Ce sujet a été résolu
Exemple caractéristique : pour lui tej une meuf qui t'a trompé est signe d'être un chad... Genre en filigrane il y a une prime à s'en battre les couilles fondamentalement de sa meuf mais juste bander sur un modèle de relation où l'autre est interchangeable du moment qu'il est conforme... Ce qui in fine revient exactement à tromper du coup..
Alors que si tu as une réelle exclusivité affective (ce qui est censé être la raison pour laquelle tu ne peux pas passer un fait aussi gravissime que la tromperie), tu auras toujours une faiblesse qui ouvre la porte à ce que la personne avec qui tu as des souvenirs si elle est ultra attachée à toi va toujours raviver ta compassion et ton indulgence... Ce qui peut facilement pousser au suicide si tu restes avec cette personne car pour autant l'irréparable est et restera à jamais commis
En réalité la seule réponse possible pour empêcher une relation pourrie de revenir comme un refrain lancinant sous l'hypocrisie d'être "enfin réparé" dans le sens où le quotidien désormais est comme il aurait toujours dû être, ravaler constamment son dépit au nom de la stabilité actuelle ou de l'attachement impérissable de l'autre qui suffirait à compenser le passé, la solution réelle pour l'empêcher de "reconstruire la relation" c'est de l'abattre sur le champ
Pareil pour le "bodycount", une fausse question : un passé sexuel est un passé sexuel un point c'est tout. Faire croire qu'avoir 2 ex plutôt qu'avoir 100 ex fait une quelconque différence, cela relève, ni plus ni moins, de l'incitation à la débauche
En réalité ces personnages sont nos pires ennemis en parlant "à notre place" sous forme d'une version non-absolutiste de "notre sensibilité", donc la profanation la plus crasse
il y a 3 jours
Pas lu mais oui les réseaux sociaux c'est de la merde, mais bon ici vous êtes les premiers à tomber dans touts les panneaux
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 3 jours
Exemple caractéristique : pour lui tej une meuf qui t'a trompé est signe d'être un chad... Genre en filigrane il y a une prime à s'en battre les couilles fondamentalement de sa meuf mais juste bander sur un modèle de relation où l'autre est interchangeable du moment qu'il est conforme... Ce qui in fine revient exactement à tromper du coup..
Alors que si tu as une réelle exclusivité affective (ce qui est censé être la raison pour laquelle tu ne peux pas passer un fait aussi gravissime que la tromperie), tu auras toujours une faiblesse qui ouvre la porte à ce que la personne avec qui tu as des souvenirs si elle est ultra attachée à toi va toujours raviver ta compassion et ton indulgence... Ce qui peut facilement pousser au suicide si tu restes avec cette personne car pour autant l'irréparable est et restera à jamais commis
En réalité la seule réponse possible pour empêcher une relation pourrie de revenir comme un refrain lancinant sous l'hypocrisie d'être "enfin réparé" dans le sens où le quotidien désormais est comme il aurait toujours dû être, ravaler constamment son dépit au nom de la stabilité actuelle ou de l'attachement impérissable de l'autre qui suffirait à compenser le passé, la solution réelle pour l'empêcher de "reconstruire la relation" c'est de l'abattre sur le champ
Pareil pour le "bodycount", une fausse question : un passé sexuel est un passé sexuel un point c'est tout. Faire croire qu'avoir 2 ex plutôt qu'avoir 100 ex fait une quelconque différence, cela relève, ni plus ni moins, de l'incitation à la débauche
En réalité ces personnages sont nos pires ennemis en parlant "à notre place" sous forme d'une version non-absolutiste de "notre sensibilité", donc la profanation la plus crasse
Ils ont la même vision matérialiste, marchande, utilitariste que les féministes, c'est juste inversé en faveur des hommes.
Au plaisir ~
il y a 3 jours
Il faut soulager les trompeurs qui persistent dans l'attachement et la croyance à aller de l'avant malgré l'irréparable. Il faut les euthanasier.
il y a 3 jours
Exemple caractéristique : pour lui tej une meuf qui t'a trompé est signe d'être un chad... Genre en filigrane il y a une prime à s'en battre les couilles fondamentalement de sa meuf mais juste bander sur un modèle de relation où l'autre est interchangeable du moment qu'il est conforme... Ce qui in fine revient exactement à tromper du coup..
Alors que si tu as une réelle exclusivité affective (ce qui est censé être la raison pour laquelle tu ne peux pas passer un fait aussi gravissime que la tromperie), tu auras toujours une faiblesse qui ouvre la porte à ce que la personne avec qui tu as des souvenirs si elle est ultra attachée à toi va toujours raviver ta compassion et ton indulgence... Ce qui peut facilement pousser au suicide si tu restes avec cette personne car pour autant l'irréparable est et restera à jamais commis
En réalité la seule réponse possible pour empêcher une relation pourrie de revenir comme un refrain lancinant sous l'hypocrisie d'être "enfin réparé" dans le sens où le quotidien désormais est comme il aurait toujours dû être, ravaler constamment son dépit au nom de la stabilité actuelle ou de l'attachement impérissable de l'autre qui suffirait à compenser le passé, la solution réelle pour l'empêcher de "reconstruire la relation" c'est de l'abattre sur le champ
Pareil pour le "bodycount", une fausse question : un passé sexuel est un passé sexuel un point c'est tout. Faire croire qu'avoir 2 ex plutôt qu'avoir 100 ex fait une quelconque différence, cela relève, ni plus ni moins, de l'incitation à la débauche
En réalité ces personnages sont nos pires ennemis en parlant "à notre place" sous forme d'une version non-absolutiste de "notre sensibilité", donc la profanation la plus crasse
ces gens la sont de boutiquier pour 80 de QI, par contre ton raisonnement n'est juste pas possible.
Une meuf qui s'est tapé 50mec c'est une serpillière à foutre, un point à la ligne, et oui il y a une différence fondamental avec un mec qui baise tout ce qui bouge :
C'est très simple d'être une pute : une meuf qui choisit toujours la faciliter et peu vendre son cul pour n'importe quoi, tu as envie de fonder une famille avec ?
Une meuf incapable de stabilité quand on lui donne un peu d'attention, c'est un bon partenaire pour la vie ?
