Plinius le Jeune, Cornelius Tacite, Gaius Suetonius Tranquillus, Galien, Flavius Josèphe, Thallus, Lucien, Mara Bar Sérapion, Valentin, Justin Martyr, Tertullien, Phlégon, les Évangiles gnostiques, le Talmud juif, Clément, Papias, Polycarpe, Matthieu, Celse, Marc, Luc, Jean, Paul, l’épître aux Hébreux, Jude, 1 & 2 Pierre, etc.
En comparaison, Tibère César, l’empereur romain au moment du ministère et de l’exécution de Jésus, n’est mentionné que par 10 sources dans les 150 ans suivant sa mort ou sa vie (Tacite, Suétone, Velleius Paterculus, Plutarque, Pline l’Ancien, Strabon, Sénèque, Valerius Maximus, Josèphe et Luc)
Pourtant, avec 4 fois MOINS de sources, nous acceptons sans aucun doute l’existence de Tibère. Alors pourquoi pas celle de Jésus ?
Si l’on applique aux écrits du Nouveau Testament les mêmes critères que l’on applique aux autres documents anciens contenant des données historiques, on ne peut pas rejeter l’existence de Jésus sans rejeter aussi celle de Tibère César et d’une multitude d’autres personnages historiques acceptés, mais moins bien attestés !
En comparaison, Tibère César, l’empereur romain au moment du ministère et de l’exécution de Jésus, n’est mentionné que par 10 sources dans les 150 ans suivant sa mort ou sa vie (Tacite, Suétone, Velleius Paterculus, Plutarque, Pline l’Ancien, Strabon, Sénèque, Valerius Maximus, Josèphe et Luc)
Pourtant, avec 4 fois MOINS de sources, nous acceptons sans aucun doute l’existence de Tibère. Alors pourquoi pas celle de Jésus ?
Si l’on applique aux écrits du Nouveau Testament les mêmes critères que l’on applique aux autres documents anciens contenant des données historiques, on ne peut pas rejeter l’existence de Jésus sans rejeter aussi celle de Tibère César et d’une multitude d’autres personnages historiques acceptés, mais moins bien attestés !
Jésus est davantage mentionné dans des sources extérieures à la BIBLE, et plus proches de sa vie et de sa mort, que BEAUCOUP d’hommes connus de l’histoire, y compris Alexandre le Grand.
Les principales sources survivantes concernant Alexandre ont été rédigées entre 300 et 500 ans après sa mort, par des auteurs grecs tels que Plutarque, qui a écrit une biographie ainsi que deux essais élogieux ; Arrien, dont l’histoire se concentre sur les actions militaires ; et Diodore de Sicile ainsi que Quinte-Curce, dont les récits interconnectés méritent l’attention car ils préservent certains aspects plus sombres du règne d’Alexandre.
Les historiens acceptent volontiers l’histoire d’Alexandre le Grand — pourtant mort plus de 300 ans avant Jésus-Christ — et s’accordent même à dire qu’il était homosexuel (ce qui n’est pas vérifié), ou encore qu’il aurait prononcé certaines paroles que personne ne remet en question.
On lit les exploits de Jules César et personne ne doute qu’il ait dit : « Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu ». Ces affirmations ne sont jamais contestées, pas plus que le récit de leur vie, alors qu’il existe MOINS de preuves et d’écrits de témoins directs. Sans parler du fait que les écrits les plus proches de la mort d’Alexandre ont été rédigés 400 ans après celle-ci…
Les principales sources survivantes concernant Alexandre ont été rédigées entre 300 et 500 ans après sa mort, par des auteurs grecs tels que Plutarque, qui a écrit une biographie ainsi que deux essais élogieux ; Arrien, dont l’histoire se concentre sur les actions militaires ; et Diodore de Sicile ainsi que Quinte-Curce, dont les récits interconnectés méritent l’attention car ils préservent certains aspects plus sombres du règne d’Alexandre.
Les historiens acceptent volontiers l’histoire d’Alexandre le Grand — pourtant mort plus de 300 ans avant Jésus-Christ — et s’accordent même à dire qu’il était homosexuel (ce qui n’est pas vérifié), ou encore qu’il aurait prononcé certaines paroles que personne ne remet en question.
