Ce sujet a été résolu
ouiiii
Je m’appelle Lucas, j’ai 22 ans, et je vais être honnête : je ne suis pas le genre de mec qu’on remarque. On me dit souvent que je suis moche, pas dans le sens cruel, mais dans celui où on ne me voit pas. Visage banal, lunettes épaisses, cheveux en bataille, un corps ni gros ni maigre, juste… quelconque. Je vis dans un petit appart à Tours, seul, avec un job de caissier qui paye à peine les factures. Ma vie sociale, elle, se résume à un écran : le forum Onche, où je passe des heures à scroller, rire des memes, et parfois poster mes pensées, même si personne ne like vraiment.
Mais il y a autre chose. Une ombre qui me suit, qui me bouffe de l’intérieur. Je suis accro au porno.
Pas juste un mec qui regarde de temps en temps, non, je suis un gooner. Ce mot, je l’ai découvert sur Onche, dans des threads où des gars plaisantaient à moitié, mais moi, ça m’a frappé comme une vérité. Je passe des nuits entières à enchaîner les vidéos, à cliquer sans réfléchir, à chercher le prochain rush. Ça commence par une vidéo, puis deux, puis dix, et d’un coup, il est 4h du matin, je suis vidé, mais je continue. C’est comme si mon cerveau était câblé pour ça, pour cette dopamine qui me fait oublier que je suis toujours puceau, toujours seul.
Être puceau à 22 ans, c’est lourd. Sur Onche, y’en a qui en rigolent, qui se moquent des “PUA” ou des “incels”, mais moi, je me tais dans ces discussions. J’ai jamais osé approcher une fille. À l’école, j’étais le mec invisible, celui qu’on choisit en dernier pour les travaux d’équipe. Aujourd’hui, je me dis que c’est trop tard, que j’ai raté le coche. Les meufs, je les vois dans la rue, je les imagine dans ma tête, mais en vrai ? Rien. Juste des pixels sur un écran, des actrices qui ne savent même pas que j’existe.
Le porno, c’est ma fuite. Ça a commencé à 14 ans, comme tout le monde, une curiosité d’ado. Mais maintenant, c’est une prison. Je regarde des trucs de plus en plus tordus, des trucs dont j’ai honte après coup. Je me dis “arrête, c’est dégueulasse”, mais le lendemain, j’y retourne. Je me sens comme un junkie, sauf que ma drogue, c’est gratuit et à portée de clic. J’ai essayé de supprimer mes comptes, de bloquer les sites, mais je finis toujours par craquer. Sur Onche, y’a des threads “NoFap” où des mecs racontent comment ils ont arrêté, mais moi, je tiens trois jours max avant de replonger.
Ma routine, c’est toujours la même. Je rentre du boulot, je mange un plat surgelé, je vais sur Onche pour checker les nouveaux topics. Parfois, je ris, parfois je me dispute avec un anonyme sur un sujet débile, comme si ça allait changer ma vie. Ensuite, je lance une vidéo porno, puis une autre, et je perds la notion du temps. Quand je me réveille, j’ai les yeux qui brûlent, je suis crevé, mais je vais quand même bosser, comme un zombie. Mes collègues me demandent si je vais bien, je dis oui, mais je mens.
Le pire, c’est que je sais que je me fais du mal. Je lis des articles sur le “porn brain”, comment ça bousille la dopamine, la motivation, tout. Je me reconnais là-dedans. Avant, j’aimais dessiner, jouer à des jeux vidéo, rêver d’un futur où je serais quelqu’un. Maintenant, je rêve juste de la prochaine vidéo. Sur Onche, y’a des mecs qui disent que c’est la société, les femmes, le féminisme qui nous ont rendus comme ça. Peut-être. Mais au fond, je sais que c’est moi qui choisis de cliquer.
Je veux m’en sortir, vraiment. J’ai lu des trucs sur la méditation, sur le sport, sur le fait de se fixer des objectifs. J’ai même téléchargé une appli pour tracker mes “jours sans”. Mais c’est dur. Je me sens faible, comme si j’étais pas à la hauteur de ma propre vie. Sur Onche, je pourrais poster ça, mais j’ai peur qu’on se moque, qu’on me dise “t’es juste faible, khey”. Alors je garde ça pour moi, j’écris ces mots comme une confession.