Les mecs ont beau être des chiens en général, ils reviennent toujours à la niche
Une meuf qui s'est tapé 50mec c'est une serpillière à foutre, un point à la ligne, et oui il y a une différence fondamental avec un mec qui baise tout ce qui bouge :
C'est très simple d'être une pute : une meuf qui choisit toujours la faciliter et peu vendre son cul pour n'importe quoi, tu as envie de fonder une famille avec ?
Une meuf incapable de stabilité quand on lui donne un peu d'attention, c'est un bon partenaire pour la vie ?
Les mecs ont beau être des chiens en général, ils reviennent toujours à la niche
il y a 3 jours
ces gens la sont de boutiquier pour 80 de QI, par contre ton raisonnement n'est juste pas possible.
Une meuf qui s'est tapé 50mec c'est une serpillière à foutre, un point à la ligne, et oui il y a une différence fondamental avec un mec qui baise tout ce qui bouge :
C'est très simple d'être une pute : une meuf qui choisit toujours la faciliter et peu vendre son cul pour n'importe quoi, tu as envie de fonder une famille avec ?
Une meuf incapable de stabilité quand on lui donne un peu d'attention, c'est un bon partenaire pour la vie ?
Les mecs ont beau être des chiens en général, ils reviennent toujours à la niche
Une meuf qui s'est tapé 50mec c'est une serpillière à foutre, un point à la ligne, et oui il y a une différence fondamental avec un mec qui baise tout ce qui bouge :
C'est très simple d'être une pute : une meuf qui choisit toujours la faciliter et peu vendre son cul pour n'importe quoi, tu as envie de fonder une famille avec ?
Une meuf incapable de stabilité quand on lui donne un peu d'attention, c'est un bon partenaire pour la vie ?
Les mecs ont beau être des chiens en général, ils reviennent toujours à la niche
Une meuf qui a eu 1 ou 2 ex est tout autant une serpillière à foutre. Arrête d'inciter à la débauche
il y a 3 jours
ces gens la sont de boutiquier pour 80 de QI, par contre ton raisonnement n'est juste pas possible.
Une meuf qui s'est tapé 50mec c'est une serpillière à foutre, un point à la ligne, et oui il y a une différence fondamental avec un mec qui baise tout ce qui bouge :
C'est très simple d'être une pute : une meuf qui choisit toujours la faciliter et peu vendre son cul pour n'importe quoi, tu as envie de fonder une famille avec ?
Une meuf incapable de stabilité quand on lui donne un peu d'attention, c'est un bon partenaire pour la vie ?
Les mecs ont beau être des chiens en général, ils reviennent toujours à la niche
Une meuf qui s'est tapé 50mec c'est une serpillière à foutre, un point à la ligne, et oui il y a une différence fondamental avec un mec qui baise tout ce qui bouge :
C'est très simple d'être une pute : une meuf qui choisit toujours la faciliter et peu vendre son cul pour n'importe quoi, tu as envie de fonder une famille avec ?
Une meuf incapable de stabilité quand on lui donne un peu d'attention, c'est un bon partenaire pour la vie ?
Les mecs ont beau être des chiens en général, ils reviennent toujours à la niche
On s'en fout qu'il reviennent à la niche. Une courte instabilité, une envie passagère
euthanasie

il y a 3 jours
Ananas
3j
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Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
il y a 3 jours
Exemple caractéristique : pour lui tej une meuf qui t'a trompé est signe d'être un chad... Genre en filigrane il y a une prime à s'en battre les couilles fondamentalement de sa meuf mais juste bander sur un modèle de relation où l'autre est interchangeable du moment qu'il est conforme... Ce qui in fine revient exactement à tromper du coup..
Alors que si tu as une réelle exclusivité affective (ce qui est censé être la raison pour laquelle tu ne peux pas passer un fait aussi gravissime que la tromperie), tu auras toujours une faiblesse qui ouvre la porte à ce que la personne avec qui tu as des souvenirs si elle est ultra attachée à toi va toujours raviver ta compassion et ton indulgence... Ce qui peut facilement pousser au suicide si tu restes avec cette personne car pour autant l'irréparable est et restera à jamais commis
En réalité la seule réponse possible pour empêcher une relation pourrie de revenir comme un refrain lancinant sous l'hypocrisie d'être "enfin réparé" dans le sens où le quotidien désormais est comme il aurait toujours dû être, ravaler constamment son dépit au nom de la stabilité actuelle ou de l'attachement impérissable de l'autre qui suffirait à compenser le passé, la solution réelle pour l'empêcher de "reconstruire la relation" c'est de l'abattre sur le champ
Pareil pour le "bodycount", une fausse question : un passé sexuel est un passé sexuel un point c'est tout. Faire croire qu'avoir 2 ex plutôt qu'avoir 100 ex fait une quelconque différence, cela relève, ni plus ni moins, de l'incitation à la débauche
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Les deux sont des marchands du temple
Donc il faut les virer et ne pas les écouter
Donc il faut les virer et ne pas les écouter
Wszystko jest zjebane i wszyscy zginiemy
il y a 3 jours
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Alors que si tu as une réelle exclusivité affective (ce qui est censé être la raison pour laquelle tu ne peux pas passer un fait aussi gravissime que la tromperie), tu auras toujours une faiblesse qui ouvre la porte à ce que la personne avec qui tu as des souvenirs si elle est ultra attachée à toi va toujours raviver ta compassion et ton indulgence... Ce qui peut facilement pousser au suicide si tu restes avec cette personne car pour autant l'irréparable est et restera à jamais commis
En réalité la seule réponse possible pour empêcher une relation pourrie de revenir comme un refrain lancinant sous l'hypocrisie d'être "enfin réparé" dans le sens où le quotidien désormais est comme il aurait toujours dû être, ravaler constamment son dépit au nom de la stabilité actuelle ou de l'attachement impérissable de l'autre qui suffirait à compenser le passé, la solution réelle pour l'empêcher de "reconstruire la relation" c'est de l'abattre sur le champ
Pareil pour le "bodycount", une fausse question : un passé sexuel est un passé sexuel un point c'est tout. Faire croire qu'avoir 2 ex plutôt qu'avoir 100 ex fait une quelconque différence, cela relève, ni plus ni moins, de l'incitation à la débauche
En réalité ces personnages sont nos pires ennemis en parlant "à notre place" sous forme d'une version non-absolutiste de "notre sensibilité", donc la profanation la plus crasse
Désolé, j'ai lancé la vidéo, entendu "au nom de dieu" et des séries de "wallah" , flemme d'ecouter la suite et de lire ton pavé, je me fiche a 100% des problème de situation amoureuse de grand remplacé mentaux
Maybe I just want to maybe...
