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Salle de réunion – milieu d’après-midi
La lumière des néons se mêle à un soleil bas qui filtre à travers les stores à demi fermés. Le bruit feutré de l’open space traverse la porte vitrée restée entrouverte : cliquetis de claviers, éclats de voix retenus, froissements de papier.
Autour de la table ovale, trois personnes.
À gauche de Célestin, Natacha. Elle prend des notes d’une écriture serrée dans un petit carnet. Sa robe d’été, légère, laisse glisser un pan de tissu vers l’intérieur de sa cuisse quand elle croise les jambes. Par moments, elle se penche vers son carnet, le buste en avant, et ses seins lourds avancent dans l’ouverture profonde de son décolleté, tirant légèrement sur les bretelles. Ses cheveux bruns glissent sur son épaule quand elle passe la main dedans, relevant son menton un instant avant de replonger dans sa page.
En face d’eux, Élise, chef de projet, la trentaine bien entamée, posture droite, épaules carrées. Sa chemise blanche est fermée jusqu’au troisième bouton seulement, et le tissu, tendu par sa poitrine, dessine nettement les formes dessous. Elle parle posément, son ton précis et rythmé :
— Donc, sur le lot 3, il faut qu’on revoie toute la logique de flux.
Chaque fois qu’elle s’avance pour pointer un schéma à l’écran, sa poitrine suit le mouvement, puis revient lentement quand elle se recule. Son parfum, un peu boisé, flotte par vagues courtes.
Célestin essaie de fixer son regard sur le tableau. Mais dans sa vision périphérique, il perçoit la robe de Natacha qui s’ouvre un peu plus, la chemise d’Élise qui respire sur les boutons, et la chaleur confinée de la pièce qui colle un peu les tissus aux peaux.
Élise s’interrompt, ses yeux se posent directement sur lui.
Un léger sourire, presque ironique, vient effleurer sa bouche.
— Ça va, Célestin ? Je te dérange pas trop ?
Le silence tombe une demi-seconde.
Choisissez la réponse :
1. (professionnel) « Non non, je vous écoute. »
2. (déstabilisé) « Euh… si, enfin non, c’est que… »
3. (oser) « Non… au contraire. »
4. (esquive) « Pardon, je pensais à autre chose. »
La lumière des néons se mêle à un soleil bas qui filtre à travers les stores à demi fermés. Le bruit feutré de l’open space traverse la porte vitrée restée entrouverte : cliquetis de claviers, éclats de voix retenus, froissements de papier.
Autour de la table ovale, trois personnes.
À gauche de Célestin, Natacha. Elle prend des notes d’une écriture serrée dans un petit carnet. Sa robe d’été, légère, laisse glisser un pan de tissu vers l’intérieur de sa cuisse quand elle croise les jambes. Par moments, elle se penche vers son carnet, le buste en avant, et ses seins lourds avancent dans l’ouverture profonde de son décolleté, tirant légèrement sur les bretelles. Ses cheveux bruns glissent sur son épaule quand elle passe la main dedans, relevant son menton un instant avant de replonger dans sa page.
En face d’eux, Élise, chef de projet, la trentaine bien entamée, posture droite, épaules carrées. Sa chemise blanche est fermée jusqu’au troisième bouton seulement, et le tissu, tendu par sa poitrine, dessine nettement les formes dessous. Elle parle posément, son ton précis et rythmé :
— Donc, sur le lot 3, il faut qu’on revoie toute la logique de flux.
Chaque fois qu’elle s’avance pour pointer un schéma à l’écran, sa poitrine suit le mouvement, puis revient lentement quand elle se recule. Son parfum, un peu boisé, flotte par vagues courtes.
Célestin essaie de fixer son regard sur le tableau. Mais dans sa vision périphérique, il perçoit la robe de Natacha qui s’ouvre un peu plus, la chemise d’Élise qui respire sur les boutons, et la chaleur confinée de la pièce qui colle un peu les tissus aux peaux.
