- Les hommes entre eux sont naturellement indifférents ; les femmes sont, par nature, ennemies. Cela doit tenir à ce que l’odium figulinum, la rivalité qui est restreinte chez les hommes à chaque corps de métier, embrasse chez les femmes toute l’espèce, car elles n’ont toutes qu’un même métier, qu’une même affaire. Dans la rue, il suffit qu’elles se rencontrent pour qu’elles échangent déjà des regards de Guelfes et de Gibelins. Il saute aux yeux qu’à une première entrevue deux femmes ont plus de contrainte, de dissimulation et de réserve que n’en auraient deux hommes en pareil cas. Pour la même raison les compliments entre femmes semblent plus ridicules qu’entre hommes. Remarquez en outre que l’homme parle en général avec quelques égards et une certaine humanité à ses subordonnés même les plus infimes, mais il est insupportable de voir avec quelle hauteur une femme du monde s’adresse à une femme de classe inférieure, quand elle n’est pas à son service. Cela tient peut-être à ce qu’entre femmes, les différences de rang sont infiniment plus précaires que chez les hommes et que ces différences peuvent être modifiées ou supprimées aisément ; le rang qu’un homme occupe dépend de mille considérations ; pour les femmes une seule décide de tout : l’homme à qui elles ont su plaire. Leur unique fonction les met sur un pied d’égalité bien plus marqué, aussi cherchent-elles à créer entre elles des différences de rang.
- La femme en Occident, ce qu’on appelle la dame, se trouve dans une position tout à fait fausse, car la femme, le sexus sequior des anciens, n’est nullement faite pour inspirer de la vénération et recevoir des hommages, ni pour porter la tête plus haute que l’homme, ni pour avoir des droits égaux aux siens. Les conséquences de cette fausse position ne sont que trop évidentes. Il serait à souhaiter qu’en Europe on remit à sa place naturelle ce numéro deux de l’espèce humaine et que l’on supprimât la dame, objet des railleries de l’Asie entière, dont Rome et la Grèce se seraient également moquées. Cette réforme serait au point de vue politique et social un véritable bienfait. Le principe de la loi salique est si évident, si indiscutable, qu’il semble inutile à formuler. Ce qu’on appelle à proprement parler la dame européenne est une sorte d’être qui ne devrait pas exister. Il ne devrait y avoir au monde que des femmes d’intérieur, appliquées au ménage, et des jeunes filles aspirant à le devenir, et que l’on formerait non à l’arrogance, mais au travail et à la soumission. C’est précisément parce qu’il y a des dames en Europe que les femmes de la classe inférieure, c’est-à-dire la grande majorité, sont infiniment plus à plaindre qu’en Orient[2].
- Le mariage est un piège que la nature nous tend.
- La femme en Occident, ce qu’on appelle la dame, se trouve dans une position tout à fait fausse, car la femme, le sexus sequior des anciens, n’est nullement faite pour inspirer de la vénération et recevoir des hommages, ni pour porter la tête plus haute que l’homme, ni pour avoir des droits égaux aux siens. Les conséquences de cette fausse position ne sont que trop évidentes. Il serait à souhaiter qu’en Europe on remit à sa place naturelle ce numéro deux de l’espèce humaine et que l’on supprimât la dame, objet des railleries de l’Asie entière, dont Rome et la Grèce se seraient également moquées. Cette réforme serait au point de vue politique et social un véritable bienfait. Le principe de la loi salique est si évident, si indiscutable, qu’il semble inutile à formuler. Ce qu’on appelle à proprement parler la dame européenne est une sorte d’être qui ne devrait pas exister. Il ne devrait y avoir au monde que des femmes d’intérieur, appliquées au ménage, et des jeunes filles aspirant à le devenir, et que l’on formerait non à l’arrogance, mais au travail et à la soumission. C’est précisément parce qu’il y a des dames en Europe que les femmes de la classe inférieure, c’est-à-dire la grande majorité, sont infiniment plus à plaindre qu’en Orient[2].
- Le mariage est un piège que la nature nous tend.