il y a 3 jours
Désolé, j'ai lancé la vidéo, entendu "au nom de dieu" et des séries de "wallah" , flemme d'ecouter la suite et de lire ton pavé, je me fiche a 100% des problème de situation amoureuse de grand remplacé mentaux
À un moment, j'ai fait part à Kyllian d'une anecdote que j'avais lu il y a un moment via Google Actu. Les personnes qui se supplémentent en vitamines ont une espérance de vie réduite. On pourrait croire que ce sont au contraire les personnes faibles ou malades qui se supplémentent, d'où la surmortalité de la population concernée, c'est à la mode en ce moment de faire le malin comme ça, en montrant qu'on prend en compte un biais connu alors qu'il s'agit encore de sauter sur la première interprétation venue. Je ne crois pas que ce soit ça. Je livrai à Kyllian mon interprétation : si vous prescrivez des apports nutritionnels quelconques à une population, il se trouvera nécessairement des individus à qui cela bénéficiera plus qu'à d'autres. Admettons qu'en moyenne, ce soit véritablement les apports conseillés qui soient les meilleurs, cela ne veut pas du tout dire que le fait pour cette population d'avoir davantage tendance à se régler sur cette valeur aura une tendance générale à en tirer des bienfaits, cela veut seulement dire que toute autre valeur aurait fait plus de dommages collatéraux. À part cela, « la bonne valeur » peut très bien faire une majorité de dommages collatéraux et une minorité - la plus grande minorité possible, certes - de bénéficiaires. Prescrivez cependant la même norme pendant assez longtemps, et vous constaterez qu'une majorité de la population est avantagée si elle absorbe les valeurs prescrites, et désavantagée si les valeurs sont différentes. Vous pourrez alors vous vanter d'avoir toujours eu raison, seulement cela ne tient qu'au fait que lorsque votre norme a été mise en vigueur, la minorité qui se trouvait par hasard se situer dans la moyenne, a été favorisée, les autres sont morts légèrement plus souvent ou beaucoup plus souvent en fonction de leur écart à la moyenne, ou bien ont été défavorisés sur le plan reproductif que ce soit physiologiquement ou bien tout simplement parce que leur état moins vigoureux, leur beauté moindre, les rendaient moins désirables. De la même façon, ne donnez à une population que du carton pour seule nourriture, et vous assisterez sans doute à une hécatombe, mais il y aura peut-être quelques cas, ça et là, qui, de par une constitution très anormale, y trouveront un minimum vital. Revenez cent ans plus tard et il n'y aura plus personne pour prétendre qu'un régime à base de carton n'est pas valable. Kyllian ne pouvait que comprendre ce que je disais, n'étant au fond interné que parce que décendant de déportés tziganes. Toute loi imposée à une population prédéfinie façonne le type biologique de son sujet. Il ne tombe que par hasard que l'on est né pour une certaine loi. On ne devient pas citoyen français, on nait ou pas en tant qu'encouragé dans sa nature par la république que ses fondateurs ont pensée à leur propre convenance, dans l'idée de partager universellement ce dont ils aimaient jouir, certes, et alors ? N'est-ce pas là, précisément, la quintessence du mépris d'autrui ? Rappelons-nous la cigogne et le renard. Moi, vous voyez, je ne suis pas et je ne serai jamais français. En effet, j'ai été deux fois en garde à vue. Par définition, je ne fais pas partie de ce qui m'emprisonne. La France pourrait changer dans tous les sens, elle pourrait ressembler trait pour trait à l'idée que je me fais de la perfection, que ça n'y changerait rien. Tant qu'une chose portera ce nom, elle portera sa dette. Si la France veut gagner mon amnistie, elle devra ployer et proclamer son propre démantèlement. Tous les français qui trouvent la loi bien faite, ou au moins défendable, et considèrent qu'on peut s'y référer simplement comme si cela avait un quelconque poids argumentatif en faveur ou en défaveur de tel ou tel comportement, ne devraient pas dans ce cas-là revendiquer si fièrement d'avoir vaincu deux fois les allemands aux guerres mondiales. L'ennemi a peut-être capitulé au front, mais le français d'avant est immoral à l'aune des critères du français actuel, puisque ce dernier est le produit d'un tri sélectif. Il ne fait pas le moindre doute que l’'ancien français de souche est biologiquement inapte à appliquer la loi du nouveau, enfin du restant si vous préférez, qu'il est en outre, pour son écrasante majorité, malade mental de façon innée et irrémédiable à l'aune de la perception qu'en aurait la plupart des français de souches actuels. D'où vient, par exemple, ce que l'on nomme, sans doute très à propos comme nous l'avons déjà exposé dans l'histoire du mariage, la libération sexuelle ? Elle vient de ce que parmi les français mobilisés aux fronts de 14-18 et 39-45, les bons maris et les bons pères de famille, ceux qui étaient dévastés, infiniment plus qu'ils ne craignaient pour leur vie, de pouvoir être trompés pendant leur absence, moururent bien plus souvent que ceux qui rêvaient à leur retour. Ils se laissèrent mourir. Ils étaient les plus étrangers à la cause nationale, mais ils étaient une majorité. Ils furent sacrifiés sur l'autel du mythe de l'Espèce, pour laisser place à la race d'échangistes zélée que nous connaissons et qui règne aujourd'hui sur les moeurs sans partage, celle des assoiffés de gloire qui s'en tirèrent par camaraderie et léchages de culs. Les monuments aux morts sur lesquels leurs noms figurent sont érigés pour symboliser que c'est au nom de leurs propres luttes qu'on est fier d'engrosser leurs veuves chacun son tour dans les villages. En réalité, c'est la « culture Volkisch », ce mouvement nudiste qui constitue l'une des principales origines du nazisme, qui est représentée sous une forme mutante, fêtée aux pieds de ces stèles. C'est au nom des valeurs qu'ont combattu ces montagnes de cadavres plus hautes que des immeubles, marqué du sceau de l'ennemi que l'on prétend perpétuer leur « victoire » en jouissant « du fruit de leurs efforts », de cette « liberté » (cette annexion). Oh, et je n'ai fait qu’énoncer le moins évident. Le soldat qui peut encore tenir à la vie en l'absence d'informations exhaustives sur celle de sa femme est évidemment celui qui viole les civiles du pays ennemi, voire les tue par plaisir avant ou après les avoir violées.
