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Tout d'abord voici la formule du bonheur, c'est-à-dire non pas un luxe mais au contraire la condition sine qua non sans laquelle une vie est ratée, la chance unique que l'on a de l'accomplir (de dépenser sa virginité à bon escient), gaspillée. Il faut bien comprendre qu'il n'y a du bonheur d'untel qu'un degré zéro et un degré un, et pour cause, chacun, tout unique qu'il fut dans un environnement où tout lui fut étranger, est avant tout et surtout nulle autre chose que ceci : la brique fondamentale d'une société virtuelle d'êtres semblables, qui est son SEUL milieu naturel en dépit même de son inexistence dans les cas où il lui arrive de se heurter à la contradiction sur des points qui le touchent ou bien que la non-contradiction dont il « bénéficie » est motivée par la peur.

Il faut donc :

1) naître

2) grandir dans un environnement fermé, exempt de la moindre femme ou fille autre qu'ascendant en lignée directe, ce qui exclut y compris soeurs, cousines, tantes etc.

3) se voir présenter une femme élevée dans les mêmes conditions, pour garantir une absence totale du moindre émoi préalable à l'égard d'un seul représentant du « sexe opposé », puis vivre cloîtré avec elle de sorte que ni elle ni vous n'ait plus jamais affaire à quiconque ne resultât pas de votre union

Vous comprendrez aisément pourquoi ce modèle de vie idéale qui est pourtant gravé à la racine la plus fondamentale de notre nature ne s'est jamais vu accompli.

1) il suppose une totale autonomie alimentaire

2) ce modèle social ayant vocation à garantir une étanchéité sociale absolue du foyer, les conditions de sa mise en place sont difficilement compatibles avec sa reproduction étant donné que trouver des partenaires à ses enfants lorsqu'ils auront grandi doit a priori passer par le fait de garder contact avec d'autres couples observant la même pureté jusqu'au moment où ils seront également parents.

Nous pouvons néanmoins imaginer, par exemple, des lieux où l'on déposerait du courrier ne pouvant être délivré qu'à des filles vierges si l'on est la mère d'un garçon, et qu'à des garçons vierges si l'on est le père d'une fille. Il devrait être rédigé et consulté sur place, puis brûlé. Lorsque mères et jeunes filles ou pères et jeunes hommes se seraient choisis, ils pourraient tous deux appuyer sur un bouton qui validerait leur choix, ce qui leur donnerait une clé chacun pour accéder à un sas par deux portes d'entrée différentes, lequel s'ouvrirait par une porte de sortie pour les laisser repartir ensemble lorsque les clés seraient reposée à un endroit dédié. Note : cette solution n'est pas élégante, elle convient à mon espèce et à d'autres en particulier dans le cas de sa mise en place mais ne semble pas donner assez confiance aux premiers usagers dans le fait que d'autres afflueront à leur suite générations après générations. C'est la première que j'avais imaginé provisoirement, simplement pour montrer l'exemple en quelque sorte, quant au fait que la gravité du problème nous interdit toute résignation et que l'exercice d'analyse auquel nous nous livrons n'a de sens qu'en tant qu'elle doit appeler des solutions techniques.

L'objection suivante vous vient donc certainement à l'esprit :

- C'est faux, car tout le monde ne veut pas ça.

Il est vrai que cette volonté n'est pas universelle. De même, il est des animaux qui ne peuvent pas respirer sous l'eau, et d'autres qui ne peuvent respirer QUE sous l'eau. Des herbivores, des carnivores, des voyants et des aveugles.

