Ce sujet a été résolu
Un de mes mangas préférés : Quenotte et Le Monde fantastique
Tellement mims les quelques images que je note ça dans ma liste à lire eqacute
il y a 2 heures
Bon, je suis putain de crevé après toute ces heures de conduite, je vais me coucher
Bonuit mon cœur
Arrêt non desservi
il y a 2 heures
Eros
2h
Y a aussi le délire de l'arme secrète et quasi magique du Die Glocke
La société du Vril
Plein d'autres conspi amusantes
Mais la vraie redpill ultime c'est que les nazis sont à l'origine du managériat moderne, de la propagande publicitaire et de la manipulation de masse du système ultra-capitaliste actuel
Et que les camps de concentrations et le nazisme et son contrôle de masse, la concurrence d'organes administrativo-militaires entre elles, était une expression extrême du processus d'ordonnancement de la société rationnelle technique, d'après Zygmunt Bauman dans son livre Modernity and the Holocaust (1989)
Pour le reste vous êtes not ready donc on va y aller doucement les gelems microlithiques
La société du Vril
Plein d'autres conspi amusantes
Mais la vraie redpill ultime c'est que les nazis sont à l'origine du managériat moderne, de la propagande publicitaire et de la manipulation de masse du système ultra-capitaliste actuel
Et que les camps de concentrations et le nazisme et son contrôle de masse, la concurrence d'organes administrativo-militaires entre elles, était une expression extrême du processus d'ordonnancement de la société rationnelle technique, d'après Zygmunt Bauman dans son livre Modernity and the Holocaust (1989)
Pour le reste vous êtes not ready donc on va y aller doucement les gelems microlithiques
Non mais les théories sur les nazis c'est vraiment un truc de fou a quel point ça va loin c'est génial
Mais ouais y a pas a dire qu'ils sont les fondations de l'état actuel de notre civilisation, que ce soit sur les bons ou mauvais point
Mais ouais y a pas a dire qu'ils sont les fondations de l'état actuel de notre civilisation, que ce soit sur les bons ou mauvais point
il y a 2 heures
Un jour, nofake, je suis allé voir une éditrice sur recommandation de mon ami prof/éditeur/écrivain/journaliste qui connaît tout Paris.
Je lui ai raconté une vague envie d'écrire sur mon expérience du lycée militaire, comme reliquat bizarre et hors du temps et des moeurs de valeurs et de discipline, mais désespérément vidés de sens par le désabusement qui touchait tous les encadrants militaires, et par la bêtise des rituels militaires. Mais des clans tradis, où des transmutations bizarres de jeunes de cité se transformaient en tradis à mèches, où des efféminés étaient moqués, où il y eut des brimades jusqu'aux plus sordides humiliations de sodomie au manche à balais.
Et malgré tout une discipline de vie aux valeurs spartiates, des rituels de rassemblements, en rangs tous les matins, dans le froid en hiver, des punitions injustes, des tentatives de suicide, des personnalités bizarres : un congolais de ma chambrée qui était ecstatique à l'écoute de chants grégoriens. Un autre qui avait derrière le pan de ses armoires des affiches de propagande nazies. Des catholiques doux, certains, de bonnes familles.
Des brimades, côteries, activités en groupe et absende d'intimité, "esprit de corps".
Des aspirants officiers en prépa aux noms à particules, haltiers et fiers, certains grands noms de l'histoire de France, résidus éternels de la vieille noblesse à la charge tripartite de défense du royaume-république.
Et bien sûr, mon expérience d'observateur tiraillé entre l'éducation et la charge de mon père légionnaire ayant voulu m'endurcir, et mes tentatives d'évasions dans la lecture et des insolences gâmines.
---
J'avais en tête une sorte de Tonio Kröger de Thomas Mann, sans le génie et sans la préscience sur le fascisme latent dans les brimades qu'il y racontait.
L'éditrice m'avait écouté à moitié, je crois qu'elle m'avait vu comme un de ces "originaux", un brin taré, comme il en passe souvent chez les éditeurs. Puis elle m'a donné un livre qui m'a déprimé à titre d'exemple pour m'inspirer. Une sorte de "moi Christiane F. 13 ans, droguée et prostitué" en m'enjoignant à des phrases courtes, rythmées, simples et d'autofiction touchante.
