Ce sujet a été résolu
parce que les coréens baisent 1000 fois moins que les japonais, ils ne ressentent même plus l'envie de baiser, ce sont des mages noirs de haut niveau
Voici les faits :
Taux de natalité et activité sexuelle :
La Corée du Sud a un des taux de natalité les plus bas au monde (0,72 enfant par femme en 2023), ce qui peut donner l’impression d’une faible activité sexuelle. Cependant, cela reflète plus des facteurs socio-économiques (pression au travail, coût de la vie, stress) que l’absence de désir. Des études, comme celle de Durex (2017), montrent que les Coréens ont des rapports sexuels en moyenne 45 fois par an, contre 48 pour les Japonais. La différence est minime, loin du "1000 fois moins".
Désir sexuel :
Il n’y a aucune preuve que les Coréens ressentent moins de désir que les Japonais. Les enquêtes sur la sexualité (ex. : Korea Sexual Health Survey) indiquent que les Coréens, comme ailleurs, ont des désirs sexuels, mais les pressions culturelles (confucianisme, conservatisme) et sociales (longues heures de travail, focus sur la carrière) peuvent limiter l’expression ou la fréquence des rapports.
Comparaison avec le Japon :
Le Japon a aussi un faible taux de natalité (1,26 en 2023) et des défis similaires (vieillissement, stress urbain). Si leur industrie pornographique est plus visible et variée, ça ne signifie pas que les Japonais ont une activité sexuelle beaucoup plus intense. Les stéréotypes sur la "perversion" japonaise viennent plus de la pop culture que de la réalité quotidienne.
"Mages noirs" :
L’expression est drôle, mais elle joue sur un cliché. Les Coréens ne sont pas des ascètes dépourvus de libido. Les applications de rencontre (comme Tinder ou NoonDate) et la popularité croissante de contenus érotiques en ligne montrent que le désir existe, même s’il est parfois moins visible publiquement à cause des normes sociales.
Conclusion : Les Coréens ne baisent pas "1000 fois moins" que les Japonais, et ils ne sont pas des "mages noirs" sans désir. Les différences culturelles et sociales influencent l’expression de la sexualité, mais les données montrent que les comportements sexuels des deux populations sont assez proches en fréquence. Le reste est une question de perception et de stéréotypes.
Taux de natalité et activité sexuelle :
La Corée du Sud a un des taux de natalité les plus bas au monde (0,72 enfant par femme en 2023), ce qui peut donner l’impression d’une faible activité sexuelle. Cependant, cela reflète plus des facteurs socio-économiques (pression au travail, coût de la vie, stress) que l’absence de désir. Des études, comme celle de Durex (2017), montrent que les Coréens ont des rapports sexuels en moyenne 45 fois par an, contre 48 pour les Japonais. La différence est minime, loin du "1000 fois moins".
Désir sexuel :
Il n’y a aucune preuve que les Coréens ressentent moins de désir que les Japonais. Les enquêtes sur la sexualité (ex. : Korea Sexual Health Survey) indiquent que les Coréens, comme ailleurs, ont des désirs sexuels, mais les pressions culturelles (confucianisme, conservatisme) et sociales (longues heures de travail, focus sur la carrière) peuvent limiter l’expression ou la fréquence des rapports.
Comparaison avec le Japon :
Le Japon a aussi un faible taux de natalité (1,26 en 2023) et des défis similaires (vieillissement, stress urbain). Si leur industrie pornographique est plus visible et variée, ça ne signifie pas que les Japonais ont une activité sexuelle beaucoup plus intense. Les stéréotypes sur la "perversion" japonaise viennent plus de la pop culture que de la réalité quotidienne.
"Mages noirs" :
L’expression est drôle, mais elle joue sur un cliché. Les Coréens ne sont pas des ascètes dépourvus de libido. Les applications de rencontre (comme Tinder ou NoonDate) et la popularité croissante de contenus érotiques en ligne montrent que le désir existe, même s’il est parfois moins visible publiquement à cause des normes sociales.
Conclusion : Les Coréens ne baisent pas "1000 fois moins" que les Japonais, et ils ne sont pas des "mages noirs" sans désir. Les différences culturelles et sociales influencent l’expression de la sexualité, mais les données montrent que les comportements sexuels des deux populations sont assez proches en fréquence. Le reste est une question de perception et de stéréotypes.
