Ce sujet a été résolu
Encore un type d'avn qui te partage à toi ses fantasmes sexuels et qui rage sur Onche, il parle de l'autre.
Sinon, concernant le conflit. l'éventualité d'une confrontation majeure entre Israël et l'Iran à l'horizon 2025, une demande israélienne aux États-Unis pour la fourniture de la GBU-57A/B MOP (Massive Ordnance Penetrator) signalerait une volonté de se doter d'une capacité de frappe décisive contre les infrastructures souterraines iraniennes les plus critiques et les mieux protégées. Cette bombe "anti-bunker" colossale, pesant environ 13 600 kg dont près de 2 423 kg d'explosifs puissants (un mélange d'AFX-757 et de PBXN-114), est spécifiquement conçue pour pénétrer des dizaines de mètres de béton armé ou de roche avant de détoner.
Larguée par un bombardier stratégique tel que le B-2 Spirit (ou le futur B-21 Raider), et guidée avec une grande précision par des systèmes GPS/INS, la GBU-57 permettrait de cibler et de neutraliser des installations enfouies à grande profondeur, comme des centres de commandement et de contrôle, des sites de développement de programmes nucléaires ou balistiques, ou des dépôts de munitions stratégiques. Son utilisation indiquerait une intention de dégrader de manière significative les capacités militaires les plus vitales et les mieux dissimulées de l'Iran, là où des munitions pénétrantes de moindre envergure se révéleraient inefficaces.
Sinon, concernant le conflit. l'éventualité d'une confrontation majeure entre Israël et l'Iran à l'horizon 2025, une demande israélienne aux États-Unis pour la fourniture de la GBU-57A/B MOP (Massive Ordnance Penetrator) signalerait une volonté de se doter d'une capacité de frappe décisive contre les infrastructures souterraines iraniennes les plus critiques et les mieux protégées. Cette bombe "anti-bunker" colossale, pesant environ 13 600 kg dont près de 2 423 kg d'explosifs puissants (un mélange d'AFX-757 et de PBXN-114), est spécifiquement conçue pour pénétrer des dizaines de mètres de béton armé ou de roche avant de détoner.
Larguée par un bombardier stratégique tel que le B-2 Spirit (ou le futur B-21 Raider), et guidée avec une grande précision par des systèmes GPS/INS, la GBU-57 permettrait de cibler et de neutraliser des installations enfouies à grande profondeur, comme des centres de commandement et de contrôle, des sites de développement de programmes nucléaires ou balistiques, ou des dépôts de munitions stratégiques. Son utilisation indiquerait une intention de dégrader de manière significative les capacités militaires les plus vitales et les mieux dissimulées de l'Iran, là où des munitions pénétrantes de moindre envergure se révéleraient inefficaces.
Si ils parviennent à avoir cette arme l'Iran déjà seule aura beaucoup de peine à se relever
L'escalade des tensions font peur sérieux
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Toujours vivant
il y a 24 jours
Si ils parviennent à avoir cette arme l'Iran déjà seule aura beaucoup de peine à se relever
L'escalade des tensions font peur sérieux
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Ils parlent déjà du Pakistan par rapport à la suite.
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
il y a 24 jours
Ils parlent déjà du Pakistan par rapport à la suite.
Pakistan=puissance nucléaire
Alors qu'en sera-il ?
Alors qu'en sera-il ?
Toujours vivant
il y a 24 jours
Pakistan=puissance nucléaire
Alors qu'en sera-il ?
Alors qu'en sera-il ?
Le pouvoir au Pakistan, ce n'est pas non plus stable. Vous avez vu les changements à chaque fois ?
La création du Pakistan se base sur l'idéologie de l'islam face à l'Inde. 1947, le Pakistan a été marqué par une instabilité politique chronique, caractérisée par une alternance de régimes militaires et de gouvernements civils souvent fragiles et écourtés. Les premières années (1947-1958) furent celles d'une démocratie parlementaire en difficulté, avec des figures comme Liaquat Ali Khan (assassiné en 1951).
En 1958, le général Ayub Khan prit le pouvoir par un coup d'État, instaurant une décennie de régime présidentiel autoritaire, suivie par le général Yahya Khan (1969-1971) qui supervisa la guerre aboutissant à la sécession du Pakistan Oriental (Bangladesh). Une parenthèse démocratique s'ouvrit avec Zulfikar Ali Bhutto (1971-1977), qui dota le pays d'une nouvelle constitution en 1973 (déclarant le Pakistan "République Islamique"), mais son gouvernement fut renversé par le général Zia-ul-Haq. Le régime de Zia (1977-1988) fut une période cruciale d'islamisation de la société et des lois (introduction des ordonnances Hudood, soutien aux moudjahidines afghans), ce qui a profondément et durablement affecté le tissu social et politique, exacerbant les tensions sectaires et semant les graines d'un militantisme religieux qui perdure.