Élise s’interrompt, ses yeux se posent directement sur lui.
Un léger sourire, presque ironique, vient effleurer sa bouche.
— Ça va, Célestin ? Je te dérange pas trop ?
Le silence tombe une demi-seconde.
Choisissez la réponse :
1. (professionnel) « Non non, je vous écoute. »
2. (déstabilisé) « Euh… si, enfin non, c’est que… »
3. (oser) « Non… au contraire. »
4. (esquive) « Pardon, je pensais à autre chose. »
il y a un jour
Frieren
1j
3.
— Ça va, Célestin ? Je te dérange pas trop ?
Il relève la tête, et sa voix, un peu plus basse que d’ordinaire, répond :
— Non… au contraire.
Élise ne cligne pas. Ses yeux restent accrochés aux siens, immobiles, l’air de prendre la mesure exacte de la phrase. Le silence s’étire. Son sourire est fin, calculé, presque imperceptible. Elle incline légèrement la tête sur le côté, comme pour le détailler. Puis elle reprend, d’un ton parfaitement neutre :
— Tant mieux… On va pouvoir continuer.
Mais elle parle plus lentement maintenant. Chaque phrase descend d’un cran dans le rythme, comme si elle voulait qu’il ait le temps de tout entendre — pas seulement les mots.
À côté, Natacha a cessé d’écrire. Ses yeux vont de l’un à l’autre, et ses doigts font tourner distraitement son stylo. Elle s’adosse, décroise les jambes, puis les recroise dans l’autre sens. Sa robe glisse légèrement sur la cuisse, laissant passer un éclat de lumière chaude. Elle ne dit rien, mais son regard s’est affûté.
Élise se lève pour attraper un dossier posé sur la table contre le mur. Ses talons claquent doucement sur le parquet, un bruit sec, net, qui résonne dans la petite pièce. La chemise, en se déplaçant, tire encore un peu sur les boutons, et son parfum plus marqué revient jusqu’à lui. Elle feuillette quelques pages, se penche, appuie une main sur le bureau, puis revient lentement à sa place.
— Alors… sur le lot 3, reprenons depuis le début, souffle-t-elle en s’asseyant.
Elle s’incline légèrement vers lui, posant l’avant-bras sur la table. Ses yeux ne le quittent pas. Il sent que la réunion a changé de nature : le contenu passe au second plan. Les mots d’Élise sont précis, mais chaque inflexion de voix, chaque micro-pause semble s’adresser à lui seul.
Natacha se penche pour attraper une feuille, son épaule frôle presque la sienne. Elle la lisse du plat de la main, comme si elle avait besoin d’aplanir le papier avec soin. Son parfum plus doux, plus sucré, se mêle à celui, plus sec, d’Élise. Deux odeurs, deux rythmes, et lui au milieu, forcé de rester parfaitement immobile.
— Célestin, reprend Élise, tu confirmes que ça, ça t’intéresse… ou pas ?
Sa voix traîne sur les deux derniers mots. Natacha relève les yeux, un coin de bouche levé.
1. — Beaucoup… plus que je devrais.
2. Il pose sa main à plat sur la table, juste devant Élise, sans la lâcher des yeux.
3. — Je crois que vous le voyez déjà.
4. Il laisse échapper un léger rire, puis baisse lentement les yeux vers sa bouche.
Il relève la tête, et sa voix, un peu plus basse que d’ordinaire, répond :
— Non… au contraire.
Élise ne cligne pas. Ses yeux restent accrochés aux siens, immobiles, l’air de prendre la mesure exacte de la phrase. Le silence s’étire. Son sourire est fin, calculé, presque imperceptible. Elle incline légèrement la tête sur le côté, comme pour le détailler. Puis elle reprend, d’un ton parfaitement neutre :
— Tant mieux… On va pouvoir continuer.