On lit les exploits de Jules César et personne ne doute qu’il ait dit : « Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu ». Ces affirmations ne sont jamais contestées, pas plus que le récit de leur vie, alors qu’il existe MOINS de preuves et d’écrits de témoins directs. Sans parler du fait que les écrits les plus proches de la mort d’Alexandre ont été rédigés 400 ans après celle-ci…
Personne de censé ne remet l'existence de Jésus en question
Personne ne remet en question son existence mais sa nature/ses pouvoirs
J'suis le mééchaaaaant.
Personne ne remet en question son existence mais sa nature/ses pouvoirs
L’autorité apostolique de Paul est bien documentée dans les Écritures, commençant par sa spectaculaire expérience sur le chemin de Damas, qui l’a transformé d’un persécuteur des chrétiens haineux du Christ, en porte-parole principal de la foi. Ce changement de cœur saisissant est l’une des indications les plus claires de son onction par le Seigneur Jésus lui-même.
Personne ne remet en question son existence mais sa nature/ses pouvoirs
Fils de Dieu ou non, quelqu'un a vraiment foutu le seum aux juifs ya 2000 ans et c'est tout ce qui compte
J'aimerais bien te faire un cunni mais je ne peux pas sortir avec du rouge à lèvre en boite
Personne ne remet en question son existence mais sa nature/ses pouvoirs
L’autorité apostolique de Paul est bien documentée dans les Écritures, commençant par sa spectaculaire expérience sur le chemin de Damas, qui l’a transformé d’un persécuteur des chrétiens haineux du Christ, en porte-parole principal de la foi. Ce changement de cœur saisissant est l’une des indications les plus claires de son onction par le Seigneur Jésus lui-même.
C'est trop peu pour l'ériger en messager de Dieu avec des pouvoirs surnaturels, voire au statut de Dieu lui même pour les non Jéhovistes. Après tout nous n'avons que le témoignage écrit des évangiles, mais cela ne prouve strictement rien quant aux miracles de Yeshoua, et cela vaut pour les miracles de l'ancien testament. Ce qui pourrait renforcer l'existence du Dieu chrétien serait des miracles impressionnant de la part de ses saints
Des gros golems qui mélangent tout et à mon avis t'en a peu sur ce forum
J'suis le mééchaaaaant.
C'est trop peu pour l'ériger en messager de Dieu avec des pouvoirs surnaturels, voire au statut de Dieu lui même pour les non Jéhovistes. Après tout nous n'avons que le témoignage écrit des évangiles, mais cela ne prouve strictement rien quant aux miracles de Yeshoua, et cela vaut pour les miracles de l'ancien testament. Ce qui pourrait renforcer l'existence du Dieu chrétien serait des miracles impressionnant de la part de ses saints
Paul était vraiment authentique. Les preuves historiques et ses propres écrits affirment qu’il l’était.
Son retournement à 180 degrés, quittant sa vie pharisienne, n’est contesté par aucun érudit sérieux, qu’il soit laïc ou chrétien. La seule question est : qu’est-ce qui a provoqué ce revirement ? Qu’est-ce qui aurait pu pousser un pharisien juif très instruit à adopter soudainement le mouvement qu’il combattait violemment, et à s’y engager au point d’en mourir en martyr ?
La réponse se trouve dans les écrits de Paul et dans le livre des Actes. Dans sa lettre aux Galates, Paul résume son histoire ainsi :
« Vous avez entendu parler de ma manière de vivre autrefois dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance l’Église de Dieu et que je cherchais à la détruire ; et je progressais dans le judaïsme plus que beaucoup de mes contemporains parmi mon peuple, étant d’un zèle excessif pour mes traditions ancestrales. Mais, quand Dieu, qui m’avait mis à part dès le ventre de ma mère et m’avait appelé par sa grâce, a trouvé bon de révéler son Fils en moi afin que je le prêche parmi les païens, je ne consultai pas immédiatement la chair et le sang, ni ne montai à Jérusalem auprès de ceux qui étaient apôtres avant moi ; mais je partis en Arabie, puis je revins à Damas. Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire connaissance avec Céphas, et je restai chez lui quinze jours. Je ne vis aucun autre apôtre, sauf Jacques, le frère du Seigneur. (Je vous le dis devant Dieu, je ne mens pas.) Ensuite, je partis dans les régions de Syrie et de Cilicie. Les Églises de Judée, qui sont dans le Christ, ne me connaissaient pas de vue ; mais elles n’entendaient que dire : “Celui qui autrefois nous persécutait, voilà qu’il prêche maintenant la foi qu’il cherchait à détruire.” Et elles glorifiaient Dieu à mon sujet. » (Galates 1:13–24)
La vie même de Paul témoigne de la véracité de ce qui lui est arrivé.