Mais quiconque diffère de moi sur ce point n'est pas de mon espèce. Le critère qui fonde une espèce est la circulation sans friction de l'information entre les individus qui la composent, or combien de fois avez-vous été choqué par la différence de sensibilité de quelqu'un que l'on avait donné pour humain, comme l'on VOUS avait donné pour humain, au point qu'elle suscite votre détestation ? Le débat démocratique est profondément pervers en ce qu'il détermine à l'avance sur quelle somme d'individus devra s'appliquer un traitement unique, essentialisant ces individus sous une même bannière quelle qu'elle soit de façon non-contractuelle, et cherche dans un second temps seulement à déterminer de quel traitement il doit s'agir, tandis que le sens intrinsèque du fait d'exposer ses idées est précisément son contraire : trier ses pairs des ÉTRANGERS ABSOLUS ; ceux qui sont déjà d'accord de ceux qui ont la moindre réserve.
il y a 21 heures
Lorsque j'ai expliqué à une vieille dame d'une association catho pour les pauvres que ceux qui n'étaient pas satisfaits du résultat des élections n'avaient qu'à se choisir un président rien que pour eux et laisser les autres avec le leur, elle m'a dit que non, que c'était du fascisme. À ce que je sache, Mussolini n'a pourtant pas laissé le choix à chaque italien présumé de vivre ou non sous son autorité. Tout dans l'Etat, rien en-dehors de l'Etat, rien contre l'Etat, cette devise encapsule précisément tout ce sans quoi je ne saurais au juste contre quoi avoir quelque grief. Le culte du chef n'implique pas du tout la force par essence, pourquoi comparer systématiquement ce qui s'oppose à la démocratie représentative à l’idéologie qui fut la matrice de l'autoritarisme répressif de toutes les dictatures du XXe siècle ? La démocratie et la dictature ne sont pas du tout des contraires, elles sont les deux faces d'une même pièce, elles ont l'essentiel en commun : elles commencent par désigner une somme d'individus comme sujet du droit, et ensuite seulement s'inquiètent de ce en quoi consistera ce droit. À côté de cette donnée centrale, savoir si c'est à un seul homme ou à plusieurs, ou bien à tous, pour une durée prédéterminée ou ad vitam, héréditaire ou pas de décider de la loi, ou bien jusqu'à la teneur de la loi elle-même, tout cela devient presque anecdotique. Voici ce qui est véritablement contraire à tous ces contraires qui n'en sont pas du tout, la seule façon légale de promulguer une loi : l'écrire, la déclarer immédiatement active et la lâcher dans la nature comme une bouteille à la mer. Ceux qui sont contre « le système » font partie de ceux qui décernent le titre de système. Allons, Macron est un influenceur comme un autre ! Il fait des vidéos dans sa chambre… quoi d'autre…

Je suis d'accord pour dire que les nationalismes locaux sont un outil anti-impérialisme mais n'est-il pas plus pertinent de dire que « la liberté des peuples de disposer d'eux-mêmes », c'est souvent surtout le nom de code de la liberté des chefs de disposer des autres ? Quid d'un « peuple » dont certains membres ne veulent pas en faire partie ? Est-ce encore seulement un peuple quand il reconnaît ses membres indépendamment de leur souscription ? Bien sûr que non. Il n'y a pas, soit dit en passant, en ce sens, de peuple français, quelque soit l'ouverture qu'il eut ou pas à l’assimilation d’immigrés.

D'ailleurs, la condition qui fait d'un peuple un peuple (appartenance sous réserve de validation unanime des concernés sur leurs cas propres et tout autre cas) est strictement incompatible avec l'attachement définitif de ce peuple à un territoire déterminé, bien que la sédentarité stratégique à des fins d'auto-conservation face à une adversité provisoire soit un droit auquel il est assez facile de remplir les conditions d'accès, mais dont le risque d'être rendu caduc pour tous par les agissements d'un seul de ses membres est positivement fonction de la taille des effectifs.

Quiconque diffère de moi SUR CE POINT n'est pas de mon espèce. Les goûts de chaque individus sont répartis en deux catégories :

- les points essentiels
- les points non-essentiels

Les points essentiels sont ceux en l'absence desquels on ne peut pas se reconnaître en lui. Sans lesquels il nous est, qu'il le veuille ou non, un étranger absolu.

Les points non-essentiels sont ceux sur lesquels un autre individu peut différer sans que cela n'affecte notre possibilité de nous reconnaître en lui. Ex : J'aime les fraises, mais le fait que quelqu'un n'aime pas les fraises n'a aucun impact sur ma possibilité de me reconnaître en lui. Cependant je ne peux pas être de son espèce si c'est essentiel pour lui.

Nous appelons socialicide le débat des points « véritablement » essentiels. « Véritablement », c'est-à-dire débattus pour une somme d'individus dont on a décidé à l'avance de qui elle comprenait, avant même, éventuellement, d'en chercher « scientifiquement » le dénominateur commun. Le débat est un véridicisme, ou réalisme, et le réalisme est un socialicide. Nous appelons anti-science le socialicide, le socialisme, le véridicisme, le réalisme.