Le truc que les hommes peuvent pas être des ennemis féroces entre eux c'est complètement faux et c'est pareil pour le rapport au sexe opposé des hommes peuvent se détester profondément parce qu'ils s'intéressent à la même femme
Je suis le donut du forum
Il a choisit son propre chemin
Il a choisit son propre chemin
Je comprendrais jamais les gars qui diabolisent les femmes et en même temps font un joli tableau angélique des hommes alors que les hommes sont affreux entre eux... Si y'a des incels c'est certes parce que les femmes sont exigeantes et beaucoup ont un ego imbuvable de princesse mais y'a aussi des hommes attractifs qui se gavent du sexe opposé de manière égoïstes et plein de simps et de WK des enfers qui sont prêts à écraser les autres gars et à se renier comme des clebs puants pour un peu de validation féminine... Au final autant virer misanthrope ou pendre le parti de s'en foutre non ?
Je suis le donut du forum
après, bon, voilà ce que sa mère lui a envoyé quand il avait 19 ans ...
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
« Tu n’es pas un méchant humain ; tu n’es pas dépourvu d’intelligence et d’éducation ; tu as tout ce qui pourrait faire de toi un crédit pour la société humaine. D’ailleurs, je connais ton cœur et je sais que peu de gens sont meilleurs, mais tu es néanmoins irritant et insupportable, et je considère qu’il est très difficile de vivre avec toi.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
飽きた (jsuis fatiguééééé)
après, bon, voilà ce que sa mère lui a envoyé quand il avait 19 ans ...
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
« Tu n’es pas un méchant humain ; tu n’es pas dépourvu d’intelligence et d’éducation ; tu as tout ce qui pourrait faire de toi un crédit pour la société humaine. D’ailleurs, je connais ton cœur et je sais que peu de gens sont meilleurs, mais tu es néanmoins irritant et insupportable, et je considère qu’il est très difficile de vivre avec toi.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
après, bon, voilà ce que sa mère lui a envoyé quand il avait 19 ans ...
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
« Tu n’es pas un méchant humain ; tu n’es pas dépourvu d’intelligence et d’éducation ; tu as tout ce qui pourrait faire de toi un crédit pour la société humaine. D’ailleurs, je connais ton cœur et je sais que peu de gens sont meilleurs, mais tu es néanmoins irritant et insupportable, et je considère qu’il est très difficile de vivre avec toi.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
Ma mère m'envoie un texte comme ça je me tue en fait ayaaaa
Je comprendrais jamais les gars qui diabolisent les femmes et en même temps font un joli tableau angélique des hommes alors que les hommes sont affreux entre eux... Si y'a des incels c'est certes parce que les femmes sont exigeantes et beaucoup ont un ego imbuvable de princesse mais y'a aussi des hommes attractifs qui se gavent du sexe opposé de manière égoïstes et plein de simps et de WK des enfers qui sont prêts à écraser les autres gars et à se renier comme des clebs puants pour un peu de validation féminine... Au final autant virer misanthrope ou pendre le parti de s'en foutre non ?
Question trop haut level pour qqun comme moi
Mais admettons, la nature de l'homme est différente de celle de la femme. Et comme dans toutes différence les biens et les maux de chacun sont différent.
Les maux des femmes peuvent être perçus comme plus critiquable que ceux des hommes.
L'homme dans son essence naturelle à de multiple rôle nécessaire à la survie. La femme elle a le rôle d'assurer la continuation et rien d'autre. Elle est au second plan des nobles déterminations.
Donc son unique rôle de continuité pour assurer sa propre survie lui donne une inclinaison vers la cupidité.
J'ai fait surchauffer mon cerveau pour pondre ça, contente toi z'en
Mais admettons, la nature de l'homme est différente de celle de la femme. Et comme dans toutes différence les biens et les maux de chacun sont différent.
Les maux des femmes peuvent être perçus comme plus critiquable que ceux des hommes.
L'homme dans son essence naturelle à de multiple rôle nécessaire à la survie. La femme elle a le rôle d'assurer la continuation et rien d'autre. Elle est au second plan des nobles déterminations.
Donc son unique rôle de continuité pour assurer sa propre survie lui donne une inclinaison vers la cupidité.
J'ai fait surchauffer mon cerveau pour pondre ça, contente toi z'en
J'ai pas lu mais schoppenhauer est mort puceau malgré qu'il soit né dans la richesse, je sais pas si c'est vraiment un exemple a suivre
J'ai pas lu mais schoppenhauer est mort puceau malgré qu'il soit né dans la richesse, je sais pas si c'est vraiment un exemple a suivre
Puceau par choix
Puceau par choix
C'est le célestin originel
A-Alors v-vous êtes intéressée par ma philosophie madame?
Oui
D-du c-coup on baise?
