Lécher l'anus de Danièle Obono

Un coup à choper l'Ebola ça

Hélas oui j'ai lu entièrement

Ça ne t'a pas plus ?

J'y ai mis du coeur

Elle est la, madame Obono, elle elle est contre le mur, petit a petit, elle remonte sa robe traditionnelle gabonaise laissant apparaitre un cul pleins de cellulite d'une beauté africaine mature. Elle te dit - Jeune gaulois, viens, rapproche toi, c'est la ton devoir de mémoire. Tu te rapproche des fesses de madame Obono, et de toute façon, tu est bien obligé, deux golgothes sénégalais de 100 kilos te surveilles du coin de l'oeil, veillant a ce que tu t'exécute aux ordres de madame Obono. Tu rapproche donc ton visage de son fessier aux allures simiesques, soudains elle écarte fermement ses deux fesses. Tu aperçois cette chose, toute boursouflée, velue, marqué par le temps. Tu remarque même sa raphé pinéales qui donne un air montagneux a ce puits de richesse. Obono te dit "lèche jeune blanc, c'est comme ça que tu réparera les fautes de tes ancêtres et le sang de la colonisation". Tu reste dubitatif, tu observe ce fessier, mais tu détourne le regard, l'odeur rance, ah oui, il faut dire, elle ne s'en cache pas, les négresse ne se lavent pas les fesses, c'est comme manger avec les mains c'est culturel. C'est une odeur épouvantable qui te faire déglutir en permanence. Tu as presque l'inpression d'observer un Carzu Marzu, ce fameux fromage sarde remplis de vers. Mais tu te sens obligé, c'est a toi jeune gaulois que repose tout les espoirs de la république laique et indivisible, tu va enfin racheter les péchés de l'expropriation des africains par la France. Alors tu te lance, tu rapproche ton nez, foutu pour foutu, tu te dis que tu va sentir, te vacciner de cette odeur de mélasse, que nenni, tu vomi en pleins sur la croupe du chimpanzé. Le dégouts te prend, tu va dorénavant devoir lécher ce petit interstice puants, mais tu sera bien obligé de ravaler ton vomi. La honte est totale, mais bon, tu te lance, et tu lèche, la chose a un aspect visqueux et poreux, tu as l'impression de lécher une feuille d'aloe verra a la merde. Tu titille les boursouflures de madame Obono, elle pousse des cries animales "hou hou hou hou ah ah ah" dit elle. Mais c'est alors que le réflexe animale survint, tu sens un gros étrons de gorille qui rentre dans ta bouche, ça pousse, comme ses glaces de ton enfance, la colombien te rentre dans la bouche, il s'effrite sur tes dents, tu ne peux plus respiré par la bouche et l'odeur fétide te brule les nasaux. Tu es perdu, le manque d'oxygène dans ton cerveaux te fait halluciner, tu as l'impression d'avoir une chipolata dans la bouche, alors tu avale, comme un réflexe de