[NOFAP] Pour en finir avec l'onanisme

@TrapezeLeft Pas lu + Marie de Nazareth est une pute qui s'est faite engrossée par un âne + Jésus est un bouffe merde.

Je prierai pour toi ce soir mon ami.

Croyez-le ou non, moi-même je n'y crois qu'à moitié, car je ne suis pas croyant à proprement parler mais depuis que je tâche et que j'ai arrêté la pornographie, j'entends parfois à mes cotés comme des sifflements de serpent

vous le prenez comme vous le voulez

Croyez-le ou non, moi-même je n'y crois qu'à moitié, car je ne suis pas croyant à proprement parler mais depuis que je tâche et que j'ai arrêté la pornographie, j'entends parfois à mes cotés comme des sifflements de serpent

vous le prenez comme vous le voulez

Croyez-le ou non, moi-même je n'y crois qu'à moitié, car je ne suis pas croyant à proprement parler mais depuis que je tâche et que j'ai arrêté la pornographie, j'entends parfois à mes cotés comme des sifflements de serpent

vous le prenez comme vous le voulez

Je prierai pour toi ce soir mon ami.

Bonjour les onchois.

Je vois beaucoup trop souvent des gens qui appellent à la masturbation par leur stickeurent ou par les mots, ce que je pense être une mauvaise chose. C’est pourquoi je souhaite clarifier certaines choses ici, et surtout expliquer à ceux qui ne savent pas encore les dangers de cette pratique dégénérée.
Je vais expliquer dans un premier temps pourquoi c’est dangereux à l’échelle individuelle au niveau biologique, puis à l’échelle sociale et enfin d’un point de vue religieux.

I. D’un point de vue charnel, matériel, physique

La science moderne, actuelle, explique des phénomènes biologiques par un système de récepteur-ligand. Un ligand se lie à un récepteur qui va ensuite avoir des effets au niveau cellulaire puis comportemental. Ici, on parle du système de la récompense, qu’on situe au niveau du système méso-limbique.
La dopamine est une hormone et un neurotransmetteur. On dit que c’est l’hormone du plaisir, mais surtout l’hormone de l’action, de la motivation, comme l’adrénaline. Elle dit « vas-y, fais, ça va être bon pour ta survie »; C’est aussi le neurotransmetteur de l’apprentissage, car elle renforce un comportement.
La dopamine est produite dans l’aire tegmentale ventrale et le locus niger, et la zone du cerveau qui est très importante pour le plaisir, ce sont les noyaux accumbens. La dopamine stimule ces noyaux accumbens , et vous ressentez du plaisir.
Ce système de la récompense a pour but de vous inciter à faire des activités bonnes pour la survie, manger, se reproduire, s’amuser, "réussir" ou accomplir quelque chose, et bien plus encore.

Les drogues comme la cocaïne et la methamphétamine peuvent stimuler de manière très forte ces zones du plaisir, mais les « récompenses » naturelles peuvent également « pirater » ces systèmes de la récompense et créer des dépendances. Le « piratage » du système de la récompense, c’est précisément ce que fait la masturbation, mais aussi la pornographie.

Lorsque vous faites votre basse besogne, le taux de dopamine augmente à des taux inhabituels; lors de l’éjaculation, vous avez un plateau, mais après l’éjaculation on observe une baisse de la quantité de dopamine produite en dessous de la valeur normale.

Ces hauts niveaux de dopamine altèrent les voies de la récompense, donc les cellules de ces systèmes de la récompense, mais aussi les cellules du contrôle de la motivation au niveau du cortex frontal, qui commencent alors à s’atrophier. C’est normal : Si le cerveau est trop stimulé au point où ça devient néfaste pour lui, alors il va atrophier ces cellules pour que vous soyiez moins motivé à refaire la même chose.
Vous produisez moins de dopamine, les cellules de ce système devient plus petites (atrophiées), et vos récepteurs dopaminergiques sont sous-produits, c’est à dire que vos neurones sont désensibilisés. Et c’est là où on parle de tolérance, car vous devrez stimuler davantage votre cerveau pour avoir le même effet de plaisir que la dernière fois. Vous devez voir plus spectaculaire, plus fou, plus loin, plus fort etc.

Par exemple :
- Si vous mangez des plats différents chaque jour, riches en glucides, avec un bon goût, le jour où vous n’aurez qu’une soupe fade (nourrissante peut-être, mais fade) vous ne serez pas très content.

- Si vous vous masturbez sur je-ne-sais qu’elle dégénérescence un temps, voir une simple femme, même un peu belle, ne vous fera plus grand effet. Et donc vous ne serez plus motivé à faire connaissance avec elle, à trouver une femme, à vous intéresser à elle etc.
D’où les topax « moi à 13 ans : sein – moi à 23 ans : dp brazilian shemale ».

