Ce sujet a été résolu
1916
Lettre de Gaston Biron. Gaston Biron avait vingt-neuf ans en 1914.
Pendant plus de deux ans de guerre,Gaston n'a cessé d’écrire à sa mère Joséphine. Il était le fils d’une famille de sept enfants. Ses sœurs Berthe,Hélène,Blanche,Marguerite,Madeleine et Marie apprirent sa disparition à la fin de l’été : blessé le 8 septembre 1916,il mourut de ses blessures le 11 septembre 1916 à l’hôpital de Chartres.
Ma chère mère, « [...] Par quel miracle suis-je sorti de cet enfer, je me demande encore bien des fois s'il est vrai que je suis encore vivant ; pense donc, nous sommes montés mille deux cents et nous sommes redescendus trois cents ; pourquoi suis-je de ces trois cents qui ont eu la chance de s'en tirer, je n'en sais rien, pourtant j'aurais dû être tué cent fois, et à chaque minute, pendant ces huit longs jours, j'ai cru ma dernière heure arrivée. Nous étions tous montés là-haut après avoir fait le sacrifice de notre vie, car nous ne pensions pas qu'il fût possible de se tirer d'une pareille fournaise. Oui, ma chère mère, nous avons beaucoup souffert et personne ne pourra jamais savoir par quelles transes et quelles souffrances horribles nous avons passé. […] Ah ! j'ai bien pensé à vous tous durant ces heures terribles, et ce fut ma plus grande souffrance que l'idée de ne jamais vous revoir.[...] »[…] Ton fils qui te chérit et t’embrasse un million de fois.
https://blogacabdx.ac-bor[...]C3%B4t%C3%A9-Allemand.pdf
2025
on est d'accord qu'on est allés beaucoup trop loin et que si la décolonisation était légitime, alors notre propre libération l'est 100 fois plus?
Lettre de Gaston Biron. Gaston Biron avait vingt-neuf ans en 1914.
Pendant plus de deux ans de guerre,Gaston n'a cessé d’écrire à sa mère Joséphine. Il était le fils d’une famille de sept enfants. Ses sœurs Berthe,Hélène,Blanche,Marguerite,Madeleine et Marie apprirent sa disparition à la fin de l’été : blessé le 8 septembre 1916,il mourut de ses blessures le 11 septembre 1916 à l’hôpital de Chartres.
Ma chère mère, « [...] Par quel miracle suis-je sorti de cet enfer, je me demande encore bien des fois s'il est vrai que je suis encore vivant ; pense donc, nous sommes montés mille deux cents et nous sommes redescendus trois cents ; pourquoi suis-je de ces trois cents qui ont eu la chance de s'en tirer, je n'en sais rien, pourtant j'aurais dû être tué cent fois, et à chaque minute, pendant ces huit longs jours, j'ai cru ma dernière heure arrivée. Nous étions tous montés là-haut après avoir fait le sacrifice de notre vie, car nous ne pensions pas qu'il fût possible de se tirer d'une pareille fournaise. Oui, ma chère mère, nous avons beaucoup souffert et personne ne pourra jamais savoir par quelles transes et quelles souffrances horribles nous avons passé. […] Ah ! j'ai bien pensé à vous tous durant ces heures terribles, et ce fut ma plus grande souffrance que l'idée de ne jamais vous revoir.[...] »[…] Ton fils qui te chérit et t’embrasse un million de fois.
2025
on est d'accord qu'on est allés beaucoup trop loin et que si la décolonisation était légitime, alors notre propre libération l'est 100 fois plus?
il y a un mois
Les chauffeurs de car n'ont pas le droit de refuser la montée des mineurs dans leur aquarium, donc c'est des menaces en l'air (où alors elle est prête à en subir les conséquences pénales)
Best of all, it's a Cadillac
il y a un mois
Cadillac
1 mois
Les chauffeurs de car n'ont pas le droit de refuser la montée des mineurs dans leur aquarium, donc c'est des menaces en l'air (où alors elle est prête à en subir les conséquences pénales)
C est totalement faux
il y a un mois