survie. Tu ne vomie pas, mais tu ne te sustente pas de l'étron. Aussitôt fini tu continue, tu lèche, tu sers de papier toilette, tu nettoie ta propre tache de vomie, mais aussi la merdre étaler sur les veines rectale. Un gout de fer dans ta bouche, tu es surpris, c'est une bien belle surprise, un hémorroïde qui vient d'éclater violement sous la pression de tes dents. Ni une, ni deux, tu prend confiance en toi, tu rentre deux doigts dans son anus et tu écarte, tu obtiens une vue panoramique sur l'entièreté de son colon, il est abimé, sale, effrité, remplis de pustule, tu t'éfforce de pousseer ta langue au maximum pour nettoyer l'intérieur désormais béants, tu es un putain de ballais swiffer sur pates, une salope blanche bonne qu'a nettoyer le cul d'une sale négresse. Soudainement, alors que tu avais pris ton train de vie, ton pantalon te fut arracher, et le noir, un lutteur sénégalais un peu huileux te sodomise sans lavement ni vaseline avec sa bite de la taille d'un mamba d'afrique, tu hurle, tu hurle " ah ah je suis une salope blanche, oblitérer moi, oblitérer moi Mamadou" et il éjacule dans ton petit cul de céléstin. Le deuxième arrive, sa bite convexe te rappe la parois gauche du rectum comme si elle allais s'arracher pour que la bite du négro viole ton rein gauche. Il fini sur la raie de la négresse, et tu dois nettoyer, il te force a sourire, a lui montrer que tu aime cela, a chaque fois que ton air ne lui convient pas, il te crache dans la bouche, te gifle avec sa main virile. De retour a elle meme, Obono sentit son ventre gargouiller, ce n'était pas la fin, juste des gaz, des tonnes de gaz, elle va détruire la couche d'Ozone si elle se lache, ce qui mécontentera ses amies écolo, mais elle n'en peu plus, elle devient folle, son rectum n'est plus un simple organe, mais le canon d'une arme a desctrution massive, une symphonie de pet gras, oeuffé, l'oeuvre du bon gros foutou sauce graine de la veille. L'odeur te monte au cervaux, tu pleure, tu pleure, ça continu encore et encore comme le chantait Francis Cabrel dans sa chanson Encore et Encore, et cétait le début d'accord d'accord d'un enfer, tu as l'impression d'etre dans le vide spatiale. Ton corps devient violet, tu gonfle, tu suffoque, cette suffoquation te suffit a avoir une éréction si forte que ta verge explose, oh oui, tu meurt, tu meurt, et tu n'aura pas fini d'écouter la symphonie gastrique de la bonobo. Elle te laisse au sol, un nègre prend ton pouls, tu es mort, il n'y a plus de doute, c'est fini. Mais bon, sur une note plus chaleureuse, le plus comique des nègres en profita pour te faire une moustache d'hitler avec un bout de matière fécale a ses pieds.