- Si l’accomplissement d’une tâche devrait vous procurer un taux de satisfaction de 7/10, et que passer du temps avec votre copine un taux de satisfaction à 9/10, m+z devant du pron va vous procurer un solide 50/10 non naturel, et foutre votre système de la récompense en l’air. Vous commencerez alors à préférer m+z devant un écran plutôt que de chercher à faire avancer votre vie.


Je rappelle que l’atrophie du cortex pré-frontal est également très importante, puisque cela s’applique même aux tâches quotidiennes car c’est tout votre système de la motivation qui est affecté : perte de l’envie de manger « des choses simples », de faire des efforts, de travailler, de ranger une chambre, de réparer quelque chose...Plus rien ne vous étonne ni ne vous motive, donc vous devez apathique et sans émotion. Le cortex pré-frontal est impliqué dans de nombreuses tâches, dont la communication et la capacité de penser clairement, la mémoire, l’attention, d’où l’expression de « brain fog » (brume cervicale?).
Le cortex pré-frontal est également la zone principale où le cortisol fait effet. Si vous avez un cortex pré-frontal disfonctionnel, vous allez avoir du mal à prévoir, à planifier, et donc vous allez vivre « pour le moment présent » afin de rechercher à nouveau un coup de « plaisir éphèmère ».
La dopamine est utile, c’est ce qui nous donne de la motivation.
Le cortisol est utile, c’est ce qui nous pousse à faire attention, à avoir peur pour un moment.
Mais si vous avez un haut taux de cortisol sur le long terme, vous allez cherchez des moyens de contre-carrer ce stress dû au cortisol en recherchant du plaisir éphèmère, et c’est la porte ouverte aux addictions (alcool, jeux vidéos, sexe, pron, gourmandise...)
Pourquoi ?
Car le cortisol sur le long terme « a un effet négatif » sur la sérotonine, qui est l’hormone "contraire" à la dopamine et qui nous fait dire « j’ai pris plaisir à faire quelque chose, mais maintenant, ça suffit, je n’en ai plus besoin » et qui inhibe un comportement.

Enfin, plus la dose de dopamine est haute, plus les effets seront néfastes sur le long terme, car il s’agit bien là d’endommagement de votre cerveau.


Autre élément important : le « edging » :
Le fait de faire monter la dopamine petit à petit, toujours plus haut, en ouvrant plusieurs pages le temps de trouver « le bon contenu » et cela sur un temps assez long, fait que le chute de la production de dopamine post-éjac est davantage marquée, et c’est ce qui vous rend démotivé, mou, apathique et lent
Le « edging » est pire que la masturbation simple, avec ou sans pr0n : le cerveau de ceux qui pratiquent cela régulièrement est très similaire à celui des drogués à l’héroïne.


Chez les femmes, il se passe la même chose si elles consomment ces contenus de dégénérax. Heureusement pour elles, elles n’ont pas la même libido que nous les hommes.


Effet sur la testostérone :
Vous avez sûrement déjà lu ou entendu que la testostérone plasmatique présentait un pic au 7è jour d'abstinence avant de chuter à nouveau.

Si elle chute, alors pourquoi observe-t-on des effets physiologiques suite à une longue période d'abstinence comme une poussée de pilosité accrue, une voix plus grave etc...
Parce qu'il y a des rétrocontrôles négatifs et d'autres positifs. Par conséquent, vous avez des hauts et des bas dans la production de testostérone (et aussi de nombreuses autres hormones); il s'agit de cycle.
Pour faire simple, regarder sur 7 jours est limitant pour comprendre l'effet de l'abstinence sur la testostérone. Ce que l'on observe en réalité est une montée cyclique de la testostéronémie sur le temps.

A cela s’ajoute le cycle du spermatozoïde
Les femmes ne sont pas les seules à avoir un cycle au niveau des gonades.
A la fin du cycle du spermatozoïde, ces derniers se détériorent. En d’autres mots, le spermatozoïde meurt, tout comme les œufs de l’ovaire meurent, et son contenu en minéraux et nutriments est recyclé dans l’organisme. Les morts multiples, répétées du spermatozoïde engendrent une bascule (un shift) hormonal vers la progesterone. Cette bascule cause un stress réactionnel et active la glande thyroïde. Les hormones progesterone, estrogène et testostérone fluctuent et cela affecte le comportement masculin. Ces modifications de ratio d’hormones entrainent le développement de nouveau spermatozoïdes et le cycle recommence à nouveau.
Ce cycle est ignoré si l’homme éjacule constamment, et la réserve de vitamines et minéraux s’épuise. L’hypersexualité et les éjaculations répétées épuisent ces stocks, mais surtout les oligo-éléments.
Certaines sources (anciennes?) disent qu’une éjaculation cause la perte d’autant de nutriments qu’il faut pour courir de 40 à 50km.
Ainsi, des éjaculations répétées entraînent maladies reproductives, baisse de la spermatogénèse, baisse de l’immunité, de la sensibilité générale et d’autres joyeusetés.