Non aya
"- Les hommes entre eux sont naturellement indifférents ; les femmes sont, par nature, ennemies. Cela doit tenir à ce que l’odium figulinum, la rivalité qui est restreinte chez les hommes à chaque corps de métier, embrasse chez les femmes toute l’espèce, car elles n’ont toutes qu’un même métier, qu’une même affaire. Dans la rue, il suffit qu’elles se rencontrent pour qu’elles échangent déjà des regards de Guelfes et de Gibelins. Il saute aux yeux qu’à une première entrevue deux femmes ont plus de contrainte, de dissimulation et de réserve que n’en auraient deux hommes en pareil cas. Pour la même raison les compliments entre femmes semblent plus ridicules qu’entre hommes. Remarquez en outre que l’homme parle en général avec quelques égards et une certaine humanité à ses subordonnés même les plus infimes, mais il est insupportable de voir avec quelle hauteur une femme du monde s’adresse à une femme de classe inférieure, quand elle n’est pas à son service. Cela tient peut-être à ce qu’entre femmes, les différences de rang sont infiniment plus précaires que chez les hommes et que ces différences peuvent être modifiées ou supprimées aisément ; le rang qu’un homme occupe dépend de mille considérations ; pour les femmes une seule décide de tout : l’homme à qui elles ont su plaire. Leur unique fonction les met sur un pied d’égalité bien plus marqué, aussi cherchent-elles à créer entre elles des différences de rang.
- La femme en Occident, ce qu’on appelle la dame, se trouve dans une position tout à fait fausse, car la femme, le sexus sequior des anciens, n’est nullement faite pour inspirer de la vénération et recevoir des hommages, ni pour porter la tête plus haute que l’homme, ni pour avoir des droits égaux aux siens. Les conséquences de cette fausse position ne sont que trop évidentes. Il serait à souhaiter qu’en Europe on remit à sa place naturelle ce numéro deux de l’espèce humaine et que l’on supprimât la dame, objet des railleries de l’Asie entière, dont Rome et la Grèce se seraient également moquées. Cette réforme serait au point de vue politique et social un véritable bienfait. Le principe de la loi salique est si évident, si indiscutable, qu’il semble inutile à formuler. Ce qu’on appelle à proprement parler la dame européenne est une sorte d’être qui ne devrait pas exister. Il ne devrait y avoir au monde que des femmes d’intérieur, appliquées au ménage, et des jeunes filles aspirant à le devenir, et que l’on formerait non à l’arrogance, mais au travail et à la soumission. C’est précisément parce qu’il y a des dames en Europe que les femmes de la classe inférieure, c’est-à-dire la grande majorité, sont infiniment plus à plaindre qu’en Orient[2].
- Le mariage est un piège que la nature nous tend.
"
A-Alors v-vous êtes intéressée par ma philosophie madame?
Oui
D-du c-coup on baise?
Non aya
"- Les hommes entre eux sont naturellement indifférents ; les femmes sont, par nature, ennemies. Cela doit tenir à ce que l’odium figulinum, la rivalité qui est restreinte chez les hommes à chaque corps de métier, embrasse chez les femmes toute l’espèce, car elles n’ont toutes qu’un même métier, qu’une même affaire. Dans la rue, il suffit qu’elles se rencontrent pour qu’elles échangent déjà des regards de Guelfes et de Gibelins. Il saute aux yeux qu’à une première entrevue deux femmes ont plus de contrainte, de dissimulation et de réserve que n’en auraient deux hommes en pareil cas. Pour la même raison les compliments entre femmes semblent plus ridicules qu’entre hommes. Remarquez en outre que l’homme parle en général avec quelques égards et une certaine humanité à ses subordonnés même les plus infimes, mais il est insupportable de voir avec quelle hauteur une femme du monde s’adresse à une femme de classe inférieure, quand elle n’est pas à son service. Cela tient peut-être à ce qu’entre femmes, les différences de rang sont infiniment plus précaires que chez les hommes et que ces différences peuvent être modifiées ou supprimées aisément ; le rang qu’un homme occupe dépend de mille considérations ; pour les femmes une seule décide de tout : l’homme à qui elles ont su plaire. Leur unique fonction les met sur un pied d’égalité bien plus marqué, aussi cherchent-elles à créer entre elles des différences de rang.
