Ce sujet a été résolu
Euh non mec le tétanos c'est pareil c'est un truc, tu avais un cas tous les 10 ans dans le monde entier au néolithique. Généralement sur un mec fatigué
Le système immunitaire est parfait, il faut une charge pathologique ahurissante pour vaincre un SI en forme.
Genre, quelque soit la maladie, il te faudrait une plaie hyper étendue trempée dans un bouillon de culture, ou manger des cultures bactériennes entières pour que le SI ne puisse gérer ça.
Quand tu es malade c'est que tu es affaibli. Soit ton SI, soit une autre fonction corporelle sans relaton directe.
Si ton SI est affaibli aucun vaccin ne t'empêchera d'être malade, si tu attrappes pas le tétanos tu attrapperas autre chose.
Mais si tu dois attraper le tétanos, même avec le vaccin tu attraperas le tétanos.
Le système immunitaire est parfait, il faut une charge pathologique ahurissante pour vaincre un SI en forme.
Genre, quelque soit la maladie, il te faudrait une plaie hyper étendue trempée dans un bouillon de culture, ou manger des cultures bactériennes entières pour que le SI ne puisse gérer ça.
Quand tu es malade c'est que tu es affaibli. Soit ton SI, soit une autre fonction corporelle sans relaton directe.
Si ton SI est affaibli aucun vaccin ne t'empêchera d'être malade, si tu attrappes pas le tétanos tu attrapperas autre chose.
Mais si tu dois attraper le tétanos, même avec le vaccin tu attraperas le tétanos.
Tu pense donc qu'aucun vaccin dans l'histoire n'a été bénéfique ?
Souverainiste et royaliste.
il y a 4 jours
C'est un vaccin contre la fièvre jaune car tu rentres en Afrique ? Ça y est ?
il y a 4 jours
Tu pense donc qu'aucun vaccin dans l'histoire n'a été bénéfique ?
Les vaccins de maintenant faut plus se méfier, maintenant y'a même du selnd’aluminium, ils te font croire que ça fait durer l’immunité plus longtemps
il y a 4 jours
Les vaccins de maintenant faut plus se méfier, maintenant y'a même du selnd’aluminium, ils te font croire que ça fait durer l’immunité plus longtemps
T'as pas répondu à ma question du coup.
Souverainiste et royaliste.
il y a 4 jours
Ne parle pas de vaccin ici malheureux
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 4 jours
Epique
5j
C'est à 100 mètres de chez moi
Tu aurais du poster key
80ans de propagande juive ont meneé à ceci
il y a 4 jours
C'est un vaccin contre la fièvre jaune car tu rentres en Afrique ? Ça y est ?
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a 4 jours
T'as pas répondu à ma question du coup.
Ben si ça y répond, les vaccins sont pas forcément mauvais mais faut savoir lesquels.
il y a 4 jours
L’hydroxyde d’aluminium est utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins, à commencer par ceux qui sont
obligatoires (diphtérie, tétanos et polio) et ceux qui protègent contre les hépatites A et B.
L’éthylmercure, une forme organique de mercure, entre pour moitié dans la composition du thiomersal (ou
thimérosal) utilisé comme conservateur, en particulier dans certains vaccins contre la grippe.
Or ces deux métaux sont des neurotoxiques. Comment expliquer, alors, qu’ils soient inoculés à des patients, et
notamment à des enfants dont le cerveau en développement est particulièrement sensible à leurs effets ?
Depuis de nombreuses années, un certain nombre d’experts écartent l’hypothèse qu’il y aurait là un risque
sanitaire, en postulant que ces métaux toxiques seraient éliminés après injection.
Des études scientifiques ont pourtant démontré le contraire. Le lien entre la myofasciite à macrophages et
l’aluminium vaccinal, en particulier, est bien documenté.
Des faisceaux de présomption indiquent même que l’aluminium et le mercure des vaccins pourraient être
impliqués dans l’explosion spectaculaire des maladies neurologiques à laquelle nous assistons depuis ces
dernières années, comme l’autisme ou la maladie d’Alzheimer.
Ces métaux pourraient aussi jouer un rôle important dans l’étiologie de ces nombreuses pathologies auxquelles
les médecins sont de plus en plus souvent confrontés sans les comprendre ni savoir comment les prendre en
charge – ainsi des hypersensibilités.
À cause de ces suspicions non traitées, nous constatons aujourd’hui une méfiance grandissante de la population à
l’égard des vaccins, qui conduit à un recul de la couverture vaccinale.
Aussi devient-il urgent de prendre en compte l’état des connaissances scientifiques et de promouvoir des études
complémentaires.
