J'ai une question pour les kheys athées

Comment vous concevez votre existence ? Je veux dire si Dieu n'existe pas, vous avez une ligne directrice qui guide votre vie à la place de Dieu ? Laquelle est-ce. Moi même je suis en proie au questionnement ces derniers temps et j'aimerais avoir vos avis.

Pense à toi même, c'est déjà pas mal

Ça veut tout et rien dire. Un croyant pense aussi à lui même.

Ce sont les dominas qui guident mon existence

Je suis très lovecraftien dans ma façon de voir les choses. Je pars du principe que la vie n’a aucun sens et qu’il n’y a aucun but précis à atteindre. L’humanité ne représente qu’une courte parenthèse dans l’histoire du monde (et n’a pas le moindre intérêt à l’échelle cosmique). Les tout premiers humanoïdes sont nés il y a 7 ou 8 millions d’années, tandis que cette planète est âgée, elle, de 4,54 milliards d’années… Il serait TRÈS prétentieux de notre part de croire que nous, humains, avons un quelconque destin mystique… Bref, j’essaie de profiter de ma courte vie du mieux possible afin de ne rien regretter le jour où je fermerai les yeux à tout jamais.

"Les tout premiers humanoïdes sont nés il y a 7 ou 8 millions d’années, tandis que cette planète est âgée, elle, de 4,54 milliards d’années…"

mensonges juifs, et t'es tombé dans le panneau

voilà. comme tous les etres vivants on est né au hasard

Pas athée, agnostique pour ma part. Mais pour répondre quand-même, je vois la vie comme une salle d’attente. On se fait chier, ça sert à rien, mais faut faire avec. On verra bien ce qu’il y a ou n’y a pas après.

Je prends soin de moi, de ceux qui m'entourent, j'essaie d'apporter ma pierre à l'édifice humain pour modestement essayer d'avoir un impact positif sur le monde.

Intéressant.

Il est important d'avoir, comme le prônent certains religieux, une ligne de conduite irréprochable, un socle morale stable, des valeurs intangibles, le respect de l'humain qui te fait face et critiquer l'islam en tout lieux et tous temps !

Dieu, en tant que principe créateur, peut être envisagé comme une abstraction métaphysique nécessaire pour répondre à la question de l’origine. Mais la manière dont les civilisations humaines l'ont représenté doté d’intentions, d’une morale, d’une volonté narrative calquée sur nos propres structures sociales relève davantage d’une projection que d’une révélation. Cette figure anthropomorphique traduit moins une vérité sur l’absolu qu’un reflet des limites cognitives d’une humanité qui, longtemps, s’est crue au centre d’un cosmos fini, clos au-dessus de sa propre voûte céleste. Par là, Dieu devient non pas un mystère transcendant, mais une fiction structurante née du besoin d’ordre, de sens et de maîtrise face à l’inconnaissable.