- La femme en Occident, ce qu’on appelle la dame, se trouve dans une position tout à fait fausse, car la femme, le sexus sequior des anciens, n’est nullement faite pour inspirer de la vénération et recevoir des hommages, ni pour porter la tête plus haute que l’homme, ni pour avoir des droits égaux aux siens. Les conséquences de cette fausse position ne sont que trop évidentes. Il serait à souhaiter qu’en Europe on remit à sa place naturelle ce numéro deux de l’espèce humaine et que l’on supprimât la dame, objet des railleries de l’Asie entière, dont Rome et la Grèce se seraient également moquées. Cette réforme serait au point de vue politique et social un véritable bienfait. Le principe de la loi salique est si évident, si indiscutable, qu’il semble inutile à formuler. Ce qu’on appelle à proprement parler la dame européenne est une sorte d’être qui ne devrait pas exister. Il ne devrait y avoir au monde que des femmes d’intérieur, appliquées au ménage, et des jeunes filles aspirant à le devenir, et que l’on formerait non à l’arrogance, mais au travail et à la soumission. C’est précisément parce qu’il y a des dames en Europe que les femmes de la classe inférieure, c’est-à-dire la grande majorité, sont infiniment plus à plaindre qu’en Orient[2].
- Le mariage est un piège que la nature nous tend.
après, bon, voilà ce que sa mère lui a envoyé quand il avait 19 ans ...
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
« Tu n’es pas un méchant humain ; tu n’es pas dépourvu d’intelligence et d’éducation ; tu as tout ce qui pourrait faire de toi un crédit pour la société humaine. D’ailleurs, je connais ton cœur et je sais que peu de gens sont meilleurs, mais tu es néanmoins irritant et insupportable, et je considère qu’il est très difficile de vivre avec toi.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
Toutes tes bonnes qualités sont obscurcies par ta super intelligence et sont rendues inutiles au monde simplement à cause de ta rage de vouloir tout savoir mieux que les autres ; de vouloir améliorer et maîtriser ce que tu ne peux pas commander. Tu rends ainsi les gens qui t’entourent plus aigres, car personne ne veut être amélioré ou éclairé de façon aussi énergique, surtout par un individu aussi insignifiant que tu l’es encore ; personne ne peut tolérer d’être réprimandé par toi, qui présente toi-même encore tant de faiblesses, surtout par ta manière confrontationnelle, qui, sur un ton d’oracle, proclame ceci et cela, sans jamais supposer d’objection.
Si tu étais moins comme cela, tu ne serais que ridicule, mais tel que tu es, tu es fort ennuyeux ».
Lettre de Johanna Schopenhauer à son fils Arthur Schopenhauer le 6 novembre 1807.
je sais pas s'il s'en est jamais remis en fait
Le premier chud de l'histoire
C'est le célestin originel
A-Alors v-vous êtes intéressée par ma philosophie madame?
Oui
D-du c-coup on baise?
Non aya
"- Les hommes entre eux sont naturellement indifférents ; les femmes sont, par nature, ennemies. Cela doit tenir à ce que l’odium figulinum, la rivalité qui est restreinte chez les hommes à chaque corps de métier, embrasse chez les femmes toute l’espèce, car elles n’ont toutes qu’un même métier, qu’une même affaire. Dans la rue, il suffit qu’elles se rencontrent pour qu’elles échangent déjà des regards de Guelfes et de Gibelins. Il saute aux yeux qu’à une première entrevue deux femmes ont plus de contrainte, de dissimulation et de réserve que n’en auraient deux hommes en pareil cas. Pour la même raison les compliments entre femmes semblent plus ridicules qu’entre hommes. Remarquez en outre que l’homme parle en général avec quelques égards et une certaine humanité à ses subordonnés même les plus infimes, mais il est insupportable de voir avec quelle hauteur une femme du monde s’adresse à une femme de classe inférieure, quand elle n’est pas à son service. Cela tient peut-être à ce qu’entre femmes, les différences de rang sont infiniment plus précaires que chez les hommes et que ces différences peuvent être modifiées ou supprimées aisément ; le rang qu’un homme occupe dépend de mille considérations ; pour les femmes une seule décide de tout : l’homme à qui elles ont su plaire. Leur unique fonction les met sur un pied d’égalité bien plus marqué, aussi cherchent-elles à créer entre elles des différences de rang.
