Ce sujet a été résolu
BartaJeTaime_
2 mois
un jour j'arrive au lycée énervé car je venais de me faire larguer, ma prof de techno était à l'entrée entrain de fumer, j'ai fumé avec elle, on a parlé, et là elle me raconte qu'elle est en procés avec son ex mari qui a violé leur gamine
ça m'a fait d'autant plus mal au coeur que sa gamine je la voyais tous les jours quand elle venait du collége à coté pour attendre sa mére dans notre hall du lycée, elle était adorable, toute maigre, un regard touchant et innocent
jai compris pourquoi durant deux ans je lai vu chialer, je m'en suis voulu de lui avoir mené la vie dure parfois, depuis ce moment là j'ai été une créme avec elle et je lai toujours défendu en classe si un éléve foutait la merde
-------------
avec mon groupe de potes on était proches d'une surveillante du lycée, elle trainait avec nous durant la récréation
un jour elle nous livre un dossier croustillant : ils ont choppé une éléve entrain de sucer des mecs dans un gloryhole artisanal dans les toilettes des filles. Elle nous a montré la meuf en question c'était une 8/10 de premiére année, elle a sucé des blaireaux en plus.
elle a été viré, j'aurais aimé être une petite souris pour voir la gueule des parents au rendez-vous quand on leur a expliqué le motif du renvoi
et j'ai aussi ragé de pas avoir été au courant avant, histoire d'aller faire un tour dans les toilettes des filles, apparemment cetait un petit truc connu entre les gens de premiére année et tu venais y mettre ta bite et elle sucait
ça m'a fait d'autant plus mal au coeur que sa gamine je la voyais tous les jours quand elle venait du collége à coté pour attendre sa mére dans notre hall du lycée, elle était adorable, toute maigre, un regard touchant et innocent
jai compris pourquoi durant deux ans je lai vu chialer, je m'en suis voulu de lui avoir mené la vie dure parfois, depuis ce moment là j'ai été une créme avec elle et je lai toujours défendu en classe si un éléve foutait la merde
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avec mon groupe de potes on était proches d'une surveillante du lycée, elle trainait avec nous durant la récréation
un jour elle nous livre un dossier croustillant : ils ont choppé une éléve entrain de sucer des mecs dans un gloryhole artisanal dans les toilettes des filles. Elle nous a montré la meuf en question c'était une 8/10 de premiére année, elle a sucé des blaireaux en plus.
elle a été viré, j'aurais aimé être une petite souris pour voir la gueule des parents au rendez-vous quand on leur a expliqué le motif du renvoi
et j'ai aussi ragé de pas avoir été au courant avant, histoire d'aller faire un tour dans les toilettes des filles, apparemment cetait un petit truc connu entre les gens de premiére année et tu venais y mettre ta bite et elle sucait
Putain c'est glauque la deuxième
Ma vie résumé en 1 musique :
https://youtu.be/gpSRiIj7Uws?si=35bo1isvu_QQid18
il y a 2 mois
Collège.
Le bus scolaire vient récupérer les collégiens à un arrêt. Une fille en 6e est en retard et a peur de rater le bus, elle court, traverse la route pour le rejoindre et se fait violemment percuter par une voiture devant tous les élèves aux fenêtres du bus.
Elle est morte, une cellule psychologique a été mise en place pour tenter de faire oublier le corps désarticulé de la camarade de classe volant dans les airs.
Le bus scolaire vient récupérer les collégiens à un arrêt. Une fille en 6e est en retard et a peur de rater le bus, elle court, traverse la route pour le rejoindre et se fait violemment percuter par une voiture devant tous les élèves aux fenêtres du bus.
Elle est morte, une cellule psychologique a été mise en place pour tenter de faire oublier le corps désarticulé de la camarade de classe volant dans les airs.
il y a 2 mois
Flemme de raconter mais en gros on faisait du spiritisme à l’internat au college et on avait pour habitude avec un pote de mettre en place des petits scenarios un peu connard pour faire flippax les zouz
il y a 2 mois
Putain c'est glauque la deuxième
Bah je trouve pas parfois on s’exprime differement cest tout, l’appetit sexuel ça se controlle ap parfois quand tes au lycee
il y a 2 mois
En primaire y avais un gitan qui jouait à un jeu de con à la mode.... une sorte du jeu du foulard, ou il fallait respirer très vite, retenir sa respiration et paf tu ferais un malaise de 2-5 secondes.