Sommaire
Introduction _________________________________________________________________________2
Sommaire ___________________________________________________________________________2
Invitation ___________________________________________________________________________3
Aluminium et vaccins __________________________________________________________________4
Mercure et vaccins ____________________________________________________________________6
Les maladies neurologiques associées au mercure et à l’aluminium ____________________________8
Les troubles du spectre autistique (TSA) ________________________________________________________8
La maladie d’Alzheimer (MA)_________________________________________________________________9
La sclérose en plaques (SEP)_________________________________________________________________10
Vaccins et maladies environnementales émergentes (M2E) __________________________________11
Conclusion__________________________________________________________________________13
Notes bibliographiques _______________________________________________________________14
obligatoires (diphtérie, tétanos et polio) et ceux qui protègent contre les hépatites A et B.
L’éthylmercure, une forme organique de mercure, entre pour moitié dans la composition du thiomersal (ou
thimérosal) utilisé comme conservateur, en particulier dans certains vaccins contre la grippe.
Or ces deux métaux sont des neurotoxiques. Comment expliquer, alors, qu’ils soient inoculés à des patients, et
notamment à des enfants dont le cerveau en développement est particulièrement sensible à leurs effets ?
Depuis de nombreuses années, un certain nombre d’experts écartent l’hypothèse qu’il y aurait là un risque
sanitaire, en postulant que ces métaux toxiques seraient éliminés après injection.
Des études scientifiques ont pourtant démontré le contraire. Le lien entre la myofasciite à macrophages et
l’aluminium vaccinal, en particulier, est bien documenté.
Des faisceaux de présomption indiquent même que l’aluminium et le mercure des vaccins pourraient être
impliqués dans l’explosion spectaculaire des maladies neurologiques à laquelle nous assistons depuis ces
dernières années, comme l’autisme ou la maladie d’Alzheimer.
Ces métaux pourraient aussi jouer un rôle important dans l’étiologie de ces nombreuses pathologies auxquelles
les médecins sont de plus en plus souvent confrontés sans les comprendre ni savoir comment les prendre en
charge – ainsi des hypersensibilités.
À cause de ces suspicions non traitées, nous constatons aujourd’hui une méfiance grandissante de la population à
l’égard des vaccins, qui conduit à un recul de la couverture vaccinale.
Aussi devient-il urgent de prendre en compte l’état des connaissances scientifiques et de promouvoir des études
complémentaires.
Sommaire
Introduction _________________________________________________________________________2
Sommaire ___________________________________________________________________________2
Invitation ___________________________________________________________________________3
Aluminium et vaccins __________________________________________________________________4
Mercure et vaccins ____________________________________________________________________6
Les maladies neurologiques associées au mercure et à l’aluminium ____________________________8
Les troubles du spectre autistique (TSA) ________________________________________________________8
La maladie d’Alzheimer (MA)_________________________________________________________________9
La sclérose en plaques (SEP)_________________________________________________________________10
Vaccins et maladies environnementales émergentes (M2E) __________________________________11
Conclusion__________________________________________________________________________13
Notes bibliographiques _______________________________________________________________14
il y a un jour
Aluminium et vaccins
L’aluminium est le troisième élément le plus abondant de l’écorce terrestre, après l’oxygène et le silicium.
L’Homme y est exposé de façon naturelle, mais aussi industrielle ; les propriétés de l’aluminium (résistance à la
corrosion, légèreté, malléabilité, ductilité, conductivité électrique et chimique, etc.) en font un matériau très
utilisé, que ce soit dans l’industrie du bâtiment, les transports, l’agroalimentaire, la pharmacie, la chirurgie, ou le
traitement des eaux d’alimentation.
En 1921, un article scientifique rapportait pour la première fois des signes de toxicité de l’aluminium chez
l’homme : un ouvrier qui respirait sur son lieu de travail de l’aluminium avait développé une encéphalopathie.
À la même époque, le biologiste Gaston Ramon inventait l’adjuvant vaccinal, cette substance qui, administrée
avec l’antigène, a pour vocation de stimuler le système immunitaire, et donc de renforcer et prolonger la
réponse de l’organisme, tout en utilisant moins d’antigène.
Quelques années plus tard, en 1926, on utilisait pour la première fois l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant
dans un vaccin. Il était admis que la dose d’aluminium injecté était trop faible pour exercer une activité toxique,
d’autant que l’on supposait qu’il était évacué très rapidement par l’organisme.
A la fin des années 1960, plusieurs publications démontrèrent que l’utilisation des sels d’aluminium dans les
vaccins pouvait jouer un rôle important dans le développement de phénomènes allergiques. De ce fait, dès 1972,
l’Institut Pasteur retira les sels d’aluminium de tous ses vaccins, et les remplaça par le phosphate de calcium,
composant naturel de l’organisme.