Il est important de noter que la masturbation est une activité sexuelle normale et saine. Les professionnels de la santé s'accordent à dire qu'elle fait partie d'une sexualité équilibrée et qu'elle ne présente pas de risques pour la santé lorsqu'elle est pratiquée de manière modérée.

Si tu as des préoccupations concernant ta santé sexuelle ou mentale, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé qualifié.

comment on fais pour bloquer un compte ?
autant , en tant qu'addict au porno , je trouve que l'auteur en met une trop grosse couche
mais j'ai vraiment envie de bloquer de le mec avec un avatar de dragon rouge !

Bonjour les onchois.

Je vois beaucoup trop souvent des gens qui appellent à la masturbation par leur stickeurent ou par les mots, ce que je pense être une mauvaise chose. C’est pourquoi je souhaite clarifier certaines choses ici, et surtout expliquer à ceux qui ne savent pas encore les dangers de cette pratique dégénérée.
Je vais expliquer dans un premier temps pourquoi c’est dangereux à l’échelle individuelle au niveau biologique, puis à l’échelle sociale et enfin d’un point de vue religieux.

I. D’un point de vue charnel, matériel, physique

La science moderne, actuelle, explique des phénomènes biologiques par un système de récepteur-ligand. Un ligand se lie à un récepteur qui va ensuite avoir des effets au niveau cellulaire puis comportemental. Ici, on parle du système de la récompense, qu’on situe au niveau du système méso-limbique.
La dopamine est une hormone et un neurotransmetteur. On dit que c’est l’hormone du plaisir, mais surtout l’hormone de l’action, de la motivation, comme l’adrénaline. Elle dit « vas-y, fais, ça va être bon pour ta survie »; C’est aussi le neurotransmetteur de l’apprentissage, car elle renforce un comportement.
La dopamine est produite dans l’aire tegmentale ventrale et le locus niger, et la zone du cerveau qui est très importante pour le plaisir, ce sont les noyaux accumbens. La dopamine stimule ces noyaux accumbens , et vous ressentez du plaisir.
Ce système de la récompense a pour but de vous inciter à faire des activités bonnes pour la survie, manger, se reproduire, s’amuser, "réussir" ou accomplir quelque chose, et bien plus encore.

Les drogues comme la cocaïne et la methamphétamine peuvent stimuler de manière très forte ces zones du plaisir, mais les « récompenses » naturelles peuvent également « pirater » ces systèmes de la récompense et créer des dépendances. Le « piratage » du système de la récompense, c’est précisément ce que fait la masturbation, mais aussi la pornographie.

Lorsque vous faites votre basse besogne, le taux de dopamine augmente à des taux inhabituels; lors de l’éjaculation, vous avez un plateau, mais après l’éjaculation on observe une baisse de la quantité de dopamine produite en dessous de la valeur normale.

Ces hauts niveaux de dopamine altèrent les voies de la récompense, donc les cellules de ces systèmes de la récompense, mais aussi les cellules du contrôle de la motivation au niveau du cortex frontal, qui commencent alors à s’atrophier. C’est normal : Si le cerveau est trop stimulé au point où ça devient néfaste pour lui, alors il va atrophier ces cellules pour que vous soyiez moins motivé à refaire la même chose.
Vous produisez moins de dopamine, les cellules de ce système devient plus petites (atrophiées), et vos récepteurs dopaminergiques sont sous-produits, c’est à dire que vos neurones sont désensibilisés. Et c’est là où on parle de tolérance, car vous devrez stimuler davantage votre cerveau pour avoir le même effet de plaisir que la dernière fois. Vous devez voir plus spectaculaire, plus fou, plus loin, plus fort etc.

Par exemple :
- Si vous mangez des plats différents chaque jour, riches en glucides, avec un bon goût, le jour où vous n’aurez qu’une soupe fade (nourrissante peut-être, mais fade) vous ne serez pas très content.

- Si vous vous masturbez sur je-ne-sais qu’elle dégénérescence un temps, voir une simple femme, même un peu belle, ne vous fera plus grand effet. Et donc vous ne serez plus motivé à faire connaissance avec elle, à trouver une femme, à vous intéresser à elle etc.
D’où les topax « moi à 13 ans : sein – moi à 23 ans : dp brazilian shemale ».

- Si l’accomplissement d’une tâche devrait vous procurer un taux de satisfaction de 7/10, et que passer du temps avec votre copine un taux de satisfaction à 9/10, m+z devant du pron va vous procurer un solide 50/10 non naturel, et foutre votre système de la récompense en l’air. Vous commencerez alors à préférer m+z devant un écran plutôt que de chercher à faire avancer votre vie.


