Ce sujet a été résolu
aujourd'hui, à s'adapter aux nouvelles contraintes du monde, plutôt qu'à s'éveiller à nous même ?
Par exemple les écrans, on doit apprendre à réguler notre utilisation, notre rapport émotionnel à l'information, connaître comment les utiliser, tout ça plutôt que d'agir dans la simplicité, permettre certains fonctionnements psychiques nécessaires comme l'ennui par exemple
Est-ce qu'en tant qu'identité on se rapprocherait pas plus de la machine perfectible en contrôlant une autre, plutôt qu'une conscience contrôlant une machine, comme un décalage d'un degré du sujet
Est ce que amené à notre fonction plus qu'à notre nature de sujet, on amplifierait pas une inflation de l'ego généralisée, qui se caractérise par le fait de se prendre pour son métier, plus que comme un être humain exerçant son métier
Par exemple les écrans, on doit apprendre à réguler notre utilisation, notre rapport émotionnel à l'information, connaître comment les utiliser, tout ça plutôt que d'agir dans la simplicité, permettre certains fonctionnements psychiques nécessaires comme l'ennui par exemple
Est-ce qu'en tant qu'identité on se rapprocherait pas plus de la machine perfectible en contrôlant une autre, plutôt qu'une conscience contrôlant une machine, comme un décalage d'un degré du sujet
Est ce que amené à notre fonction plus qu'à notre nature de sujet, on amplifierait pas une inflation de l'ego généralisée, qui se caractérise par le fait de se prendre pour son métier, plus que comme un être humain exerçant son métier
il y a un mois
Il faut partir vivre nu dans mes bois comme nos ancêtres
Faire l’amour et cueillir des fruits, chasser des petits gibiers
Faire l’amour et cueillir des fruits, chasser des petits gibiers
il y a un mois
Il ne faut pas se prendre pour son métier, il ne faut pas non plus choisir un métier, il faut que rester soi-même soit notre métier, et y mettre toutes nos forces

il y a un mois
Humain-random
1 mois
Rien confruit
En gros on s'entrave avec des choses inutiles qui nous freinent dans notre évolution, faisant de nous des machines, plus que des sujet conscients capable de piloter la machine la plus puissante qui soit : l'esprit
il y a un mois
ReKav
1 mois
Il faut partir vivre nu dans mes bois comme nos ancêtres
Faire l’amour et cueillir des fruits, chasser des petits gibiers
Faire l’amour et cueillir des fruits, chasser des petits gibiers
il y a un mois
ViolZombie
1 mois
Il ne faut pas se prendre pour son métier, il ne faut pas non plus choisir un métier, il faut que rester soi-même soit notre métier, et y mettre toutes nos forces

Ouai, mais ce soi-même a un but qui orientera vers un métier forcément, et aujourd'hui c'est un métier à part entière de fonctionner dans le monde, ou du moins plus qu'avant, et ça créé une charge mentale qui fonctionne comme une orientation consciente ou distraction, loin des mécanismes inconscients nécessaires à notre éveil
il y a un mois
ReKav
1 mois
Il faut partir vivre nu dans mes bois comme nos ancêtres
Faire l’amour et cueillir des fruits, chasser des petits gibiers
Faire l’amour et cueillir des fruits, chasser des petits gibiers
Faire des rites chamanique sous champis
il y a un mois
Avant t'avais conscience de ton rôle, aujourd'hui t'es remplaçable et insignifiant dans la communauté, le sens de communauté s'efface et notre identité fusionne encore plus avec la masse dans cette confusion
il y a un mois
Ouai, mais ce soi-même a un but qui orientera vers un métier forcément, et aujourd'hui c'est un métier à part entière de fonctionner dans le monde, ou du moins plus qu'avant, et ça créé une charge mentale qui fonctionne comme une orientation consciente ou distraction, loin des mécanismes inconscients nécessaires à notre éveil
Non il faut juste prendre ce que tu fais naturellement/par envie/par habitude/par impératif affectif/par naïveté/sans effort et coller l'étiquette "métier" dessus et c'est là que tu atteindras les meilleures performances

il y a un mois
Je te pilote comme je veux par le manche
il y a un mois
Non il faut juste prendre ce que tu fais naturellement/par envie/par habitude/par impératif affectif/par naïveté/sans effort et coller l'étiquette "métier" dessus et c'est là que tu atteindras les meilleures performances

Oui c'est un effort de se reconnecter à son soi authentique, sa vraie nature
Ce que je déplore c'est que ce soit de plus en plus difficile avec le temps, par rapport à comment le monde évolue
Et pour le coup quand tu grandis dans le moule tu commences inconscient, donc avec un désavantage et perméable à cette confusion qui va t'influencer et brouiller cette nature, ça devient un vrai défi récent que de résister à cette perversion moderne
Ce que je déplore c'est que ce soit de plus en plus difficile avec le temps, par rapport à comment le monde évolue
