Ce sujet a été résolu
TintinQuiRit
11j
LA MANGIONE TES MORTE
il y a 11 jours
J'ai de la sympathie pour ce mec je dois bien l'avouer
membre de la confrérie des "Frères Validux"
il y a 11 jours
JoeyKing
11j
Free Luigi
il y a 11 jours
J'ai de la sympathie pour ce mec je dois bien l'avouer
C'est un héros
Il a tué un homme qui avait des centaines voire des milliers de morts sur le dos
Il a tué un homme qui avait des centaines voire des milliers de morts sur le dos
il y a 11 jours
Frieren
12j
Comment Luigi Mangione en est-il arrivé là ? Robin des bois des temps modernes pour certains, le ministre de la justice a demandé la peine de mort à son encontre.
6h45, New York, un matin de décembre.
Brian Thompson, PDG d’UHC, plus gros assureur santé des États-Unis, sort du Hilton. Il ne sait pas qu’il va finir étalé sur la 54ᵉ rue, les yeux ouverts vers un ciel gris.
Luigi Mangione en sweat à capuche l’attend, ganté, patient.
Il tire une première balle. S’approche, regarde, puis tire à nouveau.
La NYPD retrouve des balles et des douilles laissées sur place gravées de trois mots :
delay, deny, depose.
Retarder, refuser, destituer.
Le résumé du système qu’il voulait tuer.
26 ans.
Pas un monstre tombé de nulle part.
Fils d’Italo-américains blindés de Baltimore, enfance en voiturette de golf pour rejoindre l’école privée.
Premier en maths, accro à la robotique, diplômé d’informatique à Penn.
Puis la machine s’enraye : dettes, jobs précaires, exil à Hawaï, des posts Reddit sur son « brouillard cérébral » depuis ses 15 ans.
Cinq mois avant le meutre, Luigi Mangione cesse de donner des nouvelles à ses proches. Le 1er Juillet il répond à un appel de sa mère. Le 9 il envoie un SMS énigmatique à son meilleur ami. Il explique : personne ne le comprend. Ensuite il disparait.
Après ça, Luigi s’enfuit sur un simple Citibike qu’il avait loué sous son propre nom, trace ridicule qui va précipiter sa chute.
Il disparaît pendant presque deux semaines, traverse le pays en bus Greyhound, dort dans des motels miteux, erre de San Francisco jusqu’à la Pennsylvanie.
Quand ils l’arrêtent dans un McDo à Allentown, il commande calmement son menu avant d’être embarqué.
Quand les policiers arrivent, il leur glisse juste :
« Ne donnez pas le nom de la caissière. Ça pourrait mal tourner pour elle. »
Les réseaux sociaux s’en emparent. TikTok, Twitter, millions de vues.
Certains en font un Robin des Bois moderne. Sa veste Levi’s est sold out en trois jours. Concours de sosies à Washington Square Park.
Pendant ce temps, le Facebook d’UHC croule sous les familles ruinées :
« Gardez vos prières, remboursez nos vies. »
Il laisse des textes derrière lui.
Cite l’Unabomber, parle des NPCs, du « mode de vie automatique ».
Écrit que ce qu’on traite de folie est juste la logique extrême d’un révolutionnaire.
Dans un carnet, une phrase reste :
« Vous confondez votre confort avec la vie. »
Quand on le transfère de Pennsylvanie à New York, menotté, casque et tenue orange, entouré de policiers cagoulés et fusils d’assaut, c’est « la plus grande mise en scène jamais vue » selon les journalistes. On le débarque d’un hélico sur le tarmac, Eric Adams, maire de NYC, assiste à l’arrivée comme pour un trophée. Un perp walk orchestré pour marquer les esprits.
La foule filme, poste, commente. Pendant ce temps, sa cagnotte grimpe, atteint 800 000 dollars pour financer sa défense, puis le ministère de la Justice annonce vouloir la peine de mort. Ses avocats dénoncent une décision purement politique, pour l’exemple.
Aujourd’hui, il attend son procès. Le ministère de la Justice réclame la peine de mort, pour l’exemple.
Pendant ce temps, certains gravent déjà son nom dans des hashtags, d’autres veulent juste qu’il finisse sur une chaise électrique, histoire de refermer le cercle. Il reçoit des milliers de lettres, promet qu’il lit tout, même s’il ne peut répondre.
Ses partisans voient en lui une sorte de Robin des Bois malade, un jeune homme fragile qui s’est laissé glisser dans l’abîme, happé par une obsession anti-système.