Le Mythe de l'Espèce, du nom que je me permets de détourner par ailleurs parce que c'est un formalisme erroné mais une méprise des choses bien réelles dont nous parlons, vestige du créationnisme même chez les scientifiques les plus athées, est la croyance en des catégories d'individus au sein desquelles il peut certes exister une telle variété de caractères non-essentiels, mais auxquelles l'on appartiendrait par des critères dont le caractère essentiel serait situé au-delà de notre évaluation. Demandez à un humain de citer les critères d'humanité, il en sera bien incapable, mais possède néanmoins une certitude inébranlable de pouvoir reconnaître un humain quand il en voit un, soit-il par exemple haut d'un mètre vingt tandis quil ne considère pas cette taille comme étant utile à sa reconnaissance puisque peu représentée dans le champ d'inclusion permis par l'ambiguïté de la catégorie dont il présume l'existence. Il lui est particulièrement commode, cependant, d'exclure par des critères essentiels. Un être ailé ne peut pas être un humain, contrairement à un être petit... mais à quel point ? Dix centimètres, c'est toujours humain ? Seule l’expérience du contact d’un tel être avec l’être humain renseignerait sur sa possibilité ou non d’humanité. Jusque là, il n'y a pas de problème. Mais si le « nain » (sous-enrtendu l'humain nain) voulait faire de sa taille le critère essentiel de son espèce ? Il apparaîtrait alors qu'en tant que nain, son inclusion d'origine étrangère comme humain est une volonté de tenir fondamentalement tout ce qu'il est pour non-essentiel, son existence pour ce qu'elle a de plus saillant selon lui et, ne nous mentons pas, selon les humains, comme devant lui être anecdotique à lui-même. Cette même condamnation biologique par l'inclusion législative s'opère en tout ce qui est français, comme dans l'antiracisme pan-esclavagiste de l'école républicaine, qui prive tout les élèves du même temps d'exposition au soleil, tandis que ceux-ci auront le plus de difficulté à compenser le déficit induit en vitamine D a fortiori qu'ils sont le plus « noirs ».
il y a 21 heures
Pour revenir sur mon idée d'un dispositif permettant la mise en relation des futurs amants via leurs parents de sexe opposé ne contrevenant pas à leur exigence d'exclusivité affective sans antécédents, afin de répondre à la nécessité de concilier l’étanchéité sociale et la reproduction du modèle, tout en maximisant son caractère libéral, il suffirait de conditionner la reproduction des hommes usagers du dispositif à la publication d'un livre, et la reproduction des femmes à la publication d'un livre qui soit la critique du livre de son futur amant, authentifiée comme preuve de compréhension absolue et comme avis suprême et incontestable quant à son œuvre par ledit amant.

L'on a tenté de discréditer cette approche comme suit (notons que l'auteur de cette tentative n'avait pas connaissance de tout mon système éthique, ce qui explique les aberrations telles que la référence à l'administration française, puisque je m'étais contenté de dire par facilité de langage que « la reproduction d'un homme devrait être conditionnée à… », à la façon dont on prêche un idéal et non à la façon dont on propose un service, ce qui est évidemment contraire à ma pensée, vous verrez ensuite que ma réponse se concentre donc sur les supposés dysfonctionnements intrinsèques de ma méthode eut égard aux problématiques qu'elle entend solutionner, indépendamment de sa portée clientélistique, quitte à tenir sans précautions supplémentaires l'administration française pour instance habilitée à désigner les concernés dans le cadre de ma démonstration, et ma réponse ne prend en compte aucune mesure d'étanchéité sociale, ce qui illustre les vertus de ma méthode d'entremise par livres interposés au-delà même du modèle social précis que j'appelle de mes vœux, et même si par immense malheur nous étions forcés à des compromis) :

« Idée de merde, ça prend pas en compte les contournements de système.
Si je veux, j’écris une version de Tchoupi à la plage en remplaçant Tchoupi par un personnage de mon cru (que pour la forme, je vais appeler Morglukl). Je vais faire de jolies illustrations pour mon livre de 15 pages, comme des bonshommes bâtons, et l’auto-éditer en 3 exemplaires : un pour moi (parce qu’il est beau mon Morglukl à la plage), un pour ma femme (pour qu’elle en fasse la critique et parce qu’il est beau mon Morglukl à la plage), et un pour l’administration française (pour qu’il soit validé comme livre écrit et parce qu’il est beau mon Morglukl à la plage).
Ensuite ma femme va écrire un livre de critique, mais franchement je peux l’écrire pour elle vu le niveau, de toute façon ça dépassera pas la soirée, ce sera un livre qui dit : Morglukl est une version VIP de Tchoupi, ce livre est à acheter absolument pour les enfants. Elle le fera en 3 exemplaires, pour les mêmes raisons.
Nous pourrons donc procréer. »

Voici ma réponse :

« Il n'y a aucun problème à ce que ce soit Tchoupi et Doudou, cela permet de savoir sans équivoque à qui on a à faire.

