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Comme d'hab, Harvard rafle la 1ère place.
Bordel, les USA dominent vraiment tout c'est impressionnant.
https://www.shanghairanking.com/rankings/arwu/2025
Bordel, les USA dominent vraiment tout c'est impressionnant.
il y a un jour
Moi aussi t'en fais pas que si je crée ma propre méthode de classement je serai numéro 1 gros débile.
En attendant, plus grosse densité de prix nobels par etudiant c'est l'ENS Ulm
En attendant, plus grosse densité de prix nobels par etudiant c'est l'ENS Ulm
il y a un jour
Comme d'hab, Harvard rafle la 1ère place.
Bordel, les USA dominent vraiment tout c'est impressionnant.
https://www.shanghairanking.com/rankings/arwu/2025
Bordel, les USA dominent vraiment tout c'est impressionnant.
C'est de la merde ce classement, il prend en compte la taille plutot que la qualité
il y a un jour
Dans les classements les plus fiables c'est le universités Anglaises qui raflent tout
il y a un jour
Moi aussi t'en fais pas que si je crée ma propre méthode de classement je serai numéro 1 gros débile.
En attendant, plus grosse densité de prix nobels par etudiant c'est l'ENS Ulm
En attendant, plus grosse densité de prix nobels par etudiant c'est l'ENS Ulm
Vas-y, créé le tiens.
En attendant...
Le Shanghai Ranking (officiellement Academic Ranking of World Universities, ARWU) est considéré comme l'un des classements universitaires les plus influents et respectés au monde, aux côtés du QS World University Rankings et du Times Higher Education (THE) Ranking. Cependant, sa fiabilité et son sérieux dépendent du contexte et des critères utilisés pour l'évaluer. Voici une analyse concise :
Points forts (fiabilité et sérieux) :
Méthodologie transparente : Le Shanghai Ranking repose sur des critères objectifs et mesurables, comme le nombre de publications dans des revues prestigieuses (Nature, Science), les citations, les prix Nobel ou médailles Fields attribués aux alumni ou chercheurs, et la productivité académique par rapport à la taille de l'institution. Cela réduit les biais subjectifs.
Focus sur la recherche : Il est particulièrement reconnu pour évaluer la performance en recherche des universités, ce qui en fait une référence pour les institutions axées sur la production scientifique.
Longévité et stabilité : Publié depuis 2003 par l'Université Jiao Tong de Shanghai, il est consistent dans sa méthodologie, ce qui permet des comparaisons sur le long terme.
Reconnaissance internationale : Il est largement utilisé par les gouvernements, les universités et les chercheurs pour évaluer la compétitivité académique.
Limites (critiques sur la fiabilité) :
Biais vers la recherche scientifique : Le classement favorise les universités avec une forte production en sciences dures (STEM), au détriment des disciplines comme les sciences humaines, les arts ou les sciences sociales.
Poids des prix prestigieux : Les critères comme les prix Nobel ou Fields favorisent les universités historiques (surtout anglo-saxonnes) et désavantagent les institutions plus jeunes ou celles des pays en développement.
Taille des institutions : Les grandes universités avec plus de chercheurs ont un avantage, car le classement ne pondère pas toujours suffisamment la taille de l'institution.
Manque de focus sur la qualité de l'enseignement : Contrairement au QS ou THE, le Shanghai Ranking ne prend pas en compte des aspects comme la qualité de l'enseignement, l'expérience étudiante ou l'employabilité.
Conclusion :
Le Shanghai Ranking est fiable et sérieux dans son domaine, c'est-à-dire l'évaluation de la performance en recherche des universités, grâce à sa méthodologie objective et rigoureuse. Cependant, il n'est pas exempt de biais et ne reflète pas tous les aspects de la qualité d'une université (notamment l'enseignement ou l'innovation). Si vous cherchez à évaluer une université pour des études ou une carrière académique, il est utile de le compléter avec d'autres classements (QS, THE) et des critères spécifiques à vos besoins (programmes, localisation, etc.).
En attendant...