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
Qu'est-ce que
ça m'excite de voir une femme pisser sur une autre femme ou un homme j'y peux rien moi
are you threatening me
il y a 14 jours
choah
14j
Le porno coréen c'est vanilla à mort, le max de la perversion là bas c'est l'anal
alors que chez le voisin japonais . . . fin voilà pas besoin d'en parler, ils ont plein de chose unique au monde carrément
pourtant ils sont côte à côte et partage une histoire commune
alors que chez le voisin japonais . . . fin voilà pas besoin d'en parler, ils ont plein de chose unique au monde carrément
pourtant ils sont côte à côte et partage une histoire commune
Les coréens qui sont ultra-puritain et interdisent le porno hard qui va contre leur morale.
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
il y a 14 jours
Voici les faits :
Taux de natalité et activité sexuelle :
La Corée du Sud a un des taux de natalité les plus bas au monde (0,72 enfant par femme en 2023), ce qui peut donner l’impression d’une faible activité sexuelle. Cependant, cela reflète plus des facteurs socio-économiques (pression au travail, coût de la vie, stress) que l’absence de désir. Des études, comme celle de Durex (2017), montrent que les Coréens ont des rapports sexuels en moyenne 45 fois par an, contre 48 pour les Japonais. La différence est minime, loin du "1000 fois moins".
Désir sexuel :
Il n’y a aucune preuve que les Coréens ressentent moins de désir que les Japonais. Les enquêtes sur la sexualité (ex. : Korea Sexual Health Survey) indiquent que les Coréens, comme ailleurs, ont des désirs sexuels, mais les pressions culturelles (confucianisme, conservatisme) et sociales (longues heures de travail, focus sur la carrière) peuvent limiter l’expression ou la fréquence des rapports.
Comparaison avec le Japon :
Le Japon a aussi un faible taux de natalité (1,26 en 2023) et des défis similaires (vieillissement, stress urbain). Si leur industrie pornographique est plus visible et variée, ça ne signifie pas que les Japonais ont une activité sexuelle beaucoup plus intense. Les stéréotypes sur la "perversion" japonaise viennent plus de la pop culture que de la réalité quotidienne.
"Mages noirs" :
L’expression est drôle, mais elle joue sur un cliché. Les Coréens ne sont pas des ascètes dépourvus de libido. Les applications de rencontre (comme Tinder ou NoonDate) et la popularité croissante de contenus érotiques en ligne montrent que le désir existe, même s’il est parfois moins visible publiquement à cause des normes sociales.
Conclusion : Les Coréens ne baisent pas "1000 fois moins" que les Japonais, et ils ne sont pas des "mages noirs" sans désir. Les différences culturelles et sociales influencent l’expression de la sexualité, mais les données montrent que les comportements sexuels des deux populations sont assez proches en fréquence. Le reste est une question de perception et de stéréotypes.
Taux de natalité et activité sexuelle :
La Corée du Sud a un des taux de natalité les plus bas au monde (0,72 enfant par femme en 2023), ce qui peut donner l’impression d’une faible activité sexuelle. Cependant, cela reflète plus des facteurs socio-économiques (pression au travail, coût de la vie, stress) que l’absence de désir. Des études, comme celle de Durex (2017), montrent que les Coréens ont des rapports sexuels en moyenne 45 fois par an, contre 48 pour les Japonais. La différence est minime, loin du "1000 fois moins".
Désir sexuel :
Il n’y a aucune preuve que les Coréens ressentent moins de désir que les Japonais. Les enquêtes sur la sexualité (ex. : Korea Sexual Health Survey) indiquent que les Coréens, comme ailleurs, ont des désirs sexuels, mais les pressions culturelles (confucianisme, conservatisme) et sociales (longues heures de travail, focus sur la carrière) peuvent limiter l’expression ou la fréquence des rapports.
Comparaison avec le Japon :
Le Japon a aussi un faible taux de natalité (1,26 en 2023) et des défis similaires (vieillissement, stress urbain). Si leur industrie pornographique est plus visible et variée, ça ne signifie pas que les Japonais ont une activité sexuelle beaucoup plus intense. Les stéréotypes sur la "perversion" japonaise viennent plus de la pop culture que de la réalité quotidienne.
"Mages noirs" :
L’expression est drôle, mais elle joue sur un cliché. Les Coréens ne sont pas des ascètes dépourvus de libido. Les applications de rencontre (comme Tinder ou NoonDate) et la popularité croissante de contenus érotiques en ligne montrent que le désir existe, même s’il est parfois moins visible publiquement à cause des normes sociales.