Si vous n'avez aucun problème, lorsqu’on vous demandera : et vous ? Sur quoi repose votre union ? à répondre : Tchoupi et Doudou, aucun malentendu n'est permis sur le sérieux avec lequel vous concevez votre union. Justement, le contenu des livres propres à chacun et ce qu'il valide de l'autre est la mesure de son engagement (et de la qualité probable de l'enfant). Si vous demandez à quelqu'un : Et toi, tes parents, comment ils t'ont eu ? Et qu'il vous répond : Tchoupi et Doudou, alors cette personne devra y aller très fort pour contrebalancer l'a priori que j'aurai par sa propre production si elle me veut absolument. Cependant, sa plaie est résorbable en une seule génération si jamais la créature de Tchoupi et Doudou s'avère être un génie. Toutes les vertus de la discrimination sociale sans les injustices. » On ne peut pas m'accuser de ne pas être grand seigneur au dernier degré bien qu’élitiste au dernier degré. En fait, il n'y a que moi qui applique l'adage : « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins », ce qui ne peut passer ni par la collectivisation des moyens de production d'une pseudo-espèce donnée mais seulement, éventuellement, d'une réelle espèce, ni par la redistribution des richesses, l'évaluation des besoins étant toujours arbitraire, sauf à considérer un but obligatoire vis-à-vis duquel mesurer des résultats : à considérer des esclaves en somme.

Presque identifiée, souvent, au nom générique de Science et, en somme, au ciel platonicien des idées de nos jours, le système de publication scientifique moderne basée sur la revue par les pairs, fut initialement une création d'Henry Oldenburg, avec le lancement du Philosophical Transactions of the Royal Society en 1665. Les publications scientifiques étaient auparavant dispersées et il n'existait aucun mécanismes propre à les conglomérer en un corpus aisément navigable, ni aucun critère pour présumer du sérieux d'une publication en particulier. De la même façon, une autre idée céleste, la possibilité d'une certitude amoureuse malgré l'Humanité, sera accomplie sous la forme d'une maison d'édition dont les auteurs sont publiés sans condition sauf une : rester dans la limite d’une seule publication pour la vie.
il y a 21 heures
De la notion de bonheur précédemment développée, découle celle de ce qu'est et n'est pas un palliatif.

Il est indifférent en soi d'user ou pas de palliatifs, la non-réalisation des critères de bonheur signifiant qu'il n'y a rien à perdre, rien à sauver, et dans le cas de mon espèce, qui est indexée sur les questions d'exclusivité affective, que tout est fichu à jamais. Indifférent dans la stricte limite de ce qui suffit à ne pas avoir l'humeur basse au point de ne plus estimer si impératif d’investir dans l'éternité par une aigreur si continue qu'elle finit par se diriger contre soi-même, mais ne procure pas non plus un contentement présent propre à faire oublier, renier le sens de la souffrance. Nous ne voudrions à aucun prix nous apaiser, car ce qui cause la souffrance est ce qui doit être éradiqué, et la souffrance n'est autre que le moyen de garder le regard dirigé droit sur cette cause. Il faut souffrir autant que possible jusqu'à un certain seuil, à partir duquel la souffrance décourage : ne pas dépasser ce seuil est le sens des palliatifs, dont l'usage de surcroît ravive l’obsession pour la cause de la souffrance et la gratitude envers la souffrance en étant regretté.

Un palliatif est ce qui serait banni si les conditions de bonheur, ou « points essentiels » étaient remplis, selon les critères définissant notre espèce au sens que nous avons expliqué. Donc coucher avec quelqu'un en tant que palliatif n'a pas été hypocrite en réalité dans la mesure où mes conditions de bonheur ne sont pas remplies. Les plaisirs qui ne seraient pas bannis dans le cas où les conditions de bonheur seraient remplies sont des points non-essentiels, donc pas des palliatifs. Par exemple, dans le cas où mes conditions de bonheur seraient remplies, ma consommation d'alcool ou toute autre substance psychoactive ne seraient pas bannie, elle n'est donc pas un palliatif mais un plaisir annexe au bonheur éventuel (« éventuel », bien sûr à ce stade il est exclu par définition que mes conditions de bonheur soient un jour remplies), et en l'occurrence un plaisir complémentaire aux palliatifs, sans compter l’éventuel effet stimulant de la productivité.

J'aime manger des fraises, mais je ne suis pas malheureux sans jamais discontinuer l'espace d'une seconde si je n'en ai pas : mon espèce n'est pas indexée sur le goût des fraises.

La découverte de ma solution infaillible au problème général de l’Amour, m’a accessoirement donné une opinion plus tranchée des déviances sexuelles, et par déviance j'entends fantasme au sens le plus large et sans exception. Auparavant, mon point de vue consistait essentiellement à éviter de faire de mon dégoût une condamnation. Je me cantonnais donc à approuver la morale en vigueur, selon laquelle l’intimité partagée devrait être une zone de non-droit, mais je sentais bien que quelque chose clochait, ou plutôt que quelque chose restait, par principe,en suspens. Je crois toujours à l'intimité partagée comme une zone de non-droit, mais cela ne doit pas nous empêcher d'inspecter la nature des déviances dès lors qu'elles ont, hélas, fait jusqu'ici l'objet d'une grande accessibilité à nos consciences, l'appareil critique nécessaire nous faisant défaut.