Le Shanghai Ranking (officiellement Academic Ranking of World Universities, ARWU) est considéré comme l'un des classements universitaires les plus influents et respectés au monde, aux côtés du QS World University Rankings et du Times Higher Education (THE) Ranking. Cependant, sa fiabilité et son sérieux dépendent du contexte et des critères utilisés pour l'évaluer. Voici une analyse concise :
Points forts (fiabilité et sérieux) :
Méthodologie transparente : Le Shanghai Ranking repose sur des critères objectifs et mesurables, comme le nombre de publications dans des revues prestigieuses (Nature, Science), les citations, les prix Nobel ou médailles Fields attribués aux alumni ou chercheurs, et la productivité académique par rapport à la taille de l'institution. Cela réduit les biais subjectifs.
Focus sur la recherche : Il est particulièrement reconnu pour évaluer la performance en recherche des universités, ce qui en fait une référence pour les institutions axées sur la production scientifique.
Longévité et stabilité : Publié depuis 2003 par l'Université Jiao Tong de Shanghai, il est consistent dans sa méthodologie, ce qui permet des comparaisons sur le long terme.
Reconnaissance internationale : Il est largement utilisé par les gouvernements, les universités et les chercheurs pour évaluer la compétitivité académique.
Limites (critiques sur la fiabilité) :
Biais vers la recherche scientifique : Le classement favorise les universités avec une forte production en sciences dures (STEM), au détriment des disciplines comme les sciences humaines, les arts ou les sciences sociales.
Poids des prix prestigieux : Les critères comme les prix Nobel ou Fields favorisent les universités historiques (surtout anglo-saxonnes) et désavantagent les institutions plus jeunes ou celles des pays en développement.
Taille des institutions : Les grandes universités avec plus de chercheurs ont un avantage, car le classement ne pondère pas toujours suffisamment la taille de l'institution.
Manque de focus sur la qualité de l'enseignement : Contrairement au QS ou THE, le Shanghai Ranking ne prend pas en compte des aspects comme la qualité de l'enseignement, l'expérience étudiante ou l'employabilité.
Conclusion :
Le Shanghai Ranking est fiable et sérieux dans son domaine, c'est-à-dire l'évaluation de la performance en recherche des universités, grâce à sa méthodologie objective et rigoureuse. Cependant, il n'est pas exempt de biais et ne reflète pas tous les aspects de la qualité d'une université (notamment l'enseignement ou l'innovation). Si vous cherchez à évaluer une université pour des études ou une carrière académique, il est utile de le compléter avec d'autres classements (QS, THE) et des critères spécifiques à vos besoins (programmes, localisation, etc.).
il y a un jour
Normal c'est les américains qui font le classement
Non, le Shanghai Ranking (Academic Ranking of World Universities, ARWU) n'est pas réalisé par des Américains. Il est produit par l'Université Jiao Tong de Shanghai, en Chine. Publié depuis 2003, ce classement a été initié par cette université chinoise pour évaluer la performance des universités mondiales, principalement sur la base de critères liés à la recherche académique. Bien que les universités américaines dominent souvent les premières places en raison de leur forte production scientifique et de leurs ressources, le classement lui-même est conçu et géré par une institution chinoise.
il y a un jour
Vas-y, créé le tiens.
En attendant...
Le Shanghai Ranking (officiellement Academic Ranking of World Universities, ARWU) est considéré comme l'un des classements universitaires les plus influents et respectés au monde, aux côtés du QS World University Rankings et du Times Higher Education (THE) Ranking. Cependant, sa fiabilité et son sérieux dépendent du contexte et des critères utilisés pour l'évaluer. Voici une analyse concise :
Points forts (fiabilité et sérieux) :
Méthodologie transparente : Le Shanghai Ranking repose sur des critères objectifs et mesurables, comme le nombre de publications dans des revues prestigieuses (Nature, Science), les citations, les prix Nobel ou médailles Fields attribués aux alumni ou chercheurs, et la productivité académique par rapport à la taille de l'institution. Cela réduit les biais subjectifs.
Focus sur la recherche : Il est particulièrement reconnu pour évaluer la performance en recherche des universités, ce qui en fait une référence pour les institutions axées sur la production scientifique.