Goulag pour zoophilie

Elle est la, madame Obono, elle elle est contre le mur, petit a petit, elle remonte sa robe traditionnelle gabonaise laissant apparaitre un cul pleins de cellulite d'une beauté africaine mature. Elle te dit - Jeune gaulois, viens, rapproche toi, c'est la ton devoir de mémoire. Tu te rapproche des fesses de madame Obono, et de toute façon, tu est bien obligé, deux golgothes sénégalais de 100 kilos te surveilles du coin de l'oeil, veillant a ce que tu t'exécute aux ordres de madame Obono. Tu rapproche donc ton visage de son fessier aux allures simiesques, soudains elle écarte fermement ses deux fesses. Tu aperçois cette chose, toute boursouflée, velue, marqué par le temps. Tu remarque même sa raphé pinéales qui donne un air montagneux a ce puits de richesse. Obono te dit "lèche jeune blanc, c'est comme ça que tu réparera les fautes de tes ancêtres et le sang de la colonisation". Tu reste dubitatif, tu observe ce fessier, mais tu détourne le regard, l'odeur rance, ah oui, il faut dire, elle ne s'en cache pas, les négresse ne se lavent pas les fesses, c'est comme manger avec les mains c'est culturel. C'est une odeur épouvantable qui te faire déglutir en permanence. Tu as presque l'inpression d'observer un Carzu Marzu, ce fameux fromage sarde remplis de vers. Mais tu te sens obligé, c'est a toi jeune gaulois que repose tout les espoirs de la république laique et indivisible, tu va enfin racheter les péchés de l'expropriation des africains par la France. Alors tu te lance, tu rapproche ton nez, foutu pour foutu, tu te dis que tu va sentir, te vacciner de cette odeur de mélasse, que nenni, tu vomi en pleins sur la croupe du chimpanzé. Le dégouts te prend, tu va dorénavant devoir lécher ce petit interstice puants, mais tu sera bien obligé de ravaler ton vomi. La honte est totale, mais bon, tu te lance, et tu lèche, la chose a un aspect visqueux et poreux, tu as l'impression de lécher une feuille d'aloe verra a la merde. Tu titille les boursouflures de madame Obono, elle pousse des cries animales "hou hou hou hou ah ah ah" dit elle. Mais c'est alors que le réflexe animale survint, tu sens un gros étrons de gorille qui rentre dans ta bouche, ça pousse, comme ses glaces de ton enfance, la colombien te rentre dans la bouche, il s'effrite sur tes dents, tu ne peux plus respiré par la bouche et l'odeur fétide te brule les nasaux. Tu es perdu, le manque d'oxygène dans ton cerveaux te fait halluciner, tu as l'impression d'avoir une chipolata dans la bouche, alors tu avale, comme un réflexe de survie. Tu ne vomie pas, mais tu ne te sustente pas de l'étron. Aussitôt fini tu continue, tu lèche, tu sers de papier toilette, tu nettoie ta propre tache de vomie, mais aussi la merdre étaler sur les veines rectale. Un gout de fer dans ta bouche, tu es surpris, c'est une bien belle surprise, un hémorroïde qui vient d'éclater violement sous la pression de tes dents. Ni une, ni deux, tu prend confiance en toi, tu rentre deux doigts dans son anus et tu écarte, tu obtiens une vue panoramique sur l'entièreté de son colon, il est abimé, sale, effrité, remplis de pustule, tu t'éfforce de pousseer ta langue au maximum pour nettoyer l'intérieur désormais béants, tu es un putain de ballais swiffer sur pates, une salope blanche bonne qu'a nettoyer le cul d'une sale négresse. Soudainement, alors que tu avais pris ton train de vie, ton pantalon te fut arracher, et le noir, un lutteur sénégalais un peu huileux te sodomise sans lavement ni vaseline avec sa bite de la taille d'un mamba d'afrique, tu hurle, tu hurle " ah ah je suis une salope blanche, oblitérer moi, oblitérer moi Mamadou" et il éjacule dans ton petit cul de céléstin. Le deuxième arrive, sa bite convexe te rappe la parois gauche du rectum comme si elle allais s'arracher pour que la bite du négro viole ton rein gauche. Il fini sur la raie de la négresse, et tu dois nettoyer, il te force a sourire, a lui montrer que tu aime cela, a chaque fois que ton air ne lui convient pas, il te crache dans la bouche, te gifle avec sa main virile. De retour a elle meme, Obono sentit son ventre gargouiller, ce n'était pas la fin, juste des gaz, des tonnes de gaz, elle va détruire la couche d'Ozone si elle se lache, ce qui mécontentera ses amies écolo, mais elle n'en peu plus, elle devient folle, son rectum n'est plus un simple organe, mais le canon d'une arme a desctrution massive, une symphonie de pet gras, oeuffé, l'oeuvre du bon gros foutou sauce graine de la veille. L'odeur te monte au cervaux, tu pleure, tu pleure, ça continu encore et encore comme le chantait Francis Cabrel dans sa chanson Encore et Encore, et cétait le début d'accord d'accord d'un enfer, tu as l'impression d'etre dans le vide spatiale. Ton corps devient violet, tu gonfle, tu suffoque, cette suffoquation te suffit a avoir une éréction si forte que ta verge explose, oh oui, tu meurt, tu meurt, et tu n'aura pas fini d'écouter la symphonie gastrique de la bonobo. Elle te laisse au sol, un nègre prend ton pouls, tu es mort, il n'y a plus de doute, c'est fini. Mais bon, sur une note plus chaleureuse, le plus comique des nègres en profita pour te faire une moustache d'hitler avec un bout de matière fécale a ses pieds.