Son retournement à 180 degrés, quittant sa vie pharisienne, n’est contesté par aucun érudit sérieux, qu’il soit laïc ou chrétien. La seule question est : qu’est-ce qui a provoqué ce revirement ? Qu’est-ce qui aurait pu pousser un pharisien juif très instruit à adopter soudainement le mouvement qu’il combattait violemment, et à s’y engager au point d’en mourir en martyr ?
La réponse se trouve dans les écrits de Paul et dans le livre des Actes. Dans sa lettre aux Galates, Paul résume son histoire ainsi :
« Vous avez entendu parler de ma manière de vivre autrefois dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance l’Église de Dieu et que je cherchais à la détruire ; et je progressais dans le judaïsme plus que beaucoup de mes contemporains parmi mon peuple, étant d’un zèle excessif pour mes traditions ancestrales. Mais, quand Dieu, qui m’avait mis à part dès le ventre de ma mère et m’avait appelé par sa grâce, a trouvé bon de révéler son Fils en moi afin que je le prêche parmi les païens, je ne consultai pas immédiatement la chair et le sang, ni ne montai à Jérusalem auprès de ceux qui étaient apôtres avant moi ; mais je partis en Arabie, puis je revins à Damas. Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire connaissance avec Céphas, et je restai chez lui quinze jours. Je ne vis aucun autre apôtre, sauf Jacques, le frère du Seigneur. (Je vous le dis devant Dieu, je ne mens pas.) Ensuite, je partis dans les régions de Syrie et de Cilicie. Les Églises de Judée, qui sont dans le Christ, ne me connaissaient pas de vue ; mais elles n’entendaient que dire : “Celui qui autrefois nous persécutait, voilà qu’il prêche maintenant la foi qu’il cherchait à détruire.” Et elles glorifiaient Dieu à mon sujet. » (Galates 1:13–24)
La vie même de Paul témoigne de la véracité de ce qui lui est arrivé.
Jésus a existé oui la preuve est sa descendance
Dragon ✝
Plinius le Jeune, Cornelius Tacite, Gaius Suetonius Tranquillus, Galien, Flavius Josèphe, Thallus, Lucien, Mara Bar Sérapion, Valentin, Justin Martyr, Tertullien, Phlégon, les Évangiles gnostiques, le Talmud juif, Clément, Papias, Polycarpe, Matthieu, Celse, Marc, Luc, Jean, Paul, l’épître aux Hébreux, Jude, 1 & 2 Pierre, etc.
En comparaison, Tibère César, l’empereur romain au moment du ministère et de l’exécution de Jésus, n’est mentionné que par 10 sources dans les 150 ans suivant sa mort ou sa vie (Tacite, Suétone, Velleius Paterculus, Plutarque, Pline l’Ancien, Strabon, Sénèque, Valerius Maximus, Josèphe et Luc)
Pourtant, avec 4 fois MOINS de sources, nous acceptons sans aucun doute l’existence de Tibère. Alors pourquoi pas celle de Jésus ?
Si l’on applique aux écrits du Nouveau Testament les mêmes critères que l’on applique aux autres documents anciens contenant des données historiques, on ne peut pas rejeter l’existence de Jésus sans rejeter aussi celle de Tibère César et d’une multitude d’autres personnages historiques acceptés, mais moins bien attestés !
En comparaison, Tibère César, l’empereur romain au moment du ministère et de l’exécution de Jésus, n’est mentionné que par 10 sources dans les 150 ans suivant sa mort ou sa vie (Tacite, Suétone, Velleius Paterculus, Plutarque, Pline l’Ancien, Strabon, Sénèque, Valerius Maximus, Josèphe et Luc)
Pourtant, avec 4 fois MOINS de sources, nous acceptons sans aucun doute l’existence de Tibère. Alors pourquoi pas celle de Jésus ?
Si l’on applique aux écrits du Nouveau Testament les mêmes critères que l’on applique aux autres documents anciens contenant des données historiques, on ne peut pas rejeter l’existence de Jésus sans rejeter aussi celle de Tibère César et d’une multitude d’autres personnages historiques acceptés, mais moins bien attestés !
Paul était vraiment authentique. Les preuves historiques et ses propres écrits affirment qu’il l’était.