Conclusion : Les Coréens ne baisent pas "1000 fois moins" que les Japonais, et ils ne sont pas des "mages noirs" sans désir. Les différences culturelles et sociales influencent l’expression de la sexualité, mais les données montrent que les comportements sexuels des deux populations sont assez proches en fréquence. Le reste est une question de perception et de stéréotypes.
parce qu'il y a des chads qui baisent 50 fois par jour, si tu ne les comptes pas ils baisent 1 fois par décennie maximum
et il doit y avoir 70% de puceaux
et il doit y avoir 70% de puceaux
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 14 jours
parce qu'il y a des chads qui baisent 50 fois par jour, si tu ne les comptes pas ils baisent 1 fois par décennie maximum
et il doit y avoir 70% de puceaux
et il doit y avoir 70% de puceaux
Ton commentaire est clairement provocateur et bourré d’hyperboles, mais je vais le prendre avec humour et te répondre avec un mélange de sérieux et de légèreté pour clarifier les choses !
### Vrai ou faux ? Plutôt faux, mais analysons :
1. **Les "chads" qui baisent 50 fois par jour** :
L’idée d’un "chad" (terme d’argot pour un homme hyper-séduisant et sexuellement actif) qui aurait 50 rapports par jour est physiquement et logistiquement improbable, même pour les plus endurants. Aucune donnée sérieuse ne soutient ce genre d’extravagance, que ce soit en Corée, au Japon ou ailleurs. C’est un fantasme d’internet, pas une réalité statistique. Les enquêtes (comme Durex ou des études locales) montrent que la fréquence moyenne des rapports sexuels est bien plus modeste, même pour les plus actifs (quelques fois par semaine au mieux).
2. **"1 fois par décennie" sans les chads** :
L’hyperbole est drôle, mais fausse. En Corée du Sud, les études (ex. : Korea Sexual Health Survey, 2019) indiquent que les adultes sexuellement actifs ont des rapports environ 3-4 fois par mois en moyenne, similaire au Japon. Les pressions sociales (travail intense, stress économique, normes conservatrices) réduisent la fréquence pour certains, mais pas au point d’arriver à "1 fois par décennie". Même en excluant les plus actifs, la moyenne reste bien supérieure.
3. **"70 % de puceaux"** :
Aucune donnée fiable ne suggère que 70 % des Coréens (ou Japonais) sont vierges. Une étude de 2017 (Korea Research Institute) estimait que 20-25 % des jeunes hommes coréens de 20-30 ans n’avaient pas d’expérience sexuelle, un chiffre en hausse à cause des pressions sociales et économiques, mais loin de 70 %. Au Japon, une étude similaire (2019, Japan National Fertility Survey) indiquait environ 25-30 % de célibataires sans expérience sexuelle dans la même tranche d’âge. Ces chiffres reflètent des tendances sociétales (célibat prolongé, focus sur la carrière), mais on est très loin d’une majorité de "puceaux". Les femmes, dans les deux pays, ont des taux de virginité légèrement plus élevés dans ces enquêtes, mais là encore, rien d’aussi extrême.
4. **Pourquoi cette perception ?**
- **Culture et médias** : En Corée, l’image publique est très policée (K-pop, dramas), ce qui peut donner l’impression d’une société asexuée ou ultra-conservatrice. Au Japon, la visibilité de l’industrie érotique (hentai, AV) exagère l’idée d’une hypersexualité. Ces stéréotypes déforment la réalité.
- **Pression sociale** : Dans les deux pays, les jeunes font face à des défis (coût de la vie, mariage retardé, stress professionnel), ce qui peut réduire les opportunités de relations. Mais ça ne transforme pas la population en "mages noirs" abstinents.
- **Internet et mèmes** : Les termes comme "chad" ou les stats exagérées (70 % de puceaux) viennent souvent de forums ou de mèmes qui amplifient des caricatures pour rire ou provoquer.
### En résumé :
Non, il n’y a pas de "chads" qui baisent 50 fois par jour, ni une majorité de Coréens ou Japonais qui attendent une décennie pour un rapport. Les 70 % de "puceaux" sont une grosse exagération ; les chiffres réels tournent autour de 20-30 % pour les jeunes adultes sans expérience sexuelle, et encore, ça dépend des tranches d’âge. Les Coréens et Japonais ont des vies sexuelles influencées par leurs contextes sociaux, mais ils ne sont ni des moines ni des machines à sexe. C’est juste que la Corée est plus discrète et le Japon plus visible dans l’expression de la sexualité. 😎
Si t’as d’autres stats ou mèmes à débunker, envoie !
### Vrai ou faux ? Plutôt faux, mais analysons :
1. **Les "chads" qui baisent 50 fois par jour** :
L’idée d’un "chad" (terme d’argot pour un homme hyper-séduisant et sexuellement actif) qui aurait 50 rapports par jour est physiquement et logistiquement improbable, même pour les plus endurants. Aucune donnée sérieuse ne soutient ce genre d’extravagance, que ce soit en Corée, au Japon ou ailleurs. C’est un fantasme d’internet, pas une réalité statistique. Les enquêtes (comme Durex ou des études locales) montrent que la fréquence moyenne des rapports sexuels est bien plus modeste, même pour les plus actifs (quelques fois par semaine au mieux).
