Yo les kheys,
Fallait que je partage ce qui m’est arrivé
Tout commence y’a genre 2h, j’me dis « vas-y, petit McDo tranquille, j’me fais un plaisir coupable », tu connais. Je prends ma p’tite trott (ouais j’ai la flemme de marcher, me jugez pas), j’arrive là-bas, file d’attente digne d’un concert de JUL, mais j’suis déterminé.
J’arrive à la borne, je prends un menu 280 avec frites + coca, et j’me dis « tiens j’vais tester le McFlurry Daim, ça fait longtemps ». Je valide, je paie avec ma CB, tout roule.
Et là… c’est le début de la fin.
Déjà y’a un gamin derrière moi qui hurle comme s’il venait de perdre un 1v1 sur Fortnite, sa daronne le calcule même pas. J’essaie d’ignorer, j’attends. 10min… 15min… toujours rien. Je vois des gens arrivés après moi repartir avec leurs sacs.
Je vais au comptoir, j’fais un p’tit « excusez-moi » timide. Le mec regarde, il me dit :
« Ah ouais, votre commande elle est là depuis tout à l’heure. »
Je prends le sac, je m’assois, je l’ouvre…
Pas de frites.
PAS. DE. FRITES.
À ce moment-là, j’ai ressenti une tristesse profonde. Le genre de déception qui te fait repenser à toutes tes erreurs de vie. J’regarde autour, j’me dis « est-ce que je retourne râler ? », mais j’suis faible, j’ose pas.
J’ai mangé mon 280 tiède, sans frites, en buvant un coca trop rempli de glaçons.
Le McFlurry ? C’était de la soupe, frère. Une soupe au Daim.
Bref, j’crois que j’suis traumatisé.
Fallait que je partage ce qui m’est arrivé
Tout commence y’a genre 2h, j’me dis « vas-y, petit McDo tranquille, j’me fais un plaisir coupable », tu connais. Je prends ma p’tite trott (ouais j’ai la flemme de marcher, me jugez pas), j’arrive là-bas, file d’attente digne d’un concert de JUL, mais j’suis déterminé.
J’arrive à la borne, je prends un menu 280 avec frites + coca, et j’me dis « tiens j’vais tester le McFlurry Daim, ça fait longtemps ». Je valide, je paie avec ma CB, tout roule.
Et là… c’est le début de la fin.
Déjà y’a un gamin derrière moi qui hurle comme s’il venait de perdre un 1v1 sur Fortnite, sa daronne le calcule même pas. J’essaie d’ignorer, j’attends. 10min… 15min… toujours rien. Je vois des gens arrivés après moi repartir avec leurs sacs.
Je vais au comptoir, j’fais un p’tit « excusez-moi » timide. Le mec regarde, il me dit :
« Ah ouais, votre commande elle est là depuis tout à l’heure. »
Je prends le sac, je m’assois, je l’ouvre…
Pas de frites.
PAS. DE. FRITES.
À ce moment-là, j’ai ressenti une tristesse profonde. Le genre de déception qui te fait repenser à toutes tes erreurs de vie. J’regarde autour, j’me dis « est-ce que je retourne râler ? », mais j’suis faible, j’ose pas.
J’ai mangé mon 280 tiède, sans frites, en buvant un coca trop rempli de glaçons.
Le McFlurry ? C’était de la soupe, frère. Une soupe au Daim.
Bref, j’crois que j’suis traumatisé.
L'op qui retourne au comptoir :
Yo les kheys,
Fallait que je partage ce qui m’est arrivé
Tout commence y’a genre 2h, j’me dis « vas-y, petit McDo tranquille, j’me fais un plaisir coupable », tu connais. Je prends ma p’tite trott (ouais j’ai la flemme de marcher, me jugez pas), j’arrive là-bas, file d’attente digne d’un concert de JUL, mais j’suis déterminé.
J’arrive à la borne, je prends un menu 280 avec frites + coca, et j’me dis « tiens j’vais tester le McFlurry Daim, ça fait longtemps ». Je valide, je paie avec ma CB, tout roule.
Et là… c’est le début de la fin.
Déjà y’a un gamin derrière moi qui hurle comme s’il venait de perdre un 1v1 sur Fortnite, sa daronne le calcule même pas. J’essaie d’ignorer, j’attends. 10min… 15min… toujours rien. Je vois des gens arrivés après moi repartir avec leurs sacs.
Je vais au comptoir, j’fais un p’tit « excusez-moi » timide. Le mec regarde, il me dit :
« Ah ouais, votre commande elle est là depuis tout à l’heure. »
Je prends le sac, je m’assois, je l’ouvre…
Pas de frites.
PAS. DE. FRITES.
À ce moment-là, j’ai ressenti une tristesse profonde. Le genre de déception qui te fait repenser à toutes tes erreurs de vie. J’regarde autour, j’me dis « est-ce que je retourne râler ? », mais j’suis faible, j’ose pas.
J’ai mangé mon 280 tiède, sans frites, en buvant un coca trop rempli de glaçons.
Le McFlurry ? C’était de la soupe, frère. Une soupe au Daim.
Bref, j’crois que j’suis traumatisé.