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela serait un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. La dernière vérité sur un cocktail siroté en terrasse, c'est la prison où croupit autrui. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, et qui ne ressuscitera pas sous votre soleil falsifié, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela serait un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. La dernière vérité sur un cocktail siroté en terrasse, c'est la prison où croupit autrui. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, et qui ne ressuscitera pas sous votre soleil falsifié, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
il y a 3 jours
Désolé, j'ai lancé la vidéo, entendu "au nom de dieu" et des séries de "wallah" , flemme d'ecouter la suite et de lire ton pavé, je me fiche a 100% des problème de situation amoureuse de grand remplacé mentaux
Résumax : c'est toi le grand remplacé mental
il y a 3 jours
Exemple caractéristique : pour lui tej une meuf qui t'a trompé est signe d'être un chad... Genre en filigrane il y a une prime à s'en battre les couilles fondamentalement de sa meuf mais juste bander sur un modèle de relation où l'autre est interchangeable du moment qu'il est conforme... Ce qui in fine revient exactement à tromper du coup..
Définition et analyse du concept d’interchangeabilité:
L’interchangeabilité, telle qu’évoquée dans le texte initial, suppose une réduction de l’autre, ici, la partenaire, à une fonction utilitaire, un rôle interchangeable dans une équation relationnelle où la singularité de l’être est niée. Cette logique, qui assimile l’amour ou le lien affectif à une transaction économique, repose sur une inversion des valeurs traditionnelles. Dans les doctrines métaphysiques, qu’elles soient issues de l’Orient ou de l’Occident traditionnel, l’amour, en tant qu’expression de l’unité primordiale, est une voie vers la transcendance, une participation à l’ordre cosmique où l’individu s’élève au-delà de son ego. L’amour véritable, tel que conçu par les traditions, repose sur la reconnaissance de l’autre comme une manifestation unique de l’Être, une étincelle du divin. Or, l’idée d’une "prime à s’en battre les couilles " de sa partenaire, comme l’exprime crûment le texte, traduit une négation de cette unicité. L’autre devient un objet, un rouage dans une machinerie sociale où la conformité à un modèle, physique, comportemental, ou social, prime sur la profondeur du lien.
Cette réduction de l’humain à un modèle standardisé s’inscrit dans ce que Guénon appelle la « solidification » du monde moderne, où la qualité est supplantée par la quantité. L’homme moderne, prisonnier d’une vision matérialiste, ne perçoit plus l’autre comme une fin en soi, mais comme un moyen, interchangeable dès lors qu’un autre " modèle " équivalent peut être trouvé. Cette logique, qui semble exalter une forme de liberté ou de détachement, est en réalité une servitude : l’individu, en refusant de s’engager dans la profondeur d’un lien, se prive de la possibilité de transcender son moi contingent pour atteindre une vérité supérieure.
La tromperie n'est alors qu'un symptôme d’une aliénation réciproque.
Le texte initial souligne une contradiction frappante : rejeter une partenaire infidèle pour affirmer une forme de supériorité masculine reviendrait, " in fine ", à adopter une posture équivalente à celle de la tromperie elle-même. Cette observation est d’une acuité remarquable, car elle met en lumière une circularité perverse dans la mentalité moderne. La tromperie, qu’elle soit commise par la partenaire ou par celui qui la rejette pour en substituer une autre, repose sur une même prémisse : l’absence de fidélité à un principe supérieur. Dans une perspective traditionnelle, la fidélité n’est pas seulement un engagement envers une personne, mais une allégeance à l’ordre métaphysique qui sous-tend le lien humain. En rompant ce lien, que ce soit par l’infidélité ou par l’indifférence calculée, l’individu rompt avec l’ordre cosmique lui-même, s’enfermant dans une logique de fragmentation et de dissolution.
Cette circularité, où rejeter l’infidèle équivaut à trahir, révèle une vérité plus profonde : dans un monde où l’interchangeabilité est érigée en norme, toute relation est vouée à l’échec, car elle repose sur une négation de l’Être. L’homme moderne, en poursuivant cette quête illusoire de " conformité " à un modèle idéal, se condamne à une répétition stérile, où chaque relation n’est qu’une variation quantitative d’une même absence qualitative. La tromperie, qu’elle soit explicite ou implicite, devient alors le symptôme d’une aliénation réciproque : l’aliénation de l’autre, réduit à un objet, et l’aliénation de soi, incapable de s’élever au-delà de l’ego.

Sur le plan politique, cette valorisation de l’indifférence et de l’interchangeabilité s’inscrit dans une logique plus large de désintégration sociale. La modernité, en exaltant l’individualisme, a dissous les structures traditionnelles qui donnaient un sens aux relations humaines. Les communautés organiques, fondées sur des principes hiérarchiques et spirituels, ont été remplacées par une société atomisée, où les individus, déracinés, cherchent désespérément à combler le vide de leur existence par des relations éphémères ou des modèles standardisés. Le "chad ", dans cette mythologie contemporaine, n’est pas un héros, mais un anti-héros : il incarne l’homme moderne, privé de toute connexion à une vérité supérieure, réduit à une caricature de virilité définie par la domination et l’indifférence.
Cette désintégration n’est pas sans rappeler l’analyse guénonienne de la « crise du monde moderne ». En substituant la quantité à la qualité, la modernité a créé un monde où l’homme, loin d’être libre, est enchaîné à ses pulsions les plus basses. La prime accordée à l’indifférence affective, loin d’être une marque de supériorité, est une capitulation face à cette logique quantitative. L’homme qui " s’en bat les couilles " de sa partenaire n’est pas un maître de lui-même, mais un esclave de son ego, incapable de reconnaître l’autre comme un miroir de sa propre quête de vérité.