Après sa mort en 1988, une décennie de démocratie instable vit l'alternance entre Benazir Bhutto et Nawaz Sharif, dont les gouvernements furent plusieurs fois démis sur fond d'accusations de corruption et de mauvaise gestion. En 1999, le général Pervez Musharraf prit le pouvoir par un nouveau coup d'État, dirigeant le pays jusqu'en 2008, une période marquée par l'alliance avec les États-Unis dans la "guerre contre le terrorisme" tout en devant composer avec une montée en puissance des groupes islamistes radicaux à l'intérieur du pays.
Depuis 2008, le Pakistan a connu une succession de gouvernements civils (Asif Ali Zardari, Nawaz Sharif, Imran Khan, et les coalitions menées par Shehbaz Sharif), mais l'instabilité demeure, alimentée par des crises économiques récurrentes, une polarisation politique extrême, une influence persistante de l'armée, et des défis sécuritaires majeurs posés par des groupes extrémistes islamistes comme le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) et des violences liées à l'application controversée des lois sur le blasphème. Cette instabilité est donc le fruit d'une interaction complexe entre interventions militaires, la politique de l'islam.
La création du Pakistan se base sur l'idéologie de l'islam face à l'Inde. 1947, le Pakistan a été marqué par une instabilité politique chronique, caractérisée par une alternance de régimes militaires et de gouvernements civils souvent fragiles et écourtés. Les premières années (1947-1958) furent celles d'une démocratie parlementaire en difficulté, avec des figures comme Liaquat Ali Khan (assassiné en 1951).
En 1958, le général Ayub Khan prit le pouvoir par un coup d'État, instaurant une décennie de régime présidentiel autoritaire, suivie par le général Yahya Khan (1969-1971) qui supervisa la guerre aboutissant à la sécession du Pakistan Oriental (Bangladesh). Une parenthèse démocratique s'ouvrit avec Zulfikar Ali Bhutto (1971-1977), qui dota le pays d'une nouvelle constitution en 1973 (déclarant le Pakistan "République Islamique"), mais son gouvernement fut renversé par le général Zia-ul-Haq. Le régime de Zia (1977-1988) fut une période cruciale d'islamisation de la société et des lois (introduction des ordonnances Hudood, soutien aux moudjahidines afghans), ce qui a profondément et durablement affecté le tissu social et politique, exacerbant les tensions sectaires et semant les graines d'un militantisme religieux qui perdure.
Après sa mort en 1988, une décennie de démocratie instable vit l'alternance entre Benazir Bhutto et Nawaz Sharif, dont les gouvernements furent plusieurs fois démis sur fond d'accusations de corruption et de mauvaise gestion. En 1999, le général Pervez Musharraf prit le pouvoir par un nouveau coup d'État, dirigeant le pays jusqu'en 2008, une période marquée par l'alliance avec les États-Unis dans la "guerre contre le terrorisme" tout en devant composer avec une montée en puissance des groupes islamistes radicaux à l'intérieur du pays.
Depuis 2008, le Pakistan a connu une succession de gouvernements civils (Asif Ali Zardari, Nawaz Sharif, Imran Khan, et les coalitions menées par Shehbaz Sharif), mais l'instabilité demeure, alimentée par des crises économiques récurrentes, une polarisation politique extrême, une influence persistante de l'armée, et des défis sécuritaires majeurs posés par des groupes extrémistes islamistes comme le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) et des violences liées à l'application controversée des lois sur le blasphème. Cette instabilité est donc le fruit d'une interaction complexe entre interventions militaires, la politique de l'islam.
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
il y a 24 jours
Le pouvoir au Pakistan, ce n'est pas non plus stable. Vous avez vu les changements à chaque fois ?
La création du Pakistan se base sur l'idéologie de l'islam face à l'Inde. 1947, le Pakistan a été marqué par une instabilité politique chronique, caractérisée par une alternance de régimes militaires et de gouvernements civils souvent fragiles et écourtés. Les premières années (1947-1958) furent celles d'une démocratie parlementaire en difficulté, avec des figures comme Liaquat Ali Khan (assassiné en 1951).
