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Le crépuscule s’étirait sur les bois de Chavière, où les pins décharnés griffaient un ciel d’étain. Théo, vingt-cinq ans, maigre comme un clou rouillé, avançait à pas feutrés, un caddie de supermarché rouillé traîné derrière lui. Son visage, un amas de traits anguleux et disgracieux, luisait de sueur sous une casquette élimée. Ses yeux, deux billes fiévreuses, scrutaient les taillis. Le caddie, modifié avec soin, était un piège parfait : des cordes tendues, des poulies bricolées, un mécanisme de capture qu’il avait peaufiné pendant des mois. Les roues grinçaient légèrement, mais le vent dans les branches couvrait le bruit. Théo aimait ce moment, l’attente, l’instant où il se sentait vivant.
Il avait repéré sa proie plus tôt : une joggeuse, la trentaine, écouteurs vissés aux oreilles, inconscient du danger. Théo avait disposé son piège à l’orée d’un sentier, là où les fougères masquaient les cordes. Il avait passé la journée à ajuster les nœuds, à vérifier la tension, à s’assurer que tout était parfait. La seringue, cachée dans sa poche, contenait assez de sédatif pour endormir un cheval. Il la caressait du bout des doigts, un sourire tordu aux lèvres.

La joggeuse apparut, silhouette floue dans la brume du soir. Théo retint son souffle, tapi derrière un chêne. La femme courait, rythmé par sa musique, sans voir les cordes tendues à ras du sol. Un craquement, un cri étouffé, et le piège se referma. Le caddie bascula, emprisonnant les jambes de la joggeuse dans un étau de cordes. Il s’effondra, son visage heurtant la terre humide. Théo surgit, rapide, précis, la seringue déjà en main. L’aiguille s’enfonça dans le cou de la donzelle avant qu’elle ne puisse hurler. Ses yeux roulèrent, paniqués, puis se fermèrent. Théo ricana méchamment, un son aigu, presque enfantin. Il traîna le corps jusqu’au caddie, le chargea comme un sac de provisions et s’enfonça dans les bois.
La cave était son sanctuaire, un sous-sol humide sous une maison délabrée, à l’écart du village. Les murs suintaient, l’odeur de pisse se mêlait à celle du désinfectant. Une table métallique trônait au centre, entourée de sondes et de câbles. Théo y attacha la joggeuse, ses gestes méthodiques, presque tendres. Il alluma la caméra, un vieux modèle volé dans une brocante, et ajusta l’objectif. « Pour la postérité », murmura-t-il, ses lèvres s’étirant en un rictus. Il péta à cause de l'excitation.

Il inséra les sondes avec soin, une dans le bras, une autre dans l'anus, une dernière près du cœur. Les machines ronronnaient, prêtes à faire grimper la température corporelle. Théo avait lu des manuels médicaux, volé des équipements dans un hôpital abandonné. Il savait que 100 degrés était impossible sans tuer, mais il aimait voir jusqu’où il pouvait aller. La joggeuse gémit, reprenant conscience. Ses yeux s’ouvrirent, exorbités, alors que la chaleur montait. Théo, penché au-dessus d'elle, observait, fasciné. Les cris commencèrent, d’abord faibles, puis déchirants. La caméra tournait, capturant chaque spasme, chaque goutte de sueur, chaque regard implorant.
Théo ne parlait pas. Il n’expliquait jamais. Il se contentait de regarder, de filmer, de noter mentalement les détails. La peau de la femme rougissait, ses veines saillaient, son corps tremblait sous l’effet des sondes. Théo ajusta un cadran, augmentant la puissance. Le hurlement qui suivit fit vibrer les murs de la cave. Il sourit. C’était ça, la perfection. La terreur brute, pure, immortalisée.

Quand tout fut fini, Théo éteignit la caméra. Il détacha le corps, le traîna jusqu’à une fosse creusée à l’arrière de la maison. Il nettoya la table, les sondes, le sol, avec une précision maniaque. Puis il s’assit, rewinda la cassette et regarda les images. Ses doigts tapotaient le bord de la chaise, son cœur battait fort. Demain, il retournerait dans les bois. Un autre caddie, un autre piège, une autre proie. Les bois de Chavière étaient vastes, et Théo, lui, était insatiable.
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a un mois
:souris_rsa:
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il y a un mois
faut lire, oui c'est exigeant pour les zoomeurs de merde comme toi
:boomer:
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il y a un mois