Ce sujet a été résolu
Je suis allé à Florence, et la ville m'a à ce point frappé que tout est sorti de moi d'un coup. Qui pense écrire mieux que ça ?
Visages typiques sur ville baroque. Des boshs, putain, ritals, asiats. Pas riches, je crois, ni pauvres mi propres. Joufflus suants, badigeonnant. Flot de joufflus par tous les ports. Vieillards chenus, pas très baroques, traînant la patte sur les pavés, parvis, perrons. Visages ingrats, et vides un peu - petit selfie - regard de pierre sur les statues. Et sur Insta, nouveau statut : ils ont vu ci et ça et moi. La ville s'y prête : elle est baroque la vile coquette. Cocottes en fleur ou maquillées, rombières finies toute déconfites, vieux cons finnois deconfinés, Florence au fond, trop fière c'est vrai. Du Vecchio en veux-tu du Vecchio en voilà. Des ornements ostentatoires, des ornements sur tous les bars, une cathédrale que pour la frime. Ah c'est beau, putain ! C'est du joli, petit selfie. Où dois-je aller ? Que faut-il voir ? Vite, vite, mon guide audio ! Du bosh paumé, ombrelles chinoises, porte-drapeaux pour les groupés, putain ça pousse au Palazzo ! Puis c'est le souk des Médicis : vendeurs de cuir et de faux cuir, de très beaux rêves de faux espoirs, de portraits ressemblants et de cent faux semblant, certains honnêtes et d'autres fautifs. Les virilistes se dispute la palme de la plus grande queue. Aucun d'entre eux ne l'obtiendra puisque c'est le musée des offices qui la possède. Humide, joufflue, baroque, elle bande, déborde, déboule, féconde et fait mieux qu'un nouveau-né : la Renaissance ! Vite, vite, petit selfie Botichelli puis j'aurais fait l'Italie !
Visages typiques sur ville baroque. Des boshs, putain, ritals, asiats. Pas riches, je crois, ni pauvres mi propres. Joufflus suants, badigeonnant. Flot de joufflus par tous les ports. Vieillards chenus, pas très baroques, traînant la patte sur les pavés, parvis, perrons. Visages ingrats, et vides un peu - petit selfie - regard de pierre sur les statues. Et sur Insta, nouveau statut : ils ont vu ci et ça et moi. La ville s'y prête : elle est baroque la vile coquette. Cocottes en fleur ou maquillées, rombières finies toute déconfites, vieux cons finnois deconfinés, Florence au fond, trop fière c'est vrai. Du Vecchio en veux-tu du Vecchio en voilà. Des ornements ostentatoires, des ornements sur tous les bars, une cathédrale que pour la frime. Ah c'est beau, putain ! C'est du joli, petit selfie. Où dois-je aller ? Que faut-il voir ? Vite, vite, mon guide audio ! Du bosh paumé, ombrelles chinoises, porte-drapeaux pour les groupés, putain ça pousse au Palazzo ! Puis c'est le souk des Médicis : vendeurs de cuir et de faux cuir, de très beaux rêves de faux espoirs, de portraits ressemblants et de cent faux semblant, certains honnêtes et d'autres fautifs. Les virilistes se dispute la palme de la plus grande queue. Aucun d'entre eux ne l'obtiendra puisque c'est le musée des offices qui la possède. Humide, joufflue, baroque, elle bande, déborde, déboule, féconde et fait mieux qu'un nouveau-né : la Renaissance ! Vite, vite, petit selfie Botichelli puis j'aurais fait l'Italie !
il y a 7 jours
On dirait un mélange éco+ entre Céline et Jack Kerouac.
Ça manque de naturel, tu forces trop le style.
Ça manque de naturel, tu forces trop le style.
C'est que de l'amour putain !
il y a 7 jours
On dirait un mélange éco+ entre Céline et Jack Kerouac.
Ça manque de naturel, tu forces trop le style.