Le rachat de l’Institut Pasteur par l’Institut Mérieux entraîna l’uniformisation des processus de fabrication et
l’arrêt des vaccins adjuvantés sur phosphate de calcium, malgré les alertes lancées par les chercheurs de l’Institut
Pasteur.f
L’usage de l’aluminium dans les vaccins est largement controversé : en effet, les connaissances sur la
neurotoxicité des sels d’aluminium se sont largement développées en presque un siècle.
En 1972, notamment, paraissait le premier article sur l’encéphalopathie des dialysés : chez des patients pour
lesquels on avait préparé une solution de dialyse avec de l’eau contenant de l’aluminium, se sont déclenchés des
symptômes de démence, de troubles du langage, des convulsions, etc.
Depuis les années 1960, en France, l’eau du robinet contient des sels d’aluminium dont la fonction est de la
rendre plus transparente. Cette pratique a certes commencé à diminuer progressivement à partir de la fin des
années 1970 ; elle reste néanmoins d’actualité pour 16 millions de Français, et 4 millions d’entre eux boivent des
quantités qui dépassent la norme.1 Or en 1998, une vaste étude épidémiologique de l’Inserm montrait qu’en
consommant de l’eau du robinet dont le taux d’aluminium atteint le taux fréquent de 100 μg/l, on multiplie par
deux le risque de contracter la maladie d’Alzheimer.2
Le Professeur Gherardi et son équipe ont démontré au début des années 2000 que des lésions post-vaccinales
contenant des sels d’aluminium pouvaient persister plusieurs années après l’injection3
. Elles étaient notamment
associées à des symptômes de fatigue et de douleurs généralisées, ainsi qu’à des cas de sclérose en plaque.
4
Depuis, ces chercheurs ont suivi le parcours de l’adjuvant, injecté dans le muscle de la souris : les particules
d’aluminium sont capturées par les macrophages, puis aspirées par le ganglion lymphatique. Après plusieurs jours,
elles regagnent le sang et colonisent à partir du 21e
jour la rate, le foie, puis le cerveau dans lequel elles pénètrent
constamment, en faible quantité, et d’où elles ne sortiront plus.5
f
L’hydroxyde d’aluminium entre donc aujourd’hui dans la composition de tous les vaccins obligatoires et de plusieurs
autres – ainsi des vaccins contre le tétanos (TETANIQUE PASTEUR), la coqueluche (VAXICOQ), le DT Polio (REVAXIS) la
poliomyélite (TETRACOQ, TETRAVAC ACELLULAIRE), l’haemophilus influenzae B (HIB, PENTAVAC, PENT-HIBest) et l’hépatite B
(INFANRIX). C’est aussi le cas du vaccin contre l’encéphalite à tiques (TICOVAC), et surtout de ceux contre l’hépatite A
(AVAXIM, HAVRIX), l’hépatite B (ENGERIX B, GENHEVAC B PASTEUR, HB VAX DNA), ou les deux hépatites A et B (TWINRIX).
L’aluminium est le troisième élément le plus abondant de l’écorce terrestre, après l’oxygène et le silicium.
L’Homme y est exposé de façon naturelle, mais aussi industrielle ; les propriétés de l’aluminium (résistance à la
corrosion, légèreté, malléabilité, ductilité, conductivité électrique et chimique, etc.) en font un matériau très
utilisé, que ce soit dans l’industrie du bâtiment, les transports, l’agroalimentaire, la pharmacie, la chirurgie, ou le
traitement des eaux d’alimentation.
En 1921, un article scientifique rapportait pour la première fois des signes de toxicité de l’aluminium chez
l’homme : un ouvrier qui respirait sur son lieu de travail de l’aluminium avait développé une encéphalopathie.
À la même époque, le biologiste Gaston Ramon inventait l’adjuvant vaccinal, cette substance qui, administrée
avec l’antigène, a pour vocation de stimuler le système immunitaire, et donc de renforcer et prolonger la
réponse de l’organisme, tout en utilisant moins d’antigène.
Quelques années plus tard, en 1926, on utilisait pour la première fois l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant
dans un vaccin. Il était admis que la dose d’aluminium injecté était trop faible pour exercer une activité toxique,
d’autant que l’on supposait qu’il était évacué très rapidement par l’organisme.
A la fin des années 1960, plusieurs publications démontrèrent que l’utilisation des sels d’aluminium dans les
vaccins pouvait jouer un rôle important dans le développement de phénomènes allergiques. De ce fait, dès 1972,
l’Institut Pasteur retira les sels d’aluminium de tous ses vaccins, et les remplaça par le phosphate de calcium,
composant naturel de l’organisme.
Le rachat de l’Institut Pasteur par l’Institut Mérieux entraîna l’uniformisation des processus de fabrication et
l’arrêt des vaccins adjuvantés sur phosphate de calcium, malgré les alertes lancées par les chercheurs de l’Institut
Pasteur.f
L’usage de l’aluminium dans les vaccins est largement controversé : en effet, les connaissances sur la
neurotoxicité des sels d’aluminium se sont largement développées en presque un siècle.