Longévité et stabilité : Publié depuis 2003 par l'Université Jiao Tong de Shanghai, il est consistent dans sa méthodologie, ce qui permet des comparaisons sur le long terme.
Reconnaissance internationale : Il est largement utilisé par les gouvernements, les universités et les chercheurs pour évaluer la compétitivité académique.
Limites (critiques sur la fiabilité) :
Biais vers la recherche scientifique : Le classement favorise les universités avec une forte production en sciences dures (STEM), au détriment des disciplines comme les sciences humaines, les arts ou les sciences sociales.
Poids des prix prestigieux : Les critères comme les prix Nobel ou Fields favorisent les universités historiques (surtout anglo-saxonnes) et désavantagent les institutions plus jeunes ou celles des pays en développement.
Taille des institutions : Les grandes universités avec plus de chercheurs ont un avantage, car le classement ne pondère pas toujours suffisamment la taille de l'institution.
Manque de focus sur la qualité de l'enseignement : Contrairement au QS ou THE, le Shanghai Ranking ne prend pas en compte des aspects comme la qualité de l'enseignement, l'expérience étudiante ou l'employabilité.
Conclusion :
Le Shanghai Ranking est fiable et sérieux dans son domaine, c'est-à-dire l'évaluation de la performance en recherche des universités, grâce à sa méthodologie objective et rigoureuse. Cependant, il n'est pas exempt de biais et ne reflète pas tous les aspects de la qualité d'une université (notamment l'enseignement ou l'innovation). Si vous cherchez à évaluer une université pour des études ou une carrière académique, il est utile de le compléter avec d'autres classements (QS, THE) et des critères spécifiques à vos besoins (programmes, localisation, etc.).
En attendant...
Le Shanghai Ranking (officiellement Academic Ranking of World Universities, ARWU) est considéré comme l'un des classements universitaires les plus influents et respectés au monde, aux côtés du QS World University Rankings et du Times Higher Education (THE) Ranking. Cependant, sa fiabilité et son sérieux dépendent du contexte et des critères utilisés pour l'évaluer. Voici une analyse concise :
Points forts (fiabilité et sérieux) :
Méthodologie transparente : Le Shanghai Ranking repose sur des critères objectifs et mesurables, comme le nombre de publications dans des revues prestigieuses (Nature, Science), les citations, les prix Nobel ou médailles Fields attribués aux alumni ou chercheurs, et la productivité académique par rapport à la taille de l'institution. Cela réduit les biais subjectifs.
Focus sur la recherche : Il est particulièrement reconnu pour évaluer la performance en recherche des universités, ce qui en fait une référence pour les institutions axées sur la production scientifique.
Longévité et stabilité : Publié depuis 2003 par l'Université Jiao Tong de Shanghai, il est consistent dans sa méthodologie, ce qui permet des comparaisons sur le long terme.
Reconnaissance internationale : Il est largement utilisé par les gouvernements, les universités et les chercheurs pour évaluer la compétitivité académique.
Limites (critiques sur la fiabilité) :
Biais vers la recherche scientifique : Le classement favorise les universités avec une forte production en sciences dures (STEM), au détriment des disciplines comme les sciences humaines, les arts ou les sciences sociales.
Poids des prix prestigieux : Les critères comme les prix Nobel ou Fields favorisent les universités historiques (surtout anglo-saxonnes) et désavantagent les institutions plus jeunes ou celles des pays en développement.
Taille des institutions : Les grandes universités avec plus de chercheurs ont un avantage, car le classement ne pondère pas toujours suffisamment la taille de l'institution.
Manque de focus sur la qualité de l'enseignement : Contrairement au QS ou THE, le Shanghai Ranking ne prend pas en compte des aspects comme la qualité de l'enseignement, l'expérience étudiante ou l'employabilité.