Ça manque de naturel, tu forces trop le style.
C'est pas un extrait de roman, ça se lit d'une traite sur scène, c'est pour ça que c'est plus dense. Poème en prose si tu veux. J'ai pas précisé j'avoue
il y a 7 jours
Je suis allé à Florence, et la ville m'a à ce point frappé que tout est sorti de moi d'un coup. Qui pense écrire mieux que ça ?
Visages typiques sur ville baroque. Des boshs, putain, ritals, asiats. Pas riches, je crois, ni pauvres mi propres. Joufflus suants, badigeonnant. Flot de joufflus par tous les ports. Vieillards chenus, pas très baroques, traînant la patte sur les pavés, parvis, perrons. Visages ingrats, et vides un peu - petit selfie - regard de pierre sur les statues. Et sur Insta, nouveau statut : ils ont vu ci et ça et moi. La ville s'y prête : elle est baroque la vile coquette. Cocottes en fleur ou maquillées, rombières finies toute déconfites, vieux cons finnois deconfinés, Florence au fond, trop fière c'est vrai. Du Vecchio en veux-tu du Vecchio en voilà. Des ornements ostentatoires, des ornements sur tous les bars, une cathédrale que pour la frime. Ah c'est beau, putain ! C'est du joli, petit selfie. Où dois-je aller ? Que faut-il voir ? Vite, vite, mon guide audio ! Du bosh paumé, ombrelles chinoises, porte-drapeaux pour les groupés, putain ça pousse au Palazzo ! Puis c'est le souk des Médicis : vendeurs de cuir et de faux cuir, de très beaux rêves de faux espoirs, de portraits ressemblants et de cent faux semblant, certains honnêtes et d'autres fautifs. Les virilistes se dispute la palme de la plus grande queue. Aucun d'entre eux ne l'obtiendra puisque c'est le musée des offices qui la possède. Humide, joufflue, baroque, elle bande, déborde, déboule, féconde et fait mieux qu'un nouveau-né : la Renaissance ! Vite, vite, petit selfie Botichelli puis j'aurais fait l'Italie !
Visages typiques sur ville baroque. Des boshs, putain, ritals, asiats. Pas riches, je crois, ni pauvres mi propres. Joufflus suants, badigeonnant. Flot de joufflus par tous les ports. Vieillards chenus, pas très baroques, traînant la patte sur les pavés, parvis, perrons. Visages ingrats, et vides un peu - petit selfie - regard de pierre sur les statues. Et sur Insta, nouveau statut : ils ont vu ci et ça et moi. La ville s'y prête : elle est baroque la vile coquette. Cocottes en fleur ou maquillées, rombières finies toute déconfites, vieux cons finnois deconfinés, Florence au fond, trop fière c'est vrai. Du Vecchio en veux-tu du Vecchio en voilà. Des ornements ostentatoires, des ornements sur tous les bars, une cathédrale que pour la frime. Ah c'est beau, putain ! C'est du joli, petit selfie. Où dois-je aller ? Que faut-il voir ? Vite, vite, mon guide audio ! Du bosh paumé, ombrelles chinoises, porte-drapeaux pour les groupés, putain ça pousse au Palazzo ! Puis c'est le souk des Médicis : vendeurs de cuir et de faux cuir, de très beaux rêves de faux espoirs, de portraits ressemblants et de cent faux semblant, certains honnêtes et d'autres fautifs. Les virilistes se dispute la palme de la plus grande queue. Aucun d'entre eux ne l'obtiendra puisque c'est le musée des offices qui la possède. Humide, joufflue, baroque, elle bande, déborde, déboule, féconde et fait mieux qu'un nouveau-né : la Renaissance ! Vite, vite, petit selfie Botichelli puis j'aurais fait l'Italie !
