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restaurant au japon : 26 plats répartie en 4 personnes plus de 3 kilos de bouffe = 20 € à payer (en yen bien sur)
restaurant en France : 200 grammes de pates natures : 18.99 €
5€ un seul verre de Coca de 33cl sans glaçon
une misérable assiette de un quart de melon et deux tranches de jambon pour 21 € !!
une assiete de spaghetti avec de la sauce tomate METRO rechauffé au micro onde : 31 €
restaurant en France : 200 grammes de pates natures : 18.99 €
une assiete de spaghetti avec de la sauce tomate METRO rechauffé au micro onde : 31 €
il y a 18 heures
Ironlake
18h
restaurant au japon : 26 plats répartie en 4 personnes plus de 3 kilos de bouffe = 20 € à payer (en yen bien sur)
restaurant en France : 200 grammes de pates natures : 18.99 €
5€ un seul verre de Coca de 33cl sans glaçon
une misérable assiette de un quart de melon et deux tranches de jambon pour 21 € !!
une assiete de spaghetti avec de la sauce tomate METRO rechauffé au micro onde : 31 €
restaurant en France : 200 grammes de pates natures : 18.99 €
une assiete de spaghetti avec de la sauce tomate METRO rechauffé au micro onde : 31 €
il y a 18 heures
Je suis tellement content que tous les restaurants parasites dégagent pour laisser place aux vrais restos
https://www.youtube.com/w[...]p;ab_channel=MrMuseLyrics
il y a 18 heures
Ironlake
18h
restaurant au japon : 26 plats répartie en 4 personnes plus de 3 kilos de bouffe = 20 € à payer (en yen bien sur)
restaurant en France : 200 grammes de pates natures : 18.99 €
5€ un seul verre de Coca de 33cl sans glaçon
une misérable assiette de un quart de melon et deux tranches de jambon pour 21 € !!
une assiete de spaghetti avec de la sauce tomate METRO rechauffé au micro onde : 31 €
restaurant en France : 200 grammes de pates natures : 18.99 €
une assiete de spaghetti avec de la sauce tomate METRO rechauffé au micro onde : 31 €
C'est fake la bouffe est moin chère aux Japon mais c'est pas la fête non plus.
C'est 20euro par personne je pense
C'est 20euro par personne je pense
il y a 18 heures
Sushiro putain ça me manque
Tuto pour vivre longtemps et en bonne santé (physique et mentale) : https://onche.org/topic/832673/
il y a 18 heures
Plus personne ne va au restaurant, les français se nourrissent exclusivement de mes produits eco+
Du coup si le restaurant a un client, il faut qu'il paie comme si c'était le seul de la semaine
Du coup si le restaurant a un client, il faut qu'il paie comme si c'était le seul de la semaine
il y a 18 heures
C'est fake la bouffe est moin chère aux Japon mais c'est pas la fête non plus.
C'est 20euro par personne je pense
C'est 20euro par personne je pense
il y a 18 heures
ELeclerc
18h
Plus personne ne va au restaurant, les français se nourrissent exclusivement de mes produits eco+
Du coup si le restaurant a un client, il faut qu'il paie comme si c'était le seul de la semaine
Du coup si le restaurant a un client, il faut qu'il paie comme si c'était le seul de la semaine
il y a 18 heures
20euros pour bouffer 6 plats
quel bande de chanceux les japonais
quel bande de chanceux les japonais
plus gros le fake stp
attention
il y a 17 heures
l'achat de produits éco + explose en France
les produits de marque en PLS depuis 3 ans
les produits de marque en PLS depuis 3 ans
Oui et tant mieux car vendre des marques nationales nous fait perdre de l'argent. On marge à moins de 10% alors qu'il faut minimum 20% pour atteindre le point de rentabilité.
Mais en vrai il y a encore beaucoup de chemin : trop de cassos en mode "je ne bois rien d'autre que du Coca-Cola. Freeway même pas avec un bâton | il n'y a qu'avec Vanish que les tâches s'évanouissent "
Si il y en avait moins, Aldi n'aurait pas commencé à vendre des marques comme Coca-Cola.
Mais en vrai il y a encore beaucoup de chemin : trop de cassos en mode "je ne bois rien d'autre que du Coca-Cola. Freeway même pas avec un bâton | il n'y a qu'avec Vanish que les tâches s'évanouissent "
Si il y en avait moins, Aldi n'aurait pas commencé à vendre des marques comme Coca-Cola.
il y a 17 heures
MAIS
BIEN
SUUUR
BIEN
SUUUR
T'inquiètes pas le KJ, continue de croire que le Japon tout est génial et fantastique
attention
il y a 17 heures
C'est fake la bouffe est moin chère aux Japon mais c'est pas la fête non plus.