Elle est la, madame Obono, elle elle est contre le mur, petit a petit, elle remonte sa robe traditionnelle gabonaise laissant apparaitre un cul pleins de cellulite d'une beauté africaine mature. Elle te dit - Jeune gaulois, viens, rapproche toi, c'est la ton devoir de mémoire. Tu te rapproche des fesses de madame Obono, et de toute façon, tu est bien obligé, deux golgothes sénégalais de 100 kilos te surveilles du coin de l'oeil, veillant a ce que tu t'exécute aux ordres de madame Obono. Tu rapproche donc ton visage de son fessier aux allures simiesques, soudains elle écarte fermement ses deux fesses. Tu aperçois cette chose, toute boursouflée, velue, marqué par le temps. Tu remarque même sa raphé pinéales qui donne un air montagneux a ce puits de richesse. Obono te dit "lèche jeune blanc, c'est comme ça que tu réparera les fautes de tes ancêtres et le sang de la colonisation". Tu reste dubitatif, tu observe ce fessier, mais tu détourne le regard, l'odeur rance, ah oui, il faut dire, elle ne s'en cache pas, les négresse ne se lavent pas les fesses, c'est comme manger avec les mains c'est culturel. C'est une odeur épouvantable qui te faire déglutir en permanence. Tu as presque l'inpression d'observer un Carzu Marzu, ce fameux fromage sarde remplis de vers. Mais tu te sens obligé, c'est a toi jeune gaulois que repose tout les espoirs de la république laique et indivisible, tu va enfin racheter les péchés de l'expropriation des africains par la France. Alors tu te lance, tu rapproche ton nez, foutu pour foutu, tu te dis que tu va sentir, te vacciner de cette odeur de mélasse, que nenni, tu vomi en pleins sur la croupe du chimpanzé. Le dégouts te prend, tu va dorénavant devoir lécher ce petit interstice puants, mais tu sera bien obligé de ravaler ton vomi. La honte est totale, mais bon, tu te lance, et tu lèche, la chose a un aspect visqueux et poreux, tu as l'impression de lécher une feuille d'aloe verra a la merde. Tu titille les boursouflures de madame Obono, elle pousse des cries animales "hou hou hou hou ah ah ah" dit elle. Mais c'est alors que le réflexe animale survint, tu sens un gros étrons de gorille qui rentre dans ta bouche, ça pousse, comme ses glaces de ton enfance, la colombien te rentre dans la bouche, il s'effrite sur tes dents, tu ne peux plus respiré par la bouche et l'odeur fétide te brule les nasaux. Tu es perdu, le manque d'oxygène dans ton cerveaux te fait halluciner, tu as l'impression d'avoir une chipolata dans la bouche, alors tu avale, comme un réflexe de survie. Tu ne vomie pas, mais tu ne te sustente pas de l'étron. Aussitôt fini tu continue, tu lèche, tu sers de papier toilette, tu nettoie ta propre tache de vomie, mais aussi la merdre étaler sur les veines rectale. Un gout de fer dans ta bouche, tu es surpris, c'est une bien belle surprise, un hémorroïde qui vient d'éclater violement sous la pression de tes dents. Ni une, ni deux, tu prend confiance en toi, tu rentre deux doigts dans son anus et tu écarte, tu obtiens une vue panoramique sur l'entièreté de son colon, il est abimé, sale, effrité, remplis de pustule, tu t'éfforce de pousseer ta langue au maximum pour nettoyer l'intérieur désormais béants, tu es un putain de ballais swiffer sur pates, une salope blanche bonne qu'a nettoyer le cul d'une sale négresse. Soudainement, alors que tu avais pris ton train de vie, ton pantalon te fut arracher, et le noir, un lutteur sénégalais un peu huileux te sodomise sans lavement ni vaseline avec sa bite de la taille d'un mamba d'afrique, tu hurle, tu hurle " ah ah je suis une salope blanche, oblitérer moi, oblitérer moi Mamadou" et il éjacule dans ton petit cul de céléstin. Le deuxième arrive, sa bite convexe te rappe la parois gauche du rectum comme si elle allais s'arracher pour que la bite du négro viole ton rein gauche. Il fini sur la raie de la négresse, et tu dois nettoyer, il te force a sourire, a lui montrer que tu aime cela, a chaque fois que ton air ne lui convient pas, il te crache dans la bouche, te gifle avec sa main virile. De retour a elle meme, Obono sentit son ventre gargouiller, ce n'était pas la fin, juste des gaz, des tonnes de gaz, elle va détruire la couche d'Ozone si elle se lache, ce qui mécontentera ses amies écolo, mais elle n'en peu plus, elle devient folle, son rectum n'est plus un simple organe, mais le canon d'une arme a desctrution massive, une symphonie de pet gras, oeuffé, l'oeuvre du bon gros foutou sauce graine de la veille. L'odeur te monte au cervaux, tu pleure, tu pleure, ça continu encore et encore comme le chantait Francis Cabrel dans sa chanson Encore et Encore, et cétait le début d'accord d'accord d'un enfer, tu as l'impression d'etre dans le vide spatiale. Ton corps devient violet, tu gonfle, tu suffoque, cette suffoquation te suffit a avoir une éréction si forte que ta verge explose, oh oui, tu meurt, tu meurt, et tu n'aura pas fini d'écouter la symphonie gastrique de la bonobo. Elle te laisse au sol, un nègre prend ton pouls, tu es mort, il n'y a plus de doute, c'est fini. Mais bon, sur une note plus chaleureuse, le plus comique des nègres en profita pour te faire une moustache d'hitler avec un bout de matière fécale a ses pieds.