Et bien lui il a fait un peu trop souvent...
Maintenant il est en fauteuil roulant, hémiplégique, parle plus, style un trisomique avec de la bave et des petits hurlement.....
Et bien lui il a fait un peu trop souvent...
Maintenant il est en fauteuil roulant, hémiplégique, parle plus, style un trisomique avec de la bave et des petits hurlement.....
il y a 2 mois
Perso moi ça s'est passé pendant l'hiver 2011. Il faisait vachement froid, en Décembre, si je me souviens bien. Mes parents avaient cassé les chiottes du rez de chaussée en vue d'en reconstruire une plus grande, et, bien sûr, les seules chiottes restantes étaient à l’étage. Bien à côté de leur chambre. Moi, ma chambre, elle était au rez de chaussée, à côté du garage. C'était bien en été, parce que j'avais une porte qui donnait directement vers le jardin, je pouvais donc la laisser ouverte pour profiter du soleil et de la chaleur. Mais en hiver, ça caillait grave.
Pour en revenir à cette histoire de chiottes, j'avais la flemme de monter pour aller pisser, alors j'allais faire mon affaire dans le jardin, en passant par la porte citée précédemment.
Et c'est là que je l'avais vue.
Je pissais tranquillement contre un arbre, la nuit tombée, et comme font souvent les hommes qui pissent dehors, je scrutais l'horizon, par ennui, ou bien pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui me matait. Et, en l’occurrence, il y en avait bien une. De mon jardin, on pouvait apercevoir les immeubles HLM à côté, et quand j'étais gamin, on pouvait voir un tas de gens par leur fenêtre. Maintenant, on ne peut plus voir grand monde, car l'immeuble est censé être vide.
Mais il semblait que ce n’était pas le cas. Par la fenêtre, je pouvais apercevoir une femme, qui me regardait en souriant. Ça m'avait mis très mal à l'aise, du coup j'avais très vite rangé mon engin dans mon caleçon, et j’étais rentré pour finir mon affaire aux toilettes de l'étage.
Le lendemain, j'étais rentré tard du boulot. C’était une semaine "Sans soleil" pour moi, je partais avant son lever et je rentrais après qu'il se soit couché. Ma flemme n'avait pas changé depuis la veille, alors je suis allé vers mon arbre habituel pour me soulager, j'ai sorti mon attirail, et j'ai commencé à uriner. Je me suis alors souvenu de ma spectatrice d'hier, et j'ai tourné la tête vers les HLM voisins. Et, à ma surprise, elle était encore à la fenêtre, avec le même sourire que la veille.
Cette fois, je n'ai pas pu tout remballer, car je venais à peine de commencer et je m’étais retenu depuis un moment. alors, je me suis dit "tant pis", et j'ai continué. Je me suis retenu de lui faire des doigts d'honneur au passage, parce que bon, dans l'histoire, c'est moi le crasseux qui va pisser dehors à la vue de tous. Même si cet immeuble est censé être vide, elle est chez elle et c'est à moi de ne pas lui déballer mon pénis sous le nez.
Après avoir fini mon affaire, je suis parti en lui faisant un signe de la main, comme pour m'excuser.
Ça ne s'est pas arrêté la pour autant. Durant la semaine, à chaque fois que je rentrais du boulot, j'allais faire mon petit pipi du soir sur mon arbre, et mon admiratrice était toujours là, avec son sourire. Au bout de quelques jours, j'ai pris ça pour de la drague. Peut être que ce qu'elle voyait lui plaisait. Je me suis donc décidé à aller lui rendre visite, un soir, après être rentré.
Elle était au troisième étage, et, selon ce que j'avais déduit, son appartement était celui au fond à droite. Comme je le pensais l'immeuble était vide. Finalement arrivé au troisième étage, j'ai rapidement trouvé son appartement. Je suis allé sonner, un peu anxieux, car je ne savais pas quel accueil elle allait me faire. Après tout, peut être que son sourire était moqueur, et qu'elle était là tous les soirs juste pour se foutre de ma gueule.