Conclusion :
Le Shanghai Ranking est fiable et sérieux dans son domaine, c'est-à-dire l'évaluation de la performance en recherche des universités, grâce à sa méthodologie objective et rigoureuse. Cependant, il n'est pas exempt de biais et ne reflète pas tous les aspects de la qualité d'une université (notamment l'enseignement ou l'innovation). Si vous cherchez à évaluer une université pour des études ou une carrière académique, il est utile de le compléter avec d'autres classements (QS, THE) et des critères spécifiques à vos besoins (programmes, localisation, etc.).
Si tu connaissais quoi que ce soit à la recherche pauvre petite merde tu saurais que les classements de journaux sont lunaires, par exemple en physique les meilleures revues ont des impact factor éclatés.
Allez la flemme d'éduquer les débiles mentaux retourne te palucher dans ta chambre d'écho le masochiste
Allez la flemme d'éduquer les débiles mentaux retourne te palucher dans ta chambre d'écho le masochiste
il y a un jour
Si tu connaissais quoi que ce soit à la recherche pauvre petite merde tu saurais que les classements de journaux sont lunaires, par exemple en physique les meilleures revues ont des impact factor éclatés.
Allez la flemme d'éduquer les débiles mentaux retourne te palucher dans ta chambre d'écho le masochiste
Allez la flemme d'éduquer les débiles mentaux retourne te palucher dans ta chambre d'écho le masochiste
+ mélanger toutes les disciplines rend le truc encore plus con
il y a un jour
Si tu connaissais quoi que ce soit à la recherche pauvre petite merde tu saurais que les classements de journaux sont lunaires, par exemple en physique les meilleures revues ont des impact factor éclatés.
Allez la flemme d'éduquer les débiles mentaux retourne te palucher dans ta chambre d'écho le masochiste
Allez la flemme d'éduquer les débiles mentaux retourne te palucher dans ta chambre d'écho le masochiste
pourquoi les insultes
are you threatening me
il y a un jour
C'est sûr qu'il y allait pas y avoir l'université de Clermont Ferrand.
Mon site https://retsukoforum.neocities.org/ // youtube https://www.youtube.com/@retsukoforum
il y a 21 heures
Retsuko
21h
C'est sûr qu'il y allait pas y avoir l'université de Clermont Ferrand.
il y a 21 heures
pourquoi les insultes
ceci, personne peut discuter normalement sur ce forum
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 21 heures
et l'école weller ?
c'est la meilleur école du monde
c'est la meilleur école du monde
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 21 heures
et l'école weller ?
c'est la meilleur école du monde
c'est la meilleur école du monde
Bah, c'est une école, pas une Université.
il y a 20 heures
Normal c'est les américains qui font le classement
Oups il l as dit
Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie; personne ne va vers le Père sans passer par moi (14,6)
il y a 20 heures
Comme d'hab, Harvard rafle la 1ère place.
Bordel, les USA dominent vraiment tout c'est impressionnant.
https://www.shanghairanking.com/rankings/arwu/2025
Bordel, les USA dominent vraiment tout c'est impressionnant.
Université paris Saclay est à la 2e place en mathématiques
Vēritās līberābit vōs
il y a 20 heures
Oups il l as dit
Oui, il a dit une connerie vu que ça vient de Chine.
il y a 20 heures
Université paris Saclay est à la 2e place en mathématiques
Ouep...
L'Université Paris-Saclay a obtenu la 2e place mondiale en mathématiques dans le classement thématique de Shanghai 2025 grâce à plusieurs facteurs clés, qui reflètent son excellence en recherche et son prestige académique. Voici une analyse détaillée des raisons probables, basée sur les critères du classement de Shanghai et le contexte de l'université :
Critères du classement de Shanghai (ARWU) :
Le classement thématique de Shanghai évalue les universités sur six critères principaux, axés sur la recherche :
Nombre de prix Nobel et médailles Fields : Paris-Saclay compte onze lauréats de la médaille Fields, dont Hugo Duminil-Copin (2022), ce qui renforce considérablement son score dans ce domaine. La médaille Fields, considérée comme le "Nobel des mathématiques", est un indicateur clé.
Chercheurs les plus cités (Highly Cited Researchers) : L'université héberge 27 chercheurs parmi les plus cités dans leur discipline, ce qui témoigne de l'impact et de la visibilité de ses travaux en mathématiques.