Et pour le coup quand tu grandis dans le moule tu commences inconscient, donc avec un désavantage et perméable à cette confusion qui va t'influencer et brouiller cette nature, ça devient un vrai défi récent que de résister à cette perversion moderne
il y a un mois
J'ai répondu dans le message d'avant je crois
il y a un mois
Je fais pas que des accidents, j'ai des qualités aussi
il y a un mois
Oui c'est un effort de se reconnecter à son soi authentique, sa vraie nature
Ce que je déplore c'est que ce soit de plus en plus difficile avec le temps, par rapport à comment le monde évolue
Et pour le coup quand tu grandis dans le moule tu commences inconscient, donc avec un désavantage et perméable à cette confusion qui va t'influencer et brouiller cette nature, ça devient un vrai défi récent que de résister à cette perversion moderne
Ce que je déplore c'est que ce soit de plus en plus difficile avec le temps, par rapport à comment le monde évolue
Et pour le coup quand tu grandis dans le moule tu commences inconscient, donc avec un désavantage et perméable à cette confusion qui va t'influencer et brouiller cette nature, ça devient un vrai défi récent que de résister à cette perversion moderne
Pas récent du tout, rassure-toi (si je puis dire)
Bon je nuance tout de même la partie concernant l'alcool
https://onche.org/topic/9[...]cool-est-mauvais-pour-moi

Au fait, c'est complètement dingue, le nombre de souvenirs complexes qu'on peut stocker, même après des années de consommation orgiaque d'alcool et autres psychotropes censé, d'après la neuroscience, atrophier le cerveau, voire ce que l'expérience altérée peut générer d'outillage mnémotechnique inter-architecturé. C'est comme si le cerveau n'était pas atrophié, mais sculpté. Comme s'il était fait pour l'excès. Et le fait d'attribuer les idées brillantes à la drogue en taxant cela de triche, et par conséquent dévaluer l'idée elle-même par empoisonnement du puits est l'équivalent du culte grec de la petite bite. C'est l'idée que connaître un moyen, un raccourci, n'est pas une compétence en soi. Un cerveau utilisé, c'est un cerveau truqué. Les psychotropes ne sont pas des acides destructeurs, mais des burins qui approfondissent les sillons là où l’usage "sobre" ne fait que polir.
Les super-héros américains, notamment certains hommes-animaux, sont-ils une relecture des pratiques amérindiennes telles que les plumes sur la tête ou les surnoms des chefs par les animaux, par le prisme de préjugés européens qui associèrent cela à la mythologie et donc à la philosophie grecque, et in fine à la philosophie en général, notamment la tension dialectique entre le Héros et l'Histoire chez Hegel ? Et quand la statue de l'oenuque herculéen représente une injonction d'attitude, on n'est déjà plus très loin d’ériger celle de la vierge veuve de son fils, n'est-ce pas ?
L'eunuque herculéen est un oxymore, donc en l'occurrence une injonction paradoxale, comme plus tard la vierge mère, qui en l'occurrence est aussi l'avocat et l'intercesseur de son fils, qui est aussi son père, et le père de son fils (je ne suis pas l'auteur de cette dernière tournure, elle m'a beaucoup inspiré, en me causant quelque hilarité intempestive, à entrevoir la présente branche de notre Généalogie). Je veux dire que l'héritage de la Grèce Antique et ses techniques de pervers narcissique conduit inéluctablement à un mindfuck toujours plus retors. Le héros. Il est déjà, à la racine, un objet d’extraction de prestige par autrui. Et Marie, cumule toutes les incohérences, précisément pour en faire une base solide : celle d'un tas, d'un mystère.
On répète souvent que les grecs "méprisaient la technique". Maintenant, on sait ce que cela voulait dire. Le peuple grec avait ses Tesla, ses astucieux, ses truqués, ses bidouilleurs magnifiques, ses grosses bites en somme. Contre eux, au lieu du meurtre physique, il a inventé le mépris, et il a fait des statues comme certains disent aujourd'hui par exemple : "Ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on est forcément efféminé" ou "Ce n’est pas parce qu'on est geek qu'on est forcément crasseux" ou toute cette culture de mise en scène de l'anti-cliché à tout prix au nom d'une soi-disant nature humaine plus fondamentale, dans laquelle on essaye d'ailleurs d'injecter ou d’hypertrophier ses propres signes distinctifs, ramener la couverture à soi en dépit du tort que son existence nous a causé. Et quand on voyait des machines on disait "c'est pas parce qu'on ne sait visualiser que des corps en pierre inutiles qu'on n’est pas intelligent, admire le sens du détail, il y en a au moins autant que dans tes machines soi-disant sophistiquées".. Et dans la statue elle-même "Ce n'est pas parce que l’on est fort que l’on doit se pavaner" ou "Ce n’est pas parce qu'on en a pas une grosse qu'on est des bons à rien"... Bref ... une obsession de nier ce qui est manifestement supérieur...