2. **"1 fois par décennie" sans les chads** :
L’hyperbole est drôle, mais fausse. En Corée du Sud, les études (ex. : Korea Sexual Health Survey, 2019) indiquent que les adultes sexuellement actifs ont des rapports environ 3-4 fois par mois en moyenne, similaire au Japon. Les pressions sociales (travail intense, stress économique, normes conservatrices) réduisent la fréquence pour certains, mais pas au point d’arriver à "1 fois par décennie". Même en excluant les plus actifs, la moyenne reste bien supérieure.
3. **"70 % de puceaux"** :
Aucune donnée fiable ne suggère que 70 % des Coréens (ou Japonais) sont vierges. Une étude de 2017 (Korea Research Institute) estimait que 20-25 % des jeunes hommes coréens de 20-30 ans n’avaient pas d’expérience sexuelle, un chiffre en hausse à cause des pressions sociales et économiques, mais loin de 70 %. Au Japon, une étude similaire (2019, Japan National Fertility Survey) indiquait environ 25-30 % de célibataires sans expérience sexuelle dans la même tranche d’âge. Ces chiffres reflètent des tendances sociétales (célibat prolongé, focus sur la carrière), mais on est très loin d’une majorité de "puceaux". Les femmes, dans les deux pays, ont des taux de virginité légèrement plus élevés dans ces enquêtes, mais là encore, rien d’aussi extrême.
4. **Pourquoi cette perception ?**
- **Culture et médias** : En Corée, l’image publique est très policée (K-pop, dramas), ce qui peut donner l’impression d’une société asexuée ou ultra-conservatrice. Au Japon, la visibilité de l’industrie érotique (hentai, AV) exagère l’idée d’une hypersexualité. Ces stéréotypes déforment la réalité.
- **Pression sociale** : Dans les deux pays, les jeunes font face à des défis (coût de la vie, mariage retardé, stress professionnel), ce qui peut réduire les opportunités de relations. Mais ça ne transforme pas la population en "mages noirs" abstinents.
- **Internet et mèmes** : Les termes comme "chad" ou les stats exagérées (70 % de puceaux) viennent souvent de forums ou de mèmes qui amplifient des caricatures pour rire ou provoquer.
### En résumé :
Non, il n’y a pas de "chads" qui baisent 50 fois par jour, ni une majorité de Coréens ou Japonais qui attendent une décennie pour un rapport. Les 70 % de "puceaux" sont une grosse exagération ; les chiffres réels tournent autour de 20-30 % pour les jeunes adultes sans expérience sexuelle, et encore, ça dépend des tranches d’âge. Les Coréens et Japonais ont des vies sexuelles influencées par leurs contextes sociaux, mais ils ne sont ni des moines ni des machines à sexe. C’est juste que la Corée est plus discrète et le Japon plus visible dans l’expression de la sexualité. 😎
Si t’as d’autres stats ou mèmes à débunker, envoie !
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
Les coréens se font bouffer par la pression sociale a tous les niveau, même dans le porno, il ne faut pas montré ci, ne pas faire ça etc.
La ou les japonais c'est open bar dans le porno
La ou les japonais c'est open bar dans le porno
il y a 14 jours
merovingien
14j
Les coréens se font bouffer par la pression sociale a tous les niveau, même dans le porno, il ne faut pas montré ci, ne pas faire ça etc.
La ou les japonais c'est open bar dans le porno
La ou les japonais c'est open bar dans le porno
y a pas de pression sociale aux usa et ils sont pas aussi taré dans leurs pornos
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
Ton commentaire est clairement provocateur et bourré d’hyperboles, mais je vais le prendre avec humour et te répondre avec un mélange de sérieux et de légèreté pour clarifier les choses !
### Vrai ou faux ? Plutôt faux, mais analysons :
1. **Les "chads" qui baisent 50 fois par jour** :
L’idée d’un "chad" (terme d’argot pour un homme hyper-séduisant et sexuellement actif) qui aurait 50 rapports par jour est physiquement et logistiquement improbable, même pour les plus endurants. Aucune donnée sérieuse ne soutient ce genre d’extravagance, que ce soit en Corée, au Japon ou ailleurs. C’est un fantasme d’internet, pas une réalité statistique. Les enquêtes (comme Durex ou des études locales) montrent que la fréquence moyenne des rapports sexuels est bien plus modeste, même pour les plus actifs (quelques fois par semaine au mieux).