Publications dans des revues prestigieuses : Le classement valorise les articles publiés dans des revues comme Nature et Science. Les laboratoires de Paris-Saclay, notamment en mathématiques, produisent des publications de haut niveau qui contribuent à ce score.
Productivité scientifique par chercheur : La performance est normalisée par la taille de l'institution, ce qui avantage les universités comme Paris-Saclay avec une forte concentration de chercheurs de qualité en mathématiques.
Excellence historique en mathématiques :
Paris-Saclay a été classée 1re mondiale en mathématiques de 2020 à 2022 dans le classement thématique de Shanghai, ce qui montre une tradition d'excellence dans ce domaine. Bien qu'elle soit passée à la 2e place en 2025, cette constance reflète la force de ses laboratoires, tels que :
Le Laboratoire de Mathématiques d’Orsay (UPSaclay/CNRS), reconnu pour ses contributions majeures.
Le Laboratoire Alexander Grothendieck (IHES/CNRS), qui attire des mathématiciens de renommée mondiale.
D'autres laboratoires comme le Centre Borelli, la Fédération de Mathématiques de CentraleSupélec, et le Laboratoire de Mathématiques de Versailles. Ces structures regroupent des chercheurs de premier plan et favorisent des collaborations interdisciplinaires.
Regroupement institutionnel et synergies :
L'Université Paris-Saclay, créée en 2020, est le résultat d'une fusion d'établissements prestigieux comme l'Université Paris-Sud, CentraleSupélec, l'ENS Paris-Saclay, et l’Institut des Hautes Études Scientifiques (IHES). Cette intégration a permis de consolider les ressources et les talents, augmentant l'impact de la recherche mathématique. Le regroupement a également permis de mutualiser les médailles Fields et les publications des anciennes institutions, renforçant la position de Paris-Saclay dans le classement.
Investissements et stratégie de recherche :
Paris-Saclay bénéficie d'investissements significatifs dans le cadre des programmes français comme les "Investissements d'Avenir", qui ont soutenu le développement de ses infrastructures de recherche. La stratégie de l'université, axée sur l'excellence scientifique et l'internationalisation, a permis d'attirer des talents mondiaux et de renforcer sa visibilité. Comme l’a souligné Camille Galap, présidente de l’université, ce positionnement consolide son rôle en tant que grande université de recherche intensive.
Contexte concurrentiel :
Bien que Paris-Saclay ait été dépassée pour la 1re place en 2025 (probablement par une université comme Princeton, qui était 2e en 2020), sa 2e position reste exceptionnelle dans un classement dominé par les institutions anglo-saxonnes. La France excelle particulièrement en mathématiques, avec des établissements comme Sorbonne Université (souvent dans le top 5) et PSL, ce qui reflète un écosystème mathématique national très compétitif.
En résumé, la 2e place de Paris-Saclay en mathématiques dans le classement de Shanghai 2025 s'explique par son excellence en recherche, portée par des médailles Fields, des chercheurs influents, des publications de haut niveau, et une stratégie institutionnelle qui maximise les synergies entre ses laboratoires et partenaires. Malgré un léger recul par rapport à sa 1re place précédente, l’université reste un leader mondial dans ce domaine, confirmant l’attractivité et la qualité de la recherche française en mathématiques.
L'Université Paris-Saclay a obtenu la 2e place mondiale en mathématiques dans le classement thématique de Shanghai 2025 grâce à plusieurs facteurs clés, qui reflètent son excellence en recherche et son prestige académique. Voici une analyse détaillée des raisons probables, basée sur les critères du classement de Shanghai et le contexte de l'université :
Critères du classement de Shanghai (ARWU) :
Le classement thématique de Shanghai évalue les universités sur six critères principaux, axés sur la recherche :
Nombre de prix Nobel et médailles Fields : Paris-Saclay compte onze lauréats de la médaille Fields, dont Hugo Duminil-Copin (2022), ce qui renforce considérablement son score dans ce domaine. La médaille Fields, considérée comme le "Nobel des mathématiques", est un indicateur clé.