J'ai sonné plusieurs fois, sans réponse. J'allais partir quand j'ai remarqué que sa porte était entrouverte, et qu'une odeur pestilentielle s'échappait de l'appartement. Je suis entré en demandant s'il y avait quelqu'un, et on n'y voyait rien. Seul un rayon de lune illuminait un petit peu le salon, par la fenêtre de celui ci. C'était la fenêtre par laquelle on apercevait mon jardin.
Devant celle ci se balançait quelque chose. Je n'arrivais pas à l'identifier jusqu'à ce que j'allume la lumière.
Je n'ai pas pu m’empêcher de crier quand j'ai finalement découvert ce que c'était.
C'était bien une femme que je voyais par sa fenêtre. Mais elle était morte, et se balançait au bout d'une corde. Son visage était déformé par la douleur, ce qui donnait l'impression qu'elle souriait.
J'ai tout de suite contacté la police, qui est arrivé très vite sur les lieux.
Quelques jours après, j'ai appris que cette femme était la dernière locataire de l'immeuble, et que les propriétaires avaient fait pression sur elle pour la jeter dehors, et qu'ils avaient réussi. Elle n'avait plus de famille, et on lui avait retiré la garde de ses enfants. Elle allait finir à la rue, et ne voulant pas de cette vie, elle avait mit fin à la sienne. Une triste et sordide histoire.
Finalement, ma belle inconnue souriante était en fait un cadavre moisissant qui m'a quand-même fait bander. Et pour ma part, je n'irai plus jamais pisser dehors
...
Pour en revenir à cette histoire de chiottes, j'avais la flemme de monter pour aller pisser, alors j'allais faire mon affaire dans le jardin, en passant par la porte citée précédemment.
Et c'est là que je l'avais vue.
Je pissais tranquillement contre un arbre, la nuit tombée, et comme font souvent les hommes qui pissent dehors, je scrutais l'horizon, par ennui, ou bien pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui me matait. Et, en l’occurrence, il y en avait bien une. De mon jardin, on pouvait apercevoir les immeubles HLM à côté, et quand j'étais gamin, on pouvait voir un tas de gens par leur fenêtre. Maintenant, on ne peut plus voir grand monde, car l'immeuble est censé être vide.
Mais il semblait que ce n’était pas le cas. Par la fenêtre, je pouvais apercevoir une femme, qui me regardait en souriant. Ça m'avait mis très mal à l'aise, du coup j'avais très vite rangé mon engin dans mon caleçon, et j’étais rentré pour finir mon affaire aux toilettes de l'étage.
Le lendemain, j'étais rentré tard du boulot. C’était une semaine "Sans soleil" pour moi, je partais avant son lever et je rentrais après qu'il se soit couché. Ma flemme n'avait pas changé depuis la veille, alors je suis allé vers mon arbre habituel pour me soulager, j'ai sorti mon attirail, et j'ai commencé à uriner. Je me suis alors souvenu de ma spectatrice d'hier, et j'ai tourné la tête vers les HLM voisins. Et, à ma surprise, elle était encore à la fenêtre, avec le même sourire que la veille.
Cette fois, je n'ai pas pu tout remballer, car je venais à peine de commencer et je m’étais retenu depuis un moment. alors, je me suis dit "tant pis", et j'ai continué. Je me suis retenu de lui faire des doigts d'honneur au passage, parce que bon, dans l'histoire, c'est moi le crasseux qui va pisser dehors à la vue de tous. Même si cet immeuble est censé être vide, elle est chez elle et c'est à moi de ne pas lui déballer mon pénis sous le nez.
Après avoir fini mon affaire, je suis parti en lui faisant un signe de la main, comme pour m'excuser.
Ça ne s'est pas arrêté la pour autant. Durant la semaine, à chaque fois que je rentrais du boulot, j'allais faire mon petit pipi du soir sur mon arbre, et mon admiratrice était toujours là, avec son sourire. Au bout de quelques jours, j'ai pris ça pour de la drague. Peut être que ce qu'elle voyait lui plaisait. Je me suis donc décidé à aller lui rendre visite, un soir, après être rentré.
Elle était au troisième étage, et, selon ce que j'avais déduit, son appartement était celui au fond à droite. Comme je le pensais l'immeuble était vide. Finalement arrivé au troisième étage, j'ai rapidement trouvé son appartement. Je suis allé sonner, un peu anxieux, car je ne savais pas quel accueil elle allait me faire. Après tout, peut être que son sourire était moqueur, et qu'elle était là tous les soirs juste pour se foutre de ma gueule.