D’autres y lisent juste la trajectoire banale d’un petit bourgeois rongé par l’idéologie, trop faible pour affronter ses démons autrement qu’en appuyant sur une gâchette. Le pays continue à se déchirer là-dessus. Les frais médicaux ruinent des familles, des gamins meurent faute de soins, et pendant ce temps Luigi attend son procès, peut-être sa mise à mort, dans une cellule du MDC à Brooklyn.
C’est l’histoire d’un jeune homme né du bon côté, qui a voulu se battre contre un monstre, mais a fini par devenir un monstre lui-même. delay, deny, depose.
6h45, New York, un matin de décembre.
Brian Thompson, PDG d’UHC, plus gros assureur santé des États-Unis, sort du Hilton. Il ne sait pas qu’il va finir étalé sur la 54ᵉ rue, les yeux ouverts vers un ciel gris.
Luigi Mangione en sweat à capuche l’attend, ganté, patient.
Il tire une première balle. S’approche, regarde, puis tire à nouveau.
La NYPD retrouve des balles et des douilles laissées sur place gravées de trois mots :
delay, deny, depose.
Retarder, refuser, destituer.
Le résumé du système qu’il voulait tuer.
Luigi
Pas un monstre tombé de nulle part.
Fils d’Italo-américains blindés de Baltimore, enfance en voiturette de golf pour rejoindre l’école privée.
Premier en maths, accro à la robotique, diplômé d’informatique à Penn.
Puis la machine s’enraye : dettes, jobs précaires, exil à Hawaï, des posts Reddit sur son « brouillard cérébral » depuis ses 15 ans.
Cinq mois avant le meutre, Luigi Mangione cesse de donner des nouvelles à ses proches. Le 1er Juillet il répond à un appel de sa mère. Le 9 il envoie un SMS énigmatique à son meilleur ami. Il explique : personne ne le comprend. Ensuite il disparait.
Après ça, Luigi s’enfuit sur un simple Citibike qu’il avait loué sous son propre nom, trace ridicule qui va précipiter sa chute.
Il disparaît pendant presque deux semaines, traverse le pays en bus Greyhound, dort dans des motels miteux, erre de San Francisco jusqu’à la Pennsylvanie.
Quand ils l’arrêtent dans un McDo à Allentown, il commande calmement son menu avant d’être embarqué.
Quand les policiers arrivent, il leur glisse juste :
« Ne donnez pas le nom de la caissière. Ça pourrait mal tourner pour elle. »
Réseaux et légende
Les réseaux sociaux s’en emparent. TikTok, Twitter, millions de vues.
Certains en font un Robin des Bois moderne. Sa veste Levi’s est sold out en trois jours. Concours de sosies à Washington Square Park.
Pendant ce temps, le Facebook d’UHC croule sous les familles ruinées :
« Gardez vos prières, remboursez nos vies. »
Il laisse des textes derrière lui.
Cite l’Unabomber, parle des NPCs, du « mode de vie automatique ».
Écrit que ce qu’on traite de folie est juste la logique extrême d’un révolutionnaire.
Dans un carnet, une phrase reste :
« Vous confondez votre confort avec la vie. »
La mise en scène de son arrestation
Quand on le transfère de Pennsylvanie à New York, menotté, casque et tenue orange, entouré de policiers cagoulés et fusils d’assaut, c’est « la plus grande mise en scène jamais vue » selon les journalistes. On le débarque d’un hélico sur le tarmac, Eric Adams, maire de NYC, assiste à l’arrivée comme pour un trophée. Un perp walk orchestré pour marquer les esprits.
La foule filme, poste, commente. Pendant ce temps, sa cagnotte grimpe, atteint 800 000 dollars pour financer sa défense, puis le ministère de la Justice annonce vouloir la peine de mort. Ses avocats dénoncent une décision purement politique, pour l’exemple.
Procès
Pendant ce temps, certains gravent déjà son nom dans des hashtags, d’autres veulent juste qu’il finisse sur une chaise électrique, histoire de refermer le cercle. Il reçoit des milliers de lettres, promet qu’il lit tout, même s’il ne peut répondre.
Ses partisans voient en lui une sorte de Robin des Bois malade, un jeune homme fragile qui s’est laissé glisser dans l’abîme, happé par une obsession anti-système.
