Mais on atteint le stade de l'incommunicable où tout le monde se contrefout de leurs élucubrations et nouveaux mots inventés tous les jours.
Celui qui ne sait pas communiquer de façon claire et concise se met en-dehors de la société. Il n'y a pas besoin de 500 mots pour dire si tu es un homme/une femme, si tu aimes les hommes/les femmes/les deux. Le reste sont des états d'âme qui intéressent juste tes proches (les pauvres).
Ce n'est pas nouveau que les réseaux sociaux ont fait remonter sur la scène publique ce qui n'intéresse qu'un très petit comité, brouillant, mais dans leur tête seulement, la distinction entre public et privé.
Car cette distinction existe toujours. S'exposer sur les r.s. c'est monter sur scène et appeller le monde entier à te regarder. C'est ipso-facto prendre le risque de récolter des applaudissement ou des tomates pourries. Qu'ils ne viennent pas chouiner après avoir confondu leur boudoir intime et la scène de l'Olympia.
(NB : lancer des tomates pourries n'est pas synonyme de harcèlement)