« Pas si vite. », « L’homme, c’est plus que ça. », « Tu vas trop loin. », « Et la nature, tu y penses ? » : La statue, c’est une grande compétence en soi, mais c'était surtout l’argument moral du nul. Il est amusant que Nietzsche n'ait pas vu que Socrate et Platon étaient des Grecs par excellence, des statues vivantes à l'image de celles qu'on érigeait depuis des siècles. Il a dit qu'ils étaient des pseudo-grecs et des anti-grecs... Non, ils ont justement fait ce que faisaient déjà les statues, la même morale précisément… La statue disait : l’harmonie est une fin en soi. C'était une réponse, à l’écrasement ressenti face à la présence réelle du génie technique, celui qui fait un pont, une machine, un feu, un outil. Quand on est Tesla ou Prométhée, on a juste envie de répondre : « Ok. Cool ta vie /20. »…
La Grèce, toute la Grèce, une culture entière de la neutralisation de l’évidence qui continue de résonner, plus bruyamment que jamais, avec l’anti-cliché, la statue moderne, et notamment dans un singulier grincement, strident entre tous : le pauvre Marx et sa Lutte des Classes, ou un essentialisme des rapports de force si passionément refoulé qu'il confine à l'immaculée conception.
Mais le marxisime n'est qu'un énième encyclopédisme, finalement très classique, comme le sont la taxonomie des « espèces » ou celle psychiatrique, l'astrologie, la démonologie ou bien les cartes Pokémon. L'encyclopédisme est une secte qui a pour révélation le dictionnaire, et oppose à tout énoncé, la somme de ce qu'il y "a réellement à dire" de chaque mot clé que l'énoncé en question convoque, pour l'escamoter purement et simplement, mais en le disant par cela réfuté. Comme je le disais, il s'agit d'escamoter le propos de l'interlocuteur et requalifier ce geste en réfutation pour désorienter. C'est un sortilège de brouillage mental rhétorique.
Par exemple, si tu me dis "les chats aiment le saumon", je te réfuterais comme suit :
Le chat est un mamiphère quadrupède doté d'une queue originaire d'Italie, je ne vois pas le lien avec la gastronomie norvégienne.
Mais on pourrait aussi l'appeller une charcuterie : connaître la vache par la saucisse.
- Nous aimons la vache : nous seuls sommes ses fervents défenseurs, car nous reconnaissons son devenir, son potentiel, sa saucisseté en puissance.
- Quand à nous, psychiatres, nous aimons nos malades, nous seuls sommes leurs fervents défenseurs car nous reconnaissons leur devenir, leur potentiel, leur citoyenneté en puissance. Nous leurs en offrons même gracieusement les instruments, le Risperdal.
Au fond, l'encyclopédisme, le dictionnariat (contraction de dictionnaire et fonctionnariat), c'est la dictature de la dictée, la dictature de la saucisse. Die Wurstdiktatur. Mais cette notion est-elle plus proche de celle de Dictature du Prolétariat ? Ou bien de son éternel antagoniste (si l'on me passe ce fou rire)... le fétichisme de la marchandise ?
La Lutte des Classes, ou cet essentialisme des rapports de force, est une énième cristallisation de la perversité grecque, puisque si on dit "tu essentialises les rapports de forces", on nous repondra "non, justement, nous soutenons qu'appartenir aux dominants arrive à quelqu'un "par hasard", au sens où sa position a une origine autre que sa constitution corporelle"
tandis que si "au contraire" on dit "tu nies la classe dirigeante en affirmant qu'on s'y trouve par hasard, de sorte qu'il suffirait que l'on se rappella en quoi consiste fondamentalement la nature humaine pour faire valser cette division dans une reconnaissance fraternelle qui, de part et d'autres du spectre des richesses, verrait en la situation économique de l'autre, du plus ou moins opposé en la matière, une circonstance fortuite, au mieux un attribut sans signification, et dans quelques cas un problème à résoudre", on nous répondra "nul ne peut échapper à son habitus de classe, c'est à dire qu'il n'y a aucun hasard dans une destinée humaine, le bourgeois ne peut pourrait pas vouloir le bien même s'il le voulait"
et donc le marxisme consiste en gros à substituer les mots hasard et déterminisme à sa guise en distribuant des sens opposé à l'un et à l'autre en fonction de l'opportunité
et l'essentialisme dans tout ça ? Eh bien c'est simple, quelle est l'instance habilitée à substituer ces sens à sa guise et en fonction de son intérêt ? Celui qui s'en donne le droit est cette instance, le fidèle marxiste est cette instance, mécaniquement, le texte performatif du Capital donne à son ADEPTE le statut de fonctionnaire tout puissant,
La culture grecque (et son héritage chrétien, marxiste, etc.) érige des formes contradictoires pour piéger l’intelligence, pour la ligoter dans une tension stérile.