Mais elle parle plus lentement maintenant. Chaque phrase descend d’un cran dans le rythme, comme si elle voulait qu’il ait le temps de tout entendre — pas seulement les mots.
À côté, Natacha a cessé d’écrire. Ses yeux vont de l’un à l’autre, et ses doigts font tourner distraitement son stylo. Elle s’adosse, décroise les jambes, puis les recroise dans l’autre sens. Sa robe glisse légèrement sur la cuisse, laissant passer un éclat de lumière chaude. Elle ne dit rien, mais son regard s’est affûté.
Élise se lève pour attraper un dossier posé sur la table contre le mur. Ses talons claquent doucement sur le parquet, un bruit sec, net, qui résonne dans la petite pièce. La chemise, en se déplaçant, tire encore un peu sur les boutons, et son parfum plus marqué revient jusqu’à lui. Elle feuillette quelques pages, se penche, appuie une main sur le bureau, puis revient lentement à sa place.
— Alors… sur le lot 3, reprenons depuis le début, souffle-t-elle en s’asseyant.
Elle s’incline légèrement vers lui, posant l’avant-bras sur la table. Ses yeux ne le quittent pas. Il sent que la réunion a changé de nature : le contenu passe au second plan. Les mots d’Élise sont précis, mais chaque inflexion de voix, chaque micro-pause semble s’adresser à lui seul.
Natacha se penche pour attraper une feuille, son épaule frôle presque la sienne. Elle la lisse du plat de la main, comme si elle avait besoin d’aplanir le papier avec soin. Son parfum plus doux, plus sucré, se mêle à celui, plus sec, d’Élise. Deux odeurs, deux rythmes, et lui au milieu, forcé de rester parfaitement immobile.
— Célestin, reprend Élise, tu confirmes que ça, ça t’intéresse… ou pas ?
Sa voix traîne sur les deux derniers mots. Natacha relève les yeux, un coin de bouche levé.
1. — Beaucoup… plus que je devrais.
2. Il pose sa main à plat sur la table, juste devant Élise, sans la lâcher des yeux.
3. — Je crois que vous le voyez déjà.
4. Il laisse échapper un léger rire, puis baisse lentement les yeux vers sa bouche.
il y a un jour
3.
L'ensemble du forum souhaite que Célestin ravage les deux sur la table de réunion
L'ensemble du forum souhaite que Célestin ravage les deux sur la table de réunion
T'as des idées noires keyou ? Plutôt que de faire une connerie, passes discuter en MP.
il y a un jour
3.
L'ensemble du forum souhaite que Célestin ravage les deux sur la table de réunion
L'ensemble du forum souhaite que Célestin ravage les deux sur la table de réunion
Élise se fige à peine, comme si elle devait digérer les mots. Son stylo s’immobilise au-dessus de la feuille. Puis elle le repose, bien droit, et relève lentement la tête.
— Célestin… tu crois que c’est le genre de phrase qu’on sort en réunion ?
Sa voix est basse, contrôlée. Les yeux restent fixés sur lui, sans ciller. Sous la table, il sent que ses mains deviennent moites.
— Alors… dis-le, reprend-elle plus doucement. Qu’est-ce que tu crois que je vois, exactement ?
Natacha a arrêté d’écrire. Ses yeux passent de l’un à l’autre, un peu agrandis. Elle tient son stylo près de sa bouche, comme si elle hésitait à le mordiller. Elle ne dit rien, mais son dos s’est légèrement décollé de la chaise.
— Tu crois que je ne remarque pas, Célestin ? poursuit Élise. Que je ne vois pas où tu regardes ?
Elle appuie ses coudes sur la table, rapprochant son visage du sien, et son chemisier se tend un peu plus. Elle penche légèrement la tête sur le côté, ses yeux glissant vers le bas, puis remontant à son visage avec lenteur.
— Regarde-moi.
Il obéit. Son souffle est plus court, et dans sa périphérie, il voit Natacha se redresser. Ses jambes se décroisent lentement sous la table, laissant deviner un léger mouvement de genou vers lui.