Je suis l'homme boucle
il y a 7 jours
Et puis ça s'écrit: Botticelli
Ah oé bien vu comme ça le doc sera propre
il y a 7 jours
C'est fort en invective, on pourrait tout inverser, que n'importe quel visage pourrait s'envisager.
il y a 7 jours
regarde une manière d'envisager la foule et la solitude
Une seule ombre au tableau
Un seul être vous manque
Est ce parfois lui qui passe
En transparence
Parmi la foule qui va
Dans l'obscurité du Nombre.
Une seule ombre au tableau
Un seul être vous manque
Est ce parfois lui qui passe
En transparence
Parmi la foule qui va
Dans l'obscurité du Nombre.
il y a 7 jours
PALANCE
7j
regarde une manière d'envisager la foule et la solitude
Une seule ombre au tableau
Un seul être vous manque
Est ce parfois lui qui passe
En transparence
Parmi la foule qui va
Dans l'obscurité du Nombre.
Une seule ombre au tableau
Un seul être vous manque
Est ce parfois lui qui passe
En transparence
Parmi la foule qui va
Dans l'obscurité du Nombre.
Ca manque d'audace et de vigueur. Lamartine frappe fort avec Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.
il y a 7 jours
Je suis allé à Florence, et la ville m'a à ce point frappé que tout est sorti de moi d'un coup. Qui pense écrire mieux que ça ?
Visages typiques sur ville baroque. Des boshs, putain, ritals, asiats. Pas riches, je crois, ni pauvres mi propres. Joufflus suants, badigeonnant. Flot de joufflus par tous les ports. Vieillards chenus, pas très baroques, traînant la patte sur les pavés, parvis, perrons. Visages ingrats, et vides un peu - petit selfie - regard de pierre sur les statues. Et sur Insta, nouveau statut : ils ont vu ci et ça et moi. La ville s'y prête : elle est baroque la vile coquette. Cocottes en fleur ou maquillées, rombières finies toute déconfites, vieux cons finnois deconfinés, Florence au fond, trop fière c'est vrai. Du Vecchio en veux-tu du Vecchio en voilà. Des ornements ostentatoires, des ornements sur tous les bars, une cathédrale que pour la frime. Ah c'est beau, putain ! C'est du joli, petit selfie. Où dois-je aller ? Que faut-il voir ? Vite, vite, mon guide audio ! Du bosh paumé, ombrelles chinoises, porte-drapeaux pour les groupés, putain ça pousse au Palazzo ! Puis c'est le souk des Médicis : vendeurs de cuir et de faux cuir, de très beaux rêves de faux espoirs, de portraits ressemblants et de cent faux semblant, certains honnêtes et d'autres fautifs. Les virilistes se dispute la palme de la plus grande queue. Aucun d'entre eux ne l'obtiendra puisque c'est le musée des offices qui la possède. Humide, joufflue, baroque, elle bande, déborde, déboule, féconde et fait mieux qu'un nouveau-né : la Renaissance ! Vite, vite, petit selfie Botichelli puis j'aurais fait l'Italie !
Visages typiques sur ville baroque. Des boshs, putain, ritals, asiats. Pas riches, je crois, ni pauvres mi propres. Joufflus suants, badigeonnant. Flot de joufflus par tous les ports. Vieillards chenus, pas très baroques, traînant la patte sur les pavés, parvis, perrons. Visages ingrats, et vides un peu - petit selfie - regard de pierre sur les statues. Et sur Insta, nouveau statut : ils ont vu ci et ça et moi. La ville s'y prête : elle est baroque la vile coquette. Cocottes en fleur ou maquillées, rombières finies toute déconfites, vieux cons finnois deconfinés, Florence au fond, trop fière c'est vrai. Du Vecchio en veux-tu du Vecchio en voilà. Des ornements ostentatoires, des ornements sur tous les bars, une cathédrale que pour la frime. Ah c'est beau, putain ! C'est du joli, petit selfie. Où dois-je aller ? Que faut-il voir ? Vite, vite, mon guide audio ! Du bosh paumé, ombrelles chinoises, porte-drapeaux pour les groupés, putain ça pousse au Palazzo ! Puis c'est le souk des Médicis : vendeurs de cuir et de faux cuir, de très beaux rêves de faux espoirs, de portraits ressemblants et de cent faux semblant, certains honnêtes et d'autres fautifs. Les virilistes se dispute la palme de la plus grande queue. Aucun d'entre eux ne l'obtiendra puisque c'est le musée des offices qui la possède. Humide, joufflue, baroque, elle bande, déborde, déboule, féconde et fait mieux qu'un nouveau-né : la Renaissance ! Vite, vite, petit selfie Botichelli puis j'aurais fait l'Italie !