D’autres y lisent juste la trajectoire banale d’un petit bourgeois rongé par l’idéologie, trop faible pour affronter ses démons autrement qu’en appuyant sur une gâchette. Le pays continue à se déchirer là-dessus. Les frais médicaux ruinent des familles, des gamins meurent faute de soins, et pendant ce temps Luigi attend son procès, peut-être sa mise à mort, dans une cellule du MDC à Brooklyn.
C’est l’histoire d’un jeune homme né du bon côté, qui a voulu se battre contre un monstre, mais a fini par devenir un monstre lui-même. delay, deny, depose.
Les choses ont été accomplies, peu importe la tournure que ça prend
Un sacrifice à la postérité
Qui d'un certain oeil, n'est pas une mort, plutôt une naissance
Car, peut-on réellement être vivant quand on demeurre parmis les morts ?
Un sacrifice à la postérité
Qui d'un certain oeil, n'est pas une mort, plutôt une naissance
Car, peut-on réellement être vivant quand on demeurre parmis les morts ?
il y a 11 jours
En même temps, c'est ce que tu risques aux USA pour un tel meurtre.
Dans tous les cas, il aura soit la peine de mort, soit la perpet maximale.
Dans tous les cas, il aura soit la peine de mort, soit la perpet maximale.
il y a 11 jours
EkipDePazent
11j
En même temps, c'est ce que tu risques aux USA pour un tel meurtre.
Dans tous les cas, il aura soit la peine de mort, soit la perpet maximale.
Dans tous les cas, il aura soit la peine de mort, soit la perpet maximale.
A voir si il l'a vraiment harcelé avant le meurtre, sans quoi il pourra éviter la peine de mort, son crime n'étant plus un crime fédéral et le jugement se ferait donc dans l'état de New York.
il y a 11 jours
C'est un héros
Il a tué un homme qui avait des centaines voire des milliers de morts sur le dos
Il a tué un homme qui avait des centaines voire des milliers de morts sur le dos
il y a 11 jours
Il n'est pas devenu un monstre, mais un héro
Ils ont tout fait pour le faire passer pour un fou/monstre pour éviter que d'autres prennent la relève, et que le peuple continu de se faire traire par les riches
Ils ont tout fait pour le faire passer pour un fou/monstre pour éviter que d'autres prennent la relève, et que le peuple continu de se faire traire par les riches
il y a 8 jours
C'est pas une lumière franchement
On comprends rapidement qu'on ne lutte pas contre le système. Pas de cette manière en tout cas.
On comprends ça dès l'école primaire en voyant la docilité et l'obéissance canine des camarades de classe
Il s'est laissé allé a ses émotions trop vite Trop mal sans prendre la peine d'échafauder un plan de crime parfait.
Désolé mais c'est un pépin dans la matrice
On comprends rapidement qu'on ne lutte pas contre le système. Pas de cette manière en tout cas.
On comprends ça dès l'école primaire en voyant la docilité et l'obéissance canine des camarades de classe
Il s'est laissé allé a ses émotions trop vite Trop mal sans prendre la peine d'échafauder un plan de crime parfait.
Désolé mais c'est un pépin dans la matrice
il y a 8 jours
Frieren
12j
Comment Luigi Mangione en est-il arrivé là ? Robin des bois des temps modernes pour certains, le ministre de la justice a demandé la peine de mort à son encontre.
6h45, New York, un matin de décembre.
Brian Thompson, PDG d’UHC, plus gros assureur santé des États-Unis, sort du Hilton. Il ne sait pas qu’il va finir étalé sur la 54ᵉ rue, les yeux ouverts vers un ciel gris.
Luigi Mangione en sweat à capuche l’attend, ganté, patient.
Il tire une première balle. S’approche, regarde, puis tire à nouveau.
La NYPD retrouve des balles et des douilles laissées sur place gravées de trois mots :
delay, deny, depose.
Retarder, refuser, destituer.
Le résumé du système qu’il voulait tuer.
26 ans.
Pas un monstre tombé de nulle part.
Fils d’Italo-américains blindés de Baltimore, enfance en voiturette de golf pour rejoindre l’école privée.
Premier en maths, accro à la robotique, diplômé d’informatique à Penn.
Puis la machine s’enraye : dettes, jobs précaires, exil à Hawaï, des posts Reddit sur son « brouillard cérébral » depuis ses 15 ans.
Cinq mois avant le meutre, Luigi Mangione cesse de donner des nouvelles à ses proches. Le 1er Juillet il répond à un appel de sa mère. Le 9 il envoie un SMS énigmatique à son meilleur ami. Il explique : personne ne le comprend. Ensuite il disparait.