— Dis-le, reprend Élise, son ton glissant presque vers le murmure. Dis-moi ce que t’es en train de penser, là.
Il hésite. Le silence de la pièce pèse, seulement rompu par le léger cliquetis d’un clavier qu’on entend depuis l’open space.
Natacha intervient enfin, sa voix basse, comme si elle craignait qu’on l’entende dehors.
— Peut-être qu’il… qu’il veut pas le dire.
Élise se tourne vers elle, un sourire bref, puis revient vers Célestin.
— Oh, mais il va le dire. Il n’a pas le choix. Pas après m’avoir servi ça.
Ses yeux plongent dans les siens, ses mains se rejoignent sur la table, doigts entrelacés. Elle se penche encore un peu, au point que Célestin perçoit l’odeur précise de son parfum, mêlée à une chaleur plus organique, plus intime.
— Alors, Célestin ? T’es figé ou tu vas avouer ?
Natacha baisse les yeux, mais ses lèvres esquissent un sourire discret. Elle tapote son stylo sur la table, doucement, rythme régulier, comme pour occuper l’espace sonore et l’encourager sans le dire.
1. Il ne répond pas, mais sa jambe effleure celle de Natacha sous la table.
2. — Vous savez très bien où je regarde.
3. — Si je parle… je vais me faire virer.
— Célestin… tu crois que c’est le genre de phrase qu’on sort en réunion ?
Sa voix est basse, contrôlée. Les yeux restent fixés sur lui, sans ciller. Sous la table, il sent que ses mains deviennent moites.
— Alors… dis-le, reprend-elle plus doucement. Qu’est-ce que tu crois que je vois, exactement ?
Natacha a arrêté d’écrire. Ses yeux passent de l’un à l’autre, un peu agrandis. Elle tient son stylo près de sa bouche, comme si elle hésitait à le mordiller. Elle ne dit rien, mais son dos s’est légèrement décollé de la chaise.
— Tu crois que je ne remarque pas, Célestin ? poursuit Élise. Que je ne vois pas où tu regardes ?
Elle appuie ses coudes sur la table, rapprochant son visage du sien, et son chemisier se tend un peu plus. Elle penche légèrement la tête sur le côté, ses yeux glissant vers le bas, puis remontant à son visage avec lenteur.
— Regarde-moi.
Il obéit. Son souffle est plus court, et dans sa périphérie, il voit Natacha se redresser. Ses jambes se décroisent lentement sous la table, laissant deviner un léger mouvement de genou vers lui.
— Dis-le, reprend Élise, son ton glissant presque vers le murmure. Dis-moi ce que t’es en train de penser, là.
Il hésite. Le silence de la pièce pèse, seulement rompu par le léger cliquetis d’un clavier qu’on entend depuis l’open space.
Natacha intervient enfin, sa voix basse, comme si elle craignait qu’on l’entende dehors.
— Peut-être qu’il… qu’il veut pas le dire.
Élise se tourne vers elle, un sourire bref, puis revient vers Célestin.
— Oh, mais il va le dire. Il n’a pas le choix. Pas après m’avoir servi ça.
Ses yeux plongent dans les siens, ses mains se rejoignent sur la table, doigts entrelacés. Elle se penche encore un peu, au point que Célestin perçoit l’odeur précise de son parfum, mêlée à une chaleur plus organique, plus intime.
— Alors, Célestin ? T’es figé ou tu vas avouer ?
Natacha baisse les yeux, mais ses lèvres esquissent un sourire discret. Elle tapote son stylo sur la table, doucement, rythme régulier, comme pour occuper l’espace sonore et l’encourager sans le dire.
1. Il ne répond pas, mais sa jambe effleure celle de Natacha sous la table.
2. — Vous savez très bien où je regarde.
3. — Si je parle… je vais me faire virer.
il y a un jour
nic0dim
1j
Ou sont les stickers ?