Cadeau l'Op


Suus Among Us

Elle est la, madame Obono, elle elle est contre le mur, petit a petit, elle remonte sa robe traditionnelle gabonaise laissant apparaitre un cul pleins de cellulite d'une beauté africaine mature. Elle te dit - Jeune gaulois, viens, rapproche toi, c'est la ton devoir de mémoire. Tu te rapproche des fesses de madame Obono, et de toute façon, tu est bien obligé, deux golgothes sénégalais de 100 kilos te surveilles du coin de l'oeil, veillant a ce que tu t'exécute aux ordres de madame Obono. Tu rapproche donc ton visage de son fessier aux allures simiesques, soudains elle écarte fermement ses deux fesses. Tu aperçois cette chose, toute boursouflée, velue, marqué par le temps. Tu remarque même sa raphé pinéales qui donne un air montagneux a ce puits de richesse. Obono te dit "lèche jeune blanc, c'est comme ça que tu réparera les fautes de tes ancêtres et le sang de la colonisation". Tu reste dubitatif, tu observe ce fessier, mais tu détourne le regard, l'odeur rance, ah oui, il faut dire, elle ne s'en cache pas, les négresse ne se lavent pas les fesses, c'est comme manger avec les mains c'est culturel. C'est une odeur épouvantable qui te faire déglutir en permanence. Tu as presque l'inpression d'observer un Carzu Marzu, ce fameux fromage sarde remplis de vers. Mais tu te sens obligé, c'est a toi jeune gaulois que repose tout les espoirs de la république laique et indivisible, tu va enfin racheter les péchés de l'expropriation des africains par la France. Alors tu te lance, tu rapproche ton nez, foutu pour foutu, tu te dis que tu va sentir, te vacciner de cette odeur de mélasse, que nenni, tu vomi en pleins sur la croupe du chimpanzé. Le dégouts te prend, tu va dorénavant devoir lécher ce petit interstice puants, mais tu sera bien obligé de ravaler ton vomi. La honte est totale, mais bon, tu te lance, et tu lèche, la chose a un aspect visqueux et poreux, tu as l'impression de lécher une feuille d'aloe verra a la merde. Tu titille les boursouflures de madame Obono, elle pousse des cries animales "hou hou hou hou ah ah ah" dit elle. Mais c'est alors que le réflexe animale survint, tu sens un gros étrons de gorille qui rentre dans ta bouche, ça pousse, comme ses glaces de ton enfance, la colombien te rentre dans la bouche, il s'effrite sur tes dents, tu ne peux plus respiré par la bouche et l'odeur fétide te brule les nasaux. Tu es perdu, le manque d'oxygène dans ton cerveaux te fait halluciner, tu as l'impression d'avoir une chipolata dans la bouche, alors tu avale, comme un réflexe de survie. Tu ne vomie pas, mais tu ne te sustente pas de l'étron. Aussitôt fini tu continue, tu lèche, tu sers de papier toilette, tu nettoie ta propre tache de vomie, mais aussi la merdre étaler sur les veines rectale. Un gout de