Son retournement à 180 degrés, quittant sa vie pharisienne, n’est contesté par aucun érudit sérieux, qu’il soit laïc ou chrétien. La seule question est : qu’est-ce qui a provoqué ce revirement ? Qu’est-ce qui aurait pu pousser un pharisien juif très instruit à adopter soudainement le mouvement qu’il combattait violemment, et à s’y engager au point d’en mourir en martyr ?
La réponse se trouve dans les écrits de Paul et dans le livre des Actes. Dans sa lettre aux Galates, Paul résume son histoire ainsi :
« Vous avez entendu parler de ma manière de vivre autrefois dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance l’Église de Dieu et que je cherchais à la détruire ; et je progressais dans le judaïsme plus que beaucoup de mes contemporains parmi mon peuple, étant d’un zèle excessif pour mes traditions ancestrales. Mais, quand Dieu, qui m’avait mis à part dès le ventre de ma mère et m’avait appelé par sa grâce, a trouvé bon de révéler son Fils en moi afin que je le prêche parmi les païens, je ne consultai pas immédiatement la chair et le sang, ni ne montai à Jérusalem auprès de ceux qui étaient apôtres avant moi ; mais je partis en Arabie, puis je revins à Damas. Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire connaissance avec Céphas, et je restai chez lui quinze jours. Je ne vis aucun autre apôtre, sauf Jacques, le frère du Seigneur. (Je vous le dis devant Dieu, je ne mens pas.) Ensuite, je partis dans les régions de Syrie et de Cilicie. Les Églises de Judée, qui sont dans le Christ, ne me connaissaient pas de vue ; mais elles n’entendaient que dire : “Celui qui autrefois nous persécutait, voilà qu’il prêche maintenant la foi qu’il cherchait à détruire.” Et elles glorifiaient Dieu à mon sujet. » (Galates 1:13–24)
La vie même de Paul témoigne de la véracité de ce qui lui est arrivé.
Son retournement à 180 degrés, quittant sa vie pharisienne, n’est contesté par aucun érudit sérieux, qu’il soit laïc ou chrétien. La seule question est : qu’est-ce qui a provoqué ce revirement ? Qu’est-ce qui aurait pu pousser un pharisien juif très instruit à adopter soudainement le mouvement qu’il combattait violemment, et à s’y engager au point d’en mourir en martyr ?
La réponse se trouve dans les écrits de Paul et dans le livre des Actes. Dans sa lettre aux Galates, Paul résume son histoire ainsi :
« Vous avez entendu parler de ma manière de vivre autrefois dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance l’Église de Dieu et que je cherchais à la détruire ; et je progressais dans le judaïsme plus que beaucoup de mes contemporains parmi mon peuple, étant d’un zèle excessif pour mes traditions ancestrales. Mais, quand Dieu, qui m’avait mis à part dès le ventre de ma mère et m’avait appelé par sa grâce, a trouvé bon de révéler son Fils en moi afin que je le prêche parmi les païens, je ne consultai pas immédiatement la chair et le sang, ni ne montai à Jérusalem auprès de ceux qui étaient apôtres avant moi ; mais je partis en Arabie, puis je revins à Damas. Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire connaissance avec Céphas, et je restai chez lui quinze jours. Je ne vis aucun autre apôtre, sauf Jacques, le frère du Seigneur. (Je vous le dis devant Dieu, je ne mens pas.) Ensuite, je partis dans les régions de Syrie et de Cilicie. Les Églises de Judée, qui sont dans le Christ, ne me connaissaient pas de vue ; mais elles n’entendaient que dire : “Celui qui autrefois nous persécutait, voilà qu’il prêche maintenant la foi qu’il cherchait à détruire.” Et elles glorifiaient Dieu à mon sujet. » (Galates 1:13–24)
La vie même de Paul témoigne de la véracité de ce qui lui est arrivé.