2. **"1 fois par décennie" sans les chads** :
L’hyperbole est drôle, mais fausse. En Corée du Sud, les études (ex. : Korea Sexual Health Survey, 2019) indiquent que les adultes sexuellement actifs ont des rapports environ 3-4 fois par mois en moyenne, similaire au Japon. Les pressions sociales (travail intense, stress économique, normes conservatrices) réduisent la fréquence pour certains, mais pas au point d’arriver à "1 fois par décennie". Même en excluant les plus actifs, la moyenne reste bien supérieure.
3. **"70 % de puceaux"** :
Aucune donnée fiable ne suggère que 70 % des Coréens (ou Japonais) sont vierges. Une étude de 2017 (Korea Research Institute) estimait que 20-25 % des jeunes hommes coréens de 20-30 ans n’avaient pas d’expérience sexuelle, un chiffre en hausse à cause des pressions sociales et économiques, mais loin de 70 %. Au Japon, une étude similaire (2019, Japan National Fertility Survey) indiquait environ 25-30 % de célibataires sans expérience sexuelle dans la même tranche d’âge. Ces chiffres reflètent des tendances sociétales (célibat prolongé, focus sur la carrière), mais on est très loin d’une majorité de "puceaux". Les femmes, dans les deux pays, ont des taux de virginité légèrement plus élevés dans ces enquêtes, mais là encore, rien d’aussi extrême.
4. **Pourquoi cette perception ?**
- **Culture et médias** : En Corée, l’image publique est très policée (K-pop, dramas), ce qui peut donner l’impression d’une société asexuée ou ultra-conservatrice. Au Japon, la visibilité de l’industrie érotique (hentai, AV) exagère l’idée d’une hypersexualité. Ces stéréotypes déforment la réalité.
- **Pression sociale** : Dans les deux pays, les jeunes font face à des défis (coût de la vie, mariage retardé, stress professionnel), ce qui peut réduire les opportunités de relations. Mais ça ne transforme pas la population en "mages noirs" abstinents.
- **Internet et mèmes** : Les termes comme "chad" ou les stats exagérées (70 % de puceaux) viennent souvent de forums ou de mèmes qui amplifient des caricatures pour rire ou provoquer.
### En résumé :
Non, il n’y a pas de "chads" qui baisent 50 fois par jour, ni une majorité de Coréens ou Japonais qui attendent une décennie pour un rapport. Les 70 % de "puceaux" sont une grosse exagération ; les chiffres réels tournent autour de 20-30 % pour les jeunes adultes sans expérience sexuelle, et encore, ça dépend des tranches d’âge. Les Coréens et Japonais ont des vies sexuelles influencées par leurs contextes sociaux, mais ils ne sont ni des moines ni des machines à sexe. C’est juste que la Corée est plus discrète et le Japon plus visible dans l’expression de la sexualité. 😎
Si t’as d’autres stats ou mèmes à débunker, envoie !
### Vrai ou faux ? Plutôt faux, mais analysons :
1. **Les "chads" qui baisent 50 fois par jour** :
L’idée d’un "chad" (terme d’argot pour un homme hyper-séduisant et sexuellement actif) qui aurait 50 rapports par jour est physiquement et logistiquement improbable, même pour les plus endurants. Aucune donnée sérieuse ne soutient ce genre d’extravagance, que ce soit en Corée, au Japon ou ailleurs. C’est un fantasme d’internet, pas une réalité statistique. Les enquêtes (comme Durex ou des études locales) montrent que la fréquence moyenne des rapports sexuels est bien plus modeste, même pour les plus actifs (quelques fois par semaine au mieux).
2. **"1 fois par décennie" sans les chads** :
L’hyperbole est drôle, mais fausse. En Corée du Sud, les études (ex. : Korea Sexual Health Survey, 2019) indiquent que les adultes sexuellement actifs ont des rapports environ 3-4 fois par mois en moyenne, similaire au Japon. Les pressions sociales (travail intense, stress économique, normes conservatrices) réduisent la fréquence pour certains, mais pas au point d’arriver à "1 fois par décennie". Même en excluant les plus actifs, la moyenne reste bien supérieure.
3. **"70 % de puceaux"** :
Aucune donnée fiable ne suggère que 70 % des Coréens (ou Japonais) sont vierges. Une étude de 2017 (Korea Research Institute) estimait que 20-25 % des jeunes hommes coréens de 20-30 ans n’avaient pas d’expérience sexuelle, un chiffre en hausse à cause des pressions sociales et économiques, mais loin de 70 %. Au Japon, une étude similaire (2019, Japan National Fertility Survey) indiquait environ 25-30 % de célibataires sans expérience sexuelle dans la même tranche d’âge. Ces chiffres reflètent des tendances sociétales (célibat prolongé, focus sur la carrière), mais on est très loin d’une majorité de "puceaux". Les femmes, dans les deux pays, ont des taux de virginité légèrement plus élevés dans ces enquêtes, mais là encore, rien d’aussi extrême.