Ceci
Une fic sans stickers ? HÉRÉSIE
comment on est censé lire sans sticker ??
Une fic sans stickers ? HÉRÉSIE
comment on est censé lire sans sticker ??
....
......
............
......................
il y a un jour
2, faut leur créer de la tension sexuelle à ces salopes et la première il dit rien tandis que la dernière il parle de conséquences alors que les femelles vivent uniquement dans le présent.
Même si ça fait 3 fois qu'il répète un peu la même chose.
Même si ça fait 3 fois qu'il répète un peu la même chose.
il y a un jour
Sneaky
1j
2, faut leur créer de la tension sexuelle à ces salopes et la première il dit rien tandis que la dernière il parle de conséquences alors que les femelles vivent uniquement dans le présent.
Même si ça fait 3 fois qu'il répète un peu la même chose.
Même si ça fait 3 fois qu'il répète un peu la même chose.
— Vous savez très bien où je regarde.
Il a dit ça sans baisser les yeux, mais il sent déjà la chaleur monter dans sa nuque.
Élise ne bouge pas tout de suite. Elle le fixe, longtemps, jusqu’à ce que le silence devienne presque insupportable. Puis, calmement :
— Dis-le. Je veux t’entendre.
Natacha baisse les yeux, mais elle s’est légèrement tournée vers lui. Sa robe a glissé sur la cuisse, et son genou presque nu est à portée de son regard. Ses doigts jouent avec le bord du tissu, comme si elle hésitait à le replacer.
— Allez, reprends, insiste Élise. Dis-moi ce que tu mates depuis tout à l’heure.
Il avale sa salive.
— Vous… toutes les deux.
Un sourire mince effleure ses lèvres.
— Et quoi chez nous ? Tu veux que je devine ?
Elle penche la tête, et ses yeux descendent ouvertement vers ses propres formes, puis glissent sur Natacha.
— Regarde-la, Célestin. Elle, elle sait pas mentir.
Natacha sursaute presque, puis relève la tête vers lui. Ses joues ont pris une teinte plus chaude, mais elle ne détourne pas le regard.
— Tu le regardes tout le temps, murmure Élise. Hein, Natacha ?
— Peut-être…
Élise se redresse, bras croisés, mais avec un sourire qui n’a plus rien de professionnel.
— Alors vas-y, dis-le-lui. Dis-lui ce que tu vois.
Natacha hésite, puis sa voix, plus basse :
— Je vois… qu’il bande.
Un silence lourd tombe. Célestin sent chaque battement dans son ventre. Élise se penche vers lui, son parfum plus proche.
— Et toi, Célestin ? Tu confirmes ?
Il hoche la tête.
— Non, pas juste la tête. Dis-le.
— Oui…
— Oui quoi ?
— Oui… je bande.
Natacha baisse les yeux un instant, puis relève la tête avec un sourire timide. Élise, elle, garde le sien planté dans ses yeux.
— Et tu bandes pourquoi ?
Il inspire, bloque.
— Pour nous, souffle Élise. C’est ça ?
Il ferme les yeux un instant.
— Oui… pour vous.
Élise recule légèrement, mais son regard reste accroché.
— Bien. Maintenant, tu vas nous dire ce que t’aimerais faire… et tu vas le dire comme un grand.
1. — J’aimerais… vous voir toutes les deux vous embrasser.
2. — J’aimerais… te démonter sur la table, là, tout de suite… pendant que Natacha regarde.
3. — J’aimerais… que Natacha enlève sa culotte… et que vous me la mettiez sur la tête.
Il a dit ça sans baisser les yeux, mais il sent déjà la chaleur monter dans sa nuque.
Élise ne bouge pas tout de suite. Elle le fixe, longtemps, jusqu’à ce que le silence devienne presque insupportable. Puis, calmement :
— Dis-le. Je veux t’entendre.