faut rester méfiant avec les convertis
les conversions ne changent jamais vraiment un homme. Cela s'observe encore aujourd'hui sur une base assez régulière. En politique par exemple: il y a des types qui passent d'un extrême à l'autre, des faf qui deviennent antifa et réciproquement. Une fois qu'ils ont viré de bord ils disent qu'ils ont changé, en réalité ce sont toujours les mêmes, comme s'ils étaient juste passé de l'autre coté du miroir
les conversions ne changent jamais vraiment un homme. Cela s'observe encore aujourd'hui sur une base assez régulière. En politique par exemple: il y a des types qui passent d'un extrême à l'autre, des faf qui deviennent antifa et réciproquement. Une fois qu'ils ont viré de bord ils disent qu'ils ont changé, en réalité ce sont toujours les mêmes, comme s'ils étaient juste passé de l'autre coté du miroir
faut rester méfiant avec les convertis
les conversions ne changent jamais vraiment un homme. Cela s'observe encore aujourd'hui sur une base assez régulière. En politique par exemple: il y a des types qui passent d'un extrême à l'autre, des faf qui deviennent antifa et réciproquement. Une fois qu'ils ont viré de bord ils disent qu'ils ont changé, en réalité ce sont toujours les mêmes, comme s'ils étaient juste passé de l'autre coté du miroir
les conversions ne changent jamais vraiment un homme. Cela s'observe encore aujourd'hui sur une base assez régulière. En politique par exemple: il y a des types qui passent d'un extrême à l'autre, des faf qui deviennent antifa et réciproquement. Une fois qu'ils ont viré de bord ils disent qu'ils ont changé, en réalité ce sont toujours les mêmes, comme s'ils étaient juste passé de l'autre coté du miroir
Et pourtant Paul, l’ancien agresseur froid et légaliste, était désormais devenu un homme capable d’écrire au sujet de la qualité essentielle qui surpassait tout, selon 1 Corinthiens 13 : l’amour pour Dieu et pour ceux qui l’entouraient.
Et pourtant Paul, l’ancien agresseur froid et légaliste, était désormais devenu un homme capable d’écrire au sujet de la qualité essentielle qui surpassait tout, selon 1 Corinthiens 13 : l’amour pour Dieu et pour ceux qui l’entouraient.
j'ai feuilleté Paul, le coté froid et légaliste se ressent littéralement à chaque ligne qu'il écrit.
Plinius le Jeune, Cornelius Tacite, Gaius Suetonius Tranquillus, Galien, Flavius Josèphe, Thallus, Lucien, Mara Bar Sérapion, Valentin, Justin Martyr, Tertullien, Phlégon, les Évangiles gnostiques, le Talmud juif, Clément, Papias, Polycarpe, Matthieu, Celse, Marc, Luc, Jean, Paul, l’épître aux Hébreux, Jude, 1 & 2 Pierre, etc.
En comparaison, Tibère César, l’empereur romain au moment du ministère et de l’exécution de Jésus, n’est mentionné que par 10 sources dans les 150 ans suivant sa mort ou sa vie (Tacite, Suétone, Velleius Paterculus, Plutarque, Pline l’Ancien, Strabon, Sénèque, Valerius Maximus, Josèphe et Luc)
Pourtant, avec 4 fois MOINS de sources, nous acceptons sans aucun doute l’existence de Tibère. Alors pourquoi pas celle de Jésus ?
Si l’on applique aux écrits du Nouveau Testament les mêmes critères que l’on applique aux autres documents anciens contenant des données historiques, on ne peut pas rejeter l’existence de Jésus sans rejeter aussi celle de Tibère César et d’une multitude d’autres personnages historiques acceptés, mais moins bien attestés !
En comparaison, Tibère César, l’empereur romain au moment du ministère et de l’exécution de Jésus, n’est mentionné que par 10 sources dans les 150 ans suivant sa mort ou sa vie (Tacite, Suétone, Velleius Paterculus, Plutarque, Pline l’Ancien, Strabon, Sénèque, Valerius Maximus, Josèphe et Luc)
Pourtant, avec 4 fois MOINS de sources, nous acceptons sans aucun doute l’existence de Tibère. Alors pourquoi pas celle de Jésus ?
Si l’on applique aux écrits du Nouveau Testament les mêmes critères que l’on applique aux autres documents anciens contenant des données historiques, on ne peut pas rejeter l’existence de Jésus sans rejeter aussi celle de Tibère César et d’une multitude d’autres personnages historiques acceptés, mais moins bien attestés !
Il est évident que Jésus est un personnage ayant bien existé
Toujours vivant
j'ai feuilleté Paul, le coté froid et légaliste se ressent littéralement à chaque ligne qu'il écrit.
1 Thessaloniciens 2:7-8 –
« Mais nous avons été pleins de douceur au milieu de vous. De même qu’une nourrice prend soin de ses enfants, ainsi dans notre vive affection pour vous, nous aurions voulu vous donner non seulement l’Évangile de Dieu, mais encore notre propre vie, tant vous nous étiez devenus chers. »
« Mais nous avons été pleins de douceur au milieu de vous. De même qu’une nourrice prend soin de ses enfants, ainsi dans notre vive affection pour vous, nous aurions voulu vous donner non seulement l’Évangile de Dieu, mais encore notre propre vie, tant vous nous étiez devenus chers. »
Paul était vraiment authentique. Les preuves historiques et ses propres écrits affirment qu’il l’était.