C'est 20euro par personne je pense
C'est 20euro par personne je pense
J'ai jamais compris pourquoi la bouffe dans les restaurants japonais était plutôt bon marché.
Très bonne question. Ce n’est pas une lubie : un repas équivalent coûte en moyenne 20-40 % de plus dans un Paris qu’un Tokyo.
Voici, dans l’ordre d’importance, les leviers réels qui poussent les prix japonais vers le bas :
1. Travail plus « intensif » et coût salarial plus faible
• Le « service » japonais n’est pas moins bon, il est simplement plus efficace : menu court, mise en place millimétrée, tables tournant rapidement.
• Le salaire horaire moyen d’un serveur ou cuisinier est ~960 ¥ (~6 € contre ~12 € net en France, incluant charges). Même avec les cotisations patronales, le coût du personnel reste nettement inférieur.
→ C’est le poste de dépense le plus gros dans un resto parisien (≈ 35-40 % du prix payé).
2. Concurrence extrême et saturation des villes
• Il y a ~4,6 × plus de points restauration par habitant au Japon (densité Tokyo ~11 000 restaurants/100 000 habitants, Paris ~2 400).
• Avec des loyers élevés eux aussi, les établissements doivent capter rapidement l’argent liquide ; la baisse de la marge est la règle.
3. Structure d’approvisionnement hyper-optimisée
• Marchés de gros centraux (Toyosu, Tsukiji) + chaîne logistique Toyota-like + livraisons nocturnes multiples → gaspillage alimentaire très bas.
• Les prix de gros des poissons de saison, riz local et légumes sont 20-30 % sous prix français pour des produits équivalents (exception : boeuf, fruits).
• Taxe sur les produits agricoles intracommunautaires quasi nulle (France : cotisation sur le blé, viande, etc.).
4. Fiscalité et charges patronales plus légères
• TVA restaurant : 8 % contre 10 % la France.
• Charges sociales patronales : ~14-16 % du brut au Japon versus 40-45 % en France.
Cette économie se reflète directement sur la note finale.
5. Culture prix psychologique (prix « rond »)
• Les japonais raisonnent en prix d’appel fixe : 580 ¥, 780 ¥, 1 280 ¥. La pression pour rester juste en-dessous d’un seuil est forte.
• Tradition des lunch sets (teishoku) à prix très serré ; ce segment détermine presque le plafond du marché.
6. Bailleurs et immobilier adapté
• Bâtiments vieillis mais très haut (8-10 étages sur un kaku-uchi bar).
• Des kyabakura et salons de nuit remontent le chiffre d’affaires des sociétés mères, subventionnant ainsi les restaurants au rez-de-chaussée qui peuvent baisser leurs prix.
En résumé : le Japon compense ses loyers élevés par une armée de petites portions coulées dans tous les espaces disponibles, une main-d’œuvre moins protégée et donc moins chère, et une chaîne logistique d’une densité extrême. La France, avec son code du travail rigide, son coût salarial 2× plus élevé et sa moindre densité concurrentielle, place la simple omelette parisienne à 9 € quand une comparable omu-rice coûte 600 ¥ (≈ 4 €).
Très bonne question. Ce n’est pas une lubie : un repas équivalent coûte en moyenne 20-40 % de plus dans un Paris qu’un Tokyo.
Voici, dans l’ordre d’importance, les leviers réels qui poussent les prix japonais vers le bas :
1. Travail plus « intensif » et coût salarial plus faible
• Le « service » japonais n’est pas moins bon, il est simplement plus efficace : menu court, mise en place millimétrée, tables tournant rapidement.
• Le salaire horaire moyen d’un serveur ou cuisinier est ~960 ¥ (~6 € contre ~12 € net en France, incluant charges). Même avec les cotisations patronales, le coût du personnel reste nettement inférieur.
→ C’est le poste de dépense le plus gros dans un resto parisien (≈ 35-40 % du prix payé).
2. Concurrence extrême et saturation des villes
• Il y a ~4,6 × plus de points restauration par habitant au Japon (densité Tokyo ~11 000 restaurants/100 000 habitants, Paris ~2 400).
• Avec des loyers élevés eux aussi, les établissements doivent capter rapidement l’argent liquide ; la baisse de la marge est la règle.
3. Structure d’approvisionnement hyper-optimisée
• Marchés de gros centraux (Toyosu, Tsukiji) + chaîne logistique Toyota-like + livraisons nocturnes multiples → gaspillage alimentaire très bas.