Après ça, Luigi s’enfuit sur un simple Citibike qu’il avait loué sous son propre nom, trace ridicule qui va précipiter sa chute.
Il disparaît pendant presque deux semaines, traverse le pays en bus Greyhound, dort dans des motels miteux, erre de San Francisco jusqu’à la Pennsylvanie.
Quand ils l’arrêtent dans un McDo à Allentown, il commande calmement son menu avant d’être embarqué.
Quand les policiers arrivent, il leur glisse juste :
« Ne donnez pas le nom de la caissière. Ça pourrait mal tourner pour elle. »
Les réseaux sociaux s’en emparent. TikTok, Twitter, millions de vues.
Certains en font un Robin des Bois moderne. Sa veste Levi’s est sold out en trois jours. Concours de sosies à Washington Square Park.
Pendant ce temps, le Facebook d’UHC croule sous les familles ruinées :
« Gardez vos prières, remboursez nos vies. »
Il laisse des textes derrière lui.
Cite l’Unabomber, parle des NPCs, du « mode de vie automatique ».
Écrit que ce qu’on traite de folie est juste la logique extrême d’un révolutionnaire.
Dans un carnet, une phrase reste :
« Vous confondez votre confort avec la vie. »
Quand on le transfère de Pennsylvanie à New York, menotté, casque et tenue orange, entouré de policiers cagoulés et fusils d’assaut, c’est « la plus grande mise en scène jamais vue » selon les journalistes. On le débarque d’un hélico sur le tarmac, Eric Adams, maire de NYC, assiste à l’arrivée comme pour un trophée. Un perp walk orchestré pour marquer les esprits.
La foule filme, poste, commente. Pendant ce temps, sa cagnotte grimpe, atteint 800 000 dollars pour financer sa défense, puis le ministère de la Justice annonce vouloir la peine de mort. Ses avocats dénoncent une décision purement politique, pour l’exemple.
Aujourd’hui, il attend son procès. Le ministère de la Justice réclame la peine de mort, pour l’exemple.
Pendant ce temps, certains gravent déjà son nom dans des hashtags, d’autres veulent juste qu’il finisse sur une chaise électrique, histoire de refermer le cercle. Il reçoit des milliers de lettres, promet qu’il lit tout, même s’il ne peut répondre.
Ses partisans voient en lui une sorte de Robin des Bois malade, un jeune homme fragile qui s’est laissé glisser dans l’abîme, happé par une obsession anti-système.
D’autres y lisent juste la trajectoire banale d’un petit bourgeois rongé par l’idéologie, trop faible pour affronter ses démons autrement qu’en appuyant sur une gâchette. Le pays continue à se déchirer là-dessus. Les frais médicaux ruinent des familles, des gamins meurent faute de soins, et pendant ce temps Luigi attend son procès, peut-être sa mise à mort, dans une cellule du MDC à Brooklyn.
C’est l’histoire d’un jeune homme né du bon côté, qui a voulu se battre contre un monstre, mais a fini par devenir un monstre lui-même. delay, deny, depose.
6h45, New York, un matin de décembre.
Brian Thompson, PDG d’UHC, plus gros assureur santé des États-Unis, sort du Hilton. Il ne sait pas qu’il va finir étalé sur la 54ᵉ rue, les yeux ouverts vers un ciel gris.
Luigi Mangione en sweat à capuche l’attend, ganté, patient.
Il tire une première balle. S’approche, regarde, puis tire à nouveau.
La NYPD retrouve des balles et des douilles laissées sur place gravées de trois mots :
delay, deny, depose.
Retarder, refuser, destituer.
Le résumé du système qu’il voulait tuer.
Luigi
Pas un monstre tombé de nulle part.
Fils d’Italo-américains blindés de Baltimore, enfance en voiturette de golf pour rejoindre l’école privée.
Premier en maths, accro à la robotique, diplômé d’informatique à Penn.
Puis la machine s’enraye : dettes, jobs précaires, exil à Hawaï, des posts Reddit sur son « brouillard cérébral » depuis ses 15 ans.
Cinq mois avant le meutre, Luigi Mangione cesse de donner des nouvelles à ses proches. Le 1er Juillet il répond à un appel de sa mère. Le 9 il envoie un SMS énigmatique à son meilleur ami. Il explique : personne ne le comprend. Ensuite il disparait.
Après ça, Luigi s’enfuit sur un simple Citibike qu’il avait loué sous son propre nom, trace ridicule qui va précipiter sa chute.
