1970, lorsque les niveaux de CO2 étaient plus élevés. Il n’y a aucune corrélation entre la température arctique et le CO2.
il n’y a pas eu de réchauffement en Antarctique.
https://data.remss.com/ms[...]ar_Land_and_Sea_v03_3.pngIl y a quarante ans, James Hansen a prédit un réchauffement de 6 °C pour l'Antarctique, en se basant sur sa mauvaise compréhension de l'effet de serre. Depuis lors, il n’y a pas eu de réchauffement en Antarctique.
Les militants pour le climat ne respectent pas le principe de falsification de Popper.
Trop de neige => preuve du changement climatique
Pas assez de neige => preuve du changement climatique
Quantité de neige régulière => preuve du changement climatique
Tout modèle climatique est la preuve de la crise existentielle du changement climatique
C'est une religion laïque.
Il n’y a AUCUNE urgence climatique ni crise climatique. Pas en vies perdues, pas en coûts et certainement pas en rendements agricoles. Il n’existe aucune mesure permettant de décrire l’état actuel du climat comme étant un état d’urgence ou de crise.
Sur le jet stream
Si le jet stream est ondulé... Le chaos météorologique dû au changement climatique !!!
Si le jet stream est droit... Le chaos météorologique dû au changement climatique !!!
Voyez-vous que ce qui se passe sur 🌍 n'a pas vraiment d'importance, ils le feront rentrer dans le récit.
Michael E Mann
arnaque et mensonges
https://www.amazon.fr/Imp[...]_rd_i=2810011176&psc= Impasses climatiques: Les contradictions du discours alarmiste sur le climat Broché – Grand livre, 1 juin 2022de François Gervais (Auteur)
https://www.amazon.fr/cli[...]rd_i=2810011648&psc=1 Le climat par les chiffres Broché – 1 mars 2023de Christian Gerondeau (Auteur)
https://www.amazon.fr/Lur[...]rd_i=2810009627&psc=1 L'urgence climatique est un leurre Poche – 3 juin 2020de François Gervais (Auteur)
https://www.amazon.fr/LOb[...]rd_i=2204147699&psc=1 L'Obscurantisme vert - La véritable histoire de la condition humaine Broché – Grand livre, 5 mai 2022de Yves Roucaute (Auteur)
https://www.amazon.fr/dou[...]rd_i=2810011109&psc=1 Les douze mensonges du GIEC: La religion écologiste 2 Broché – Grand livre, 9 mars 2022de Christian Gerondeau (Auteur)
https://www.amazon.fr/voi[...]rd_i=2810011486&psc=1 La voiture électrique et autres folies: la religion écologiste 3 Broché – Grand livre, 1 juillet 2022de Christian Gerondeau (Auteur)
https://www.amazon.fr/CO2[...]rd_i=2810008531&psc=1 Le CO2 est bon pour la planète: Climat, la grande manipulation Poche – Grand livre, 27 février 2019de Christian Gerondeau (Auteur)
https://www.amazon.fr/cli[...]rd_i=2810011370&psc=1 climat, la part d'incertitude Broché – Grand livre, 2 novembre 2022de Steven Koonin (Auteur)
Livres sur le climat et l'écologie. Arnaque climat GIEC mensonges.
“Un ours polaire seul sur la banquise”
Cette image a clairement été conçue pour susciter une réaction émotionnelle, elle est tout aussi manipulatrice et fausse que la vidéo de l’ours polaire présentée sans vergogne par National Geographic :
1) Les ours polaires augmentent (chasse réglementée).
2) Ils ont besoin de glace fine et d’eau libre de glace pour survivre (se nourrir), meurent quand elle est trop épaisse.