Natacha baisse les yeux, mais elle s’est légèrement tournée vers lui. Sa robe a glissé sur la cuisse, et son genou presque nu est à portée de son regard. Ses doigts jouent avec le bord du tissu, comme si elle hésitait à le replacer.
— Allez, reprends, insiste Élise. Dis-moi ce que tu mates depuis tout à l’heure.
Il avale sa salive.
— Vous… toutes les deux.
Un sourire mince effleure ses lèvres.
— Et quoi chez nous ? Tu veux que je devine ?
Elle penche la tête, et ses yeux descendent ouvertement vers ses propres formes, puis glissent sur Natacha.
— Regarde-la, Célestin. Elle, elle sait pas mentir.
Natacha sursaute presque, puis relève la tête vers lui. Ses joues ont pris une teinte plus chaude, mais elle ne détourne pas le regard.
— Tu le regardes tout le temps, murmure Élise. Hein, Natacha ?
— Peut-être…
Élise se redresse, bras croisés, mais avec un sourire qui n’a plus rien de professionnel.
— Alors vas-y, dis-le-lui. Dis-lui ce que tu vois.
Natacha hésite, puis sa voix, plus basse :
— Je vois… qu’il bande.
Un silence lourd tombe. Célestin sent chaque battement dans son ventre. Élise se penche vers lui, son parfum plus proche.
— Et toi, Célestin ? Tu confirmes ?
Il hoche la tête.
— Non, pas juste la tête. Dis-le.
— Oui…
— Oui quoi ?
— Oui… je bande.
Natacha baisse les yeux un instant, puis relève la tête avec un sourire timide. Élise, elle, garde le sien planté dans ses yeux.
— Et tu bandes pourquoi ?
Il inspire, bloque.
— Pour nous, souffle Élise. C’est ça ?
Il ferme les yeux un instant.
— Oui… pour vous.
Élise recule légèrement, mais son regard reste accroché.
— Bien. Maintenant, tu vas nous dire ce que t’aimerais faire… et tu vas le dire comme un grand.
1. — J’aimerais… vous voir toutes les deux vous embrasser.
2. — J’aimerais… te démonter sur la table, là, tout de suite… pendant que Natacha regarde.
3. — J’aimerais… que Natacha enlève sa culotte… et que vous me la mettiez sur la tête.
il y a un jour
— Vous savez très bien où je regarde.
Il a dit ça sans baisser les yeux, mais il sent déjà la chaleur monter dans sa nuque.
Élise ne bouge pas tout de suite. Elle le fixe, longtemps, jusqu’à ce que le silence devienne presque insupportable. Puis, calmement :
— Dis-le. Je veux t’entendre.
Natacha baisse les yeux, mais elle s’est légèrement tournée vers lui. Sa robe a glissé sur la cuisse, et son genou presque nu est à portée de son regard. Ses doigts jouent avec le bord du tissu, comme si elle hésitait à le replacer.
— Allez, reprends, insiste Élise. Dis-moi ce que tu mates depuis tout à l’heure.
Il avale sa salive.
— Vous… toutes les deux.
Un sourire mince effleure ses lèvres.
— Et quoi chez nous ? Tu veux que je devine ?
Elle penche la tête, et ses yeux descendent ouvertement vers ses propres formes, puis glissent sur Natacha.
— Regarde-la, Célestin. Elle, elle sait pas mentir.
Natacha sursaute presque, puis relève la tête vers lui. Ses joues ont pris une teinte plus chaude, mais elle ne détourne pas le regard.
— Tu le regardes tout le temps, murmure Élise. Hein, Natacha ?
— Peut-être…
Élise se redresse, bras croisés, mais avec un sourire qui n’a plus rien de professionnel.
— Alors vas-y, dis-le-lui. Dis-lui ce que tu vois.
Natacha hésite, puis sa voix, plus basse :
— Je vois… qu’il bande.