fer dans ta bouche, tu es surpris, c'est une bien belle surprise, un hémorroïde qui vient d'éclater violement sous la pression de tes dents. Ni une, ni deux, tu prend confiance en toi, tu rentre deux doigts dans son anus et tu écarte, tu obtiens une vue panoramique sur l'entièreté de son colon, il est abimé, sale, effrité, remplis de pustule, tu t'éfforce de pousseer ta langue au maximum pour nettoyer l'intérieur désormais béants, tu es un putain de ballais swiffer sur pates, une salope blanche bonne qu'a nettoyer le cul d'une sale négresse. Soudainement, alors que tu avais pris ton train de vie, ton pantalon te fut arracher, et le noir, un lutteur sénégalais un peu huileux te sodomise sans lavement ni vaseline avec sa bite de la taille d'un mamba d'afrique, tu hurle, tu hurle " ah ah je suis une salope blanche, oblitérer moi, oblitérer moi Mamadou" et il éjacule dans ton petit cul de céléstin. Le deuxième arrive, sa bite convexe te rappe la parois gauche du rectum comme si elle allais s'arracher pour que la bite du négro viole ton rein gauche. Il fini sur la raie de la négresse, et tu dois nettoyer, il te force a sourire, a lui montrer que tu aime cela, a chaque fois que ton air ne lui convient pas, il te crache dans la bouche, te gifle avec sa main virile. De retour a elle meme, Obono sentit son ventre gargouiller, ce n'était pas la fin, juste des gaz, des tonnes de gaz, elle va détruire la couche d'Ozone si elle se lache, ce qui mécontentera ses amies écolo, mais elle n'en peu plus, elle devient folle, son rectum n'est plus un simple organe, mais le canon d'une arme a desctrution massive, une symphonie de pet gras, oeuffé, l'oeuvre du bon gros foutou sauce graine de la veille. L'odeur te monte au cervaux, tu pleure, tu pleure, ça continu encore et encore comme le chantait Francis Cabrel dans sa chanson Encore et Encore, et cétait le début d'accord d'accord d'un enfer, tu as l'impression d'etre dans le vide spatiale. Ton corps devient violet, tu gonfle, tu suffoque, cette suffoquation te suffit a avoir une éréction si forte que ta verge explose, oh oui, tu meurt, tu meurt, et tu n'aura pas fini d'écouter la symphonie gastrique de la bonobo. Elle te laisse au sol, un nègre prend ton pouls, tu es mort, il n'y a plus de doute, c'est fini. Mais bon, sur une note plus chaleureuse, le plus comique des nègres en profita pour te faire une moustache d'hitler avec un bout de matière fécale a ses pieds.

Taré

Tu as un style mon Khey qui me plait bien, surtout le début. Mais dommage pour les fautes d'orthographe. Et la fin m'a semblé un peu plus bâclée : ponctue, aère ton texte.

mais sinon continue comme ca tu as une belle plume

Putain merci, je t'appréciais déjà beaucoup Hypercoree mais la c'est encore mieux je te créditerais sur JvFlux