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Tout marlou avec un peu de bouteille (sans jeu de mot) sait qu’un repas à 6 par table, avec une seule quille pour le groupe, c’est pas un moment de partage : c’est un putain de champ de bataille.

🍷 Un bon marlou ne se contente jamais d’un verre servi gentiment par un bénévole sous Lexomil. Non. Un bon marlou vise la murge, la vraie. Celle qui t’efface la mémoire et la honte.

🎯 La technique est simple, mais elle demande du flair :

1. Fuir les mecs – surtout les fiers-à-bras qui boivent comme des demis.


2. Fuir les gros – ils ont soif et une capacité de réserve équivalente à un fût Heineken.


3. Fuir les 30-60 ans – ce sont des boomers refoulés qui pensent qu’un demi-verre, ça suffit “parce qu’on conduit après”.



👉 L’objectif, c’est de s’installer à la table dorée, celle des mamies 70+. Elles sont adorables, elles picolent pas, elles ont des anecdotes de tricot et elles vous regardent comme leur petit-fils disparu à Verdun.

🎁 Résultat ? Toute la bouteille pour ta gueule. Voire deux. Zéro concurrence. Tu t’enfiles les verres comme à la maison, avec en prime des compliments sur ta bonne mine et ton pull “original”.

🍑 Bonus inattendu (mais pas négligeable) :
Y a parfois une ouverture… charnelle.
Alors ouais, c’est pas la Côte d’Azur là-dessous. C’est plutôt Limoges en janvier. Mais avec 3g dans le sang et l’envie de faire un geste pour les générations qui nous ont laissé une France à crédit… pourquoi pas. Même fripé, un tunnel reste un tunnel.

⚠️ Conseil ultime : toujours viser la mamie veuve mais pas trop catho.
C’est souvent celles qui ont fait la guerre… et qui sont prêtes à en revivre une.

À plus les marlous. Prochain tuto : “Comment viser la part de tarte abandonnée par un diabétique sans te faire cramer.”
il y a 11 heures
Tout marlou avec un peu de bouteille (sans jeu de mot) sait qu’un repas à 6 par table, avec une seule quille pour le groupe, c’est pas un moment de partage : c’est un putain de champ de bataille.

🍷 Un bon marlou ne se contente jamais d’un verre servi gentiment par un bénévole sous Lexomil. Non. Un bon marlou vise la murge, la vraie. Celle qui t’efface la mémoire et la honte.

🎯 La technique est simple, mais elle demande du flair :

1. Fuir les mecs – surtout les fiers-à-bras qui boivent comme des demis.


2. Fuir les gros – ils ont soif et une capacité de réserve équivalente à un fût Heineken.


3. Fuir les 30-60 ans – ce sont des boomers refoulés qui pensent qu’un demi-verre, ça suffit “parce qu’on conduit après”.



👉 L’objectif, c’est de s’installer à la table dorée, celle des mamies 70+. Elles sont adorables, elles picolent pas, elles ont des anecdotes de tricot et elles vous regardent comme leur petit-fils disparu à Verdun.

🎁 Résultat ? Toute la bouteille pour ta gueule. Voire deux. Zéro concurrence. Tu t’enfiles les verres comme à la maison, avec en prime des compliments sur ta bonne mine et ton pull “original”.

🍑 Bonus inattendu (mais pas négligeable) :
Y a parfois une ouverture… charnelle.
Alors ouais, c’est pas la Côte d’Azur là-dessous. C’est plutôt Limoges en janvier. Mais avec 3g dans le sang et l’envie de faire un geste pour les générations qui nous ont laissé une France à crédit… pourquoi pas. Même fripé, un tunnel reste un tunnel.

⚠️ Conseil ultime : toujours viser la mamie veuve mais pas trop catho.
C’est souvent celles qui ont fait la guerre… et qui sont prêtes à en revivre une.

À plus les marlous. Prochain tuto : “Comment viser la part de tarte abandonnée par un diabétique sans te faire cramer.”
Cimer pour les conseils
:chat_limite_champagne:
membre de la confrérie des "Frères Validux"
:praud_emir:
:PhoqueArab:
:arabie:
Vive @Pazchrist
il y a 11 heures
Perso du côté de mon père toute les mamies picolent
:CS_fleur:
Quomodo vales ? Nam ego sum Solanum tuberosum !
il y a 11 heures
Tout marlou avec un peu de bouteille (sans jeu de mot) sait qu’un repas à 6 par table, avec une seule quille pour le groupe, c’est pas un moment de partage : c’est un putain de champ de bataille.

🍷 Un bon marlou ne se contente jamais d’un verre servi gentiment par un bénévole sous Lexomil. Non. Un bon marlou vise la murge, la vraie. Celle qui t’efface la mémoire et la honte.

🎯 La technique est simple, mais elle demande du flair :

1. Fuir les mecs – surtout les fiers-à-bras qui boivent comme des demis.


2. Fuir les gros – ils ont soif et une capacité de réserve équivalente à un fût Heineken.


3. Fuir les 30-60 ans – ce sont des boomers refoulés qui pensent qu’un demi-verre, ça suffit “parce qu’on conduit après”.



👉 L’objectif, c’est de s’installer à la table dorée, celle des mamies 70+. Elles sont adorables, elles picolent pas, elles ont des anecdotes de tricot et elles vous regardent comme leur petit-fils disparu à Verdun.

🎁 Résultat ? Toute la bouteille pour ta gueule. Voire deux. Zéro concurrence. Tu t’enfiles les verres comme à la maison, avec en prime des compliments sur ta bonne mine et ton pull “original”.

🍑 Bonus inattendu (mais pas négligeable) :
Y a parfois une ouverture… charnelle.
Alors ouais, c’est pas la Côte d’Azur là-dessous. C’est plutôt Limoges en janvier. Mais avec 3g dans le sang et l’envie de faire un geste pour les générations qui nous ont laissé une France à crédit… pourquoi pas. Même fripé, un tunnel reste un tunnel.

⚠️ Conseil ultime : toujours viser la mamie veuve mais pas trop catho.
C’est souvent celles qui ont fait la guerre… et qui sont prêtes à en revivre une.

À plus les marlous. Prochain tuto : “Comment viser la part de tarte abandonnée par un diabétique sans te faire cramer.”
Rigole en + j'ai envie de go estaminet ce 12h.... Ca me donne envie d'essayer...
:Jesusrav:
il y a 10 heures