• Les prix de gros des poissons de saison, riz local et légumes sont 20-30 % sous prix français pour des produits équivalents (exception : boeuf, fruits).
• Taxe sur les produits agricoles intracommunautaires quasi nulle (France : cotisation sur le blé, viande, etc.).
4. Fiscalité et charges patronales plus légères
• TVA restaurant : 8 % contre 10 % la France.
• Charges sociales patronales : ~14-16 % du brut au Japon versus 40-45 % en France.
Cette économie se reflète directement sur la note finale.
5. Culture prix psychologique (prix « rond »)
• Les japonais raisonnent en prix d’appel fixe : 580 ¥, 780 ¥, 1 280 ¥. La pression pour rester juste en-dessous d’un seuil est forte.
• Tradition des lunch sets (teishoku) à prix très serré ; ce segment détermine presque le plafond du marché.
6. Bailleurs et immobilier adapté
• Bâtiments vieillis mais très haut (8-10 étages sur un kaku-uchi bar).
• Des kyabakura et salons de nuit remontent le chiffre d’affaires des sociétés mères, subventionnant ainsi les restaurants au rez-de-chaussée qui peuvent baisser leurs prix.
En résumé : le Japon compense ses loyers élevés par une armée de petites portions coulées dans tous les espaces disponibles, une main-d’œuvre moins protégée et donc moins chère, et une chaîne logistique d’une densité extrême. La France, avec son code du travail rigide, son coût salarial 2× plus élevé et sa moindre densité concurrentielle, place la simple omelette parisienne à 9 € quand une comparable omu-rice coûte 600 ¥ (≈ 4 €).
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 17 heures
T'inquiètes pas le KJ, continue de croire que le Japon tout est génial et fantastique
j'ai jamais dit que c'est un el dorado je sais pas où tu as vu ce message
j'ai juste dit que apparemment d'après ce que je vois et les témoignages que j'ai écouter : les restaurant japonais sont BIEN BIEN BIIIEEEENNNN moins cher qu'en France alors que leurs SMIC est pas si loin du notre
j'ai juste dit que apparemment d'après ce que je vois et les témoignages que j'ai écouter : les restaurant japonais sont BIEN BIEN BIIIEEEENNNN moins cher qu'en France alors que leurs SMIC est pas si loin du notre
il y a 17 heures
j'ai jamais dit que c'est un el dorado je sais pas où tu as vu ce message
j'ai juste dit que apparemment d'après ce que je vois et les témoignages que j'ai écouter : les restaurant japonais sont BIEN BIEN BIIIEEEENNNN moins cher qu'en France alors que leurs SMIC est pas si loin du notre
j'ai juste dit que apparemment d'après ce que je vois et les témoignages que j'ai écouter : les restaurant japonais sont BIEN BIEN BIIIEEEENNNN moins cher qu'en France alors que leurs SMIC est pas si loin du notre
T'as la réponse au-dessus... Regarde mon message précédent.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 17 heures
J'ai jamais compris pourquoi la bouffe dans les restaurants japonais était plutôt bon marché.
Très bonne question. Ce n’est pas une lubie : un repas équivalent coûte en moyenne 20-40 % de plus dans un Paris qu’un Tokyo.
Voici, dans l’ordre d’importance, les leviers réels qui poussent les prix japonais vers le bas :
1. Travail plus « intensif » et coût salarial plus faible
• Le « service » japonais n’est pas moins bon, il est simplement plus efficace : menu court, mise en place millimétrée, tables tournant rapidement.
• Le salaire horaire moyen d’un serveur ou cuisinier est ~960 ¥ (~6 € contre ~12 € net en France, incluant charges). Même avec les cotisations patronales, le coût du personnel reste nettement inférieur.
→ C’est le poste de dépense le plus gros dans un resto parisien (≈ 35-40 % du prix payé).
2. Concurrence extrême et saturation des villes
• Il y a ~4,6 × plus de points restauration par habitant au Japon (densité Tokyo ~11 000 restaurants/100 000 habitants, Paris ~2 400).
• Avec des loyers élevés eux aussi, les établissements doivent capter rapidement l’argent liquide ; la baisse de la marge est la règle.
3. Structure d’approvisionnement hyper-optimisée
• Marchés de gros centraux (Toyosu, Tsukiji) + chaîne logistique Toyota-like + livraisons nocturnes multiples → gaspillage alimentaire très bas.
• Les prix de gros des poissons de saison, riz local et légumes sont 20-30 % sous prix français pour des produits équivalents (exception : boeuf, fruits).
• Taxe sur les produits agricoles intracommunautaires quasi nulle (France : cotisation sur le blé, viande, etc.).