Je lui ai raconté une vague envie d'écrire sur mon expérience du lycée militaire, comme reliquat bizarre et hors du temps et des moeurs de valeurs et de discipline, mais désespérément vidés de sens par le désabusement qui touchait tous les encadrants militaires, et par la bêtise des rituels militaires. Mais des clans tradis, où des transmutations bizarres de jeunes de cité se transformaient en tradis à mèches, où des efféminés étaient moqués, où il y eut des brimades jusqu'aux plus sordides humiliations de sodomie au manche à balais.
Et malgré tout une discipline de vie aux valeurs spartiates, des rituels de rassemblements, en rangs tous les matins, dans le froid en hiver, des punitions injustes, des tentatives de suicide, des personnalités bizarres : un congolais de ma chambrée qui était ecstatique à l'écoute de chants grégoriens. Un autre qui avait derrière le pan de ses armoires des affiches de propagande nazies. Des catholiques doux, certains, de bonnes familles.
Des brimades, côteries, activités en groupe et absende d'intimité, "esprit de corps".
Des aspirants officiers en prépa aux noms à particules, haltiers et fiers, certains grands noms de l'histoire de France, résidus éternels de la vieille noblesse à la charge tripartite de défense du royaume-république.
Et bien sûr, mon expérience d'observateur tiraillé entre l'éducation et la charge de mon père légionnaire ayant voulu m'endurcir, et mes tentatives d'évasions dans la lecture et des insolences gâmines.
---
J'avais en tête une sorte de Tonio Kröger de Thomas Mann, sans le génie et sans la préscience sur le fascisme latent dans les brimades qu'il y racontait.
L'éditrice m'avait écouté à moitié, je crois qu'elle m'avait vu comme un de ces "originaux", un brin taré, comme il en passe souvent chez les éditeurs. Puis elle m'a donné un livre qui m'a déprimé à titre d'exemple pour m'inspirer. Une sorte de "moi Christiane F. 13 ans, droguée et prostitué" en m'enjoignant à des phrases courtes, rythmées, simples et d'autofiction touchante.
il y a 2 heures
Eros
2h
Un jour, nofake, je suis allé voir une éditrice sur recommandation de mon ami prof/éditeur/écrivain/journaliste qui connaît tout Paris.
Je lui ai raconté une vague envie d'écrire sur mon expérience du lycée militaire, comme reliquat bizarre et hors du temps et des moeurs de valeurs et de discipline, mais désespérément vidés de sens par le désabusement qui touchait tous les encadrants militaires, et par la bêtise des rituels militaires. Mais des clans tradis, où des transmutations bizarres de jeunes de cité se transformaient en tradis à mèches, où des efféminés étaient moqués, où il y eut des brimades jusqu'aux plus sordides humiliations de sodomie au manche à balais.
Et malgré tout une discipline de vie aux valeurs spartiates, des rituels de rassemblements, en rangs tous les matins, dans le froid en hiver, des punitions injustes, des tentatives de suicide, des personnalités bizarres : un congolais de ma chambrée qui était ecstatique à l'écoute de chants grégoriens. Un autre qui avait derrière le pan de ses armoires des affiches de propagande nazies. Des catholiques doux, certains, de bonnes familles.
Des brimades, côteries, activités en groupe et absende d'intimité, "esprit de corps".
Des aspirants officiers en prépa aux noms à particules, haltiers et fiers, certains grands noms de l'histoire de France, résidus éternels de la vieille noblesse à la charge tripartite de défense du royaume-république.
Et bien sûr, mon expérience d'observateur tiraillé entre l'éducation et la charge de mon père légionnaire ayant voulu m'endurcir, et mes tentatives d'évasions dans la lecture et des insolences gâmines.
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J'avais en tête une sorte de Tonio Kröger de Thomas Mann, sans le génie et sans la préscience sur le fascisme latent dans les brimades qu'il y racontait.
L'éditrice m'avait écouté à moitié, je crois qu'elle m'avait vu comme un de ces "originaux", un brin taré, comme il en passe souvent chez les éditeurs. Puis elle m'a donné un livre qui m'a déprimé à titre d'exemple pour m'inspirer. Une sorte de "moi Christiane F. 13 ans, droguée et prostitué" en m'enjoignant à des phrases courtes, rythmées, simples et d'autofiction touchante.