4. **Pourquoi cette perception ?**
- **Culture et médias** : En Corée, l’image publique est très policée (K-pop, dramas), ce qui peut donner l’impression d’une société asexuée ou ultra-conservatrice. Au Japon, la visibilité de l’industrie érotique (hentai, AV) exagère l’idée d’une hypersexualité. Ces stéréotypes déforment la réalité.
- **Pression sociale** : Dans les deux pays, les jeunes font face à des défis (coût de la vie, mariage retardé, stress professionnel), ce qui peut réduire les opportunités de relations. Mais ça ne transforme pas la population en "mages noirs" abstinents.
- **Internet et mèmes** : Les termes comme "chad" ou les stats exagérées (70 % de puceaux) viennent souvent de forums ou de mèmes qui amplifient des caricatures pour rire ou provoquer.
### En résumé :
Non, il n’y a pas de "chads" qui baisent 50 fois par jour, ni une majorité de Coréens ou Japonais qui attendent une décennie pour un rapport. Les 70 % de "puceaux" sont une grosse exagération ; les chiffres réels tournent autour de 20-30 % pour les jeunes adultes sans expérience sexuelle, et encore, ça dépend des tranches d’âge. Les Coréens et Japonais ont des vies sexuelles influencées par leurs contextes sociaux, mais ils ne sont ni des moines ni des machines à sexe. C’est juste que la Corée est plus discrète et le Japon plus visible dans l’expression de la sexualité. 😎
Si t’as d’autres stats ou mèmes à débunker, envoie !
logistiquement improbable
il est pas ready lui
il est pas ready lui
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 14 jours
logistiquement improbable
il est pas ready lui
il est pas ready lui
ouais tu t'y connais en pucellerie toi
@putaso @mael
@putaso @mael
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
y a pas de pression sociale aux usa et ils sont pas aussi taré dans leurs pornos
C'est blindé d'inceste aux usa step step step ....
Les japonais ce lachent dans le porno car la vie de tous les jours est très codé, sous pression de certaines normes social.
Les japonais ce lachent dans le porno car la vie de tous les jours est très codé, sous pression de certaines normes social.
il y a 14 jours
tu n'avais pas à dire ça
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 14 jours
Finlande
14j
Mentalité et rapport au sexe différent j'imagine
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
La différence que tu pointes entre la pornographie coréenne et japonaise s’explique par un mélange de facteurs culturels, historiques, juridiques et sociaux, même si les deux pays partagent une proximité géographique et des racines historiques. Voici une analyse concise :
1. **Cadre juridique et censure** :
- En Corée du Sud, la pornographie est strictement réglementée. Jusqu’à récemment, la production et la distribution de contenu explicite étaient illégales, et même aujourd’hui, les lois restent très restrictives. Cela limite l’exploration de thèmes extrêmes, cantonnant souvent le contenu à des formes plus "vanilla" ou à des fétichismes modérés comme l’anal.
- Au Japon, bien que la censure existe (notamment le floutage des organes génitaux en raison de l’article 175 du code pénal), l’industrie du porno est beaucoup plus développée et tolérée. Cela a permis une diversification et une créativité dans les genres, y compris des niches extrêmes ou "uniques" (hentai, tentacle porn, etc.).
2. **Contexte culturel et historique** :
- La Corée du Sud a été fortement influencée par le confucianisme, qui valorise la retenue, la pudeur et des normes morales strictes. Cela se reflète dans une approche plus conservatrice de la sexualité, même dans le porno.
- Le Japon, bien qu’aussi influencé par le confucianisme, a une longue tradition de représentation érotique (shunga dans l’art ukiyo-e, par exemple) et une culture qui intègre plus ouvertement des éléments de fantaisie et d’exploration sexuelle. Le shintoïsme, moins moralisateur sur la sexualité, et une fascination pour l’imaginaire (notamment via le manga/anime) ont favorisé une plus grande liberté dans les expressions sexuelles.
3. **Industrie et marché** :
- Le Japon a une industrie du divertissement (manga, anime, jeux vidéo) qui alimente des sous-cultures fetishistes (otaku, etc.), intégrant des éléments érotiques variés et souvent audacieux. Cela a normalisé une exploration plus large des fantasmes.
- En Corée, l’industrie culturelle (K-pop, dramas) met l’accent sur une image lisse et idéalisée, ce qui influence aussi le porno, souvent plus "propre" et moins expérimental.
