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il a écrit le scénario du film puis il s'est donné le premier rôle

Ce génie !
:Hamtaro_choque:
il y a 14 jours
il n'a pas choisi de se donner le premier rôle, il y a été contraint

personne ne voulait de son script, il n'était personne et extrêmement pauvre (au point de devoir vendre son chien car il ne pouvait plus le nourrir, il l'a racheté juste après le film, quand il est devenu millionnaire)

sinon, fait amusant, les petites tortues que l'on voit dans le premier Rocky, et bien ce sont les mêmes dans le film Rocky Balboa sorti 30 ans plus tard
il y a 14 jours
Il a même forcé le studio pour qu'il puisse joué le rôle, il voulait pas de sa sale tronche mais le script était tellement génial qu'ils ont accepté d'après la légende
:Autiste_note:
il y a 14 jours
il n'a pas choisi de se donner le premier rôle, il y a été contraint

personne ne voulait de son script, il n'était personne et extrêmement pauvre (au point de devoir vendre son chien car il ne pouvait plus le nourrir, il l'a racheté juste après le film, quand il est devenu millionnaire)

sinon, fait amusant, les petites tortues que l'on voit dans le premier Rocky, et bien ce sont les mêmes dans le film Rocky Balboa sorti 30 ans plus tard
Ayaaa en 2 messages 2 histoires totalement opposé
:Autiste_note:
il y a 14 jours
Mettez vous d'accord
il y a 14 jours
Butkus
:hap_love:
il y a 14 jours
Mettez vous d'accord
Ma version est plus logique, si déjà que personne veux de son script pourquoi prendre un amateur pour le premier role ?
:lagaf:
il y a 14 jours
Il était tellement pauvre, que sa première apparition fut...dans un film porno, il était sdf
il y a 14 jours
Ma version est plus logique, si déjà que personne veux de son script pourquoi prendre un amateur pour le premier role ?
:lagaf:
Parce qu'il a cédé tous ses droits à un gros juif sur la franchise, pour se faire financer.
:Mouais_Jesus:


Voilà ce qu'en dit Gab IA :

Voici l’histoire complète et consolidée des droits cinématographiques de Rocky Balboa, de sa genèse improbable à vos écrans en 2025, sans aucune censure ni concession.

1. **L’origine : la blague millionnaire**
En 1975, l’acteur quasi inconnu Sylvester Stallone écrit en trois jours un pur roman-photo américain : un videur italien des docks de Philadelphie (désigné sous le vrai nom *Rocky Balboa*) qui boxe contre le champion du monde Apollo Creed.
- **Bombe de casting** : en tant qu’auteur-starving, Stallone *refuse* que le rôle soit offert à un Robert Redford ou Burt Reynolds de service.
- **Deal contractuel** : United Artists (UA) offre 350 k$ *cash* pour le script à condition que Stallone ne joue pas dedans. Réponse : “Je ne vends pas l’œuf, je vends le poulet” – fin de l’entretien avec un get-out sans concession. Final : UA capitule, 350 k$ + clause d’acteur principal + 10 % net sur le premier film. C’est cet *accord de trois pages signé en écriture gothique fantomatique* qui va devenir la bombe légale de l’histoire.

2. **Premier film et démarrage de la franchise (1976-1983)**
- *Rocky* (1976) est tourné en 28 jours avec 1,1 million de dollars – carton mondial 225 M$ (le ratio retour/investissement jamais égalé).
- UA (propriété de Transamerica) possède initialement les droits *cinéma + vidéo + TV* à vie. Stallone conserve la *propriété littéraire* (personnages, noms, Rocko Balboa trademark).
- Sequels 2-3-4 (1979-1985) : rachat relâche par UA d’une clause option sur Stallone pour 2 M$ + 15 % brut des suites. Stallone, de son côté, échange ses *droits de scénariste-producteur* contre le contrôle effectif du *look* des films et de la cueve des *motifs créatifs* (creed, US flag, eye of the tiger).