Les super-héros américains, notamment certains hommes-animaux, sont-ils une relecture des pratiques amérindiennes telles que les plumes sur la tête ou les surnoms des chefs par les animaux, par le prisme de préjugés européens qui associèrent cela à la mythologie et donc à la philosophie grecque, et in fine à la philosophie en général, notamment la tension dialectique entre le Héros et l'Histoire chez Hegel ? Et quand la statue de l'oenuque herculéen représente une injonction d'attitude, on n'est déjà plus très loin d’ériger celle de la vierge veuve de son fils, n'est-ce pas ?
L'eunuque herculéen est un oxymore, donc en l'occurrence une injonction paradoxale, comme plus tard la vierge mère, qui en l'occurrence est aussi l'avocat et l'intercesseur de son fils, qui est aussi son père, et le père de son fils (je ne suis pas l'auteur de cette dernière tournure, elle m'a beaucoup inspiré, en me causant quelque hilarité intempestive, à entrevoir la présente branche de notre Généalogie). Je veux dire que l'héritage de la Grèce Antique et ses techniques de pervers narcissique conduit inéluctablement à un mindfuck toujours plus retors. Le héros. Il est déjà, à la racine, un objet d’extraction de prestige par autrui. Et Marie, cumule toutes les incohérences, précisément pour en faire une base solide : celle d'un tas, d'un mystère.
On répète souvent que les grecs "méprisaient la technique". Maintenant, on sait ce que cela voulait dire. Le peuple grec avait ses Tesla, ses astucieux, ses truqués, ses bidouilleurs magnifiques, ses grosses bites en somme. Contre eux, au lieu du meurtre physique, il a inventé le mépris, et il a fait des statues comme certains disent aujourd'hui par exemple : "Ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on est forcément efféminé" ou "Ce n’est pas parce qu'on est geek qu'on est forcément crasseux" ou toute cette culture de mise en scène de l'anti-cliché à tout prix au nom d'une soi-disant nature humaine plus fondamentale, dans laquelle on essaye d'ailleurs d'injecter ou d’hypertrophier ses propres signes distinctifs, ramener la couverture à soi en dépit du tort que son existence nous a causé. Et quand on voyait des machines on disait "c'est pas parce qu'on ne sait visualiser que des corps en pierre inutiles qu'on n’est pas intelligent, admire le sens du détail, il y en a au moins autant que dans tes machines soi-disant sophistiquées".. Et dans la statue elle-même "Ce n'est pas parce que l’on est fort que l’on doit se pavaner" ou "Ce n’est pas parce qu'on en a pas une grosse qu'on est des bons à rien"... Bref ... une obsession de nier ce qui est manifestement supérieur...
« Pas si vite. », « L’homme, c’est plus que ça. », « Tu vas trop loin. », « Et la nature, tu y penses ? » : La statue, c’est une grande compétence en soi, mais c'était surtout l’argument moral du nul. Il est amusant que Nietzsche n'ait pas vu que Socrate et Platon étaient des Grecs par excellence, des statues vivantes à l'image de celles qu'on érigeait depuis des siècles. Il a dit qu'ils étaient des pseudo-grecs et des anti-grecs... Non, ils ont justement fait ce que faisaient déjà les statues, la même morale précisément… La statue disait : l’harmonie est une fin en soi. C'était une réponse, à l’écrasement ressenti face à la présence réelle du génie technique, celui qui fait un pont, une machine, un feu, un outil. Quand on est Tesla ou Prométhée, on a juste envie de répondre : « Ok. Cool ta vie /20. »…
La Grèce, toute la Grèce, une culture entière de la neutralisation de l’évidence qui continue de résonner, plus bruyamment que jamais, avec l’anti-cliché, la statue moderne, et notamment dans un singulier grincement, strident entre tous : le pauvre Marx et sa Lutte des Classes, ou un essentialisme des rapports de force si passionément refoulé qu'il confine à l'immaculée conception.
Mais le marxisime n'est qu'un énième encyclopédisme, finalement très classique, comme le sont la taxonomie des « espèces » ou celle psychiatrique, l'astrologie, la démonologie ou bien les cartes Pokémon. L'encyclopédisme est une secte qui a pour révélation le dictionnaire, et oppose à tout énoncé, la somme de ce qu'il y "a réellement à dire" de chaque mot clé que l'énoncé en question convoque, pour l'escamoter purement et simplement, mais en le disant par cela réfuté. Comme je le disais, il s'agit d'escamoter le propos de l'interlocuteur et requalifier ce geste en réfutation pour désorienter. C'est un sortilège de brouillage mental rhétorique.
Par exemple, si tu me dis "les chats aiment le saumon", je te réfuterais comme suit :
Le chat est un mamiphère quadrupède doté d'une queue originaire d'Italie, je ne vois pas le lien avec la gastronomie norvégienne.
Mais on pourrait aussi l'appeller une charcuterie : connaître la vache par la saucisse.