4. **Perception de la perversion** :
- Ce que tu appelles "perversion" au Japon peut être vu comme une exploration créative ou une exagération de fantasmes dans un cadre souvent fictif (hentai, par exemple). Cela ne signifie pas que les Japonais sont intrinsèquement "plus pervers", mais que leur culture médiatique permet plus d’expérimentation dans ce domaine. En Corée, la pression sociale et les normes conservatrices freinent ce type d’expression.
5. **Proximité géographique, divergences culturelles** :
Bien que voisins, les deux pays ont évolué différemment après la Seconde Guerre mondiale. Le Japon, avec son boom économique et sa culture pop mondiale, a intégré des influences occidentales tout en amplifiant ses propres particularités. La Corée du Sud, marquée par une dictature militaire jusqu’aux années 1980 et un conservatisme social, a suivi un chemin plus restraint.
En résumé, les différences tiennent à des cadres légaux, des héritages culturels et des dynamiques industrielles distinctes. Le Japon a une longue tradition d’exploration érotique et une industrie qui pousse les limites, tandis que la Corée reste plus conservatrice, même dans ses expressions "extrêmes". Dire que les Japonais sont "plus pervers" est une simplification ; c’est plutôt que leur culture médiatique et leurs libertés créatives permettent une plus grande diversité dans l’expression des fantasmes.
1. **Cadre juridique et censure** :
- En Corée du Sud, la pornographie est strictement réglementée. Jusqu’à récemment, la production et la distribution de contenu explicite étaient illégales, et même aujourd’hui, les lois restent très restrictives. Cela limite l’exploration de thèmes extrêmes, cantonnant souvent le contenu à des formes plus "vanilla" ou à des fétichismes modérés comme l’anal.
- Au Japon, bien que la censure existe (notamment le floutage des organes génitaux en raison de l’article 175 du code pénal), l’industrie du porno est beaucoup plus développée et tolérée. Cela a permis une diversification et une créativité dans les genres, y compris des niches extrêmes ou "uniques" (hentai, tentacle porn, etc.).
2. **Contexte culturel et historique** :
- La Corée du Sud a été fortement influencée par le confucianisme, qui valorise la retenue, la pudeur et des normes morales strictes. Cela se reflète dans une approche plus conservatrice de la sexualité, même dans le porno.
- Le Japon, bien qu’aussi influencé par le confucianisme, a une longue tradition de représentation érotique (shunga dans l’art ukiyo-e, par exemple) et une culture qui intègre plus ouvertement des éléments de fantaisie et d’exploration sexuelle. Le shintoïsme, moins moralisateur sur la sexualité, et une fascination pour l’imaginaire (notamment via le manga/anime) ont favorisé une plus grande liberté dans les expressions sexuelles.
3. **Industrie et marché** :
- Le Japon a une industrie du divertissement (manga, anime, jeux vidéo) qui alimente des sous-cultures fetishistes (otaku, etc.), intégrant des éléments érotiques variés et souvent audacieux. Cela a normalisé une exploration plus large des fantasmes.
- En Corée, l’industrie culturelle (K-pop, dramas) met l’accent sur une image lisse et idéalisée, ce qui influence aussi le porno, souvent plus "propre" et moins expérimental.
4. **Perception de la perversion** :
- Ce que tu appelles "perversion" au Japon peut être vu comme une exploration créative ou une exagération de fantasmes dans un cadre souvent fictif (hentai, par exemple). Cela ne signifie pas que les Japonais sont intrinsèquement "plus pervers", mais que leur culture médiatique permet plus d’expérimentation dans ce domaine. En Corée, la pression sociale et les normes conservatrices freinent ce type d’expression.
5. **Proximité géographique, divergences culturelles** :
Bien que voisins, les deux pays ont évolué différemment après la Seconde Guerre mondiale. Le Japon, avec son boom économique et sa culture pop mondiale, a intégré des influences occidentales tout en amplifiant ses propres particularités. La Corée du Sud, marquée par une dictature militaire jusqu’aux années 1980 et un conservatisme social, a suivi un chemin plus restraint.
En résumé, les différences tiennent à des cadres légaux, des héritages culturels et des dynamiques industrielles distinctes. Le Japon a une longue tradition d’exploration érotique et une industrie qui pousse les limites, tandis que la Corée reste plus conservatrice, même dans ses expressions "extrêmes". Dire que les Japonais sont "plus pervers" est une simplification ; c’est plutôt que leur culture médiatique et leurs libertés créatives permettent une plus grande diversité dans l’expression des fantasmes.
Réponse chatGPT?