Mais en fait je me suis dit un truc, une déviance c'est une envie sexuelle inspirée d'une situation qui de base est non-sexuelle
:Cligne:


Et donc réciproquement si tu importes des concepts de ta vie sociale dans ta sexualité ça veut dire que automatiquement tu importes des concepts de ta sexualité dans ta vie sociale
:Cligne:


Et donc les fantasmes quels qu'ils soient sont la raison des comportements de prédation sexuelle, et tout fantasmes conduit nécessairement au moins à des ambiguïtés dans la vie sociale ce qui est intolérable
:Cligne:


Conclusion l'envie doit coïncider au moment de l'acte, toute pensée sexuelle non-réalisée immédiatement relève de la culture du viol
:Cligne:


Par exemple planifier une drague est intolérable. Être pris d'envie accidentellement au cours d'une conversation devrait pousser à le verbaliser puis à se casser sans préavis et sans dire au revoir sauf proposition d'acte sur le champ
il y a 21 heures
si j'avais un jour l'occasion d'utiliser la Présidence de la République pour faire avancer mes idées, voici quel serait peut-être mon programme :

- ak47 offert à toute création d'entreprise + autorisation de tirer sur les huissiers et les inspecteurs fiscaux
:Rikaka:


- une contre-police pour défendre par les armes toute forme de marché noir sans discrimination ni sur les produits ni sur les commerçants Le problème actuel c'est que les armes protègent un marché spécifique, la drogue par exemple, mais pas l'idée du libre échange en tant que tel. Il y a cependant un souci comment motiver des gens à se battre sans acheter leurs services ce qui du coup équivaut à une taxe ? Perso je dirais que cette fonction devrait leur donner accès illimité aux produits de toute nature pour leur usage personnel Exemple tu as besoin d'une maison en tant que contre-policier
:d)
tu la réquisitionnes à un agent immobilier Tu veux un kebab
:d)
tu commandes gratos Les choses ponctionnées sont héritables mais évidemment ponctionner 2 maison n'a aucun sens, alors que manger 2 kebabs dépend de l'appétit par contre ils doivent consommer à la vue du commerçant Cela dit non, en tant que contre-policier, tu ne dois pas avoir de maison ni de temps hors-travail, tu peux donc dormir dans n'importe quel commerce sans préavis dès que tu en as besoin, enfin je sais pas, à voir.

Un marchand peut abattre un contre-policier s'il l'estime abusif (principalement s'il semble avoir trouvé un moyen de stocker au lieu de consommer directement). Les contre-policiers n'ont pas le droit de riposter pour leur collègue, mais un autre marchand peut abattre le marchand qui a abattu le contre-policier s'il estime abusif l'abattage du contre-policier. Personne ne peut abattre le marchand ayant abattu le marchand ayant abattu le contre-policier. S'il est néanmoins abattu, tout marchand ou contre-policier peut abattre l'auteur de l'assassinat, sans représailles. Il faudrait peut-être aussi interdire aux contre-policiers de communiquer entre eux afin qu'ils ne puissent pas essayer d'organiser le pillage… à voir…

Cela dit, sauf comportement ingérable, on pourrait seulement sanctionner automatiquement toute élimination abusive ou suspectée d'abus sur dénonciation d'un marchand (remplaçant l’abattage de riposte) par la radiation à vie du droit à être contre-policier ou marchand, donc de l'accès aux armes.

Objection possible : "Au lieu de filer une ak47 tu peux supprimer l'impot et les contrôleurs fiscaux non ? Ça a l'air brouillon ta merde va falloir travailler"

Réponse :
Non pas du tout il suffit qu'ils restent tranquille dans leurs bureaux jusqu'à s'effondrer spontanément en tant qu'institution n'étant plus irrigué financièrement
:Rikaka:


Alors que juste supprimer l'impôt demande de repenser en profondeur toute l'architecture du système + faire des tas de compromis et le projet s'étale sur des années pour être complètement bancal à la fin
:Rikaka:


Alors qu'avec une mesure active qui supprime toute barrière à l'autoprotection contre la malveillance administrative ya rien à faire de plus ils auront juste les chocottes de venir casser les c**** et tous les métiers basés sur l'impôt vont être spontanément désertés progressivement, sûrement beaucoup de reconversions dans la contre-police qui protège le marché noir pour jouir sur le dos des autres comme ils ont toujours fait mais là au moins ils apporteront une contrepartie u
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Quant aux médecins ils sont notés par leurs clients et chaque note supérieure à la moyenne donne l'écart à la moyenne en points échangeables contre des biens et services, points qui ne se traduisent par aucune rétribution au commerçant d'où un privilège légèrement analogue aux contre-policiers : ils ont intérêt de façon générale à pratiquer les tarifs les plus bas sous peine d'être mal notés et donc ne pas attirer une clientèle ayant les moyens de les payer cher. ils ont même intérêt à soigner les pauvres gratos pour farmer leur note. les points dépensés contre des biens et services n'affectent pas la note qui permet de savoir la qualité du médecin.

