Ce sujet a été résolu
Selon chat GPT
Les navires négriers (utilisés pour la traite transatlantique des esclaves entre le XVIᵉ et le XIXᵉ siècle) appartenaient principalement à des armateurs privés, c’est-à-dire des commerçants et investisseurs, plutôt qu’à des États. Mais la situation variait selon les époques et les pays :
1. Les armateurs privés
La majorité des navires étaient la propriété de marchands ou de compagnies commerciales.
Ces armateurs finançaient l’expédition, armaient le navire, recrutaient l’équipage et espéraient un profit en vendant les esclaves déportés en Amérique.
Le navire était souvent acheté ou affrété (loué) par un groupe d’investisseurs qui se partageaient les bénéfices.
2. Les grandes compagnies à monopole
Dans certains pays, l’État accordait le monopole de la traite à de puissantes compagnies :
Compagnie néerlandaise des Indes occidentales (Pays-Bas).
Royal African Company (Angleterre, créée en 1672, soutenue par la couronne britannique).
Compagnie du Sénégal ou Compagnie des Indes occidentales (France).
Ces compagnies possédaient leurs propres navires négriers, parfois même des forts et comptoirs en Afrique.
3. Les négociants locaux
Dans des ports négriers comme Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Liverpool ou Bristol, beaucoup de navires appartenaient à des familles de négociants locaux. En France, par exemple, les familles de grands armateurs nantais (telles que les Grou, Montaudouin, Gradis, etc.) finançaient directement des expéditions.
4. Les États, indirectement
Les royaumes européens n’étaient pas propriétaires directs de la majorité des navires négriers, mais :
Ils encourageaient la traite en délivrant des licences, en protégeant les convois et en accordant des privilèges fiscaux.
Ils pouvaient aussi armer quelques navires d’État pour le commerce, surtout au début (par exemple le Portugal ou l’Espagne au XVIᵉ siècle).
👉 En résumé : la plupart des navires négriers appartenaient à des armateurs privés ou des compagnies commerciales soutenues par les États, et non aux États directement.
Les navires négriers (utilisés pour la traite transatlantique des esclaves entre le XVIᵉ et le XIXᵉ siècle) appartenaient principalement à des armateurs privés, c’est-à-dire des commerçants et investisseurs, plutôt qu’à des États. Mais la situation variait selon les époques et les pays :
1. Les armateurs privés
La majorité des navires étaient la propriété de marchands ou de compagnies commerciales.
Ces armateurs finançaient l’expédition, armaient le navire, recrutaient l’équipage et espéraient un profit en vendant les esclaves déportés en Amérique.
Le navire était souvent acheté ou affrété (loué) par un groupe d’investisseurs qui se partageaient les bénéfices.
2. Les grandes compagnies à monopole
Dans certains pays, l’État accordait le monopole de la traite à de puissantes compagnies :
Compagnie néerlandaise des Indes occidentales (Pays-Bas).
Royal African Company (Angleterre, créée en 1672, soutenue par la couronne britannique).
Compagnie du Sénégal ou Compagnie des Indes occidentales (France).
Ces compagnies possédaient leurs propres navires négriers, parfois même des forts et comptoirs en Afrique.
3. Les négociants locaux
Dans des ports négriers comme Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Liverpool ou Bristol, beaucoup de navires appartenaient à des familles de négociants locaux. En France, par exemple, les familles de grands armateurs nantais (telles que les Grou, Montaudouin, Gradis, etc.) finançaient directement des expéditions.
4. Les États, indirectement
Les royaumes européens n’étaient pas propriétaires directs de la majorité des navires négriers, mais :
Ils encourageaient la traite en délivrant des licences, en protégeant les convois et en accordant des privilèges fiscaux.
Ils pouvaient aussi armer quelques navires d’État pour le commerce, surtout au début (par exemple le Portugal ou l’Espagne au XVIᵉ siècle).
👉 En résumé : la plupart des navires négriers appartenaient à des armateurs privés ou des compagnies commerciales soutenues par les États, et non aux États directement.
il y a 3 jours
Abigail t’es démasqué le juif qui fait la promotion du changement de sexe
il y a 3 jours
La bateau c’est tres symbolique dans les religions et la mythologie.c’est la piraterie
il y a 3 jours
Quelle est l'IA antisémite qui produit ces images ?