Voix ASMR askondi
il y a 14 jours
Réponse chatGPT?
grok
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
Voici les faits :
Taux de natalité et activité sexuelle :
La Corée du Sud a un des taux de natalité les plus bas au monde (0,72 enfant par femme en 2023), ce qui peut donner l’impression d’une faible activité sexuelle. Cependant, cela reflète plus des facteurs socio-économiques (pression au travail, coût de la vie, stress) que l’absence de désir. Des études, comme celle de Durex (2017), montrent que les Coréens ont des rapports sexuels en moyenne 45 fois par an, contre 48 pour les Japonais. La différence est minime, loin du "1000 fois moins".
Désir sexuel :
Il n’y a aucune preuve que les Coréens ressentent moins de désir que les Japonais. Les enquêtes sur la sexualité (ex. : Korea Sexual Health Survey) indiquent que les Coréens, comme ailleurs, ont des désirs sexuels, mais les pressions culturelles (confucianisme, conservatisme) et sociales (longues heures de travail, focus sur la carrière) peuvent limiter l’expression ou la fréquence des rapports.
Comparaison avec le Japon :
Le Japon a aussi un faible taux de natalité (1,26 en 2023) et des défis similaires (vieillissement, stress urbain). Si leur industrie pornographique est plus visible et variée, ça ne signifie pas que les Japonais ont une activité sexuelle beaucoup plus intense. Les stéréotypes sur la "perversion" japonaise viennent plus de la pop culture que de la réalité quotidienne.
"Mages noirs" :
L’expression est drôle, mais elle joue sur un cliché. Les Coréens ne sont pas des ascètes dépourvus de libido. Les applications de rencontre (comme Tinder ou NoonDate) et la popularité croissante de contenus érotiques en ligne montrent que le désir existe, même s’il est parfois moins visible publiquement à cause des normes sociales.
Conclusion : Les Coréens ne baisent pas "1000 fois moins" que les Japonais, et ils ne sont pas des "mages noirs" sans désir. Les différences culturelles et sociales influencent l’expression de la sexualité, mais les données montrent que les comportements sexuels des deux populations sont assez proches en fréquence. Le reste est une question de perception et de stéréotypes.
Taux de natalité et activité sexuelle :
La Corée du Sud a un des taux de natalité les plus bas au monde (0,72 enfant par femme en 2023), ce qui peut donner l’impression d’une faible activité sexuelle. Cependant, cela reflète plus des facteurs socio-économiques (pression au travail, coût de la vie, stress) que l’absence de désir. Des études, comme celle de Durex (2017), montrent que les Coréens ont des rapports sexuels en moyenne 45 fois par an, contre 48 pour les Japonais. La différence est minime, loin du "1000 fois moins".
Désir sexuel :
Il n’y a aucune preuve que les Coréens ressentent moins de désir que les Japonais. Les enquêtes sur la sexualité (ex. : Korea Sexual Health Survey) indiquent que les Coréens, comme ailleurs, ont des désirs sexuels, mais les pressions culturelles (confucianisme, conservatisme) et sociales (longues heures de travail, focus sur la carrière) peuvent limiter l’expression ou la fréquence des rapports.
Comparaison avec le Japon :
Le Japon a aussi un faible taux de natalité (1,26 en 2023) et des défis similaires (vieillissement, stress urbain). Si leur industrie pornographique est plus visible et variée, ça ne signifie pas que les Japonais ont une activité sexuelle beaucoup plus intense. Les stéréotypes sur la "perversion" japonaise viennent plus de la pop culture que de la réalité quotidienne.
"Mages noirs" :
L’expression est drôle, mais elle joue sur un cliché. Les Coréens ne sont pas des ascètes dépourvus de libido. Les applications de rencontre (comme Tinder ou NoonDate) et la popularité croissante de contenus érotiques en ligne montrent que le désir existe, même s’il est parfois moins visible publiquement à cause des normes sociales.
Conclusion : Les Coréens ne baisent pas "1000 fois moins" que les Japonais, et ils ne sont pas des "mages noirs" sans désir. Les différences culturelles et sociales influencent l’expression de la sexualité, mais les données montrent que les comportements sexuels des deux populations sont assez proches en fréquence. Le reste est une question de perception et de stéréotypes.
Enlève cet avatar de boomboclat
Gloire à Yakub
il y a 14 jours
Enlève cet avatar de boomboclat
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 14 jours
choah
14j
Le porno coréen c'est vanilla à mort, le max de la perversion là bas c'est l'anal
alors que chez le voisin japonais . . . fin voilà pas besoin d'en parler, ils ont plein de chose unique au monde carrément
pourtant ils sont côte à côte et partage une histoire commune
alors que chez le voisin japonais . . . fin voilà pas besoin d'en parler, ils ont plein de chose unique au monde carrément
pourtant ils sont côte à côte et partage une histoire commune
Et en occident : tatooed stepsister blacked by her stepbrother
il y a 13 jours