Chercheurs les plus cités (Highly Cited Researchers) : L'université héberge 27 chercheurs parmi les plus cités dans leur discipline, ce qui témoigne de l'impact et de la visibilité de ses travaux en mathématiques.
Publications dans des revues prestigieuses : Le classement valorise les articles publiés dans des revues comme Nature et Science. Les laboratoires de Paris-Saclay, notamment en mathématiques, produisent des publications de haut niveau qui contribuent à ce score.
Productivité scientifique par chercheur : La performance est normalisée par la taille de l'institution, ce qui avantage les universités comme Paris-Saclay avec une forte concentration de chercheurs de qualité en mathématiques.
Excellence historique en mathématiques :
Paris-Saclay a été classée 1re mondiale en mathématiques de 2020 à 2022 dans le classement thématique de Shanghai, ce qui montre une tradition d'excellence dans ce domaine. Bien qu'elle soit passée à la 2e place en 2025, cette constance reflète la force de ses laboratoires, tels que :
Le Laboratoire de Mathématiques d’Orsay (UPSaclay/CNRS), reconnu pour ses contributions majeures.
Le Laboratoire Alexander Grothendieck (IHES/CNRS), qui attire des mathématiciens de renommée mondiale.
D'autres laboratoires comme le Centre Borelli, la Fédération de Mathématiques de CentraleSupélec, et le Laboratoire de Mathématiques de Versailles. Ces structures regroupent des chercheurs de premier plan et favorisent des collaborations interdisciplinaires.
Regroupement institutionnel et synergies :
L'Université Paris-Saclay, créée en 2020, est le résultat d'une fusion d'établissements prestigieux comme l'Université Paris-Sud, CentraleSupélec, l'ENS Paris-Saclay, et l’Institut des Hautes Études Scientifiques (IHES). Cette intégration a permis de consolider les ressources et les talents, augmentant l'impact de la recherche mathématique. Le regroupement a également permis de mutualiser les médailles Fields et les publications des anciennes institutions, renforçant la position de Paris-Saclay dans le classement.
Investissements et stratégie de recherche :
Paris-Saclay bénéficie d'investissements significatifs dans le cadre des programmes français comme les "Investissements d'Avenir", qui ont soutenu le développement de ses infrastructures de recherche. La stratégie de l'université, axée sur l'excellence scientifique et l'internationalisation, a permis d'attirer des talents mondiaux et de renforcer sa visibilité. Comme l’a souligné Camille Galap, présidente de l’université, ce positionnement consolide son rôle en tant que grande université de recherche intensive.
Contexte concurrentiel :
Bien que Paris-Saclay ait été dépassée pour la 1re place en 2025 (probablement par une université comme Princeton, qui était 2e en 2020), sa 2e position reste exceptionnelle dans un classement dominé par les institutions anglo-saxonnes. La France excelle particulièrement en mathématiques, avec des établissements comme Sorbonne Université (souvent dans le top 5) et PSL, ce qui reflète un écosystème mathématique national très compétitif.
En résumé, la 2e place de Paris-Saclay en mathématiques dans le classement de Shanghai 2025 s'explique par son excellence en recherche, portée par des médailles Fields, des chercheurs influents, des publications de haut niveau, et une stratégie institutionnelle qui maximise les synergies entre ses laboratoires et partenaires. Malgré un léger recul par rapport à sa 1re place précédente, l’université reste un leader mondial dans ce domaine, confirmant l’attractivité et la qualité de la recherche française en mathématiques.
il y a 20 heures
Ouep...
L'Université Paris-Saclay a obtenu la 2e place mondiale en mathématiques dans le classement thématique de Shanghai 2025 grâce à plusieurs facteurs clés, qui reflètent son excellence en recherche et son prestige académique. Voici une analyse détaillée des raisons probables, basée sur les critères du classement de Shanghai et le contexte de l'université :
Critères du classement de Shanghai (ARWU) :
Le classement thématique de Shanghai évalue les universités sur six critères principaux, axés sur la recherche :
Nombre de prix Nobel et médailles Fields : Paris-Saclay compte onze lauréats de la médaille Fields, dont Hugo Duminil-Copin (2022), ce qui renforce considérablement son score dans ce domaine. La médaille Fields, considérée comme le "Nobel des mathématiques", est un indicateur clé.
