Ce sujet a été résolu
jE VEUX ça
Cette phrase me rappelle une scène quand j'étais gamin qui m'a foutu le fou rire à l'époque:
Gamine: "JE VEUX ÇA"
Mère: "Non tu veux rien du tout, tu n'as jamais rien voulu, tu avances!"
Gamine: "JE VEUX ÇA"
Mère: "Non tu veux rien du tout, tu n'as jamais rien voulu, tu avances!"
Voix ASMR askondi
il y a 13 jours
1er demandeur de jus d'orange
il y a 13 jours
Abigail
13j
Putain la violence de bon matin.
Tu sors pour RP la Pub Ricoré et tu obtiens
à la place.
Tu sors pour RP la Pub Ricoré et tu obtiens
Le paradis
Wszystko jest zjebane i wszyscy zginiemy
il y a 13 jours
Sorrende
13j
Ce matin, mal réveillé (terminé de bosser hyper tard) mais lucide, je me rends à pied à la boulangerie pour me réveiller et prendre un peu le frais.
Déjà je sors de chez moi, pour on ne sait quelle raison un quoicoubeh version renoi à l'arrêt de bus me dévisage comme si j'étais une donzelle en mini-jupe ou une bête curieuse, mais sans agressivité réelle.
Il veut quoi? Mystère. Je dois passer par là où il se trouve (obligé c'est le chemin) il baisse les yeux et fixe mes chaussures (baskets classiques). Bon.
Peut être autant dans le gaz que moi ou il m'a pris pour un gars qu'il connaissait, pas compris.
Arrivé à la boulangerie, à quelques mètres une renoi version nonchalante en crocs + bonnet acrylique pour dreads (truc ultra moche) arrive un peu avant moi dans la boutique, me jette un regard bizarre et se fait servir avant. Une autre femme (blonde et plutôt mignonne) arrive derrière moi, attend son tour aussi.
La boulangerie vient d'ouvrir, les vendeuses arrivent avec les viennoiseries et le pain sorti du four bref, normal.
Mais pas pour Mâdâme. Commence par demander avec un accent africain forcé (vous comprendrez ensuite)
"vous avez pas di ji orrrange"
"pardon?"
"di ji orrrange" (puis sans accent) "du jus d'orange, en bouteille comme ça ?" (montre une bouteille de jus de pomme artisanal)
"euh non madame, on l'a en canette par contre dans le frigo à côté de vous"
*fouille négligemment dans le frigo et sort un orangina* "séssa vous parrrlez"
*s'approche" "non, tenez, voici la canette"
*regard méprisant et ne dis même pas merci* "et pis 3 sucettes"
"à quoi?""
- pas de réponse -
"à quoi les sucettes?"
- pas de réponse -
*prend 3 sucettes au hasard, commence clairement à perdre patience*
"et puis 3 pains au rrézin"
Bref, la vente se termine, Miss Bonnet se retourne pour partir sans dire au revoir.
C'est à mon tour, je prend une baquette et des croissants, je m'avance pour payer, Miss Bonnet qui finalement était restée derrière dit au même moment
Maintenant je veux ça (finalement prend la bouteille de jus de pomme)
C'est 2,50 EUR madame
* essaye de me passer devant et commence à mettre sa main devant moi*
Moi: (calme olympien (ou juste pas réveillé
), voix contrôlée (ou juste voix du réveil), sans un regard pour celle qui clairement essayait de foutre la merde dès le départ): "Vous permettez? Je paye. Merci."
- recule, ne sait plus quoi dire, apparemment ne s'attendait pas à cette réaction -
Je paye très poliment la vendeuse, qui me dit au revoir avec le sourire, comme la femme qui a assisté à la scène, et repars, l'autre me suit, dépitée, car n'a pas eu ce qu'elle voulait, à savoir une insulte ou une embrouille où elle pourrait traiter tout le monde de raciste.
Elle avait prévu ça dès qu'elle m'a vu arriver avec ma gueule de noiche d'où son regard bizarre au début et son accent africain un peu trop forcé pour être naturel.
Ils passent leur temps à provoquer, ils cherchent l'embrouille constamment, même quand il n'y a pas lieu de le faire, trop frustrés de la vie pour des raisons à la con et ne supportent pas les non-Blancs qui ont réussi.
La zone est encore peu chancée mais ça commence comme ça, hélas.
Déjà je sors de chez moi, pour on ne sait quelle raison un quoicoubeh version renoi à l'arrêt de bus me dévisage comme si j'étais une donzelle en mini-jupe ou une bête curieuse, mais sans agressivité réelle.