J'ai sonné plusieurs fois, sans réponse. J'allais partir quand j'ai remarqué que sa porte était entrouverte, et qu'une odeur pestilentielle s'échappait de l'appartement. Je suis entré en demandant s'il y avait quelqu'un, et on n'y voyait rien. Seul un rayon de lune illuminait un petit peu le salon, par la fenêtre de celui ci. C'était la fenêtre par laquelle on apercevait mon jardin.
Devant celle ci se balançait quelque chose. Je n'arrivais pas à l'identifier jusqu'à ce que j'allume la lumière.
Je n'ai pas pu m’empêcher de crier quand j'ai finalement découvert ce que c'était.
C'était bien une femme que je voyais par sa fenêtre. Mais elle était morte, et se balançait au bout d'une corde. Son visage était déformé par la douleur, ce qui donnait l'impression qu'elle souriait.
J'ai tout de suite contacté la police, qui est arrivé très vite sur les lieux.
Quelques jours après, j'ai appris que cette femme était la dernière locataire de l'immeuble, et que les propriétaires avaient fait pression sur elle pour la jeter dehors, et qu'ils avaient réussi. Elle n'avait plus de famille, et on lui avait retiré la garde de ses enfants. Elle allait finir à la rue, et ne voulant pas de cette vie, elle avait mit fin à la sienne. Une triste et sordide histoire.
Finalement, ma belle inconnue souriante était en fait un cadavre moisissant qui m'a quand-même fait bander. Et pour ma part, je n'irai plus jamais pisser dehors
il y a 2 mois
Je bosse dans le milieu médical. Un jour un homme se pointe me demandant de l'aide, un mouchoir ensanglanté avec lui.
Il s'était marié un peu vite (la femme voulait la nationalité), il s'est disputé avec sa femme parce qu'elle n'allait pas à sa formation pour apprendre le français.
Il pointe son doigt vers la femme, la femme croque le doigt. Doigt sectionné, c'est ça qu'il avait dans le mouchoir. Le mec me demande de remettre le doigt coupé en place.
Puanteur de sang, os croqué, horrible.
Il s'était marié un peu vite (la femme voulait la nationalité), il s'est disputé avec sa femme parce qu'elle n'allait pas à sa formation pour apprendre le français.
Il pointe son doigt vers la femme, la femme croque le doigt. Doigt sectionné, c'est ça qu'il avait dans le mouchoir. Le mec me demande de remettre le doigt coupé en place.
Puanteur de sang, os croqué, horrible.
il y a 2 mois
Pas flippant mais super bizarre : une nuit Quelqu'un m'a parlé dans mon rêve et m'a dit" tu sais que ton cousin est mort ?
Du coup je réponds : quoi, Jean est mort ?
Je me rappelle plus la suite
Le lendemain mon oncle me téléphone pour m'apprendre la mort de mon cousin, en fait c'était pas celui à qui je pensais, c'était un autre de mes cousins que j'avais pas vu depuis plus de 15 ans.
Du coup je réponds : quoi, Jean est mort ?
Je me rappelle plus la suite

Le lendemain mon oncle me téléphone pour m'apprendre la mort de mon cousin, en fait c'était pas celui à qui je pensais, c'était un autre de mes cousins que j'avais pas vu depuis plus de 15 ans.
il y a 2 mois
Il y a quelques années avec des potes, on avait décidé de visité un hameau abandonné la nuit, faut savoir que ce dernier est coincé au milieu de la forêt à deux bon kilomètre du village le plus près . Au début tout ce passe bien, on s'amuse à faire les cons dans les ruines de baraques pour se faire peur jusqu'à ce que l'on tombe sur un petit hôtel avec une Marie de Prague et des vieilles photos de personnes le tout derrière une vitre de plexi . D'un coup l'atmosphère est devenue super lourde et la forêt super calme, on avait l'impression d'être observé, oppressé. Résultat ; on a détalés comme des lapins jusqu'à la voiture. Avec le temps on se demande encore si c'etait bien réel ou si c'était notre imagination, mais bordel je n'oublierai jamais cette sensation .
il y a 2 mois
MarisaKirisame
2 mois
Perso moi ça s'est passé pendant l'hiver 2011. Il faisait vachement froid, en Décembre, si je me souviens bien. Mes parents avaient cassé les chiottes du rez de chaussée en vue d'en reconstruire une plus grande, et, bien sûr, les seules chiottes restantes étaient à l’étage. Bien à côté de leur chambre. Moi, ma chambre, elle était au rez de chaussée, à côté du garage. C'était bien en été, parce que j'avais une porte qui donnait directement vers le jardin, je pouvais donc la laisser ouverte pour profiter du soleil et de la chaleur. Mais en hiver, ça caillait grave.
