Ce sujet a été résolu
« Pour ma part, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j’appelle moi, je bute toujours sur une perception particulière ou sur une autre, de chaud ou de froid, de lumière ou d’ombre, d’amour ou de haine, de douleur ou de plaisir. Je ne peux jamais me saisir, moi, en aucun moment, sans une perception et je ne peux rien observer que la perception. Quand mes perceptions sont écartées pour un temps, comme par un sommeil tranquille, aussi longtemps je n’ai plus conscience de moi et on peut dire vraiment que je n’existe pas. Si toutes mes perceptions étaient supprimées par la mort et que je ne puisse ni penser, ni sentir, ni voir, ni aimer, ni haïr après la dissolution de mon corps, je serais entièrement annihilé et je ne conçois pas ce qu’il faudrait de plus pour faire de moi un parfait mort. Si quelqu’un pense, après une réflexion sérieuse et impartiale, qu’il a, de lui-même, une connaissance différente, il me faut l’avouer, je ne peux raisonner plus longtemps avec lui. Tout ce que je peux lui accorder, c’est qu’il peut être dans le vrai aussi bien que moi et que nous différons essentiellement sur[…] »
il y a un mois
D'abord c'est mal écrit, et ensuite l'auteur s'est sans doute suicidé après avoir écrit ça, ce qui est sans doute mérité puisqu'il ne sait pas écrire
il y a un mois
On dirait qu'il doute de ses doutes, à croire qu'il n'existe pas vraiment.
il y a un mois
FiondeMacron
1 mois
D'abord c'est mal écrit, et ensuite l'auteur s'est sans doute suicidé après avoir écrit ça, ce qui est sans doute mérité puisqu'il ne sait pas écrire
il y a 8 jours