Cette réflexion sur l’interchangeabilité et la tromperie n’est que le premier symptôme d’un mal plus profond, que nous explorerons dans les réponses suivantes. Le texte initial, en pointant l’équivalence entre la tromperie et le rejet indifférent, met en lumière une vérité métaphysique : dans un monde où l’homme a perdu le sens de l’Unité, toute action, qu’elle soit morale ou immorale, participe à la même dissolution. Cette idée servira de fil conducteur pour analyser les blocs suivants, où nous verrons comment l’imposition de normes arbitraires, qu’elles soient biologiques, sociales ou politiques, accentue cette fragmentation de l’être. La modernité, en érigeant l’individu comme mesure de toute chose, ne fait que précipiter sa chute dans l’abîme de l’illusion.
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il y a 3 jours
Alors que si tu as une réelle exclusivité affective (ce qui est censé être la raison pour laquelle tu ne peux pas passer un fait aussi gravissime que la tromperie), tu auras toujours une faiblesse qui ouvre la porte à ce que la personne avec qui tu as des souvenirs si elle est ultra attachée à toi va toujours raviver ta compassion et ton indulgence... Ce qui peut facilement pousser au suicide si tu restes avec cette personne car pour autant l'irréparable est et restera à jamais commis
L’idée d’une « réelle exclusivité affective », telle qu’évoquée ici, constitue un écho, bien que déformé, d’une aspiration métaphysique fondamentale : celle de l’unité. Dans les doctrines traditionnelles, l’engagement envers un autre être, qu’il s’agisse d’amour ou d’amitié, n’est pas une simple convention sociale, mais une participation à l’ordre cosmique, où l’unité de l’Être se manifeste à travers la singularité du lien. Cette exclusivité, loin d’être une simple préférence émotionnelle, reflète une vérité ontologique : l’autre, en tant que partenaire unique, devient un miroir de l’âme, un point d’ancrage par lequel l’individu peut transcender son moi contingent pour s’approcher de l’Absolu. Dans cette perspective, l’amour véritable est une voie initiatique, un reflet de l’Unité primordiale, où la fidélité n’est pas seulement un devoir moral, mais une allégeance à l’ordre divin qui sous-tend toute relation authentique.
Cependant, dans le contexte moderne, cette exclusivité affective est devenue une ombre d’elle-même, un vestige d’une vérité supérieure désormais mal compris. L’homme moderne, prisonnier d’une vision matérialiste et quantitative du monde, perçoit l’exclusivité non comme une participation à l’Être, mais comme une contrainte psychologique, une « faiblesse » qui, selon le texte, ouvre la porte à la compassion et à l’indulgence face à l’infidélité. Cette réduction de l’amour à une dynamique émotionnelle, dénuée de son ancrage métaphysique, traduit la dégénérescence spirituelle de notre époque, où les principes supérieurs sont éclipsés par les passions inférieures.
L'auteur souligne donc que la tromperie, en tant qu’acte « gravissime », introduit une rupture irréparable dans le tissu de l’exclusivité affective. Cette irréparabilité n’est pas seulement psychologique, mais ontologique : elle marque une fracture dans l’ordre de l’Être. Dans une perspective traditionnelle, l’infidélité n’est pas un simple manquement contractuel, mais une profanation du sacré, une négation de l’unité qui lie deux êtres dans un engagement mutuel. Cette fracture, qualifiée d’« irréparable » dans le texte, révèle une vérité profonde : une fois brisé, le lien ne peut être restauré dans sa pureté originelle, car il portait en lui une promesse d’éternité, une aspiration à l’absolu. L’irréparable n’est pas seulement un événement personnel, mais une manifestation de la désintégration plus large de l’ordre cosmique dans le monde moderne, où la permanence est sacrifiée au profit de l’éphémère.
Cette irréparabilité, toutefois, n’est pas absolue dans une perspective métaphysique. Les traditions, notamment celles de l’Orient, reconnaissent que l’âme humaine, bien que blessée par la trahison, peut transcender la douleur par un retour à l’Unité divine. Cependant, dans le cadre moderne, où l’homme est coupé de cette possibilité transcendante, l’irréparable devient une plaie béante, un abîme existentiel. Le texte suggère que la compassion et l’indulgence, nées de l’attachement et des souvenirs partagés, peuvent conduire à une forme de suicide spirituel si l’on persiste dans une relation entachée par la trahison. Cette idée, bien que formulée dans un langage profane, pointe vers une vérité métaphysique : demeurer dans une relation profanée, sans chercher à restaurer l’ordre supérieur, équivaut à accepter la dissolution de l’âme, à s’enfoncer dans une existence où le sens est perdu.
Le post de l'auteur met en lumière une tension centrale : l’exclusivité affective engendre une compassion qui, face à l’infidélité, devient une « faiblesse » ouvrant la porte à l’indulgence. Cette compassion, dans un cadre traditionnel, pourrait être vue comme une vertu, un reflet de la miséricorde divine. Cependant, dans le contexte moderne, elle est pervertie en une force destructrice, car elle n’est plus ordonnée à un principe supérieur. La modernité, en dissolvant les hiérarchies spirituelles, transforme la compassion en une sentimentalité stérile, incapable de réparer la fracture ontologique causée par la tromperie. Cette aporie, la tension entre le désir de pardonner et l’impossibilité de restaurer l’unité perdue, illustre la condition tragique de l’homme moderne, qui navigue entre des impulsions contradictoires sans pouvoir les résoudre dans une synthèse supérieure.
Cette « faiblesse » n’est pas, comme le texte semble le suggérer, une simple faille psychologique, mais un symptôme de l’aliénation de l’homme moderne vis-à-vis de l’ordre métaphysique. La compassion, lorsqu’elle n’est pas guidée par une compréhension de l’Absolu, devient une servitude à l’ego, une incapacité à trancher le lien corrompu pour préserver l’intégrité de l’âme. Le texte, en évoquant le risque de « suicide » , qu’il faut entendre ici comme une mort spirituelle , pointe vers une vérité essentielle : persister dans une relation brisée par l’infidélité, sans recours à une transcendance, équivaut à accepter la dissolution de l’être, à s’abandonner à la logique quantitative du monde moderne, où tout est interchangeable et rien n’est sacré.