- Nous aimons la vache : nous seuls sommes ses fervents défenseurs, car nous reconnaissons son devenir, son potentiel, sa saucisseté en puissance.
- Quand à nous, psychiatres, nous aimons nos malades, nous seuls sommes leurs fervents défenseurs car nous reconnaissons leur devenir, leur potentiel, leur citoyenneté en puissance. Nous leurs en offrons même gracieusement les instruments, le Risperdal.
Au fond, l'encyclopédisme, le dictionnariat (contraction de dictionnaire et fonctionnariat), c'est la dictature de la dictée, la dictature de la saucisse. Die Wurstdiktatur. Mais cette notion est-elle plus proche de celle de Dictature du Prolétariat ? Ou bien de son éternel antagoniste (si l'on me passe ce fou rire)... le fétichisme de la marchandise ?
La Lutte des Classes, ou cet essentialisme des rapports de force, est une énième cristallisation de la perversité grecque, puisque si on dit "tu essentialises les rapports de forces", on nous repondra "non, justement, nous soutenons qu'appartenir aux dominants arrive à quelqu'un "par hasard", au sens où sa position a une origine autre que sa constitution corporelle"
tandis que si "au contraire" on dit "tu nies la classe dirigeante en affirmant qu'on s'y trouve par hasard, de sorte qu'il suffirait que l'on se rappella en quoi consiste fondamentalement la nature humaine pour faire valser cette division dans une reconnaissance fraternelle qui, de part et d'autres du spectre des richesses, verrait en la situation économique de l'autre, du plus ou moins opposé en la matière, une circonstance fortuite, au mieux un attribut sans signification, et dans quelques cas un problème à résoudre", on nous répondra "nul ne peut échapper à son habitus de classe, c'est à dire qu'il n'y a aucun hasard dans une destinée humaine, le bourgeois ne peut pourrait pas vouloir le bien même s'il le voulait"
et donc le marxisme consiste en gros à substituer les mots hasard et déterminisme à sa guise en distribuant des sens opposé à l'un et à l'autre en fonction de l'opportunité
et l'essentialisme dans tout ça ? Eh bien c'est simple, quelle est l'instance habilitée à substituer ces sens à sa guise et en fonction de son intérêt ? Celui qui s'en donne le droit est cette instance, le fidèle marxiste est cette instance, mécaniquement, le texte performatif du Capital donne à son ADEPTE le statut de fonctionnaire tout puissant,
La culture grecque (et son héritage chrétien, marxiste, etc.) érige des formes contradictoires pour piéger l’intelligence, pour la ligoter dans une tension stérile.
Bon je nuance tout de même la partie concernant l'alcool

il y a un mois
Pas récent du tout, rassure-toi (si je puis dire)
Bon je nuance tout de même la partie concernant l'alcool
https://onche.org/topic/9[...]cool-est-mauvais-pour-moi

Au fait, c'est complètement dingue, le nombre de souvenirs complexes qu'on peut stocker, même après des années de consommation orgiaque d'alcool et autres psychotropes censé, d'après la neuroscience, atrophier le cerveau, voire ce que l'expérience altérée peut générer d'outillage mnémotechnique inter-architecturé. C'est comme si le cerveau n'était pas atrophié, mais sculpté. Comme s'il était fait pour l'excès. Et le fait d'attribuer les idées brillantes à la drogue en taxant cela de triche, et par conséquent dévaluer l'idée elle-même par empoisonnement du puits est l'équivalent du culte grec de la petite bite. C'est l'idée que connaître un moyen, un raccourci, n'est pas une compétence en soi. Un cerveau utilisé, c'est un cerveau truqué. Les psychotropes ne sont pas des acides destructeurs, mais des burins qui approfondissent les sillons là où l’usage "sobre" ne fait que polir.
Les super-héros américains, notamment certains hommes-animaux, sont-ils une relecture des pratiques amérindiennes telles que les plumes sur la tête ou les surnoms des chefs par les animaux, par le prisme de préjugés européens qui associèrent cela à la mythologie et donc à la philosophie grecque, et in fine à la philosophie en général, notamment la tension dialectique entre le Héros et l'Histoire chez Hegel ? Et quand la statue de l'oenuque herculéen représente une injonction d'attitude, on n'est déjà plus très loin d’ériger celle de la vierge veuve de son fils, n'est-ce pas ?
L'eunuque herculéen est un oxymore, donc en l'occurrence une injonction paradoxale, comme plus tard la vierge mère, qui en l'occurrence est aussi l'avocat et l'intercesseur de son fils, qui est aussi son père, et le père de son fils (je ne suis pas l'auteur de cette dernière tournure, elle m'a beaucoup inspiré, en me causant quelque hilarité intempestive, à entrevoir la présente branche de notre Généalogie). Je veux dire que l'héritage de la Grèce Antique et ses techniques de pervers narcissique conduit inéluctablement à un mindfuck toujours plus retors. Le héros. Il est déjà, à la racine, un objet d’extraction de prestige par autrui. Et Marie, cumule toutes les incohérences, précisément pour en faire une base solide : celle d'un tas, d'un mystère.