"Elle prit et emmena ma main d'un geste lent et la guida vers son ventre plat d'où irradiait une chaleur bien particulière à celle des femmes en période de grands désirs. Elle se laissa me murmurer dans une voix emplie d'une forme d'espoir et de supplication douce "Tu sais mon amour... une nègresse comme moi peut avoir beaucoup d'enfants pour toi..." Comme le laissaient entendre les rumeurs, les femmes nègres seraient particulièrement aptes à exercer la fonction de mitraillette à gosses..."
Gloire à Yakub
il y a 7 jours
"Elle prit et emmena ma main d'un geste lent et la guida vers son ventre plat d'où irradiait une chaleur bien particulière à celle des femmes en période de grands désirs. Elle se laissa me murmurer dans une voix emplie d'une forme d'espoir et de supplication douce "Tu sais mon amour... une nègresse comme moi peut avoir beaucoup d'enfants pour toi..." Comme le laissaient entendre les rumeurs, les femmes nègres seraient particulièrement aptes à exercer la fonction de mitraillette à gosses..."
Ce style boursouflé très 19eme est caractéristique des auteurs qui sont dans leur deux premières années d'écriture. C'est un peu comme des jeunes peintres qui font de l'hyperréalisme
il y a 7 jours
"Elle prit et emmena ma main d'un geste lent et la guida vers son ventre plat d'où irradiait une chaleur bien particulière à celle des femmes en période de grands désirs. Elle se laissa me murmurer dans une voix emplie d'une forme d'espoir et de supplication douce "Tu sais mon amour... une nègresse comme moi peut avoir beaucoup d'enfants pour toi..." Comme le laissaient entendre les rumeurs, les femmes nègres seraient particulièrement aptes à exercer la fonction de mitraillette à gosses..."
J'ai écrit ça l'année dernière
Gloire à Yakub
il y a 7 jours
Ca manque d'audace et de vigueur. Lamartine frappe fort avec Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.
le deuxième vers est aussi un lieu commun, ce qu'il ne faut jamais faire dans un poème, mais je m'en permet deux dés le début, voilà un texte tout à moi
https://www.iceteapeche.c[...]mitie/141642_Double_.html
il y a 7 jours
le deuxième vers est aussi un lieu commun, ce qu'il ne faut jamais faire dans un poème, mais je m'en permet deux dés le début, voilà un texte tout à moi
https://www.iceteapeche.c[...]mitie/141642_Double_.html
C'est beaucoup mieux
il y a 7 jours
Ca a quelque chose de simple que j'aime
effectivement, il y a une désorientation qui n'est pas complètement surréaliste, on semble naviguer dans un rêve tout en retournant à la pierre, c'est un très bon poème
il y a 7 jours
effectivement, il y a une désorientation qui n'est pas complètement surréaliste, on semble naviguer dans un rêve tout en retournant à la pierre, c'est un très bon poème
N'exagère pas mais oui il est décent
il y a 7 jours
N'exagère pas mais oui il est décent
dac, quel reproche lui ferait tu?
si tu l'améliore, un tant soit peu, je dirai ok, t'écris mieux que moi
si tu l'améliore, un tant soit peu, je dirai ok, t'écris mieux que moi
il y a 7 jours