- La femme en Occident, ce qu’on appelle la dame, se trouve dans une position tout à fait fausse, car la femme, le sexus sequior des anciens, n’est nullement faite pour inspirer de la vénération et recevoir des hommages, ni pour porter la tête plus haute que l’homme, ni pour avoir des droits égaux aux siens. Les conséquences de cette fausse position ne sont que trop évidentes. Il serait à souhaiter qu’en Europe on remit à sa place naturelle ce numéro deux de l’espèce humaine et que l’on supprimât la dame, objet des railleries de l’Asie entière, dont Rome et la Grèce se seraient également moquées. Cette réforme serait au point de vue politique et social un véritable bienfait. Le principe de la loi salique est si évident, si indiscutable, qu’il semble inutile à formuler. Ce qu’on appelle à proprement parler la dame européenne est une sorte d’être qui ne devrait pas exister. Il ne devrait y avoir au monde que des femmes d’intérieur, appliquées au ménage, et des jeunes filles aspirant à le devenir, et que l’on formerait non à l’arrogance, mais au travail et à la soumission. C’est précisément parce qu’il y a des dames en Europe que les femmes de la classe inférieure, c’est-à-dire la grande majorité, sont infiniment plus à plaindre qu’en Orient[2].
- Le mariage est un piège que la nature nous tend.
"
A-Alors v-vous êtes intéressée par ma philosophie madame?
Oui
D-du c-coup on baise?
Non aya
"- Les hommes entre eux sont naturellement indifférents ; les femmes sont, par nature, ennemies. Cela doit tenir à ce que l’odium figulinum, la rivalité qui est restreinte chez les hommes à chaque corps de métier, embrasse chez les femmes toute l’espèce, car elles n’ont toutes qu’un même métier, qu’une même affaire. Dans la rue, il suffit qu’elles se rencontrent pour qu’elles échangent déjà des regards de Guelfes et de Gibelins. Il saute aux yeux qu’à une première entrevue deux femmes ont plus de contrainte, de dissimulation et de réserve que n’en auraient deux hommes en pareil cas. Pour la même raison les compliments entre femmes semblent plus ridicules qu’entre hommes. Remarquez en outre que l’homme parle en général avec quelques égards et une certaine humanité à ses subordonnés même les plus infimes, mais il est insupportable de voir avec quelle hauteur une femme du monde s’adresse à une femme de classe inférieure, quand elle n’est pas à son service. Cela tient peut-être à ce qu’entre femmes, les différences de rang sont infiniment plus précaires que chez les hommes et que ces différences peuvent être modifiées ou supprimées aisément ; le rang qu’un homme occupe dépend de mille considérations ; pour les femmes une seule décide de tout : l’homme à qui elles ont su plaire. Leur unique fonction les met sur un pied d’égalité bien plus marqué, aussi cherchent-elles à créer entre elles des différences de rang.
- La femme en Occident, ce qu’on appelle la dame, se trouve dans une position tout à fait fausse, car la femme, le sexus sequior des anciens, n’est nullement faite pour inspirer de la vénération et recevoir des hommages, ni pour porter la tête plus haute que l’homme, ni pour avoir des droits égaux aux siens. Les conséquences de cette fausse position ne sont que trop évidentes. Il serait à souhaiter qu’en Europe on remit à sa place naturelle ce numéro deux de l’espèce humaine et que l’on supprimât la dame, objet des railleries de l’Asie entière, dont Rome et la Grèce se seraient également moquées. Cette réforme serait au point de vue politique et social un véritable bienfait. Le principe de la loi salique est si évident, si indiscutable, qu’il semble inutile à formuler. Ce qu’on appelle à proprement parler la dame européenne est une sorte d’être qui ne devrait pas exister. Il ne devrait y avoir au monde que des femmes d’intérieur, appliquées au ménage, et des jeunes filles aspirant à le devenir, et que l’on formerait non à l’arrogance, mais au travail et à la soumission. C’est précisément parce qu’il y a des dames en Europe que les femmes de la classe inférieure, c’est-à-dire la grande majorité, sont infiniment plus à plaindre qu’en Orient[2].
- Le mariage est un piège que la nature nous tend.
Le truc que les hommes peuvent pas être des ennemis féroces entre eux c'est complètement faux et c'est pareil pour le rapport au sexe opposé des hommes peuvent se détester profondément parce qu'ils s'intéressent à la même femme
Les hommes sont productif même et surtout dans l’adversité tandis que l’adversité de la femme consiste à porter atteinte à l’autre tout en restant chacune dans leur château
L’adversité de l’homme c’est la confrontation, celle de la femme à plus accord aux ressentiments
L’adversité de l’homme c’est la confrontation, celle de la femme à plus accord aux ressentiments