Tracker de musique. Ils ont des fonctions collage, bookmark, tops 100 etc. Plus pratique, vu que je dl tout là-bas
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Non flemme, je note tout dans un excel
Ces structures métalliques sont souvent considérées comme des intrus dans nos paysages naturels, des cicatrices dans la beauté de notre planète et pourtant, je trouve en eux une sorte de beauté étrange et fascinante.
Ils s'élèvent, majestueux et inébranlables, défiant le désordre naturel avec leur structure méthodique faite d'acier froid. A mes yeux, ils sont les sentinelles silencieuses de notre ère moderne, des gardiens d'un équilibre fragile entre l'homme et la nature.
Les voir découper, mutiler l'horizon, c'est contempler l'empreinte craspouille de l'homme sur le sauvage, une dichotomie époustouflante autant que brutale sur la cohabitation forcé de l'égoïsme ravageur humain sur la nature.
Équilibre entre l'ordre humain et le chaos du monde.
Voici quelques photos, j'en posterais d'autres pour vous partager mon engouement.
Ils s'élèvent, majestueux et inébranlables, défiant le désordre naturel avec leur structure méthodique faite d'acier froid. A mes yeux, ils sont les sentinelles silencieuses de notre ère moderne, des gardiens d'un équilibre fragile entre l'homme et la nature.
Les voir découper, mutiler l'horizon, c'est contempler l'empreinte craspouille de l'homme sur le sauvage, une dichotomie époustouflante autant que brutale sur la cohabitation forcé de l'égoïsme ravageur humain sur la nature.
Équilibre entre l'ordre humain et le chaos du monde.
Voici quelques photos, j'en posterais d'autres pour vous partager mon engouement.
Ces structures métalliques sont souvent considérées comme des intrus dans nos paysages naturels, des cicatrices dans la beauté de notre planète et pourtant, je trouve en eux une sorte de beauté étrange et fascinante.
Ils s'élèvent, majestueux et inébranlables, défiant le désordre naturel avec leur structure méthodique faite d'acier froid. A mes yeux, ils sont les sentinelles silencieuses de notre ère moderne, des gardiens d'un équilibre fragile entre l'homme et la nature.
Les voir découper, mutiler l'horizon, c'est contempler l'empreinte craspouille de l'homme sur le sauvage, une dichotomie époustouflante autant que brutale sur la cohabitation forcé de l'égoïsme ravageur humain sur la nature.
Équilibre entre l'ordre humain et le chaos du monde.
Voici quelques photos, j'en posterais d'autres pour vous partager mon engouement.
Ils s'élèvent, majestueux et inébranlables, défiant le désordre naturel avec leur structure méthodique faite d'acier froid. A mes yeux, ils sont les sentinelles silencieuses de notre ère moderne, des gardiens d'un équilibre fragile entre l'homme et la nature.
Les voir découper, mutiler l'horizon, c'est contempler l'empreinte craspouille de l'homme sur le sauvage, une dichotomie époustouflante autant que brutale sur la cohabitation forcé de l'égoïsme ravageur humain sur la nature.
Équilibre entre l'ordre humain et le chaos du monde.
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Tu fait ce topic au moins 1 fois par mois je me souviens meme l’avoir deja lu en 2024 quand j’étais encore avec mon ex
En vrais Björk c’est trop bien
j'ai beaucoup aimé ce post l'op
Merci
This land is worth more than the industries that want it.
Tu fait ce topic au moins 1 fois par mois je me souviens meme l’avoir deja lu en 2024 quand j’étais encore avec mon ex
J'en ai fait trois max, depuis 2024 khey
This land is worth more than the industries that want it.
Mince fuyez
This land is worth more than the industries that want it.
Ces structures métalliques sont souvent considérées comme des intrus dans nos paysages naturels, des cicatrices dans la beauté de notre planète et pourtant, je trouve en eux une sorte de beauté étrange et fascinante.
Ils s'élèvent, majestueux et inébranlables, défiant le désordre naturel avec leur structure méthodique faite d'acier froid. A mes yeux, ils sont les sentinelles silencieuses de notre ère moderne, des gardiens d'un équilibre fragile entre l'homme et la nature.
Les voir découper, mutiler l'horizon, c'est contempler l'empreinte craspouille de l'homme sur le sauvage, une dichotomie époustouflante autant que brutale sur la cohabitation forcé de l'égoïsme ravageur humain sur la nature.
Équilibre entre l'ordre humain et le chaos du monde.
Voici quelques photos, j'en posterais d'autres pour vous partager mon engouement.
Ils s'élèvent, majestueux et inébranlables, défiant le désordre naturel avec leur structure méthodique faite d'acier froid. A mes yeux, ils sont les sentinelles silencieuses de notre ère moderne, des gardiens d'un équilibre fragile entre l'homme et la nature.
Les voir découper, mutiler l'horizon, c'est contempler l'empreinte craspouille de l'homme sur le sauvage, une dichotomie époustouflante autant que brutale sur la cohabitation forcé de l'égoïsme ravageur humain sur la nature.
Équilibre entre l'ordre humain et le chaos du monde.
Voici quelques photos, j'en posterais d'autres pour vous partager mon engouement.
Je te vois comme le mec dans son pylône là, de jojo bizarre adventure dans la saison de Josuke
Je suis AMOUREUX des poignées de porte.
Ces petits objets anodins que l'on frôle sans y penser, que l'on tourne machinalement pour accéder à l’ailleurs, recèlent à mes yeux une puissance symbolique fascinante.
Elles sont les médiatrices du seuil, les gardiennes silencieuses de nos territoires privés. Froides, parfois tièdes au toucher, elles racontent sans parler : le passage, l’attente, le refus ou l’invitation.
Chaque poignée est une charnière invisible entre l’intime et le monde, un artefact minuscule chargé de gestes, de traces, de frottements d’âmes. Leur rotation déclenche le récit. Leur immobilité suspend le destin.
Elles s’insèrent dans la matière, percent le bois, percent le métal, et s’y installent comme une articulation mécanique du quotidien.
Elles ont vu des mains tremblantes, des mains pressées, des mains hésitantes.
Elles ont senti la peur, l’urgence, la colère, l’amour.
C’est une poésie discrète : l’ordre du geste contre le chaos de l’intention.
Un simple mouvement de poignet, et tout bascule.
Elles sont le point de bascule
Ces petits objets anodins que l'on frôle sans y penser, que l'on tourne machinalement pour accéder à l’ailleurs, recèlent à mes yeux une puissance symbolique fascinante.
Elles sont les médiatrices du seuil, les gardiennes silencieuses de nos territoires privés. Froides, parfois tièdes au toucher, elles racontent sans parler : le passage, l’attente, le refus ou l’invitation.
Chaque poignée est une charnière invisible entre l’intime et le monde, un artefact minuscule chargé de gestes, de traces, de frottements d’âmes. Leur rotation déclenche le récit. Leur immobilité suspend le destin.
Elles s’insèrent dans la matière, percent le bois, percent le métal, et s’y installent comme une articulation mécanique du quotidien.
Elles ont vu des mains tremblantes, des mains pressées, des mains hésitantes.
Elles ont senti la peur, l’urgence, la colère, l’amour.
C’est une poésie discrète : l’ordre du geste contre le chaos de l’intention.
Un simple mouvement de poignet, et tout bascule.
Elles sont le point de bascule