On répète souvent que les grecs "méprisaient la technique". Maintenant, on sait ce que cela voulait dire. Le peuple grec avait ses Tesla, ses astucieux, ses truqués, ses bidouilleurs magnifiques, ses grosses bites en somme. Contre eux, au lieu du meurtre physique, il a inventé le mépris, et il a fait des statues comme certains disent aujourd'hui par exemple : "Ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on est forcément efféminé" ou "Ce n’est pas parce qu'on est geek qu'on est forcément crasseux" ou toute cette culture de mise en scène de l'anti-cliché à tout prix au nom d'une soi-disant nature humaine plus fondamentale, dans laquelle on essaye d'ailleurs d'injecter ou d’hypertrophier ses propres signes distinctifs, ramener la couverture à soi en dépit du tort que son existence nous a causé. Et quand on voyait des machines on disait "c'est pas parce qu'on ne sait visualiser que des corps en pierre inutiles qu'on n’est pas intelligent, admire le sens du détail, il y en a au moins autant que dans tes machines soi-disant sophistiquées".. Et dans la statue elle-même "Ce n'est pas parce que l’on est fort que l’on doit se pavaner" ou "Ce n’est pas parce qu'on en a pas une grosse qu'on est des bons à rien"... Bref ... une obsession de nier ce qui est manifestement supérieur...
« Pas si vite. », « L’homme, c’est plus que ça. », « Tu vas trop loin. », « Et la nature, tu y penses ? » : La statue, c’est une grande compétence en soi, mais c'était surtout l’argument moral du nul. Il est amusant que Nietzsche n'ait pas vu que Socrate et Platon étaient des Grecs par excellence, des statues vivantes à l'image de celles qu'on érigeait depuis des siècles. Il a dit qu'ils étaient des pseudo-grecs et des anti-grecs... Non, ils ont justement fait ce que faisaient déjà les statues, la même morale précisément… La statue disait : l’harmonie est une fin en soi. C'était une réponse, à l’écrasement ressenti face à la présence réelle du génie technique, celui qui fait un pont, une machine, un feu, un outil. Quand on est Tesla ou Prométhée, on a juste envie de répondre : « Ok. Cool ta vie /20. »…
La Grèce, toute la Grèce, une culture entière de la neutralisation de l’évidence qui continue de résonner, plus bruyamment que jamais, avec l’anti-cliché, la statue moderne, et notamment dans un singulier grincement, strident entre tous : le pauvre Marx et sa Lutte des Classes, ou un essentialisme des rapports de force si passionément refoulé qu'il confine à l'immaculée conception.
Mais le marxisime n'est qu'un énième encyclopédisme, finalement très classique, comme le sont la taxonomie des « espèces » ou celle psychiatrique, l'astrologie, la démonologie ou bien les cartes Pokémon. L'encyclopédisme est une secte qui a pour révélation le dictionnaire, et oppose à tout énoncé, la somme de ce qu'il y "a réellement à dire" de chaque mot clé que l'énoncé en question convoque, pour l'escamoter purement et simplement, mais en le disant par cela réfuté. Comme je le disais, il s'agit d'escamoter le propos de l'interlocuteur et requalifier ce geste en réfutation pour désorienter. C'est un sortilège de brouillage mental rhétorique.
Par exemple, si tu me dis "les chats aiment le saumon", je te réfuterais comme suit :
Le chat est un mamiphère quadrupède doté d'une queue originaire d'Italie, je ne vois pas le lien avec la gastronomie norvégienne.
Mais on pourrait aussi l'appeller une charcuterie : connaître la vache par la saucisse.
- Nous aimons la vache : nous seuls sommes ses fervents défenseurs, car nous reconnaissons son devenir, son potentiel, sa saucisseté en puissance.
- Quand à nous, psychiatres, nous aimons nos malades, nous seuls sommes leurs fervents défenseurs car nous reconnaissons leur devenir, leur potentiel, leur citoyenneté en puissance. Nous leurs en offrons même gracieusement les instruments, le Risperdal.
Au fond, l'encyclopédisme, le dictionnariat (contraction de dictionnaire et fonctionnariat), c'est la dictature de la dictée, la dictature de la saucisse. Die Wurstdiktatur. Mais cette notion est-elle plus proche de celle de Dictature du Prolétariat ? Ou bien de son éternel antagoniste (si l'on me passe ce fou rire)... le fétichisme de la marchandise ?