En 1972, notamment, paraissait le premier article sur l’encéphalopathie des dialysés : chez des patients pour
lesquels on avait préparé une solution de dialyse avec de l’eau contenant de l’aluminium, se sont déclenchés des
symptômes de démence, de troubles du langage, des convulsions, etc.
Depuis les années 1960, en France, l’eau du robinet contient des sels d’aluminium dont la fonction est de la
rendre plus transparente. Cette pratique a certes commencé à diminuer progressivement à partir de la fin des
années 1970 ; elle reste néanmoins d’actualité pour 16 millions de Français, et 4 millions d’entre eux boivent des
quantités qui dépassent la norme.1 Or en 1998, une vaste étude épidémiologique de l’Inserm montrait qu’en
consommant de l’eau du robinet dont le taux d’aluminium atteint le taux fréquent de 100 μg/l, on multiplie par
deux le risque de contracter la maladie d’Alzheimer.2
Le Professeur Gherardi et son équipe ont démontré au début des années 2000 que des lésions post-vaccinales
contenant des sels d’aluminium pouvaient persister plusieurs années après l’injection3
. Elles étaient notamment
associées à des symptômes de fatigue et de douleurs généralisées, ainsi qu’à des cas de sclérose en plaque.
4
Depuis, ces chercheurs ont suivi le parcours de l’adjuvant, injecté dans le muscle de la souris : les particules
d’aluminium sont capturées par les macrophages, puis aspirées par le ganglion lymphatique. Après plusieurs jours,
elles regagnent le sang et colonisent à partir du 21e
jour la rate, le foie, puis le cerveau dans lequel elles pénètrent
constamment, en faible quantité, et d’où elles ne sortiront plus.5
f
L’hydroxyde d’aluminium entre donc aujourd’hui dans la composition de tous les vaccins obligatoires et de plusieurs
autres – ainsi des vaccins contre le tétanos (TETANIQUE PASTEUR), la coqueluche (VAXICOQ), le DT Polio (REVAXIS) la
poliomyélite (TETRACOQ, TETRAVAC ACELLULAIRE), l’haemophilus influenzae B (HIB, PENTAVAC, PENT-HIBest) et l’hépatite B
(INFANRIX). C’est aussi le cas du vaccin contre l’encéphalite à tiques (TICOVAC), et surtout de ceux contre l’hépatite A
(AVAXIM, HAVRIX), l’hépatite B (ENGERIX B, GENHEVAC B PASTEUR, HB VAX DNA), ou les deux hépatites A et B (TWINRIX).
il y a un jour
from korea
AstraZeneca provoque une myocardite. La Corée du Sud l'a officiellement reconnu. Tous les mécanismes sont parfaitement valables. La COVID-19 est une fraude et produit des antigènes cardiaques responsables d'hypertrophie, de cirrhose et de cancer.
Elle provoque une rupture ligamentaire.
AstraZeneca provoque une myocardite. La Corée du Sud l'a officiellement reconnu. Tous les mécanismes sont parfaitement valables. La COVID-19 est une fraude et produit des antigènes cardiaques responsables d'hypertrophie, de cirrhose et de cancer.
Elle provoque une rupture ligamentaire.
il y a un jour
from korea
AstraZeneca provoque une myocardite. La Corée du Sud l'a officiellement reconnu. Tous les mécanismes sont parfaitement valables. La COVID-19 est une fraude et produit des antigènes cardiaques responsables d'hypertrophie, de cirrhose et de cancer.
Elle provoque une rupture ligamentaire.
AstraZeneca provoque une myocardite. La Corée du Sud l'a officiellement reconnu. Tous les mécanismes sont parfaitement valables. La COVID-19 est une fraude et produit des antigènes cardiaques responsables d'hypertrophie, de cirrhose et de cancer.
Elle provoque une rupture ligamentaire.
Évidemment j'ai pas fait vaccin covid
il y a 5 heures
DTP
5j
Bonne chance mon négro, j'espère qu'il y aura beaucoup d'effets secondaires.
Je tousse et un peu malade
il y a 5 heures
Je tousse et un peu malade
C'est la fin. Une perte inestimable pour la France et surtout, pour le forum.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 5 heures
C'est la fin. Une perte inestimable pour la France et surtout, pour le forum.
il y a 4 heures
C'est la fin. Une perte inestimable pour la France et surtout, pour le forum.
Faut dire j'en ai fait deux en même temps
il y a 4 heures
C'est la fin. Une perte inestimable pour la France et surtout, pour le forum.
Au final tu m'aimais bien ?
il y a une heure