Il veut quoi? Mystère. Je dois passer par là où il se trouve (obligé c'est le chemin) il baisse les yeux et fixe mes chaussures (baskets classiques). Bon.
Peut être autant dans le gaz que moi ou il m'a pris pour un gars qu'il connaissait, pas compris.
Arrivé à la boulangerie, à quelques mètres une renoi version nonchalante en crocs + bonnet acrylique pour dreads (truc ultra moche) arrive un peu avant moi dans la boutique, me jette un regard bizarre et se fait servir avant. Une autre femme (blonde et plutôt mignonne) arrive derrière moi, attend son tour aussi.
La boulangerie vient d'ouvrir, les vendeuses arrivent avec les viennoiseries et le pain sorti du four bref, normal.
Mais pas pour Mâdâme. Commence par demander avec un accent africain forcé (vous comprendrez ensuite)
Bref, la vente se termine, Miss Bonnet se retourne pour partir sans dire au revoir.
C'est à mon tour, je prend une baquette et des croissants, je m'avance pour payer, Miss Bonnet qui finalement était restée derrière dit au même moment
Moi: (calme olympien (ou juste pas réveillé

Je paye très poliment la vendeuse, qui me dit au revoir avec le sourire, comme la femme qui a assisté à la scène, et repars, l'autre me suit, dépitée, car n'a pas eu ce qu'elle voulait, à savoir une insulte ou une embrouille où elle pourrait traiter tout le monde de raciste.
Elle avait prévu ça dès qu'elle m'a vu arriver avec ma gueule de noiche d'où son regard bizarre au début et son accent africain un peu trop forcé pour être naturel.
Ils passent leur temps à provoquer, ils cherchent l'embrouille constamment, même quand il n'y a pas lieu de le faire, trop frustrés de la vie pour des raisons à la con et ne supportent pas les non-Blancs qui ont réussi.
La zone est encore peu chancée mais ça commence comme ça, hélas.
J'ai une haine de fou aussi, exacerbée par de récents événements.
J'en peux juste plus les amis, j'y arrive plus.
J'en peux juste plus les amis, j'y arrive plus.
il y a 13 jours
Tu as bien raconté l'op
C'est aussi pour ça que les "artisans" indépendants vendent plus chers que chez nous, ils perdent du temps avec ces nuisibles.
Chez nous ils dégagent
C'est aussi pour ça que les "artisans" indépendants vendent plus chers que chez nous, ils perdent du temps avec ces nuisibles.
Chez nous ils dégagent
il y a 13 jours
A moitié, mais l'autre moitié est sudaca donc j'ai l'air asiate mais pas complètement.
sudaca ?
il y a 13 jours
Sorrende
13j
Ce matin, mal réveillé (terminé de bosser hyper tard) mais lucide, je me rends à pied à la boulangerie pour me réveiller et prendre un peu le frais.
Déjà je sors de chez moi, pour on ne sait quelle raison un quoicoubeh version renoi à l'arrêt de bus me dévisage comme si j'étais une donzelle en mini-jupe ou une bête curieuse, mais sans agressivité réelle.
Il veut quoi? Mystère. Je dois passer par là où il se trouve (obligé c'est le chemin) il baisse les yeux et fixe mes chaussures (baskets classiques). Bon.
Peut être autant dans le gaz que moi ou il m'a pris pour un gars qu'il connaissait, pas compris.
Arrivé à la boulangerie, à quelques mètres une renoi version nonchalante en crocs + bonnet acrylique pour dreads (truc ultra moche) arrive un peu avant moi dans la boutique, me jette un regard bizarre et se fait servir avant. Une autre femme (blonde et plutôt mignonne) arrive derrière moi, attend son tour aussi.
La boulangerie vient d'ouvrir, les vendeuses arrivent avec les viennoiseries et le pain sorti du four bref, normal.
Mais pas pour Mâdâme. Commence par demander avec un accent africain forcé (vous comprendrez ensuite)
"vous avez pas di ji orrrange"
"pardon?"
"di ji orrrange" (puis sans accent) "du jus d'orange, en bouteille comme ça ?" (montre une bouteille de jus de pomme artisanal)
"euh non madame, on l'a en canette par contre dans le frigo à côté de vous"
*fouille négligemment dans le frigo et sort un orangina* "séssa vous parrrlez"
*s'approche" "non, tenez, voici la canette"
*regard méprisant et ne dis même pas merci* "et pis 3 sucettes"
"à quoi?""