La Lutte des Classes, ou cet essentialisme des rapports de force, est une énième cristallisation de la perversité grecque, puisque si on dit "tu essentialises les rapports de forces", on nous repondra "non, justement, nous soutenons qu'appartenir aux dominants arrive à quelqu'un "par hasard", au sens où sa position a une origine autre que sa constitution corporelle"
tandis que si "au contraire" on dit "tu nies la classe dirigeante en affirmant qu'on s'y trouve par hasard, de sorte qu'il suffirait que l'on se rappella en quoi consiste fondamentalement la nature humaine pour faire valser cette division dans une reconnaissance fraternelle qui, de part et d'autres du spectre des richesses, verrait en la situation économique de l'autre, du plus ou moins opposé en la matière, une circonstance fortuite, au mieux un attribut sans signification, et dans quelques cas un problème à résoudre", on nous répondra "nul ne peut échapper à son habitus de classe, c'est à dire qu'il n'y a aucun hasard dans une destinée humaine, le bourgeois ne peut pourrait pas vouloir le bien même s'il le voulait"
et donc le marxisme consiste en gros à substituer les mots hasard et déterminisme à sa guise en distribuant des sens opposé à l'un et à l'autre en fonction de l'opportunité
et l'essentialisme dans tout ça ? Eh bien c'est simple, quelle est l'instance habilitée à substituer ces sens à sa guise et en fonction de son intérêt ? Celui qui s'en donne le droit est cette instance, le fidèle marxiste est cette instance, mécaniquement, le texte performatif du Capital donne à son ADEPTE le statut de fonctionnaire tout puissant,
La culture grecque (et son héritage chrétien, marxiste, etc.) érige des formes contradictoires pour piéger l’intelligence, pour la ligoter dans une tension stérile.
Les super-héros américains, notamment certains hommes-animaux, sont-ils une relecture des pratiques amérindiennes telles que les plumes sur la tête ou les surnoms des chefs par les animaux, par le prisme de préjugés européens qui associèrent cela à la mythologie et donc à la philosophie grecque, et in fine à la philosophie en général, notamment la tension dialectique entre le Héros et l'Histoire chez Hegel ? Et quand la statue de l'oenuque herculéen représente une injonction d'attitude, on n'est déjà plus très loin d’ériger celle de la vierge veuve de son fils, n'est-ce pas ?
L'eunuque herculéen est un oxymore, donc en l'occurrence une injonction paradoxale, comme plus tard la vierge mère, qui en l'occurrence est aussi l'avocat et l'intercesseur de son fils, qui est aussi son père, et le père de son fils (je ne suis pas l'auteur de cette dernière tournure, elle m'a beaucoup inspiré, en me causant quelque hilarité intempestive, à entrevoir la présente branche de notre Généalogie). Je veux dire que l'héritage de la Grèce Antique et ses techniques de pervers narcissique conduit inéluctablement à un mindfuck toujours plus retors. Le héros. Il est déjà, à la racine, un objet d’extraction de prestige par autrui. Et Marie, cumule toutes les incohérences, précisément pour en faire une base solide : celle d'un tas, d'un mystère.
On répète souvent que les grecs "méprisaient la technique". Maintenant, on sait ce que cela voulait dire. Le peuple grec avait ses Tesla, ses astucieux, ses truqués, ses bidouilleurs magnifiques, ses grosses bites en somme. Contre eux, au lieu du meurtre physique, il a inventé le mépris, et il a fait des statues comme certains disent aujourd'hui par exemple : "Ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on est forcément efféminé" ou "Ce n’est pas parce qu'on est geek qu'on est forcément crasseux" ou toute cette culture de mise en scène de l'anti-cliché à tout prix au nom d'une soi-disant nature humaine plus fondamentale, dans laquelle on essaye d'ailleurs d'injecter ou d’hypertrophier ses propres signes distinctifs, ramener la couverture à soi en dépit du tort que son existence nous a causé. Et quand on voyait des machines on disait "c'est pas parce qu'on ne sait visualiser que des corps en pierre inutiles qu'on n’est pas intelligent, admire le sens du détail, il y en a au moins autant que dans tes machines soi-disant sophistiquées".. Et dans la statue elle-même "Ce n'est pas parce que l’on est fort que l’on doit se pavaner" ou "Ce n’est pas parce qu'on en a pas une grosse qu'on est des bons à rien"... Bref ... une obsession de nier ce qui est manifestement supérieur...
« Pas si vite. », « L’homme, c’est plus que ça. », « Tu vas trop loin. », « Et la nature, tu y penses ? » : La statue, c’est une grande compétence en soi, mais c'était surtout l’argument moral du nul. Il est amusant que Nietzsche n'ait pas vu que Socrate et Platon étaient des Grecs par excellence, des statues vivantes à l'image de celles qu'on érigeait depuis des siècles. Il a dit qu'ils étaient des pseudo-grecs et des anti-grecs... Non, ils ont justement fait ce que faisaient déjà les statues, la même morale précisément… La statue disait : l’harmonie est une fin en soi. C'était une réponse, à l’écrasement ressenti face à la présence réelle du génie technique, celui qui fait un pont, une machine, un feu, un outil. Quand on est Tesla ou Prométhée, on a juste envie de répondre : « Ok. Cool ta vie /20. »…
La Grèce, toute la Grèce, une culture entière de la neutralisation de l’évidence qui continue de résonner, plus bruyamment que jamais, avec l’anti-cliché, la statue moderne, et notamment dans un singulier grincement, strident entre tous : le pauvre Marx et sa Lutte des Classes, ou un essentialisme des rapports de force si passionément refoulé qu'il confine à l'immaculée conception.