Chercheurs les plus cités (Highly Cited Researchers) : L'université héberge 27 chercheurs parmi les plus cités dans leur discipline, ce qui témoigne de l'impact et de la visibilité de ses travaux en mathématiques.
Publications dans des revues prestigieuses : Le classement valorise les articles publiés dans des revues comme Nature et Science. Les laboratoires de Paris-Saclay, notamment en mathématiques, produisent des publications de haut niveau qui contribuent à ce score.
Productivité scientifique par chercheur : La performance est normalisée par la taille de l'institution, ce qui avantage les universités comme Paris-Saclay avec une forte concentration de chercheurs de qualité en mathématiques.
Excellence historique en mathématiques :
Paris-Saclay a été classée 1re mondiale en mathématiques de 2020 à 2022 dans le classement thématique de Shanghai, ce qui montre une tradition d'excellence dans ce domaine. Bien qu'elle soit passée à la 2e place en 2025, cette constance reflète la force de ses laboratoires, tels que :
Le Laboratoire de Mathématiques d’Orsay (UPSaclay/CNRS), reconnu pour ses contributions majeures.
Le Laboratoire Alexander Grothendieck (IHES/CNRS), qui attire des mathématiciens de renommée mondiale.
D'autres laboratoires comme le Centre Borelli, la Fédération de Mathématiques de CentraleSupélec, et le Laboratoire de Mathématiques de Versailles. Ces structures regroupent des chercheurs de premier plan et favorisent des collaborations interdisciplinaires.
Regroupement institutionnel et synergies :
L'Université Paris-Saclay, créée en 2020, est le résultat d'une fusion d'établissements prestigieux comme l'Université Paris-Sud, CentraleSupélec, l'ENS Paris-Saclay, et l’Institut des Hautes Études Scientifiques (IHES). Cette intégration a permis de consolider les ressources et les talents, augmentant l'impact de la recherche mathématique. Le regroupement a également permis de mutualiser les médailles Fields et les publications des anciennes institutions, renforçant la position de Paris-Saclay dans le classement.
Investissements et stratégie de recherche :
Paris-Saclay bénéficie d'investissements significatifs dans le cadre des programmes français comme les "Investissements d'Avenir", qui ont soutenu le développement de ses infrastructures de recherche. La stratégie de l'université, axée sur l'excellence scientifique et l'internationalisation, a permis d'attirer des talents mondiaux et de renforcer sa visibilité. Comme l’a souligné Camille Galap, présidente de l’université, ce positionnement consolide son rôle en tant que grande université de recherche intensive.
Contexte concurrentiel :
Bien que Paris-Saclay ait été dépassée pour la 1re place en 2025 (probablement par une université comme Princeton, qui était 2e en 2020), sa 2e position reste exceptionnelle dans un classement dominé par les institutions anglo-saxonnes. La France excelle particulièrement en mathématiques, avec des établissements comme Sorbonne Université (souvent dans le top 5) et PSL, ce qui reflète un écosystème mathématique national très compétitif.
En résumé, la 2e place de Paris-Saclay en mathématiques dans le classement de Shanghai 2025 s'explique par son excellence en recherche, portée par des médailles Fields, des chercheurs influents, des publications de haut niveau, et une stratégie institutionnelle qui maximise les synergies entre ses laboratoires et partenaires. Malgré un léger recul par rapport à sa 1re place précédente, l’université reste un leader mondial dans ce domaine, confirmant l’attractivité et la qualité de la recherche française en mathématiques.