Son retournement à 180 degrés, quittant sa vie pharisienne, n’est contesté par aucun érudit sérieux, qu’il soit laïc ou chrétien. La seule question est : qu’est-ce qui a provoqué ce revirement ? Qu’est-ce qui aurait pu pousser un pharisien juif très instruit à adopter soudainement le mouvement qu’il combattait violemment, et à s’y engager au point d’en mourir en martyr ?
La réponse se trouve dans les écrits de Paul et dans le livre des Actes. Dans sa lettre aux Galates, Paul résume son histoire ainsi :
« Vous avez entendu parler de ma manière de vivre autrefois dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance l’Église de Dieu et que je cherchais à la détruire ; et je progressais dans le judaïsme plus que beaucoup de mes contemporains parmi mon peuple, étant d’un zèle excessif pour mes traditions ancestrales. Mais, quand Dieu, qui m’avait mis à part dès le ventre de ma mère et m’avait appelé par sa grâce, a trouvé bon de révéler son Fils en moi afin que je le prêche parmi les païens, je ne consultai pas immédiatement la chair et le sang, ni ne montai à Jérusalem auprès de ceux qui étaient apôtres avant moi ; mais je partis en Arabie, puis je revins à Damas. Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire connaissance avec Céphas, et je restai chez lui quinze jours. Je ne vis aucun autre apôtre, sauf Jacques, le frère du Seigneur. (Je vous le dis devant Dieu, je ne mens pas.) Ensuite, je partis dans les régions de Syrie et de Cilicie. Les Églises de Judée, qui sont dans le Christ, ne me connaissaient pas de vue ; mais elles n’entendaient que dire : “Celui qui autrefois nous persécutait, voilà qu’il prêche maintenant la foi qu’il cherchait à détruire.” Et elles glorifiaient Dieu à mon sujet. » (Galates 1:13–24)
La vie même de Paul témoigne de la véracité de ce qui lui est arrivé.
Son retournement à 180 degrés, quittant sa vie pharisienne, n’est contesté par aucun érudit sérieux, qu’il soit laïc ou chrétien. La seule question est : qu’est-ce qui a provoqué ce revirement ? Qu’est-ce qui aurait pu pousser un pharisien juif très instruit à adopter soudainement le mouvement qu’il combattait violemment, et à s’y engager au point d’en mourir en martyr ?
La réponse se trouve dans les écrits de Paul et dans le livre des Actes. Dans sa lettre aux Galates, Paul résume son histoire ainsi :
« Vous avez entendu parler de ma manière de vivre autrefois dans le judaïsme, comment je persécutais à outrance l’Église de Dieu et que je cherchais à la détruire ; et je progressais dans le judaïsme plus que beaucoup de mes contemporains parmi mon peuple, étant d’un zèle excessif pour mes traditions ancestrales. Mais, quand Dieu, qui m’avait mis à part dès le ventre de ma mère et m’avait appelé par sa grâce, a trouvé bon de révéler son Fils en moi afin que je le prêche parmi les païens, je ne consultai pas immédiatement la chair et le sang, ni ne montai à Jérusalem auprès de ceux qui étaient apôtres avant moi ; mais je partis en Arabie, puis je revins à Damas. Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire connaissance avec Céphas, et je restai chez lui quinze jours. Je ne vis aucun autre apôtre, sauf Jacques, le frère du Seigneur. (Je vous le dis devant Dieu, je ne mens pas.) Ensuite, je partis dans les régions de Syrie et de Cilicie. Les Églises de Judée, qui sont dans le Christ, ne me connaissaient pas de vue ; mais elles n’entendaient que dire : “Celui qui autrefois nous persécutait, voilà qu’il prêche maintenant la foi qu’il cherchait à détruire.” Et elles glorifiaient Dieu à mon sujet. » (Galates 1:13–24)
La vie même de Paul témoigne de la véracité de ce qui lui est arrivé.
Cela reste insuffisant pour demander à des gens de croire aux miracles de Yeshoua d'il y a 2000 ans, d'un point de vue extérieur cela reste des calembredaines mythologiques sans preuves, qu'un type change subitement de vie car il a fait du sale c'est commun