C'est que de l'amour putain !
il y a 3 jours
Quelle est l'IA antisémite qui produit ces images ?
ShlomoAI, validée par le B'nai B'rith
"Vivre c'est combattre et combattre c'est vivre"
il y a 3 jours
Selon chat GPT
Les navires négriers (utilisés pour la traite transatlantique des esclaves entre le XVIᵉ et le XIXᵉ siècle) appartenaient principalement à des armateurs privés, c’est-à-dire des commerçants et investisseurs, plutôt qu’à des États. Mais la situation variait selon les époques et les pays :
1. Les armateurs privés
La majorité des navires étaient la propriété de marchands ou de compagnies commerciales.
Ces armateurs finançaient l’expédition, armaient le navire, recrutaient l’équipage et espéraient un profit en vendant les esclaves déportés en Amérique.
Le navire était souvent acheté ou affrété (loué) par un groupe d’investisseurs qui se partageaient les bénéfices.
2. Les grandes compagnies à monopole
Dans certains pays, l’État accordait le monopole de la traite à de puissantes compagnies :
Compagnie néerlandaise des Indes occidentales (Pays-Bas).
Royal African Company (Angleterre, créée en 1672, soutenue par la couronne britannique).
Compagnie du Sénégal ou Compagnie des Indes occidentales (France).
Ces compagnies possédaient leurs propres navires négriers, parfois même des forts et comptoirs en Afrique.
3. Les négociants locaux
Dans des ports négriers comme Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Liverpool ou Bristol, beaucoup de navires appartenaient à des familles de négociants locaux. En France, par exemple, les familles de grands armateurs nantais (telles que les Grou, Montaudouin, Gradis, etc.) finançaient directement des expéditions.
4. Les États, indirectement
Les royaumes européens n’étaient pas propriétaires directs de la majorité des navires négriers, mais :
Ils encourageaient la traite en délivrant des licences, en protégeant les convois et en accordant des privilèges fiscaux.
Ils pouvaient aussi armer quelques navires d’État pour le commerce, surtout au début (par exemple le Portugal ou l’Espagne au XVIᵉ siècle).
👉 En résumé : la plupart des navires négriers appartenaient à des armateurs privés ou des compagnies commerciales soutenues par les États, et non aux États directement.
Les navires négriers (utilisés pour la traite transatlantique des esclaves entre le XVIᵉ et le XIXᵉ siècle) appartenaient principalement à des armateurs privés, c’est-à-dire des commerçants et investisseurs, plutôt qu’à des États. Mais la situation variait selon les époques et les pays :
1. Les armateurs privés
La majorité des navires étaient la propriété de marchands ou de compagnies commerciales.
Ces armateurs finançaient l’expédition, armaient le navire, recrutaient l’équipage et espéraient un profit en vendant les esclaves déportés en Amérique.
Le navire était souvent acheté ou affrété (loué) par un groupe d’investisseurs qui se partageaient les bénéfices.
2. Les grandes compagnies à monopole
Dans certains pays, l’État accordait le monopole de la traite à de puissantes compagnies :
Compagnie néerlandaise des Indes occidentales (Pays-Bas).
Royal African Company (Angleterre, créée en 1672, soutenue par la couronne britannique).
Compagnie du Sénégal ou Compagnie des Indes occidentales (France).
Ces compagnies possédaient leurs propres navires négriers, parfois même des forts et comptoirs en Afrique.
3. Les négociants locaux
Dans des ports négriers comme Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Liverpool ou Bristol, beaucoup de navires appartenaient à des familles de négociants locaux. En France, par exemple, les familles de grands armateurs nantais (telles que les Grou, Montaudouin, Gradis, etc.) finançaient directement des expéditions.
4. Les États, indirectement
Les royaumes européens n’étaient pas propriétaires directs de la majorité des navires négriers, mais :
Ils encourageaient la traite en délivrant des licences, en protégeant les convois et en accordant des privilèges fiscaux.
Ils pouvaient aussi armer quelques navires d’État pour le commerce, surtout au début (par exemple le Portugal ou l’Espagne au XVIᵉ siècle).
👉 En résumé : la plupart des navires négriers appartenaient à des armateurs privés ou des compagnies commerciales soutenues par les États, et non aux États directement.
il y a 3 jours
Ah ouais carrément
il y a 3 jours
ils possèdent les musulmans de France aussi, ils sont propriétaires des marques de viande Hallal
il y a 3 jours