Non tu n'as pas compris pour les points, ce n'est pas par rapport à la moyenne, c'est par exemple si un médecin est noté 75/100 pour une consultation, il gagne 25 points. S'il est noté sous la moyenne, il ne perd pas de points échangeables mais sa réputation baisse.

Parce que l'acceptation des points des médecins est la condition pour que les commerçants bénéficient de la protection de la contre-police. La vraie question est : qui n'est ni commerçant, ni médecin, ni contre-policier ?



Eh bien, les musiciens et le théâtre en direct. Car tous les autres artistes sont des commerçants. Ainsi, tout l'argent dépensé chez les commerçants provient des concerts en direct, dont des espaces publics leur sont dédiés 24h/24 et 7j/7, et le nombre d'heures passées sur ces scènes par une personne crée de l'argent pour cette personne à partir de rien. Oui, c'est véritablement "à partir de rien", signifiant que la société s'accorde simplement sur le fait que cette activité génère de la valeur monnayable.



Et il n'y a pas de mesure de qualité.



S'ils ne veulent pas se produire, ils n'ont qu'à s'asseoir par terre sur la scène pour y "farmer des heures". La scène est peut-être ronde et comporte différentes estrades, et les gens qui regardent la performance peuvent voter pour qu'un artiste s'éloigne des scènes les plus centrales, qui rapportent moins à mesure que l'on s'éloigne du centre. Ainsi, ceux qui ne font que s'asseoir ou sont délibérément désagréables gagneront moins que ceux qui concourent pour le vote. Mais si quelqu'un est convaincant (par exemple, un handicap), les gens le laisseront gagner plus même s'il ne fait que s'asseoir. Il n'y a pas de problème, les personnes qui exagèrent leur condition n'empêchent pas les artistes de gagner le meilleur argent, car ils peuvent simplement s'asseoir juste à côté des artistes.
il y a 21 heures
Bon eh bien je crois que mon modèle de création monétaire basé sur un compteur de présence sur scène est idéal pour garantir le modèle de l'amour garanti par édition interposée. En effet, les usagers qui bénéficient de la garantie d'étanchéité sociale ne peuvent pas être marchants, contre-policiers, médecins ou artistes live, ni sortir en public s'asseoir sur la scène. On n'a qu'à dire que la présence scénique génère à la fois un revenu pour celui qui le génère, et, proportionnellement, une somme allouée exclusivement à l'édition amoureuse, à la construction de logements pour les usagers, et pour leur verser un salaire proportionnel au total de la création monétaire. Je crois que la véritable étanchéité sociale ne peut se situer précisément qu'au niveau de la création monétaire. Pour une scène à 3 étages, par exemple, la scène centrale pourrait générer 3+3 unités par seconde, la scène intermédiaire 2+2 unités par seconde, et la scène périphérique, 1+1 unité par seconde (Je refuse, en effet, que le flux généré pour le système d'édition amoureux, soit d'un autre volume que 100% de l'autre, car ce serait une mesure arbitraire de l'importance de l'un par rapport à l'autre : que ce soit dans un sens où dans l'autre, une mesure digne des pires régimes autoritaires) ou alors tout simplement pour réguler le marché, on peut spéculer sur les taux entre scène 1 (périphérique) et 3 (centrale), sachant que la scène 3 ne varie qu'entre 1* et 3* la scène 1, et que la scène 2 (centrale) est toujours là moyenne des scènes 1 et 3, afin d'empêcher que la spéculation pousse la création monétaire à générer d'emblée des inégalités absurdes. Ensuite la valeur de la scène 1 est tout simplement indexée à taux fixe sur le volume de transaction total du marché, avec éventuellement une possibilité de réformer ce taux en utilisant une méthode qui permettrait connaître un point d'équilibre optimal qui ferait tendre les prix de tous les biens et services vers une stabilité, à moins que cette stabilité ne soit pas un objectif que nous convoitions, et à moins que pour convoiter notre objectif, celui-là ou un autre, un taux indexé sur une variable émergente du système soit préférable. Mais je pense qu'il n'y a pas mieux que choisir un taux fixe arbitrairement au départ, tout simplement pour voir quelles questions cela soulèvera, ce qui justement devrait permettre de trancher concernant : taux fixe ou pas, si oui quelle valeur, sinon indexé sur quelle variable émergente, et pourquoi. Sinon, une autre idée serait peut-être de générer aléatoirement le nombre d'étages des scènes et le taux fixe du volume de transaction qui correspond au nombre d'unités créées par seconde par l’étage périphérique, et voir si cela étoufferait les déséquilibres du marché dans une espèce de bruit neutralisant, du moment que les différentes valeurs des scènes sont réparties de façon assez homogènes et assez dense pour que quiconque puisse choisir entre plusieurs situées à des distances raisonnables.. mais bon, c'est une mauvaise idée, en effet, cela créerait une compétition pour s’accaparer les scènes les plus rémunératrices, donc récompenserait des comportements toxiques.