4. Fiscalité et charges patronales plus légères
• TVA restaurant : 8 % contre 10 % la France.
• Charges sociales patronales : ~14-16 % du brut au Japon versus 40-45 % en France.
Cette économie se reflète directement sur la note finale.
5. Culture prix psychologique (prix « rond »)
• Les japonais raisonnent en prix d’appel fixe : 580 ¥, 780 ¥, 1 280 ¥. La pression pour rester juste en-dessous d’un seuil est forte.
• Tradition des lunch sets (teishoku) à prix très serré ; ce segment détermine presque le plafond du marché.
6. Bailleurs et immobilier adapté
• Bâtiments vieillis mais très haut (8-10 étages sur un kaku-uchi bar).
• Des kyabakura et salons de nuit remontent le chiffre d’affaires des sociétés mères, subventionnant ainsi les restaurants au rez-de-chaussée qui peuvent baisser leurs prix.
En résumé : le Japon compense ses loyers élevés par une armée de petites portions coulées dans tous les espaces disponibles, une main-d’œuvre moins protégée et donc moins chère, et une chaîne logistique d’une densité extrême. La France, avec son code du travail rigide, son coût salarial 2× plus élevé et sa moindre densité concurrentielle, place la simple omelette parisienne à 9 € quand une comparable omu-rice coûte 600 ¥ (≈ 4 €).
Très bonne question. Ce n’est pas une lubie : un repas équivalent coûte en moyenne 20-40 % de plus dans un Paris qu’un Tokyo.
Voici, dans l’ordre d’importance, les leviers réels qui poussent les prix japonais vers le bas :
1. Travail plus « intensif » et coût salarial plus faible
• Le « service » japonais n’est pas moins bon, il est simplement plus efficace : menu court, mise en place millimétrée, tables tournant rapidement.
• Le salaire horaire moyen d’un serveur ou cuisinier est ~960 ¥ (~6 € contre ~12 € net en France, incluant charges). Même avec les cotisations patronales, le coût du personnel reste nettement inférieur.
→ C’est le poste de dépense le plus gros dans un resto parisien (≈ 35-40 % du prix payé).
2. Concurrence extrême et saturation des villes
• Il y a ~4,6 × plus de points restauration par habitant au Japon (densité Tokyo ~11 000 restaurants/100 000 habitants, Paris ~2 400).
• Avec des loyers élevés eux aussi, les établissements doivent capter rapidement l’argent liquide ; la baisse de la marge est la règle.
3. Structure d’approvisionnement hyper-optimisée
• Marchés de gros centraux (Toyosu, Tsukiji) + chaîne logistique Toyota-like + livraisons nocturnes multiples → gaspillage alimentaire très bas.
• Les prix de gros des poissons de saison, riz local et légumes sont 20-30 % sous prix français pour des produits équivalents (exception : boeuf, fruits).
• Taxe sur les produits agricoles intracommunautaires quasi nulle (France : cotisation sur le blé, viande, etc.).
4. Fiscalité et charges patronales plus légères
• TVA restaurant : 8 % contre 10 % la France.
• Charges sociales patronales : ~14-16 % du brut au Japon versus 40-45 % en France.
Cette économie se reflète directement sur la note finale.
5. Culture prix psychologique (prix « rond »)
• Les japonais raisonnent en prix d’appel fixe : 580 ¥, 780 ¥, 1 280 ¥. La pression pour rester juste en-dessous d’un seuil est forte.
• Tradition des lunch sets (teishoku) à prix très serré ; ce segment détermine presque le plafond du marché.
6. Bailleurs et immobilier adapté
• Bâtiments vieillis mais très haut (8-10 étages sur un kaku-uchi bar).
• Des kyabakura et salons de nuit remontent le chiffre d’affaires des sociétés mères, subventionnant ainsi les restaurants au rez-de-chaussée qui peuvent baisser leurs prix.
En résumé : le Japon compense ses loyers élevés par une armée de petites portions coulées dans tous les espaces disponibles, une main-d’œuvre moins protégée et donc moins chère, et une chaîne logistique d’une densité extrême. La France, avec son code du travail rigide, son coût salarial 2× plus élevé et sa moindre densité concurrentielle, place la simple omelette parisienne à 9 € quand une comparable omu-rice coûte 600 ¥ (≈ 4 €).
Il y a effectivement un gros aspect psychologique, mais ils sont bien plus dégourdis pour se débarrasser des invendus, à heure fix tous les jours tout est à 50% moins cher et tout le monde le sait ça par en 30 minutes.
il y a 17 heures