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il y a 3 jours
En réalité la seule réponse possible pour empêcher une relation pourrie de revenir comme un refrain lancinant sous l'hypocrisie d'être "enfin réparé" dans le sens où le quotidien désormais est comme il aurait toujours dû être, ravaler constamment son dépit au nom de la stabilité actuelle ou de l'attachement impérissable de l'autre qui suffirait à compenser le passé, la solution réelle pour l'empêcher de "reconstruire la relation" c'est de l'abattre sur le champ
et oui c'est la seule option correct
L’affirmation selon laquelle la seule réponse à une relation entachée par la tromperie consiste à « l’abattre sur le champ » révèle une intuition brutale, mais significative, de l’impossibilité de restaurer un ordre profané dans le cadre de la modernité. Cette idée, exprimée dans un langage volontairement provocateur, pointe vers une vérité métaphysique que nous devons explorer avec rigueur : l’illusion de la « réparation » d’une relation brisée n’est qu’une manifestation supplémentaire de la dissolution ontologique caractéristique de l’ère contemporaine, où l’homme, privé de repères transcendants, s’accroche à des simulacres de stabilité pour conjurer l’abîme de sa condition. Cette tentative de « réparation » s’inscrit dans le « règne de la quantité », où l’apparence d’un retour à l'ordre, ici, un quotidien "comme il aurait toujours dû être " n’est qu’un masque recouvrant la désintégration profonde de l’être.
La notion de « réparation », telle qu’évoquée dans le texte, repose sur une hypocrisie fondamentale : celle de croire qu’un lien rompu peut être reconstitué par un simple ajustement des comportements ou une réaffirmation des sentiments. Cette croyance est symptomatique de la mentalité moderne, qui privilégie les solutions superficielles, fondées sur la quantité (le « quotidien » reconstruit, la « stabilité actuelle ») au détriment de la qualité, c’est-à-dire de l’authenticité métaphysique du lien. Dans une perspective traditionnelle, un lien sacré, une fois profané, ne peut être restauré sans un retour à l’ordre supérieur, une réintégration dans l’Unité primordiale. Or, dans le monde moderne, où cet ordre est ignoré ou nié, la tentative de réparation n’est qu’une parodie, un effort vain pour masquer la fracture ontologique par des conventions sociales ou des compromis émotionnels.
Cette partie du post de l'auteur dénonce l’hypocrisie consistant à « ravaler constamment son dépit » au nom de la stabilité ou de l’attachement de l’autre, présenté comme un palliatif suffisant pour effacer le passé. Cette critique, bien que formulée dans un registre profane, touche à une vérité essentielle : l’attachement, lorsqu’il est détaché de tout principe supérieur, devient une chaîne qui entrave l’âme plutôt qu’une voie vers la transcendance. Dans les traditions métaphysiques, l’attachement véritable est ordonné à l’Absolu ; il est une participation à l’amour divin, où l’autre est aimé non pour lui-même, mais en tant que reflet de l’Unité. Dans la modernité, cet attachement est réduit à une pulsion psychologique, une dépendance affective qui, loin de libérer, emprisonne l’individu dans une relation vidée de sens.
Cette « stabilité actuelle », invoquée comme une justification pour persister dans une relation profanée, est une illusion typique du monde moderne. Elle reflète la tendance à privilégier l’apparence de l’ordre , une routine quotidienne, une coexistence pacifiée, sur la vérité intérieure. Guénon, dans Le Règne de la quantité et les signes des temps, décrivait cette substitution de l’apparence à la réalité comme un trait caractéristique de la dégénérescence spirituelle : l’homme moderne, incapable de s’élever au-delà du sensible, se contente de simulacres, de formes vides qui imitent l’ordre sans en posséder la substance. La « stabilité » d’une relation reconstruite sur les ruines de la tromperie n’est qu’un tel simulacre, une façade qui cache l’absence d’unité authentique.
L’appel à « abattre sur le champ » la relation, présenté comme la « seule option correcte », peut être lu comme une tentative désespérée de rompre avec cette hypocrisie, de rejeter le compromis illusoire de la réparation. Bien que formulée dans un langage violent, cette proposition reflète une intuition métaphysique : face à la profanation d’un lien sacré, la seule réponse authentique est de reconnaître sa dissolution et d’agir en conséquence. Dans une perspective traditionnelle, cette « destruction » ne serait pas un acte de violence, mais une ascèse, une purification par laquelle l’individu se libère des attaches illusoires pour se tourner vers l’Absolu. Cependant, dans le contexte moderne, où l’accès à cet Absolu est obstrué par l’ignorance spirituelle, cette destruction prend la forme d’un rejet brutal, dépourvu de finalité transcendante.
Cette réponse, bien que séduisante dans son radicalisme, est elle-même problématique. En l’absence d’un cadre métaphysique, « abattre » la relation ne fait que reproduire la logique de la modernité : celle de la fragmentation, de la négation sans reconstruction. L’homme moderne, incapable de restaurer l’ordre par un retour aux principes éternels, oscille entre deux extrêmes : la complaisance dans l’illusion de la réparation et la destruction nihiliste du lien. Ni l’une ni l’autre ne résout la fracture ontologique ; elles ne font que l’aggraver, en enfermant l’individu dans un cycle de désespoir et de répétition.
Sur le plan politique, cette dynamique reflète la manière dont la modernité impose des normes arbitraires qui écrasent l’âme humaine. La « stabilité » invoquée dans le texte n’est pas sans rappeler les injonctions sociales contemporaines, qui valorisent la continuité des structures, qu’il s’agisse du mariage, de la famille ou de la société, non pour leur valeur intrinsèque, mais pour leur utilité fonctionnelle. Cette tyrannie de la stabilité, où l’individu est sommé de « ravaler son dépit » pour préserver une façade sociale, est un prolongement de l’individualisme moderne, qui réduit l’homme à un rouage dans une machinerie collective. L’attachement, présenté comme une force rédemptrice, devient un instrument de contrôle, une norme imposée qui empêche l’individu de se confronter à la vérité de sa condition.
Cette critique s’inscrit donc dans le fil rouge de notre réflexion : l’interchangeabilité des relations, analysée dans le premier bloc, et l’irréparabilité de la tromperie, explorée dans le second, convergent ici vers une dénonciation de l’illusion de la réparation. La modernité, en substituant des normes quantitatives (stabilité, conformité, attachement) à des principes qualitatifs (unité, vérité, transcendance), condamne l’homme à une existence inauthentique, où la seule réponse à la profanation semble être la destruction.