Dans l'absolu, n'importe qui peut choisir d'être bénéficiaires du système d'édition amoureux, mais contrairement à ce qu'il en est dans notre contexte actuel de nazisme sexuel, ici, le fait que le besoin vital d'exclusivité affective ne soit pas massivement partagé est le contraire d'un danger. En effet, moins ils seront à opter pour cette solution, plus ils seront riches, puisque la somme qui leur est allouée repose entièrement sur le temps de présence scénique de ceux qui n'en ont pas besoin : plus les autres sont différents, dans l'ordre des priorités qu'ils poursuivent, et plus ils génèrent la conservation et la pérennité des lignées des usagers. Ce n'est pas une élite choisie mais une somme de couples auto-choisis sur simple demande qui ne se connaissent pas entre eux plus qu'ils ne connaissent qui que ce soit d'autre. La femme célibataire a accès aux livres de tous les hommes célibataires et elle lit plusieurs livres jusqu'à trouver celui qu'elle veut critiquer, le verrouiller (non pas en empêchant d'autres femmes de produire une critique du même livre, mais en empêchant une femme de choisir plusieurs livres à critiquer en même temps) jusqu' à la publication de sa critique jusqu'à être validée par l'auteur le cas échéant, sinon elle peut continuer de lire les autres livres jusqu'à être hypée et tenter sa chance avec un autre. Il faudrait également un dispositif permettant de générer et d’envoyer une représentation sous forme de Sims ou quelque chose comme ça (Mii etc.) pour que les futurs amants puissent savoir à l'avance s'ils se plaisent physiquement sans pour autant que cela risque de créer un précédent affectif qui rendrait caduque l'existence réelle du couple qui serait formé sur le papier au bout du processus. En effet, s'il s'agissait d'une vraie photo, ensuite, l'homme aurait potentiellement une femme qui a mouillé ou s'est masturbée à la vue d'un autre homme (ou l'inverse), et allors le lien affectif entre les amants serait pourri et mensonger pour toujours. En revanche, même si l'idée qu'elle allait être avec un autre homme l'a fait mouiller avant qu'elle soit avec le choix définitif, ce n'est pas grave, parce que c'est basé sur un avatar de mauvaise qualité or cette excitation est relativisée par le fait que la personne réelle derrière l'aurait peut-être dégoûté ou déplu. Mais la représentation de l’homme ne serait montrée à la femme que quand elle aurait fini de produire sa critique pour ne pas que les avatars les plus attirants ne concentrent toute l'attention et que la première sélection soit basée sur l'écrit. Ceux qui me prendront pour un escroc parce que je veux vivre heureux en famille seront bien content d'être soit des marchands sans limites à leur créativité, soit des contre-policiers qui sont partout chez eux et jouissant de tous les luxes en claquant des doigts, soit des médecins libérés de la déontologie mais capable par cela même de fournir les meilleurs services, soit des artistes qui sont sûrs d'être payés, soit des glandus qui n'ont qu'à glander 10 minutes sans même mendier pour pouvoir se racheter une 8.6. C'est le système le plus parfait et stable jamais créé puisqu'il donne à chacun comme moyen d'existence sociale l'expression de sa nature profonde, et il n'y a aucun obstacle à sa réalisation concrète étant donné qu'il ne s'agit fondamentalement que d'un projet de cryptomonnaie basé sur un compteur de temps, tout comme Pi Network : l'électronique des espaces scéniques connectés reste un problème d'ingénierie trivial.