Je suis puceau, moche, et gooner. Mais je suis aussi un mec qui veut changer. Peut-être que demain, je tiendrai un jour de plus sans porno. Peut-être que j’irai parler à quelqu’un, même si c’est juste un “salut” à la caissière d’à côté. Peut-être que je posterai sur Onche, pas pour me plaindre, mais pour dire que j’ai avancé. Pour l’instant, je suis juste Lucas, 22 ans, perdu dans ses pixels, mais avec une petite voix dans ma tête qui me dit que je vaux mieux que ça.
Je m’appelle Lucas, j’ai 22 ans, et je vais être honnête : je ne suis pas le genre de mec qu’on remarque. On me dit souvent que je suis moche, pas dans le sens cruel, mais dans celui où on ne me voit pas. Visage banal, lunettes épaisses, cheveux en bataille, un corps ni gros ni maigre, juste… quelconque. Je vis dans un petit appart à Tours, seul, avec un job de caissier qui paye à peine les factures. Ma vie sociale, elle, se résume à un écran : le forum Onche, où je passe des heures à scroller, rire des memes, et parfois poster mes pensées, même si personne ne like vraiment.
Mais il y a autre chose. Une ombre qui me suit, qui me bouffe de l’intérieur. Je suis accro au porno.
Être puceau à 22 ans, c’est lourd. Sur Onche, y’en a qui en rigolent, qui se moquent des “PUA” ou des “incels”, mais moi, je me tais dans ces discussions. J’ai jamais osé approcher une fille. À l’école, j’étais le mec invisible, celui qu’on choisit en dernier pour les travaux d’équipe. Aujourd’hui, je me dis que c’est trop tard, que j’ai raté le coche. Les meufs, je les vois dans la rue, je les imagine dans ma tête, mais en vrai ? Rien. Juste des pixels sur un écran, des actrices qui ne savent même pas que j’existe.
Le porno, c’est ma fuite. Ça a commencé à 14 ans, comme tout le monde, une curiosité d’ado. Mais maintenant, c’est une prison. Je regarde des trucs de plus en plus tordus, des trucs dont j’ai honte après coup. Je me dis “arrête, c’est dégueulasse”, mais le lendemain, j’y retourne. Je me sens comme un junkie, sauf que ma drogue, c’est gratuit et à portée de clic. J’ai essayé de supprimer mes comptes, de bloquer les sites, mais je finis toujours par craquer. Sur Onche, y’a des threads “NoFap” où des mecs racontent comment ils ont arrêté, mais moi, je tiens trois jours max avant de replonger.
Ma routine, c’est toujours la même. Je rentre du boulot, je mange un plat surgelé, je vais sur Onche pour checker les nouveaux topics. Parfois, je ris, parfois je me dispute avec un anonyme sur un sujet débile, comme si ça allait changer ma vie. Ensuite, je lance une vidéo porno, puis une autre, et je perds la notion du temps. Quand je me réveille, j’ai les yeux qui brûlent, je suis crevé, mais je vais quand même bosser, comme un zombie. Mes collègues me demandent si je vais bien, je dis oui, mais je mens.
Le pire, c’est que je sais que je me fais du mal. Je lis des articles sur le “porn brain”, comment ça bousille la dopamine, la motivation, tout. Je me reconnais là-dedans. Avant, j’aimais dessiner, jouer à des jeux vidéo, rêver d’un futur où je serais quelqu’un. Maintenant, je rêve juste de la prochaine vidéo. Sur Onche, y’a des mecs qui disent que c’est la société, les femmes, le féminisme qui nous ont rendus comme ça. Peut-être. Mais au fond, je sais que c’est moi qui choisis de cliquer.
Je veux m’en sortir, vraiment. J’ai lu des trucs sur la méditation, sur le sport, sur le fait de se fixer des objectifs. J’ai même téléchargé une appli pour tracker mes “jours sans”. Mais c’est dur. Je me sens faible, comme si j’étais pas à la hauteur de ma propre vie. Sur Onche, je pourrais poster ça, mais j’ai peur qu’on se moque, qu’on me dise “t’es juste faible, khey”. Alors je garde ça pour moi, j’écris ces mots comme une confession.
Je suis puceau, moche, et gooner. Mais je suis aussi un mec qui veut changer. Peut-être que demain, je tiendrai un jour de plus sans porno. Peut-être que j’irai parler à quelqu’un, même si c’est juste un “salut” à la caissière d’à côté. Peut-être que je posterai sur Onche, pas pour me plaindre, mais pour dire que j’ai avancé. Pour l’instant, je suis juste Lucas, 22 ans, perdu dans ses pixels, mais avec une petite voix dans ma tête qui me dit que je vaux mieux que ça.