Fallait que je partage ce qui m’est arrivé
Tout commence y’a genre 2h, j’me dis « vas-y, petit McDo tranquille, j’me fais un plaisir coupable », tu connais. Je prends ma p’tite trott (ouais j’ai la flemme de marcher, me jugez pas), j’arrive là-bas, file d’attente digne d’un concert de JUL, mais j’suis déterminé.
J’arrive à la borne, je prends un menu 280 avec frites + coca, et j’me dis « tiens j’vais tester le McFlurry Daim, ça fait longtemps ». Je valide, je paie avec ma CB, tout roule.
Et là… c’est le début de la fin.
Déjà y’a un gamin derrière moi qui hurle comme s’il venait de perdre un 1v1 sur Fortnite, sa daronne le calcule même pas. J’essaie d’ignorer, j’attends. 10min… 15min… toujours rien. Je vois des gens arrivés après moi repartir avec leurs sacs.
Je vais au comptoir, j’fais un p’tit « excusez-moi » timide. Le mec regarde, il me dit :
« Ah ouais, votre commande elle est là depuis tout à l’heure. »
Je prends le sac, je m’assois, je l’ouvre…
Pas de frites.
PAS. DE. FRITES.
À ce moment-là, j’ai ressenti une tristesse profonde. Le genre de déception qui te fait repenser à toutes tes erreurs de vie. J’regarde autour, j’me dis « est-ce que je retourne râler ? », mais j’suis faible, j’ose pas.
J’ai mangé mon 280 tiède, sans frites, en buvant un coca trop rempli de glaçons.
Le McFlurry ? C’était de la soupe, frère. Une soupe au Daim.
Bref, j’crois que j’suis traumatisé.
vas réclamer tes frittes
Mes frites . . .
Mes frites . . .
Car j'en est envie
Car j'en est envie
Oui ?
Je ne possède strictement rien. Sauf ton âme
Yo les kheys,
Fallait que je partage ce qui m’est arrivé
Tout commence y’a genre 2h, j’me dis « vas-y, petit McDo tranquille, j’me fais un plaisir coupable », tu connais. Je prends ma p’tite trott (ouais j’ai la flemme de marcher, me jugez pas), j’arrive là-bas, file d’attente digne d’un concert de JUL, mais j’suis déterminé.
J’arrive à la borne, je prends un menu 280 avec frites + coca, et j’me dis « tiens j’vais tester le McFlurry Daim, ça fait longtemps ». Je valide, je paie avec ma CB, tout roule.
Et là… c’est le début de la fin.
Déjà y’a un gamin derrière moi qui hurle comme s’il venait de perdre un 1v1 sur Fortnite, sa daronne le calcule même pas. J’essaie d’ignorer, j’attends. 10min… 15min… toujours rien. Je vois des gens arrivés après moi repartir avec leurs sacs.
Je vais au comptoir, j’fais un p’tit « excusez-moi » timide. Le mec regarde, il me dit :
« Ah ouais, votre commande elle est là depuis tout à l’heure. »
Je prends le sac, je m’assois, je l’ouvre…
Pas de frites.
PAS. DE. FRITES.
À ce moment-là, j’ai ressenti une tristesse profonde. Le genre de déception qui te fait repenser à toutes tes erreurs de vie. J’regarde autour, j’me dis « est-ce que je retourne râler ? », mais j’suis faible, j’ose pas.
J’ai mangé mon 280 tiède, sans frites, en buvant un coca trop rempli de glaçons.
Le McFlurry ? C’était de la soupe, frère. Une soupe au Daim.
Bref, j’crois que j’suis traumatisé.
Fallait que je partage ce qui m’est arrivé
Tout commence y’a genre 2h, j’me dis « vas-y, petit McDo tranquille, j’me fais un plaisir coupable », tu connais. Je prends ma p’tite trott (ouais j’ai la flemme de marcher, me jugez pas), j’arrive là-bas, file d’attente digne d’un concert de JUL, mais j’suis déterminé.
J’arrive à la borne, je prends un menu 280 avec frites + coca, et j’me dis « tiens j’vais tester le McFlurry Daim, ça fait longtemps ». Je valide, je paie avec ma CB, tout roule.
Et là… c’est le début de la fin.
Déjà y’a un gamin derrière moi qui hurle comme s’il venait de perdre un 1v1 sur Fortnite, sa daronne le calcule même pas. J’essaie d’ignorer, j’attends. 10min… 15min… toujours rien. Je vois des gens arrivés après moi repartir avec leurs sacs.
Je vais au comptoir, j’fais un p’tit « excusez-moi » timide. Le mec regarde, il me dit :
« Ah ouais, votre commande elle est là depuis tout à l’heure. »
Je prends le sac, je m’assois, je l’ouvre…
Pas de frites.
PAS. DE. FRITES.
À ce moment-là, j’ai ressenti une tristesse profonde. Le genre de déception qui te fait repenser à toutes tes erreurs de vie. J’regarde autour, j’me dis « est-ce que je retourne râler ? », mais j’suis faible, j’ose pas.
J’ai mangé mon 280 tiède, sans frites, en buvant un coca trop rempli de glaçons.
Le McFlurry ? C’était de la soupe, frère. Une soupe au Daim.
Bref, j’crois que j’suis traumatisé.
Tu demande de réchauffer et tu vas leurs demander les frites abrutis
