Henry Cavill est un excellent Superman mais...

La vieille série….

Ok. Je sais pas qui est le deuxième dont tu parles. Donc je vais partir du principe que tu as raison

Oui mais là c'est trop Clark. Il faut une balance.

JE VEUX LE VRAI SUPERMAN !!!

Génial des énièmes personnages caricaturaux, archétypaux et paradigmatiques qui se ressemblent tous sur le plan idiosyncrasique. Comme je l'ai, il n'y a aucun intérêt à regarder ce genre de merde pour low IQ, à part s'abrutir évidemment.

Ah bah, Christopher Reeves alors

Les archétypes représentent des idées, des symboles. Rêver de devenir comme Superman c'est très sain

Ou David Corenswet

superman est un super-héros juif.

Et puis Israel est critiquée indirectement dans le film

C'est bien gentil de rêver, mais il serait peut-être temps de redescendre sur Terre et de montrer tout le vice humain de ceux qui prétendent faire régner la justice. Les héros sont tous des super gentils, et ont tous la même personnalité pour toile de fond. Ce qui fait qu'ils sont tous eclipsés par les antagonistes de leur oeuvre, mais là encore le problème reste le même : les vilains sont tous des super méchants qui veulent faire le mal. On est sur une paresse d'écriture tout bonnement formidable, et certains en redemandent pourtant...

Le meilleur Clark Kent c'est le gars de smalville

Ce n'est pas de ma faute si tu sais pas lire entre les lignes. Beaucoup de films traitent de la projection de sa part d'ombre, de son sentiment d'infériorité, de la perte, etc

Le rôle des comics américains Marvel se doit d’être épinglé en raison de leur action délétère sur la psyché de l’enfant.

A la lecture des travaux de Jérémy Lehut, on peut relever les points suivants structurant ce monde des super-héros. Les auteurs sont majoritairement juifs et leurs "créatures"» sont des surhommes ou sortes de demi-dieux aux pouvoirs magiques étendus. Enfin, leur profil psychologique invite le jeune lecteur à l’imitation ; c’est-à-dire à s’identifier au héros, l’homme-dieu, en adulant son mode de vie mêlé à de la magie tout en consistant à suivre une morale libérée de toutes contraintes, plus précisément, à rejeter les principes chrétiens. Pour mieux cerner le profil psychologique des différents dessinateurs et concepteurs de ces bandes dessinées imprégnées d’un hébraïsme kabbalistique, nous devons cerner les causes afin de mieux comprendre les conséquences.

Comme nous l’avons écrit, le refus de la synagogue de reconnaître que Jésus de Nazareth est le Messie annoncé dès la Genèse III-15 a conduit les représentants de ce milieu à l’esprit révolté à se construire un "messie de substitution". Tous les super-héros étudiés par Jérémie Lehut ne sont que le reflet de cet état d’esprit, une projection de l’être idéal rêvé consciemment ou non par les Juifs. Les auteurs des BD Marvel ne sont pas obligatoirement assidus aux offices religieux de la synagogue. Et pourtant ! Les traits psychologiques de ces dessinateurs et concepteurs, héritiers d’une marque familiale fanatiquement rebelle au christianisme transmise de génération en génération, sont l’exacte image des tenants du monde rabbinique en attente d’un "messie" libérateur. En observant l’aspect magique de ces super-héros agissant souvent dans des périodes de crise (guerre, cataclysme, …), celui-ci n’est pas sans faire penser au monde ésotérique propre à la Kabbale.

Ils en parlent peut-être, mais de façon trop sporadique, et ils font au final tout l'inverse de ce qu'ils défendent. Et au final, les actes reprennent le dessus sur un potentiel discours contradictoire. Beaucoup de blabla pour au final pas grand chose, et le schéma est systématique pour le coup.

L'op n'a pas tort. Le Clark de Cavill n'a peut-être pas eu suffisamment de place pour être traité correctement. On ne saura jamais quel espace ni quel traitement Snyder prévoyait de lui donner au moment de la mort de Loïs par exemple.

Cavill aurait été excellent en Superman d'Injustice