Je rappelle que l’atrophie du cortex pré-frontal est également très importante, puisque cela s’applique même aux tâches quotidiennes car c’est tout votre système de la motivation qui est affecté : perte de l’envie de manger « des choses simples », de faire des efforts, de travailler, de ranger une chambre, de réparer quelque chose...Plus rien ne vous étonne ni ne vous motive, donc vous devez apathique et sans émotion. Le cortex pré-frontal est impliqué dans de nombreuses tâches, dont la communication et la capacité de penser clairement, la mémoire, l’attention, d’où l’expression de « brain fog » (brume cervicale?).
Le cortex pré-frontal est également la zone principale où le cortisol fait effet. Si vous avez un cortex pré-frontal disfonctionnel, vous allez avoir du mal à prévoir, à planifier, et donc vous allez vivre « pour le moment présent » afin de rechercher à nouveau un coup de « plaisir éphèmère ».
La dopamine est utile, c’est ce qui nous donne de la motivation.
Le cortisol est utile, c’est ce qui nous pousse à faire attention, à avoir peur pour un moment.
Mais si vous avez un haut taux de cortisol sur le long terme, vous allez cherchez des moyens de contre-carrer ce stress dû au cortisol en recherchant du plaisir éphèmère, et c’est la porte ouverte aux addictions (alcool, jeux vidéos, sexe, pron, gourmandise...)
Pourquoi ?
Car le cortisol sur le long terme « a un effet négatif » sur la sérotonine, qui est l’hormone "contraire" à la dopamine et qui nous fait dire « j’ai pris plaisir à faire quelque chose, mais maintenant, ça suffit, je n’en ai plus besoin » et qui inhibe un comportement.

Enfin, plus la dose de dopamine est haute, plus les effets seront néfastes sur le long terme, car il s’agit bien là d’endommagement de votre cerveau.


Autre élément important : le « edging » :
Le fait de faire monter la dopamine petit à petit, toujours plus haut, en ouvrant plusieurs pages le temps de trouver « le bon contenu » et cela sur un temps assez long, fait que le chute de la production de dopamine post-éjac est davantage marquée, et c’est ce qui vous rend démotivé, mou, apathique et lent
Le « edging » est pire que la masturbation simple, avec ou sans pr0n : le cerveau de ceux qui pratiquent cela régulièrement est très similaire à celui des drogués à l’héroïne.


Chez les femmes, il se passe la même chose si elles consomment ces contenus de dégénérax. Heureusement pour elles, elles n’ont pas la même libido que nous les hommes.


Effet sur la testostérone :
Vous avez sûrement déjà lu ou entendu que la testostérone plasmatique présentait un pic au 7è jour d'abstinence avant de chuter à nouveau.

Si elle chute, alors pourquoi observe-t-on des effets physiologiques suite à une longue période d'abstinence comme une poussée de pilosité accrue, une voix plus grave etc...
Parce qu'il y a des rétrocontrôles négatifs et d'autres positifs. Par conséquent, vous avez des hauts et des bas dans la production de testostérone (et aussi de nombreuses autres hormones); il s'agit de cycle.
Pour faire simple, regarder sur 7 jours est limitant pour comprendre l'effet de l'abstinence sur la testostérone. Ce que l'on observe en réalité est une montée cyclique de la testostéronémie sur le temps.

A cela s’ajoute le cycle du spermatozoïde
Les femmes ne sont pas les seules à avoir un cycle au niveau des gonades.
A la fin du cycle du spermatozoïde, ces derniers se détériorent. En d’autres mots, le spermatozoïde meurt, tout comme les œufs de l’ovaire meurent, et son contenu en minéraux et nutriments est recyclé dans l’organisme. Les morts multiples, répétées du spermatozoïde engendrent une bascule (un shift) hormonal vers la progesterone. Cette bascule cause un stress réactionnel et active la glande thyroïde. Les hormones progesterone, estrogène et testostérone fluctuent et cela affecte le comportement masculin. Ces modifications de ratio d’hormones entrainent le développement de nouveau spermatozoïdes et le cycle recommence à nouveau.
Ce cycle est ignoré si l’homme éjacule constamment, et la réserve de vitamines et minéraux s’épuise. L’hypersexualité et les éjaculations répétées épuisent ces stocks, mais surtout les oligo-éléments.
Certaines sources (anciennes?) disent qu’une éjaculation cause la perte d’autant de nutriments qu’il faut pour courir de 40 à 50km.
Ainsi, des éjaculations répétées entraînent maladies reproductives, baisse de la spermatogénèse, baisse de l’immunité, de la sensibilité générale et d’autres joyeusetés.

Je suis plus pour le no porn que le no fap.
C'est vraiment le porno le pire, les gens ne savent plus se branler sans regarder des pornos chelou, ils n'ont plus la même vision de l'érotisme