Je lui ai raconté une vague envie d'écrire sur mon expérience du lycée militaire, comme reliquat bizarre et hors du temps et des moeurs de valeurs et de discipline, mais désespérément vidés de sens par le désabusement qui touchait tous les encadrants militaires, et par la bêtise des rituels militaires. Mais des clans tradis, où des transmutations bizarres de jeunes de cité se transformaient en tradis à mèches, où des efféminés étaient moqués, où il y eut des brimades jusqu'aux plus sordides humiliations de sodomie au manche à balais.
Et malgré tout une discipline de vie aux valeurs spartiates, des rituels de rassemblements, en rangs tous les matins, dans le froid en hiver, des punitions injustes, des tentatives de suicide, des personnalités bizarres : un congolais de ma chambrée qui était ecstatique à l'écoute de chants grégoriens. Un autre qui avait derrière le pan de ses armoires des affiches de propagande nazies. Des catholiques doux, certains, de bonnes familles.
Des brimades, côteries, activités en groupe et absende d'intimité, "esprit de corps".
Des aspirants officiers en prépa aux noms à particules, haltiers et fiers, certains grands noms de l'histoire de France, résidus éternels de la vieille noblesse à la charge tripartite de défense du royaume-république.
Et bien sûr, mon expérience d'observateur tiraillé entre l'éducation et la charge de mon père légionnaire ayant voulu m'endurcir, et mes tentatives d'évasions dans la lecture et des insolences gâmines.
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J'avais en tête une sorte de Tonio Kröger de Thomas Mann, sans le génie et sans la préscience sur le fascisme latent dans les brimades qu'il y racontait.
L'éditrice m'avait écouté à moitié, je crois qu'elle m'avait vu comme un de ces "originaux", un brin taré, comme il en passe souvent chez les éditeurs. Puis elle m'a donné un livre qui m'a déprimé à titre d'exemple pour m'inspirer. Une sorte de "moi Christiane F. 13 ans, droguée et prostitué" en m'enjoignant à des phrases courtes, rythmées, simples et d'autofiction touchante.
il y a 2 heures
(J'ai pris quelques calmants donc j'écris beaucoup, vous pouvez ignorer, mais soyez gentils s'il vous plait)...
il y a 2 heures
"moi tidi, onchois, écrivain et ancien légionnaire"
C'est lourd et mal écrit comme je suis pas dans un état tout à fait normal
Je fais confiance à la gentillesse et la tolérance des blablateurs
Je fais confiance à la gentillesse et la tolérance des blablateurs
il y a 2 heures
Eros
2h
(J'ai pris quelques calmants donc j'écris beaucoup, vous pouvez ignorer, mais soyez gentils s'il vous plait)...
il y a 2 heures
Eros
2h
(J'ai pris quelques calmants donc j'écris beaucoup, vous pouvez ignorer, mais soyez gentils s'il vous plait)...
Tu devais pas passer à la radio ? Ou j'suis fou
Arrêt non desservi
il y a 2 heures
Tu devais pas passer à la radio ? Ou j'suis fou
il y a 2 heures
Vous aussi vous faites semblant d'avoir les paupières fatiguées en vous disant que ça va forcer votre corps a croire qu'il va s'endormir ?
il y a 2 heures
La radio ça existe encore en 2025 ?
Tu passes à la radio ? ok cdg mdrrrrr
Arrêt non desservi
il y a 2 heures
Eros
2h
Un jour, nofake, je suis allé voir une éditrice sur recommandation de mon ami prof/éditeur/écrivain/journaliste qui connaît tout Paris.
Je lui ai raconté une vague envie d'écrire sur mon expérience du lycée militaire, comme reliquat bizarre et hors du temps et des moeurs de valeurs et de discipline, mais désespérément vidés de sens par le désabusement qui touchait tous les encadrants militaires, et par la bêtise des rituels militaires. Mais des clans tradis, où des transmutations bizarres de jeunes de cité se transformaient en tradis à mèches, où des efféminés étaient moqués, où il y eut des brimades jusqu'aux plus sordides humiliations de sodomie au manche à balais.