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il y a 3 jours
Lysaelia
3j
Exemple caractéristique : pour lui tej une meuf qui t'a trompé est signe d'être un chad... Genre en filigrane il y a une prime à s'en battre les couilles fondamentalement de sa meuf mais juste bander sur un modèle de relation où l'autre est interchangeable du moment qu'il est conforme... Ce qui in fine revient exactement à tromper du coup..
Définition et analyse du concept d’interchangeabilité:
L’interchangeabilité, telle qu’évoquée dans le texte initial, suppose une réduction de l’autre, ici, la partenaire, à une fonction utilitaire, un rôle interchangeable dans une équation relationnelle où la singularité de l’être est niée. Cette logique, qui assimile l’amour ou le lien affectif à une transaction économique, repose sur une inversion des valeurs traditionnelles. Dans les doctrines métaphysiques, qu’elles soient issues de l’Orient ou de l’Occident traditionnel, l’amour, en tant qu’expression de l’unité primordiale, est une voie vers la transcendance, une participation à l’ordre cosmique où l’individu s’élève au-delà de son ego. L’amour véritable, tel que conçu par les traditions, repose sur la reconnaissance de l’autre comme une manifestation unique de l’Être, une étincelle du divin. Or, l’idée d’une "prime à s’en battre les couilles " de sa partenaire, comme l’exprime crûment le texte, traduit une négation de cette unicité. L’autre devient un objet, un rouage dans une machinerie sociale où la conformité à un modèle, physique, comportemental, ou social, prime sur la profondeur du lien.
Cette réduction de l’humain à un modèle standardisé s’inscrit dans ce que Guénon appelle la « solidification » du monde moderne, où la qualité est supplantée par la quantité. L’homme moderne, prisonnier d’une vision matérialiste, ne perçoit plus l’autre comme une fin en soi, mais comme un moyen, interchangeable dès lors qu’un autre " modèle " équivalent peut être trouvé. Cette logique, qui semble exalter une forme de liberté ou de détachement, est en réalité une servitude : l’individu, en refusant de s’engager dans la profondeur d’un lien, se prive de la possibilité de transcender son moi contingent pour atteindre une vérité supérieure.
La tromperie n'est alors qu'un symptôme d’une aliénation réciproque.
Le texte initial souligne une contradiction frappante : rejeter une partenaire infidèle pour affirmer une forme de supériorité masculine reviendrait, " in fine ", à adopter une posture équivalente à celle de la tromperie elle-même. Cette observation est d’une acuité remarquable, car elle met en lumière une circularité perverse dans la mentalité moderne. La tromperie, qu’elle soit commise par la partenaire ou par celui qui la rejette pour en substituer une autre, repose sur une même prémisse : l’absence de fidélité à un principe supérieur. Dans une perspective traditionnelle, la fidélité n’est pas seulement un engagement envers une personne, mais une allégeance à l’ordre métaphysique qui sous-tend le lien humain. En rompant ce lien, que ce soit par l’infidélité ou par l’indifférence calculée, l’individu rompt avec l’ordre cosmique lui-même, s’enfermant dans une logique de fragmentation et de dissolution.
Cette circularité, où rejeter l’infidèle équivaut à trahir, révèle une vérité plus profonde : dans un monde où l’interchangeabilité est érigée en norme, toute relation est vouée à l’échec, car elle repose sur une négation de l’Être. L’homme moderne, en poursuivant cette quête illusoire de " conformité " à un modèle idéal, se condamne à une répétition stérile, où chaque relation n’est qu’une variation quantitative d’une même absence qualitative. La tromperie, qu’elle soit explicite ou implicite, devient alors le symptôme d’une aliénation réciproque : l’aliénation de l’autre, réduit à un objet, et l’aliénation de soi, incapable de s’élever au-delà de l’ego.

Sur le plan politique, cette valorisation de l’indifférence et de l’interchangeabilité s’inscrit dans une logique plus large de désintégration sociale. La modernité, en exaltant l’individualisme, a dissous les structures traditionnelles qui donnaient un sens aux relations humaines. Les communautés organiques, fondées sur des principes hiérarchiques et spirituels, ont été remplacées par une société atomisée, où les individus, déracinés, cherchent désespérément à combler le vide de leur existence par des relations éphémères ou des modèles standardisés. Le "chad ", dans cette mythologie contemporaine, n’est pas un héros, mais un anti-héros : il incarne l’homme moderne, privé de toute connexion à une vérité supérieure, réduit à une caricature de virilité définie par la domination et l’indifférence.
Cette désintégration n’est pas sans rappeler l’analyse guénonienne de la « crise du monde moderne ». En substituant la quantité à la qualité, la modernité a créé un monde où l’homme, loin d’être libre, est enchaîné à ses pulsions les plus basses. La prime accordée à l’indifférence affective, loin d’être une marque de supériorité, est une capitulation face à cette logique quantitative. L’homme qui " s’en bat les couilles " de sa partenaire n’est pas un maître de lui-même, mais un esclave de son ego, incapable de reconnaître l’autre comme un miroir de sa propre quête de vérité.
Cette réflexion sur l’interchangeabilité et la tromperie n’est que le premier symptôme d’un mal plus profond, que nous explorerons dans les réponses suivantes. Le texte initial, en pointant l’équivalence entre la tromperie et le rejet indifférent, met en lumière une vérité métaphysique : dans un monde où l’homme a perdu le sens de l’Unité, toute action, qu’elle soit morale ou immorale, participe à la même dissolution. Cette idée servira de fil conducteur pour analyser les blocs suivants, où nous verrons comment l’imposition de normes arbitraires, qu’elles soient biologiques, sociales ou politiques, accentue cette fragmentation de l’être. La modernité, en érigeant l’individu comme mesure de toute chose, ne fait que précipiter sa chute dans l’abîme de l’illusion.