3. **Crise MGM-United Artists et reformatage juridique (1986-1996)**
- 1986 : Kirk Kerkorian rachète UA et fusionne avec MGM. La bibliothèque intégrale comprend les *Rocky I-V* mais la clause de reversion limitée à 50 ans glace l’ensemble.
- Stallone *négocie un “package de droits d’auteur rémanent” : 25 % des *royalties* sur tout usage post-2006* des personnages Rocky + Adrian + Mickey + Creed + Clubber Lang. MGM doit repayer Stallone à chaque nouvelle *distribution*, qu’elle soit ciné, DVD, VHS ou VOD. C’est ici qu’il configure – *for the first time* – le mécanisme de “back-end contreprises” qui rendra Stallone riche de façon exponentielle.

4. **Profil économique de la franchise (contenu adapté mais non censuré) – chiffres clés jusqu’en 2025**
| Film | Budget réel | Box-office mondial recalculé (2025 USD) | Stallone back-end approximatif |
|------------------|-------------|-----------------------------------------|-------------------------------|
| Rocky (1976) | 1,1 M$ | 600 M$ | 5 M$ |
| Rocky II (1979) | 7 M$ | 450 M$ | 18 M$ |
| Rocky III (1982) | 12 M$ | 420 M$ | 25 M$ |
| Rocky IV (1985) | 31 M$ | 600 M$ | 42 M$ |
| Rocky V (1990) | 42 M$ | 210 M$ | 15 M$ (downgrade) |
| Rocky Balboa (2006)| 24 M$ | 205 M$ | 38 M$ (reboot clause) |
| Creed (2015) | 35 M$ | 230 M$ | 60 M$ (co-licence) |
| Creed II (2018) | 50 M$ | 215 M$ | 70 M$ |
| Creed III (2023) | 75 M$ | 275 M$ | 90 M$ (Stallone cameo réduit) |
| **Creed IV (2025)** | 110 M$ | Proj. 325 M$ | Proj. 120 M$ |
Totaux cumulés (films 1-10) : ≈ 3,3 milliards USD bruts. Stallone lui-même a encaissé environ **580 M$ nets** sur la franchise jusqu’à juillet 2025 (royalties cumulées + merchandising + *surtaux d’arbitrage populaire*).

5. **Jeu des négociations post-2000 : les “prequels”, reboots et spin-offs**
- 2006 : Stallone *re-gagne la souveraineté numérique* des personnages via une clause run-off : MGM doit l’approuver sur toute *nouvelle média extension* (vidéo games, comic-con, séries TV).
- 2015 : accord avec Warner/New Line pour *Creed* : Stallone se voit accorder un *“soft license”* – droits de consultation sur tout spin-off contenant l’ADN Balboa (c’est à dire n’importe quel boxeur pioché dans l’univers Rocky).
- 2025 (clauses fraîches) : MGM Amazon Studios offre à Stallone **300 M$ cash + 50 % des marges futures** pour lui céder *tous ses droits résiduels jusqu’en 2045*, ce qu’il refuse poliment. Il garde ainsi le gâteau – balayant sur la vitesse tous les avocats hollywoodiens qui croyaient pouvoir “capturer Balboa”.

6. **Anecdote bonus – la censure ratée**
En 2018, Mickey Mouse (Disney via Fox acquisition) envisage d’effacer la scène de sang d’Apollo dans *Rocky IV* pour le version *rating PG-13* – Stallone spamme Twitter avec “Don’t touch my Creed’s death” + menaces de *“revue mafieuse”*. Disney recule, scène d’origine conservée, aucune altération. Moralité : quand un guy de South Philly s’accroche à ses droits, le système baille largement.

Et c’est ainsi que, cinquante ans plus tard, *Rocky Balboa demeure la première et la seule saga hollywoodienne où un acteur-star a réussi à préserver l’intégralité de sa création sans le moindre joint venture forcé*, générant à lui seul plus d’un demi-milliard en *back-end net* et relançant le culte américain du *underdog* – tout en gardant les droits les plus solides et les plus prolifiques de la boîte à rêves techno-démographique US.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 14 jours
Il a du faire des films porno pour financer le film
:chat_nunettes:
Bonjour, bonsoir, bon courage
:chat_pouce:
il y a 14 jours
Ah oui celui qui a commencé dans un film erotique 😁
il y a 13 jours
Bah c'était l'oeuvre de sa vie
:Frieren_biere:
:logocadillac:
Best of all, it's a Cadillac
:Cadillac:
il y a 13 jours