Un silence lourd tombe. Célestin sent chaque battement dans son ventre. Élise se penche vers lui, son parfum plus proche.
— Et toi, Célestin ? Tu confirmes ?
Il hoche la tête.
— Non, pas juste la tête. Dis-le.
— Oui…
— Oui quoi ?
— Oui… je bande.
Natacha baisse les yeux un instant, puis relève la tête avec un sourire timide. Élise, elle, garde le sien planté dans ses yeux.
— Et tu bandes pourquoi ?
Il inspire, bloque.
— Pour nous, souffle Élise. C’est ça ?
Il ferme les yeux un instant.
— Oui… pour vous.
Élise recule légèrement, mais son regard reste accroché.
— Bien. Maintenant, tu vas nous dire ce que t’aimerais faire… et tu vas le dire comme un grand.
1. — J’aimerais… vous voir toutes les deux vous embrasser.
2. — J’aimerais… te démonter sur la table, là, tout de suite… pendant que Natacha regarde.
3. — J’aimerais… que Natacha enlève sa culotte… et que vous me la mettiez sur la tête.
Il a dit ça sans baisser les yeux, mais il sent déjà la chaleur monter dans sa nuque.
Élise ne bouge pas tout de suite. Elle le fixe, longtemps, jusqu’à ce que le silence devienne presque insupportable. Puis, calmement :
— Dis-le. Je veux t’entendre.
Natacha baisse les yeux, mais elle s’est légèrement tournée vers lui. Sa robe a glissé sur la cuisse, et son genou presque nu est à portée de son regard. Ses doigts jouent avec le bord du tissu, comme si elle hésitait à le replacer.
— Allez, reprends, insiste Élise. Dis-moi ce que tu mates depuis tout à l’heure.
Il avale sa salive.
— Vous… toutes les deux.
Un sourire mince effleure ses lèvres.
— Et quoi chez nous ? Tu veux que je devine ?
Elle penche la tête, et ses yeux descendent ouvertement vers ses propres formes, puis glissent sur Natacha.
— Regarde-la, Célestin. Elle, elle sait pas mentir.
Natacha sursaute presque, puis relève la tête vers lui. Ses joues ont pris une teinte plus chaude, mais elle ne détourne pas le regard.
— Tu le regardes tout le temps, murmure Élise. Hein, Natacha ?
— Peut-être…
Élise se redresse, bras croisés, mais avec un sourire qui n’a plus rien de professionnel.
— Alors vas-y, dis-le-lui. Dis-lui ce que tu vois.
Natacha hésite, puis sa voix, plus basse :
— Je vois… qu’il bande.
Un silence lourd tombe. Célestin sent chaque battement dans son ventre. Élise se penche vers lui, son parfum plus proche.
— Et toi, Célestin ? Tu confirmes ?
Il hoche la tête.
— Non, pas juste la tête. Dis-le.
— Oui…
— Oui quoi ?
— Oui… je bande.
Natacha baisse les yeux un instant, puis relève la tête avec un sourire timide. Élise, elle, garde le sien planté dans ses yeux.
— Et tu bandes pourquoi ?
Il inspire, bloque.
— Pour nous, souffle Élise. C’est ça ?
Il ferme les yeux un instant.
— Oui… pour vous.
Élise recule légèrement, mais son regard reste accroché.
— Bien. Maintenant, tu vas nous dire ce que t’aimerais faire… et tu vas le dire comme un grand.
1. — J’aimerais… vous voir toutes les deux vous embrasser.
2. — J’aimerais… te démonter sur la table, là, tout de suite… pendant que Natacha regarde.
3. — J’aimerais… que Natacha enlève sa culotte… et que vous me la mettiez sur la tête.
2
il y a un jour
La 3 putain
Non
il y a un jour
2
Natacha reste figée, les mains crispées sur ses genoux.
— Enlève, dit Élise, sans lever la voix.