Mais le marxisime n'est qu'un énième encyclopédisme, finalement très classique, comme le sont la taxonomie des « espèces » ou celle psychiatrique, l'astrologie, la démonologie ou bien les cartes Pokémon. L'encyclopédisme est une secte qui a pour révélation le dictionnaire, et oppose à tout énoncé, la somme de ce qu'il y "a réellement à dire" de chaque mot clé que l'énoncé en question convoque, pour l'escamoter purement et simplement, mais en le disant par cela réfuté. Comme je le disais, il s'agit d'escamoter le propos de l'interlocuteur et requalifier ce geste en réfutation pour désorienter. C'est un sortilège de brouillage mental rhétorique.
Par exemple, si tu me dis "les chats aiment le saumon", je te réfuterais comme suit :
Le chat est un mamiphère quadrupède doté d'une queue originaire d'Italie, je ne vois pas le lien avec la gastronomie norvégienne.
Mais on pourrait aussi l'appeller une charcuterie : connaître la vache par la saucisse.
- Nous aimons la vache : nous seuls sommes ses fervents défenseurs, car nous reconnaissons son devenir, son potentiel, sa saucisseté en puissance.
- Quand à nous, psychiatres, nous aimons nos malades, nous seuls sommes leurs fervents défenseurs car nous reconnaissons leur devenir, leur potentiel, leur citoyenneté en puissance. Nous leurs en offrons même gracieusement les instruments, le Risperdal.
Au fond, l'encyclopédisme, le dictionnariat (contraction de dictionnaire et fonctionnariat), c'est la dictature de la dictée, la dictature de la saucisse. Die Wurstdiktatur. Mais cette notion est-elle plus proche de celle de Dictature du Prolétariat ? Ou bien de son éternel antagoniste (si l'on me passe ce fou rire)... le fétichisme de la marchandise ?
La Lutte des Classes, ou cet essentialisme des rapports de force, est une énième cristallisation de la perversité grecque, puisque si on dit "tu essentialises les rapports de forces", on nous repondra "non, justement, nous soutenons qu'appartenir aux dominants arrive à quelqu'un "par hasard", au sens où sa position a une origine autre que sa constitution corporelle"
tandis que si "au contraire" on dit "tu nies la classe dirigeante en affirmant qu'on s'y trouve par hasard, de sorte qu'il suffirait que l'on se rappella en quoi consiste fondamentalement la nature humaine pour faire valser cette division dans une reconnaissance fraternelle qui, de part et d'autres du spectre des richesses, verrait en la situation économique de l'autre, du plus ou moins opposé en la matière, une circonstance fortuite, au mieux un attribut sans signification, et dans quelques cas un problème à résoudre", on nous répondra "nul ne peut échapper à son habitus de classe, c'est à dire qu'il n'y a aucun hasard dans une destinée humaine, le bourgeois ne peut pourrait pas vouloir le bien même s'il le voulait"
et donc le marxisme consiste en gros à substituer les mots hasard et déterminisme à sa guise en distribuant des sens opposé à l'un et à l'autre en fonction de l'opportunité
et l'essentialisme dans tout ça ? Eh bien c'est simple, quelle est l'instance habilitée à substituer ces sens à sa guise et en fonction de son intérêt ? Celui qui s'en donne le droit est cette instance, le fidèle marxiste est cette instance, mécaniquement, le texte performatif du Capital donne à son ADEPTE le statut de fonctionnaire tout puissant,
La culture grecque (et son héritage chrétien, marxiste, etc.) érige des formes contradictoires pour piéger l’intelligence, pour la ligoter dans une tension stérile.
Bon je nuance tout de même la partie concernant l'alcool

Interressant, je vois le lien entre les sujets, c'est cette confusion qui est à l'œuvre
Mais pour le coup Marx est intéressant à ce sujet pour le comprendre non ?
Mais pour le coup Marx est intéressant à ce sujet pour le comprendre non ?
il y a un mois
Interressant, je vois le lien entre les sujets, c'est cette confusion qui est à l'œuvre
Mais pour le coup Marx est intéressant à ce sujet pour le comprendre non ?
Mais pour le coup Marx est intéressant à ce sujet pour le comprendre non ?
Intéressant c'est sûr mais si tu suis son programme ça fait de toi un criminel

il y a un mois
Intéressant c'est sûr mais si tu suis son programme ça fait de toi un criminel

Je vois pas exactement en quoi, mais ça me viendrait pas à l'idée de suivre son programme dans tous les cas
il y a un mois