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a un mois
Wooohma
1 mois
ouiiii
Je m’appelle Lucas, j’ai 22 ans, et je vais être honnête : je ne suis pas le genre de mec qu’on remarque. On me dit souvent que je suis moche, pas dans le sens cruel, mais dans celui où on ne me voit pas. Visage banal, lunettes épaisses, cheveux en bataille, un corps ni gros ni maigre, juste… quelconque. Je vis dans un petit appart à Tours, seul, avec un job de caissier qui paye à peine les factures. Ma vie sociale, elle, se résume à un écran : le forum Onche, où je passe des heures à scroller, rire des memes, et parfois poster mes pensées, même si personne ne like vraiment.
Mais il y a autre chose. Une ombre qui me suit, qui me bouffe de l’intérieur. Je suis accro au porno.
Pas juste un mec qui regarde de temps en temps, non, je suis un gooner. Ce mot, je l’ai découvert sur Onche, dans des threads où des gars plaisantaient à moitié, mais moi, ça m’a frappé comme une vérité. Je passe des nuits entières à enchaîner les vidéos, à cliquer sans réfléchir, à chercher le prochain rush. Ça commence par une vidéo, puis deux, puis dix, et d’un coup, il est 4h du matin, je suis vidé, mais je continue. C’est comme si mon cerveau était câblé pour ça, pour cette dopamine qui me fait oublier que je suis toujours puceau, toujours seul.
Être puceau à 22 ans, c’est lourd. Sur Onche, y’en a qui en rigolent, qui se moquent des “PUA” ou des “incels”, mais moi, je me tais dans ces discussions. J’ai jamais osé approcher une fille. À l’école, j’étais le mec invisible, celui qu’on choisit en dernier pour les travaux d’équipe. Aujourd’hui, je me dis que c’est trop tard, que j’ai raté le coche. Les meufs, je les vois dans la rue, je les imagine dans ma tête, mais en vrai ? Rien. Juste des pixels sur un écran, des actrices qui ne savent même pas que j’existe.
Le porno, c’est ma fuite. Ça a commencé à 14 ans, comme tout le monde, une curiosité d’ado. Mais maintenant, c’est une prison. Je regarde des trucs de plus en plus tordus, des trucs dont j’ai honte après coup. Je me dis “arrête, c’est dégueulasse”, mais le lendemain, j’y retourne. Je me sens comme un junkie, sauf que ma drogue, c’est gratuit et à portée de clic. J’ai essayé de supprimer mes comptes, de bloquer les sites, mais je finis toujours par craquer. Sur Onche, y’a des threads “NoFap” où des mecs racontent comment ils ont arrêté, mais moi, je tiens trois jours max avant de replonger.
Ma routine, c’est toujours la même. Je rentre du boulot, je mange un plat surgelé, je vais sur Onche pour checker les nouveaux topics. Parfois, je ris, parfois je me dispute avec un anonyme sur un sujet débile, comme si ça allait changer ma vie. Ensuite, je lance une vidéo porno, puis une autre, et je perds la notion du temps. Quand je me réveille, j’ai les yeux qui brûlent, je suis crevé, mais je vais quand même bosser, comme un zombie. Mes collègues me demandent si je vais bien, je dis oui, mais je mens.
Le pire, c’est que je sais que je me fais du mal. Je lis des articles sur le “porn brain”, comment ça bousille la dopamine, la motivation, tout. Je me reconnais là-dedans. Avant, j’aimais dessiner, jouer à des jeux vidéo, rêver d’un futur où je serais quelqu’un. Maintenant, je rêve juste de la prochaine vidéo. Sur Onche, y’a des mecs qui disent que c’est la société, les femmes, le féminisme qui nous ont rendus comme ça. Peut-être. Mais au fond, je sais que c’est moi qui choisis de cliquer.
Je veux m’en sortir, vraiment. J’ai lu des trucs sur la méditation, sur le sport, sur le fait de se fixer des objectifs. J’ai même téléchargé une appli pour tracker mes “jours sans”. Mais c’est dur. Je me sens faible, comme si j’étais pas à la hauteur de ma propre vie. Sur Onche, je pourrais poster ça, mais j’ai peur qu’on se moque, qu’on me dise “t’es juste faible, khey”. Alors je garde ça pour moi, j’écris ces mots comme une confession.