3) Ils ont survécu au début de l’Holocène ~7°C plus chaud dans l’Arctique
“Image remplacé par les feux de forêt”
Toujours le même principe utilisé par ces activistes et médias pour susciter une réaction émotionnelle (électrochoc), mais ce genres d’images sont toutes aussi manipulatrices et fausses que celle de l’ours polaire. Données sur les tendances mondiales en matière d’incendies de forêt :
Il y a moins d’incendies dans le paysage mondial aujourd’hui. Il est tous simplement faux de dire qu’il y a de plus en plus de feux de forêt, il y en a de moins en moins. Source :
“canicules”
Fait scientifique :
Les vagues de chaleur (canicules) ne constituent pas une preuve du changement climatique (qui est suivi sur des échelles de temps de 30, 50, 100 ans et millénaires). Les vagues de chaleur sont des phénomènes météorologiques, pas climatiques. Source :
“Inondations”
Données d’observation :
“Nous n’avons pas observé de signes d’intensification dans les données relatives aux précipitations jusqu’en 2020 inclus. Et aucune preuve d’une tendance systématique des déficits de précipitations attribuable au changement climatique.”
Source :
“Ouragans”
Données d’observation :
Les activistes affirment que les ouragans devenaient de plus en plus fréquents et intenses, mais ils ne le sont pas, comme le montrent clairement les données. Il est clair qu’ils se livrent à une désinformation délibérée.
Sources :
Conclusion : l’assertion selon laquelle les événements extrêmes sont plus nombreux, plus fréquents et s'intensifient, ne repose sur aucune donnée scientifique.
“Aucun indicateur ne montre une tendance positive claire des événements extrêmes.”
Sources :
“Les glaciers première victime du réchauffement climatique”
Cette assertion est encore une fois contredite par les faits, cette fois-ci c’est le Prof. émérite Robert Vivian, glaciologue (~100 publications scientifiques) qui nous l’explique
C’est le Professeur émérite Robert Vivian, glaciologue avec autour de 100 publications scientifiques qui l'explique clairement.
“Lors de l’Optimum Romain 200 av. J-C, Hannibal traverse les Alpes avec ses éléphants, il n'a pas rencontré de glace, pas de neige. Aujourd’hui, il y a trop de neige et de glace pour réussir cet exploit.” - Prof. Dr. István Markó, chimiste (280 publications scientifiques).
“Groenland perd 6x plus de glace qu'il y a 40 ans”
Le Groenland se refroidit depuis les années 2000 et les tendances de la banquise arctique sont stables depuis 2007. De 2001 à 2019, la baie d’Hudson arctique compte 11 des 15 sites qui se refroidissent.
Sources :
uu.nl étant l'université d'Utrecht des Pays Bas.
de l'American Meteorological Society
Les glaciers/calottes glaciaires (GIC) du Groenland étaient “plus petits qu’à l’heure actuelle ou absents pendant la majeure partie de l’Holocène, depuis au moins 10,1 ka à ~1850 CE, date à laquelle la calotte glaciaire a atteint sa taille actuelle”.
Sources :
Lorsque le CO2 se situaient à ~200 ppm (il y a 11,7 à 4,5 milles ans) l’Arctique et le nord du Groenland étaient 2 à 4°C plus chauds qu’aujourd’hui, les marges de glace étaient 80 km plus éloignées et le Groenland s’est réchauffé de 10°C en 60 ans.
Sources :
En 1596, Barentsz a atteint Svalbard Nord (plus près du pôle Nord) dans un navire en bois, sans glace de mer en juin (2,5 mois plus tôt dans la saison de fonte). En 1942, il y avait moins de glace au Groenland. En 2021 et 2019, des navires étaient piégés dans les glaces Arctique.
En d’autres termes, il y a plus de glace au Groenland aujourd’hui qu’à n’importe quel moment au cours des 10 000 dernières années, à l’exception du petit âge de glace. Les pertes récentes sont des retours partiels à l’état d’avant 1850.
Sources :
“Nous pouvons encore sauver les glaciers”
Cette simple notion est ridicule, nous ne pouvons pas empêcher la nature de faire ce qu’elle fait (👇). On est dans un aspect purement religieux ou un changement de comportement pourrait amener au salut.
Quand nous vérifions la réalité avec les données du monde réel, elle ne correspond jamais à leurs récits alarmistes. Il faut arrêter de croire ces gens sur parole et leur demander systématiquement sur quelles données réelles ils se basent.