L'Université Paris-Saclay a obtenu la 2e place mondiale en mathématiques dans le classement thématique de Shanghai 2025 grâce à plusieurs facteurs clés, qui reflètent son excellence en recherche et son prestige académique. Voici une analyse détaillée des raisons probables, basée sur les critères du classement de Shanghai et le contexte de l'université :
Critères du classement de Shanghai (ARWU) :
Le classement thématique de Shanghai évalue les universités sur six critères principaux, axés sur la recherche :
Nombre de prix Nobel et médailles Fields : Paris-Saclay compte onze lauréats de la médaille Fields, dont Hugo Duminil-Copin (2022), ce qui renforce considérablement son score dans ce domaine. La médaille Fields, considérée comme le "Nobel des mathématiques", est un indicateur clé.
Chercheurs les plus cités (Highly Cited Researchers) : L'université héberge 27 chercheurs parmi les plus cités dans leur discipline, ce qui témoigne de l'impact et de la visibilité de ses travaux en mathématiques.
Publications dans des revues prestigieuses : Le classement valorise les articles publiés dans des revues comme Nature et Science. Les laboratoires de Paris-Saclay, notamment en mathématiques, produisent des publications de haut niveau qui contribuent à ce score.
Productivité scientifique par chercheur : La performance est normalisée par la taille de l'institution, ce qui avantage les universités comme Paris-Saclay avec une forte concentration de chercheurs de qualité en mathématiques.
Excellence historique en mathématiques :
Paris-Saclay a été classée 1re mondiale en mathématiques de 2020 à 2022 dans le classement thématique de Shanghai, ce qui montre une tradition d'excellence dans ce domaine. Bien qu'elle soit passée à la 2e place en 2025, cette constance reflète la force de ses laboratoires, tels que :
Le Laboratoire de Mathématiques d’Orsay (UPSaclay/CNRS), reconnu pour ses contributions majeures.
Le Laboratoire Alexander Grothendieck (IHES/CNRS), qui attire des mathématiciens de renommée mondiale.
D'autres laboratoires comme le Centre Borelli, la Fédération de Mathématiques de CentraleSupélec, et le Laboratoire de Mathématiques de Versailles. Ces structures regroupent des chercheurs de premier plan et favorisent des collaborations interdisciplinaires.
Regroupement institutionnel et synergies :
L'Université Paris-Saclay, créée en 2020, est le résultat d'une fusion d'établissements prestigieux comme l'Université Paris-Sud, CentraleSupélec, l'ENS Paris-Saclay, et l’Institut des Hautes Études Scientifiques (IHES). Cette intégration a permis de consolider les ressources et les talents, augmentant l'impact de la recherche mathématique. Le regroupement a également permis de mutualiser les médailles Fields et les publications des anciennes institutions, renforçant la position de Paris-Saclay dans le classement.
Investissements et stratégie de recherche :
Paris-Saclay bénéficie d'investissements significatifs dans le cadre des programmes français comme les "Investissements d'Avenir", qui ont soutenu le développement de ses infrastructures de recherche. La stratégie de l'université, axée sur l'excellence scientifique et l'internationalisation, a permis d'attirer des talents mondiaux et de renforcer sa visibilité. Comme l’a souligné Camille Galap, présidente de l’université, ce positionnement consolide son rôle en tant que grande université de recherche intensive.
Contexte concurrentiel :
Bien que Paris-Saclay ait été dépassée pour la 1re place en 2025 (probablement par une université comme Princeton, qui était 2e en 2020), sa 2e position reste exceptionnelle dans un classement dominé par les institutions anglo-saxonnes. La France excelle particulièrement en mathématiques, avec des établissements comme Sorbonne Université (souvent dans le top 5) et PSL, ce qui reflète un écosystème mathématique national très compétitif.
En résumé, la 2e place de Paris-Saclay en mathématiques dans le classement de Shanghai 2025 s'explique par son excellence en recherche, portée par des médailles Fields, des chercheurs influents, des publications de haut niveau, et une stratégie institutionnelle qui maximise les synergies entre ses laboratoires et partenaires. Malgré un léger recul par rapport à sa 1re place précédente, l’université reste un leader mondial dans ce domaine, confirmant l’attractivité et la qualité de la recherche française en mathématiques.
On peut remercier l'héritage de Bourbaki pour cette génération de médaillés fields
Vēritās līberābit vōs
il y a 20 heures