Le silence dure une seconde, puis Natacha se lève à moitié, attrape l’ourlet de sa robe et la remonte lentement. Le tissu dévoile la culotte claire, collée par l’humidité. Ses doigts tirent sur l’élastique, le coton se décolle avec un léger bruit, révélant la chaleur qui y était enfermée.
Quand elle la tend, la petite pièce de tissu est assombrie en son centre, marquée d’une auréole humide. L’odeur chaude monte aussitôt.
Élise la prend, se redresse et, avec un calme presque clinique, la passe sur sa tête comme un masque : les yeux dans les ouvertures des jambes, le nez enfoncé pile dans la partie mouillée. Elle ajuste le tissu avec précision, comme si elle ajustait un accessoire de présentation.
— Voilà, dit-elle en reprenant place. J’espère que comme ça, tu pourras mieux suivre la réunion… gros pervers.
Elle ouvre son dossier et reprend, ton parfaitement neutre :
— Donc, sur le lot 3, les flux doivent être optimisés pour éviter les doublons en entrée de données…
Chaque respiration qu’elle prend traverse la matière humide, et l’odeur, plus présente encore, flotte dans la pièce.
Natacha s’est rassis très droit, les joues écarlates, les cuisses serrées au point de se contracter, ses mains crispées sur le bord de sa chaise. Elle ne regarde ni Élise ni Célestin, mais son souffle trahit tout.
Élise tourne une page, les yeux visibles à travers le coton clair, qui ne masque pas son regard direct vers lui.
— Tu suis, Célestin ? demanda-t-elle avec le même ton qu’elle emploierait pour vérifier une ligne budgétaire.
— Enlève, dit Élise, sans lever la voix.
Le silence dure une seconde, puis Natacha se lève à moitié, attrape l’ourlet de sa robe et la remonte lentement. Le tissu dévoile la culotte claire, collée par l’humidité. Ses doigts tirent sur l’élastique, le coton se décolle avec un léger bruit, révélant la chaleur qui y était enfermée.
Quand elle la tend, la petite pièce de tissu est assombrie en son centre, marquée d’une auréole humide. L’odeur chaude monte aussitôt.
Élise la prend, se redresse et, avec un calme presque clinique, la passe sur sa tête comme un masque : les yeux dans les ouvertures des jambes, le nez enfoncé pile dans la partie mouillée. Elle ajuste le tissu avec précision, comme si elle ajustait un accessoire de présentation.
— Voilà, dit-elle en reprenant place. J’espère que comme ça, tu pourras mieux suivre la réunion… gros pervers.
Elle ouvre son dossier et reprend, ton parfaitement neutre :
— Donc, sur le lot 3, les flux doivent être optimisés pour éviter les doublons en entrée de données…
Chaque respiration qu’elle prend traverse la matière humide, et l’odeur, plus présente encore, flotte dans la pièce.
Natacha s’est rassis très droit, les joues écarlates, les cuisses serrées au point de se contracter, ses mains crispées sur le bord de sa chaise. Elle ne regarde ni Élise ni Célestin, mais son souffle trahit tout.
Élise tourne une page, les yeux visibles à travers le coton clair, qui ne masque pas son regard direct vers lui.
— Tu suis, Célestin ? demanda-t-elle avec le même ton qu’elle emploierait pour vérifier une ligne budgétaire.
il y a un jour
nic0dim
1j
Ou sont les stickers ?
Chat GPT n'arrive pas encore à bien les intégrer
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
il y a un jour
Ceci
Une fic sans stickers ? HÉRÉSIE
comment on est censé lire sans sticker ??
Une fic sans stickers ? HÉRÉSIE
comment on est censé lire sans sticker ??
Bordel c'est vraiment nul je n'ai pas réussi à finir le premier pavé par manque de stickers je suis dégoûté où sont les vrais fictions ?
🦧🦍
il y a un jour
Ok les gars, je suis navré, la prochaine fois je lui donnerai des stickers à intégrer
il y a un jour