Je suis puceau, moche, et gooner. Mais je suis aussi un mec qui veut changer. Peut-être que demain, je tiendrai un jour de plus sans porno. Peut-être que j’irai parler à quelqu’un, même si c’est juste un “salut” à la caissière d’à côté. Peut-être que je posterai sur Onche, pas pour me plaindre, mais pour dire que j’ai avancé. Pour l’instant, je suis juste Lucas, 22 ans, perdu dans ses pixels, mais avec une petite voix dans ma tête qui me dit que je vaux mieux que ça.
Je m’appelle Lucas, j’ai 22 ans, et je vais être honnête : je ne suis pas le genre de mec qu’on remarque. On me dit souvent que je suis moche, pas dans le sens cruel, mais dans celui où on ne me voit pas. Visage banal, lunettes épaisses, cheveux en bataille, un corps ni gros ni maigre, juste… quelconque. Je vis dans un petit appart à Tours, seul, avec un job de caissier qui paye à peine les factures. Ma vie sociale, elle, se résume à un écran : le forum Onche, où je passe des heures à scroller, rire des memes, et parfois poster mes pensées, même si personne ne like vraiment.
Mais il y a autre chose. Une ombre qui me suit, qui me bouffe de l’intérieur. Je suis accro au porno.
Être puceau à 22 ans, c’est lourd. Sur Onche, y’en a qui en rigolent, qui se moquent des “PUA” ou des “incels”, mais moi, je me tais dans ces discussions. J’ai jamais osé approcher une fille. À l’école, j’étais le mec invisible, celui qu’on choisit en dernier pour les travaux d’équipe. Aujourd’hui, je me dis que c’est trop tard, que j’ai raté le coche. Les meufs, je les vois dans la rue, je les imagine dans ma tête, mais en vrai ? Rien. Juste des pixels sur un écran, des actrices qui ne savent même pas que j’existe.
Le porno, c’est ma fuite. Ça a commencé à 14 ans, comme tout le monde, une curiosité d’ado. Mais maintenant, c’est une prison. Je regarde des trucs de plus en plus tordus, des trucs dont j’ai honte après coup. Je me dis “arrête, c’est dégueulasse”, mais le lendemain, j’y retourne. Je me sens comme un junkie, sauf que ma drogue, c’est gratuit et à portée de clic. J’ai essayé de supprimer mes comptes, de bloquer les sites, mais je finis toujours par craquer. Sur Onche, y’a des threads “NoFap” où des mecs racontent comment ils ont arrêté, mais moi, je tiens trois jours max avant de replonger.
Ma routine, c’est toujours la même. Je rentre du boulot, je mange un plat surgelé, je vais sur Onche pour checker les nouveaux topics. Parfois, je ris, parfois je me dispute avec un anonyme sur un sujet débile, comme si ça allait changer ma vie. Ensuite, je lance une vidéo porno, puis une autre, et je perds la notion du temps. Quand je me réveille, j’ai les yeux qui brûlent, je suis crevé, mais je vais quand même bosser, comme un zombie. Mes collègues me demandent si je vais bien, je dis oui, mais je mens.
Le pire, c’est que je sais que je me fais du mal. Je lis des articles sur le “porn brain”, comment ça bousille la dopamine, la motivation, tout. Je me reconnais là-dedans. Avant, j’aimais dessiner, jouer à des jeux vidéo, rêver d’un futur où je serais quelqu’un. Maintenant, je rêve juste de la prochaine vidéo. Sur Onche, y’a des mecs qui disent que c’est la société, les femmes, le féminisme qui nous ont rendus comme ça. Peut-être. Mais au fond, je sais que c’est moi qui choisis de cliquer.
Je veux m’en sortir, vraiment. J’ai lu des trucs sur la méditation, sur le sport, sur le fait de se fixer des objectifs. J’ai même téléchargé une appli pour tracker mes “jours sans”. Mais c’est dur. Je me sens faible, comme si j’étais pas à la hauteur de ma propre vie. Sur Onche, je pourrais poster ça, mais j’ai peur qu’on se moque, qu’on me dise “t’es juste faible, khey”. Alors je garde ça pour moi, j’écris ces mots comme une confession.
Je suis puceau, moche, et gooner. Mais je suis aussi un mec qui veut changer. Peut-être que demain, je tiendrai un jour de plus sans porno. Peut-être que j’irai parler à quelqu’un, même si c’est juste un “salut” à la caissière d’à côté. Peut-être que je posterai sur Onche, pas pour me plaindre, mais pour dire que j’ai avancé. Pour l’instant, je suis juste Lucas, 22 ans, perdu dans ses pixels, mais avec une petite voix dans ma tête qui me dit que je vaux mieux que ça.
Pas lu
il y a un mois
Pas lu
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a un mois