En 1958, le général Ayub Khan prit le pouvoir par un coup d'État, instaurant une décennie de régime présidentiel autoritaire, suivie par le général Yahya Khan (1969-1971) qui supervisa la guerre aboutissant à la sécession du Pakistan Oriental (Bangladesh). Une parenthèse démocratique s'ouvrit avec Zulfikar Ali Bhutto (1971-1977), qui dota le pays d'une nouvelle constitution en 1973 (déclarant le Pakistan "République Islamique"), mais son gouvernement fut renversé par le général Zia-ul-Haq. Le régime de Zia (1977-1988) fut une période cruciale d'islamisation de la société et des lois (introduction des ordonnances Hudood, soutien aux moudjahidines afghans), ce qui a profondément et durablement affecté le tissu social et politique, exacerbant les tensions sectaires et semant les graines d'un militantisme religieux qui perdure.
Après sa mort en 1988, une décennie de démocratie instable vit l'alternance entre Benazir Bhutto et Nawaz Sharif, dont les gouvernements furent plusieurs fois démis sur fond d'accusations de corruption et de mauvaise gestion. En 1999, le général Pervez Musharraf prit le pouvoir par un nouveau coup d'État, dirigeant le pays jusqu'en 2008, une période marquée par l'alliance avec les États-Unis dans la "guerre contre le terrorisme" tout en devant composer avec une montée en puissance des groupes islamistes radicaux à l'intérieur du pays.
Depuis 2008, le Pakistan a connu une succession de gouvernements civils (Asif Ali Zardari, Nawaz Sharif, Imran Khan, et les coalitions menées par Shehbaz Sharif), mais l'instabilité demeure, alimentée par des crises économiques récurrentes, une polarisation politique extrême, une influence persistante de l'armée, et des défis sécuritaires majeurs posés par des groupes extrémistes islamistes comme le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) et des violences liées à l'application controversée des lois sur le blasphème. Cette instabilité est donc le fruit d'une interaction complexe entre interventions militaires, la politique de l'islam.
La création du Pakistan se base sur l'idéologie de l'islam face à l'Inde. 1947, le Pakistan a été marqué par une instabilité politique chronique, caractérisée par une alternance de régimes militaires et de gouvernements civils souvent fragiles et écourtés. Les premières années (1947-1958) furent celles d'une démocratie parlementaire en difficulté, avec des figures comme Liaquat Ali Khan (assassiné en 1951).
En 1958, le général Ayub Khan prit le pouvoir par un coup d'État, instaurant une décennie de régime présidentiel autoritaire, suivie par le général Yahya Khan (1969-1971) qui supervisa la guerre aboutissant à la sécession du Pakistan Oriental (Bangladesh). Une parenthèse démocratique s'ouvrit avec Zulfikar Ali Bhutto (1971-1977), qui dota le pays d'une nouvelle constitution en 1973 (déclarant le Pakistan "République Islamique"), mais son gouvernement fut renversé par le général Zia-ul-Haq. Le régime de Zia (1977-1988) fut une période cruciale d'islamisation de la société et des lois (introduction des ordonnances Hudood, soutien aux moudjahidines afghans), ce qui a profondément et durablement affecté le tissu social et politique, exacerbant les tensions sectaires et semant les graines d'un militantisme religieux qui perdure.
Après sa mort en 1988, une décennie de démocratie instable vit l'alternance entre Benazir Bhutto et Nawaz Sharif, dont les gouvernements furent plusieurs fois démis sur fond d'accusations de corruption et de mauvaise gestion. En 1999, le général Pervez Musharraf prit le pouvoir par un nouveau coup d'État, dirigeant le pays jusqu'en 2008, une période marquée par l'alliance avec les États-Unis dans la "guerre contre le terrorisme" tout en devant composer avec une montée en puissance des groupes islamistes radicaux à l'intérieur du pays.
Depuis 2008, le Pakistan a connu une succession de gouvernements civils (Asif Ali Zardari, Nawaz Sharif, Imran Khan, et les coalitions menées par Shehbaz Sharif), mais l'instabilité demeure, alimentée par des crises économiques récurrentes, une polarisation politique extrême, une influence persistante de l'armée, et des défis sécuritaires majeurs posés par des groupes extrémistes islamistes comme le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) et des violences liées à l'application controversée des lois sur le blasphème. Cette instabilité est donc le fruit d'une interaction complexe entre interventions militaires, la politique de l'islam.
Tu crois en une intervention de l'OTAN au Pakistan (pour faire tomber le régime) ?
Toujours vivant
il y a 24 jours
Tu crois en une intervention de l'OTAN au Pakistan (pour faire tomber le régime) ?
L'influence chinoise pour les routes ou une guerre, le Cachemire.
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
il y a 24 jours
L'influence chinoise pour les routes ou une guerre, le Cachemire.
D'acc, bah merci khey cet échange fut très intéressant
Après si les chinois se lèvent l'Amérique ne restera pas indifférent
Après si les chinois se lèvent l'Amérique ne restera pas indifférent
Toujours vivant
il y a 24 jours