Il disparaît pendant presque deux semaines, traverse le pays en bus Greyhound, dort dans des motels miteux, erre de San Francisco jusqu’à la Pennsylvanie.
Quand ils l’arrêtent dans un McDo à Allentown, il commande calmement son menu avant d’être embarqué.
Quand les policiers arrivent, il leur glisse juste :
« Ne donnez pas le nom de la caissière. Ça pourrait mal tourner pour elle. »
Réseaux et légende
Les réseaux sociaux s’en emparent. TikTok, Twitter, millions de vues.
Certains en font un Robin des Bois moderne. Sa veste Levi’s est sold out en trois jours. Concours de sosies à Washington Square Park.
Pendant ce temps, le Facebook d’UHC croule sous les familles ruinées :
« Gardez vos prières, remboursez nos vies. »
Il laisse des textes derrière lui.
Cite l’Unabomber, parle des NPCs, du « mode de vie automatique ».
Écrit que ce qu’on traite de folie est juste la logique extrême d’un révolutionnaire.
Dans un carnet, une phrase reste :
« Vous confondez votre confort avec la vie. »
La mise en scène de son arrestation
Quand on le transfère de Pennsylvanie à New York, menotté, casque et tenue orange, entouré de policiers cagoulés et fusils d’assaut, c’est « la plus grande mise en scène jamais vue » selon les journalistes. On le débarque d’un hélico sur le tarmac, Eric Adams, maire de NYC, assiste à l’arrivée comme pour un trophée. Un perp walk orchestré pour marquer les esprits.
La foule filme, poste, commente. Pendant ce temps, sa cagnotte grimpe, atteint 800 000 dollars pour financer sa défense, puis le ministère de la Justice annonce vouloir la peine de mort. Ses avocats dénoncent une décision purement politique, pour l’exemple.
Procès
Pendant ce temps, certains gravent déjà son nom dans des hashtags, d’autres veulent juste qu’il finisse sur une chaise électrique, histoire de refermer le cercle. Il reçoit des milliers de lettres, promet qu’il lit tout, même s’il ne peut répondre.
Ses partisans voient en lui une sorte de Robin des Bois malade, un jeune homme fragile qui s’est laissé glisser dans l’abîme, happé par une obsession anti-système.
D’autres y lisent juste la trajectoire banale d’un petit bourgeois rongé par l’idéologie, trop faible pour affronter ses démons autrement qu’en appuyant sur une gâchette. Le pays continue à se déchirer là-dessus. Les frais médicaux ruinent des familles, des gamins meurent faute de soins, et pendant ce temps Luigi attend son procès, peut-être sa mise à mort, dans une cellule du MDC à Brooklyn.
C’est l’histoire d’un jeune homme né du bon côté, qui a voulu se battre contre un monstre, mais a fini par devenir un monstre lui-même. delay, deny, depose.
La peine de mort pour ça, c'est des malades et ça risque d'en faire un martyr du système
Nous sommes un.
il y a 8 jours
La peine de mort pour ça, c'est des malades et ça risque d'en faire un martyr du système
il y a 8 jours
Il a tué quelqu'un. Tu voulais quoi de plus?
Plein l'ont fait et ne l'ont pas eu. C'est bien précisé "pour l'exemple".
Vu les fans qu'il a, ça en ferait juste un martyr.
D'autres feraient comme lui
Vu les fans qu'il a, ça en ferait juste un martyr.
D'autres feraient comme lui
Nous sommes un.
il y a 8 jours
On peut se demander aussi si c'est pas juste un fils de bourge psychopathe qui a agit par brisure de son égo de gen Z
Lui qui se voyait si parfait, si beau, si supérieur, mais qui s'est fait humilier par des entreprises encore + belles, + riches et supérieures que lui.
Son égo brisé, il se devait de venger l'affront tel un caprice de gosse de riche ultra énervé.
Plutôt Patrick Bateman que Robin des bois finalement, même si sa défense consiste à dire qu'il est de gauche et combat un système.
Lui qui se voyait si parfait, si beau, si supérieur, mais qui s'est fait humilier par des entreprises encore + belles, + riches et supérieures que lui.
Son égo brisé, il se devait de venger l'affront tel un caprice de gosse de riche ultra énervé.
Plutôt Patrick Bateman que Robin des bois finalement, même si sa défense consiste à dire qu'il est de gauche et combat un système.

https://www.youtube.com/watch?v=DnxpmLa36GM
il y a 8 jours