Et malgré tout une discipline de vie aux valeurs spartiates, des rituels de rassemblements, en rangs tous les matins, dans le froid en hiver, des punitions injustes, des tentatives de suicide, des personnalités bizarres : un congolais de ma chambrée qui était ecstatique à l'écoute de chants grégoriens. Un autre qui avait derrière le pan de ses armoires des affiches de propagande nazies. Des catholiques doux, certains, de bonnes familles.
Des brimades, côteries, activités en groupe et absende d'intimité, "esprit de corps".
Des aspirants officiers en prépa aux noms à particules, haltiers et fiers, certains grands noms de l'histoire de France, résidus éternels de la vieille noblesse à la charge tripartite de défense du royaume-république.
Et bien sûr, mon expérience d'observateur tiraillé entre l'éducation et la charge de mon père légionnaire ayant voulu m'endurcir, et mes tentatives d'évasions dans la lecture et des insolences gâmines.
---
J'avais en tête une sorte de Tonio Kröger de Thomas Mann, sans le génie et sans la préscience sur le fascisme latent dans les brimades qu'il y racontait.
L'éditrice m'avait écouté à moitié, je crois qu'elle m'avait vu comme un de ces "originaux", un brin taré, comme il en passe souvent chez les éditeurs. Puis elle m'a donné un livre qui m'a déprimé à titre d'exemple pour m'inspirer. Une sorte de "moi Christiane F. 13 ans, droguée et prostitué" en m'enjoignant à des phrases courtes, rythmées, simples et d'autofiction touchante.
Je lui ai raconté une vague envie d'écrire sur mon expérience du lycée militaire, comme reliquat bizarre et hors du temps et des moeurs de valeurs et de discipline, mais désespérément vidés de sens par le désabusement qui touchait tous les encadrants militaires, et par la bêtise des rituels militaires. Mais des clans tradis, où des transmutations bizarres de jeunes de cité se transformaient en tradis à mèches, où des efféminés étaient moqués, où il y eut des brimades jusqu'aux plus sordides humiliations de sodomie au manche à balais.
Et malgré tout une discipline de vie aux valeurs spartiates, des rituels de rassemblements, en rangs tous les matins, dans le froid en hiver, des punitions injustes, des tentatives de suicide, des personnalités bizarres : un congolais de ma chambrée qui était ecstatique à l'écoute de chants grégoriens. Un autre qui avait derrière le pan de ses armoires des affiches de propagande nazies. Des catholiques doux, certains, de bonnes familles.
Des brimades, côteries, activités en groupe et absende d'intimité, "esprit de corps".
Des aspirants officiers en prépa aux noms à particules, haltiers et fiers, certains grands noms de l'histoire de France, résidus éternels de la vieille noblesse à la charge tripartite de défense du royaume-république.
Et bien sûr, mon expérience d'observateur tiraillé entre l'éducation et la charge de mon père légionnaire ayant voulu m'endurcir, et mes tentatives d'évasions dans la lecture et des insolences gâmines.
---
J'avais en tête une sorte de Tonio Kröger de Thomas Mann, sans le génie et sans la préscience sur le fascisme latent dans les brimades qu'il y racontait.
L'éditrice m'avait écouté à moitié, je crois qu'elle m'avait vu comme un de ces "originaux", un brin taré, comme il en passe souvent chez les éditeurs. Puis elle m'a donné un livre qui m'a déprimé à titre d'exemple pour m'inspirer. Une sorte de "moi Christiane F. 13 ans, droguée et prostitué" en m'enjoignant à des phrases courtes, rythmées, simples et d'autofiction touchante.
dommage que tu ne l'ai jamais écrit
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 heures
Gormiti
2h
Vous aussi vous faites semblant d'avoir les paupières fatiguées en vous disant que ça va forcer votre corps a croire qu'il va s'endormir ?
Si t'étais assuré d'avoir aucunes séquelles, t'accepterais qu'on t'assomme d'un coup de batte à l'arrière du crâne ?
Arrêt non desservi
il y a 2 heures
Mais le plus gros zero tout c ki en vrai de vrai ?
C'est moi, mais la sublimation littéraire du zérotoutisme ultime ça a déjà été fait bien mieux par des écrivains comme Osamu Dazaï, ou des jouisseurs de la laideur hédoniste comme Bukowski
il y a 2 heures
Si t'étais assuré d'avoir aucunes séquelles, t'accepterais qu'on t'assomme d'un coup de batte à l'arrière du crâne ?
il y a 2 heures