- pas de réponse -
"à quoi les sucettes?"
- pas de réponse -
*prend 3 sucettes au hasard, commence clairement à perdre patience*
"et puis 3 pains au rrézin"
Bref, la vente se termine, Miss Bonnet se retourne pour partir sans dire au revoir.
C'est à mon tour, je prend une baquette et des croissants, je m'avance pour payer, Miss Bonnet qui finalement était restée derrière dit au même moment
Maintenant je veux ça (finalement prend la bouteille de jus de pomme)
C'est 2,50 EUR madame
* essaye de me passer devant et commence à mettre sa main devant moi*
Moi: (calme olympien (ou juste pas réveillé
), voix contrôlée (ou juste voix du réveil), sans un regard pour celle qui clairement essayait de foutre la merde dès le départ): "Vous permettez? Je paye. Merci."
- recule, ne sait plus quoi dire, apparemment ne s'attendait pas à cette réaction -
Je paye très poliment la vendeuse, qui me dit au revoir avec le sourire, comme la femme qui a assisté à la scène, et repars, l'autre me suit, dépitée, car n'a pas eu ce qu'elle voulait, à savoir une insulte ou une embrouille où elle pourrait traiter tout le monde de raciste.
Elle avait prévu ça dès qu'elle m'a vu arriver avec ma gueule de noiche d'où son regard bizarre au début et son accent africain un peu trop forcé pour être naturel.
Ils passent leur temps à provoquer, ils cherchent l'embrouille constamment, même quand il n'y a pas lieu de le faire, trop frustrés de la vie pour des raisons à la con et ne supportent pas les non-Blancs qui ont réussi.
La zone est encore peu chancée mais ça commence comme ça, hélas.
Déjà je sors de chez moi, pour on ne sait quelle raison un quoicoubeh version renoi à l'arrêt de bus me dévisage comme si j'étais une donzelle en mini-jupe ou une bête curieuse, mais sans agressivité réelle.
Il veut quoi? Mystère. Je dois passer par là où il se trouve (obligé c'est le chemin) il baisse les yeux et fixe mes chaussures (baskets classiques). Bon.
Peut être autant dans le gaz que moi ou il m'a pris pour un gars qu'il connaissait, pas compris.
Arrivé à la boulangerie, à quelques mètres une renoi version nonchalante en crocs + bonnet acrylique pour dreads (truc ultra moche) arrive un peu avant moi dans la boutique, me jette un regard bizarre et se fait servir avant. Une autre femme (blonde et plutôt mignonne) arrive derrière moi, attend son tour aussi.
La boulangerie vient d'ouvrir, les vendeuses arrivent avec les viennoiseries et le pain sorti du four bref, normal.
Mais pas pour Mâdâme. Commence par demander avec un accent africain forcé (vous comprendrez ensuite)
Bref, la vente se termine, Miss Bonnet se retourne pour partir sans dire au revoir.
C'est à mon tour, je prend une baquette et des croissants, je m'avance pour payer, Miss Bonnet qui finalement était restée derrière dit au même moment
Moi: (calme olympien (ou juste pas réveillé

Je paye très poliment la vendeuse, qui me dit au revoir avec le sourire, comme la femme qui a assisté à la scène, et repars, l'autre me suit, dépitée, car n'a pas eu ce qu'elle voulait, à savoir une insulte ou une embrouille où elle pourrait traiter tout le monde de raciste.
Elle avait prévu ça dès qu'elle m'a vu arriver avec ma gueule de noiche d'où son regard bizarre au début et son accent africain un peu trop forcé pour être naturel.
Ils passent leur temps à provoquer, ils cherchent l'embrouille constamment, même quand il n'y a pas lieu de le faire, trop frustrés de la vie pour des raisons à la con et ne supportent pas les non-Blancs qui ont réussi.
La zone est encore peu chancée mais ça commence comme ça, hélas.
il y a 13 jours
t'habites au pays de Beetlejuice ou quoi
J'avoue...
il y a 13 jours
il y a 13 jours
ericbontron
13j
En caisse au supermarché les arabes ne disent ni bonjour, ni au revoir.
tentative de mépris de classe pour faire "riche" ou juste pour se la jouer "important".
Comme les quoicoubix qui ont voulu faire les riches en Grèce en claquant des doigts pour appeler les serveurs etc...
Classique.
Comme les quoicoubix qui ont voulu faire les riches en Grèce en claquant des doigts pour appeler les serveurs etc...
Classique.
Voix ASMR askondi
il y a 10 jours