Ce sujet a été résolu
Je suis actuellement à la plage en compagnie de @Quicheloren, et il faut être honnête : la plage est devenue le défilé de la disgrâce et un culte de l’inesthétique
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
il y a 2 jours
JUS†IFIÉS PAR SON SANG => sau✓és du courroux -Rom 5:9 CROIS AU SEIGNEUR JÉSUS CHRIST et tu seras sau✓é -Act 16:31
il y a 2 jours
Goldorak
2j
Bien sûr vous deux avez des physiques plus qu’avantageux
Nous avons le mérite d’être sveltes.
il y a 2 jours
_N_
2j
Photo pour illustrer la magalax pleine de cellulites
Par respect pour l’objectif de mon iPhone 15 je vais éviter.
il y a 2 jours
Je suis actuellement à la plage en compagnie de @Quicheloren, et il faut être honnête : la plage est devenue le défilé de la disgrâce et un culte de l’inesthétique
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
Photo de ton corps d'apollon ou cancer
🇮🇪
il y a 2 jours
Je suis actuellement à la plage en compagnie de @Quicheloren, et il faut être honnête : la plage est devenue le défilé de la disgrâce et un culte de l’inesthétique
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
Très beau témoignage. Très bien écrit khey.
Avant on cherchait à dissimuler la laideur, aujourd'hui on l'exhibe à tout le monde.
C'est écoeurant.
Avant on cherchait à dissimuler la laideur, aujourd'hui on l'exhibe à tout le monde.
C'est écoeurant.
il y a 2 jours
Moi je suis svelte, juste quand je suis en bikini y'a une bosse inesthétique en bas
あそびたい~つ !
il y a 2 jours
Très beau témoignage. Très bien écrit khey.
Avant on cherchait à dissimuler la laideur, aujourd'hui on l'exhibe à tout le monde.
C'est écoeurant.
Avant on cherchait à dissimuler la laideur, aujourd'hui on l'exhibe à tout le monde.
C'est écoeurant.
Je n’exige pas des corps de déesses et dieux grecs, je considère juste que la place des cétacés est dans la mer.
il y a 2 jours
KJ-Anima
2j
Moi je suis svelte, juste quand je suis en bikini y'a une bosse inesthétique en bas
C’est parce que tu es un TRAP.
il y a 2 jours
C’est parce que tu es un TRAP.
Aaaah mais c'est pour ça alors
あそびたい~つ !
il y a 2 jours
Je suis actuellement à la plage en compagnie de @Quicheloren, et il faut être honnête : la plage est devenue le défilé de la disgrâce et un culte de l’inesthétique
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
La plage, ce lieu autrefois réservé au loisir, au charme, à la suggestion élégante du corps, est aujourd’hui envahie par une armée de corps difformes en open bar d’impudeur. Le culte du « body positive » a déchaîné ses adorateurs : plus de retenue, plus de pudeur, plus de miroir, visiblement.
Qu'on se le dise : tout ne mérite pas d’être exhibé. Les corps flasques comme des méduses, les cuisses qui se frottent dans une danse moite et sonore, les ventres lustrés qui pendent comme des rideaux défaits : cela ne relève ni du courage, ni de l’acceptation de soi. C’est une invasion visuelle, une pollution esthétique.
Autrefois, la disgrâce se dissimulai, par décence. Aujourd’hui, elle revendique, elle parade, elle sue. Le bikini est devenu un manifeste de l’insolence, porté par des silhouettes qui crient vengeance au bon goût. Et ces messieurs, bedonnants, torse velu, s’affalent dans des transats trop petits pour leur ego flasque.
On nous somme d’applaudir cette farce en criant à la « diversité des corps ». Très bien. Mais qu’on n’impose pas le grotesque à ceux qui ont encore une once d’exigence visuelle. Car il y a, n’en déplaise aux apôtres du laisser-aller, une hiérarchie des formes. La beauté existe. Et ce que l’on voit l’été, sur ces plages étouffées de chairs sans frontières, n’en est pas.
Alors oui, mon regard est cruel. Il l’est parce que la vérité l’est aussi : tout ne se vaut pas, et le respect de soi commence peut-être par celui des yeux des autres.
Je suis d'accord
Wszystko jest zjebane i wszyscy zginiemy
il y a 2 jours