Voyons ce qui pourrait néanmoins sembler poser problème :
L’humain est plus complexe que ça ? Oui mais c'est contextuel, généré justement par les frustrations systémiques que j'élimine.
Un glandu pourrait espérer plus qu'une simple bière ? Il n'a qu'à attendre plus longtemps, jusqu'à pouvoir s'acheter une Switch, celle-ci lui permettant de patienter encore plus longtemps pour son prochain investissement.
L'envie, le ressentiment, l’ennui, et le désir de reconnaissance au-delà d'un rôle défini sont de puissants moteurs que mon système pourrait ne pas totalement supprimer ou recycler ? Actuellement, tout ceci conduit à la résignation, à la dépression. Maintenant, la dépression sera productive, il suffira de dormir sur scène. Plus cette inertie morbide durera, plus elle débouchera sur de grandes possibilités entrepreneuriales, sociales ou consuméristes au moindre sursaut de vitalité, et sans représenter une dépendance aussi humiliante qu’exténuante à la générosité : incapables ? vous êtes l'étalon or et la banque centrale impartiale, même si vous ne vous releviez jamais, et personne ne vient exprimer des doutes quant à l'authenticité de vos limites ou vous culpabiliser, tout repose sur vous, tout le monde a intérêt à vous autoriser la paix que vous vous octroyez.

Même tous les animaux pourraient aller sur des scènes voir leur solde augmenter via une notation qu'il comprennent comme par exemple une barre de progression sur un écran et donc aller d'eux-mêmes dans des magasins spécialisés basés sur l'offre et la demande et non des besoins décrétés par des maîtres. Tout le monde y trouve son compte sans exception, je suis à Marx ce que Tesla est à Edison, et je suis en outre le Copernic de l'anthropologie. De toute façon, la Justice ne foulera pas cette Terre sans passer par une recherche tendue vers le développement de techniques de communication des valeurs quantitatives qui soient capables d'intégrer le moindre organisme vivant en tant qu'acteur économique à part entière et, en outre, la sensibilité qui consiste à s'accommoder aisément d'une trajectoire de vie qui ne soit pas caractérisée par une monogamie sans interférences d'aucune sorte de bout en bout, appartient exactement au même profil psychologique que la sensibilité qui consiste à s'accommoder aisément des naissances d'animaux provoquées massivement en vue de leurs meurtres, et à s'accommoder tout aussi aisément des conditions de vie abominables qui leur sont réservées entre temps. Je ne sais pas si je vous ai dît que tout et absolument tout le mal, remonte au mythe de l'Espèce, et c'est à raison que l'on s'identifie intuitivement à une bête qui est à l'abattoir lorsqu'une interférence sociale même « anodine » s'insinue dans le couple, qu'un critère est emprunté à l'extérieur par un membre pour évaluer l'intérieur, ou confronter une assertion de quelqu'un d'intérieur à celle de quelqu'un d'extérieur dans le but de « déterminer la vérité ».
il y a 21 heures
Et voilà ce que je voulais vous faire partager est à présent au complet sur ce picto
:dz_chat:
il y a 21 heures
:vu:
il y a 21 heures
Au putain le PAVE. Ils sont ou les Stickers qui rendrait peut-être le truc lisible pour nous les addicts de la dopamine. Le ratio est pas bon.

:sueur:


Honnêtement le format Onche est pas adapté. Si c'est un vrai sujet qui te tiens à coeur et pas un Shitpost. Un Google Docs serait plus adapté.

:Retouzoom:
il y a 21 heures
Au putain le PAVE. Ils sont ou les Stickers qui rendrait peut-être le truc lisible pour nous les addicts de la dopamine. Le ratio est pas bon.

:sueur:


Honnêtement le format Onche est pas adapté. Si c'est un vrai sujet qui te tiens à coeur et pas un Shitpost. Un Google Docs serait plus adapté.

:Retouzoom:
Fais un effort pour moi clé
:dz_chat:
il y a 21 heures
Vulve j'ai pété lui au moins comprend tout et répond en 2 2
:dz_chat:
il y a 21 heures
William ! \o/ William ! \o/

:chatfruitlove:


il y a 21 heures
Vulve j'ai pété lui au moins comprend tout et répond en 2 2
:dz_chat:
Vous méritez un bon grand remplacement par la machine
:dz_chat:
il y a 21 heures
William ! \o/ William ! \o/

:chatfruitlove:


Tu m'embêtes
:chamain:


Cependant merci du up jeune gomme
:chamain:
il y a 21 heures
Tu m'embêtes
:chamain:


Cependant merci du up jeune gomme
:chamain:
ça me fait plaisir mon très cher petit Monsieur
GIF
il y a 21 heures
Bon, là franchement c'est trop long.
Certifié tous gaz.
il y a 21 heures
Bon, là franchement c'est trop long.
Quand c'est court tu ne lis pas non plus
il y a 21 heures
Quand c'est court tu ne lis pas non plus
Alors ça, c'est pas vrai.
Certifié tous gaz.
il y a 21 heures
Je pense que tous les membres du forum seront d accords avec moi :
:Risitas-doigt:


Pas lu + baise la
:jesus_rigole:

:jesuscafe:
il y a 21 heures