"l’amour, en tant qu’expression de l’unité primordial"
epic fail 👎
"est une voie vers la transcendance"
epic fail 👎
"une participation à l’ordre cosmique où l’individu s’élève au-delà de son ego"
epic fail 👎
https://onche.org/topic/7[...]024/l-histoire-du-mariage

"est une voie vers la transcendance"

"une participation à l’ordre cosmique où l’individu s’élève au-delà de son ego"

il y a 3 jours
Pareil pour le "bodycount", une fausse question : un passé sexuel est un passé sexuel un point c'est tout. Faire croire qu'avoir 2 ex plutôt qu'avoir 100 ex fait une quelconque différence, cela relève, ni plus ni moins, de l'incitation à la débauche
L’affirmation selon laquelle le « bodycount », ce décompte vulgaire du nombre de partenaires sexuels, serait une « fausse question » touche à une vérité profonde, bien que formulée dans un registre profane. Ce concept, popularisé dans les sphères numériques et les sous-cultures contemporaines, incarne de manière paradigmatique ce que René Guénon dénonçait dans ces livres comme le « règne de la quantité » : la réduction de l’expérience humaine, dans ce qu’elle a de plus intime et de plus sacré, à une mesure numérique dépourvue de signification ontologique. Le « bodycount », en tant que critère de jugement de la valeur d’une personne, n’est pas seulement une aberration morale ; il est une négation de la qualité de l’être, une tentative de substituer à la profondeur de l’âme une évaluation quantitative, arbitraire et extérieure. Cette réflexion s’inscrit donc dans la suite de notre analyse, où l’interchangeabilité des relations, l’irréparabilité de la tromperie et l’illusion de la réparation convergent vers une critique de la modernité comme désintégration de l’ordre métaphysique.
Dans une perspective traditionnelle, la sexualité, loin d’être un simple acte physique ou une accumulation d’expériences, est une réalité sacrée, ordonnée à des principes supérieurs. Dans les doctrines orientales comme dans les traditions occidentales prémodernes, elle est souvent vue comme une participation à l’unité cosmique, un acte qui, lorsqu’il est accompli dans un cadre légitime, reflète l’harmonie entre les polarités masculine et féminine, microcosme de l’Unité divine. Réduire cette réalité à un « bodycount », un nombre, un score, équivaut à profaner ce qui devrait être un mystère, à le ramener au niveau de la contingence matérielle. Cette réduction n’est pas anodine : elle reflète la mentalité moderne, qui, incapable de saisir la qualité des choses, se rabat sur la quantité comme seul critère de jugement.
L'auteur affirme qu’« un passé sexuel est un passé sexuel, un point c’est tout », rejetant l’idée qu’une différence significative existerait entre deux ou cent partenaires. Cette position, bien que formulée de manière abrupte, contient une intuition métaphysique : dans le cadre moderne, où l’ordre transcendant est absent, le « bodycount » n’a aucune pertinence ontologique. Que l’on ait deux ou cent partenaires, l’absence de finalité spirituelle dans ces relations les réduit toutes à un même néant. Dans une perspective traditionnelle, chaque acte sexuel, s’il n’est pas ordonné à un principe supérieur, est une dissipation de l’énergie vitale, une fragmentation de l’âme qui éloigne l’individu de l’Unité. Le « bodycount », qu’il soit élevé ou faible, n’est qu’une variation quantitative d’une même perte qualitative : la perte de la connexion à l’Absolu.
Cette indifférence ontologique, cependant, ne doit pas être confondue avec une apologie de la débauche. Le texte, en dénonçant l’idée qu’un faible « bodycount » serait moralement supérieur, pointe vers une vérité plus subtile : l’obsession du nombre, qu’elle valorise la « pureté » (peu de partenaires) ou la « conquête » (beaucoup de partenaires), est une illusion qui détourne l’homme de la question essentielle, celle de l’authenticité spirituelle de ses actes. Cette obsession reflète une mentalité moderne qui, incapable de juger les choses selon leur essence, se rabat sur des critères extérieurs, mesurables et arbitraires. Le « bodycount » devient ainsi un fétiche, un totem de la modernité, où l’homme, privé de repères métaphysiques, cherche à donner un sens à son existence par des chiffres.
Le texte va plus loin en qualifiant l’idée qu’un faible « bodycount » serait préférable d’« incitation à la débauche ». Cette assertion, bien que paradoxale en surface, mérite une analyse approfondie. En valorisant un faible nombre de partenaires comme un signe de vertu, la modernité ne fait pas l’éloge de la chasteté véritable, celle qui s’enracine dans une discipline spirituelle ordonnée à l’Absolu. Au contraire, elle impose une nouvelle norme quantitative, une morale de façade qui juge l’individu non pas sur la qualité de son être, mais sur un critère numérique arbitraire. Cette norme, loin de promouvoir une éthique supérieure, devient une incitation à la débauche en ce qu’elle légitime une vision utilitariste de la sexualité : tant que le « bodycount » reste dans des limites acceptables, l’individu peut se considérer comme « moral », indépendamment de la profondeur ou de la sincérité de ses relations.
Cette perversion des normes morales s’inscrit dans une dynamique plus large, la « subversion » des valeurs traditionnelles. Dans le monde moderne, les vertus authentiques, telles que la chasteté, la fidélité ou la pureté, sont détournées de leur finalité spirituelle pour devenir des instruments de conformisme social. La chasteté, par exemple, n’est plus une ascèse visant à transcender les désirs inférieurs, mais une performance sociale, mesurée par un « bodycount » suffisamment bas pour satisfaire les conventions. Cette réduction transforme la vertu en une parodie, une coquille vide qui, loin de libérer l’âme, l’enchaîne à la logique quantitative de la modernité. En ce sens, l’obsession du « bodycount », qu’elle valorise la retenue ou l’excès, est une incitation à la débauche, car elle détourne l’individu de la quête de l’Unité pour l’enfermer dans une compétition stérile, où la sexualité devient un jeu de nombres plutôt qu’une voie vers le sacré.
Cette réflexion prolonge notre analyse précédente, où l’illusion de la « réparation » d’une relation brisée était dénoncée comme une tentative futile de masquer la fracture ontologique. Le « bodycount », en tant que nouvelle norme imposée par la modernité, accentue cette fracture en réduisant l’intimité humaine à une mesure quantitative, vidée de toute signification spirituelle. Cette obsession numérique n’est qu’un symptôme supplémentaire de la désintégration de l’ordre métaphysique, où l’homme, privé de repères transcendants, cherche à combler le vide de son existence par des critères arbitraires. Le post, en rejetant la distinction entre deux ou cent partenaires, met en lumière l’absurdité de ces normes, qui ne font que perpétuer la dissolution de l’être.
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il y a 3 jours