Pour en revenir à cette histoire de chiottes, j'avais la flemme de monter pour aller pisser, alors j'allais faire mon affaire dans le jardin, en passant par la porte citée précédemment.
Et c'est là que je l'avais vue.
Je pissais tranquillement contre un arbre, la nuit tombée, et comme font souvent les hommes qui pissent dehors, je scrutais l'horizon, par ennui, ou bien pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui me matait. Et, en l’occurrence, il y en avait bien une. De mon jardin, on pouvait apercevoir les immeubles HLM à côté, et quand j'étais gamin, on pouvait voir un tas de gens par leur fenêtre. Maintenant, on ne peut plus voir grand monde, car l'immeuble est censé être vide.
Mais il semblait que ce n’était pas le cas. Par la fenêtre, je pouvais apercevoir une femme, qui me regardait en souriant. Ça m'avait mis très mal à l'aise, du coup j'avais très vite rangé mon engin dans mon caleçon, et j’étais rentré pour finir mon affaire aux toilettes de l'étage.
Le lendemain, j'étais rentré tard du boulot. C’était une semaine "Sans soleil" pour moi, je partais avant son lever et je rentrais après qu'il se soit couché. Ma flemme n'avait pas changé depuis la veille, alors je suis allé vers mon arbre habituel pour me soulager, j'ai sorti mon attirail, et j'ai commencé à uriner. Je me suis alors souvenu de ma spectatrice d'hier, et j'ai tourné la tête vers les HLM voisins. Et, à ma surprise, elle était encore à la fenêtre, avec le même sourire que la veille.
Cette fois, je n'ai pas pu tout remballer, car je venais à peine de commencer et je m’étais retenu depuis un moment. alors, je me suis dit "tant pis", et j'ai continué. Je me suis retenu de lui faire des doigts d'honneur au passage, parce que bon, dans l'histoire, c'est moi le crasseux qui va pisser dehors à la vue de tous. Même si cet immeuble est censé être vide, elle est chez elle et c'est à moi de ne pas lui déballer mon pénis sous le nez.
Après avoir fini mon affaire, je suis parti en lui faisant un signe de la main, comme pour m'excuser.
Ça ne s'est pas arrêté la pour autant. Durant la semaine, à chaque fois que je rentrais du boulot, j'allais faire mon petit pipi du soir sur mon arbre, et mon admiratrice était toujours là, avec son sourire. Au bout de quelques jours, j'ai pris ça pour de la drague. Peut être que ce qu'elle voyait lui plaisait. Je me suis donc décidé à aller lui rendre visite, un soir, après être rentré.
Elle était au troisième étage, et, selon ce que j'avais déduit, son appartement était celui au fond à droite. Comme je le pensais l'immeuble était vide. Finalement arrivé au troisième étage, j'ai rapidement trouvé son appartement. Je suis allé sonner, un peu anxieux, car je ne savais pas quel accueil elle allait me faire. Après tout, peut être que son sourire était moqueur, et qu'elle était là tous les soirs juste pour se foutre de ma gueule.
J'ai sonné plusieurs fois, sans réponse. J'allais partir quand j'ai remarqué que sa porte était entrouverte, et qu'une odeur pestilentielle s'échappait de l'appartement. Je suis entré en demandant s'il y avait quelqu'un, et on n'y voyait rien. Seul un rayon de lune illuminait un petit peu le salon, par la fenêtre de celui ci. C'était la fenêtre par laquelle on apercevait mon jardin.
Devant celle ci se balançait quelque chose. Je n'arrivais pas à l'identifier jusqu'à ce que j'allume la lumière.
Je n'ai pas pu m’empêcher de crier quand j'ai finalement découvert ce que c'était.
C'était bien une femme que je voyais par sa fenêtre. Mais elle était morte, et se balançait au bout d'une corde. Son visage était déformé par la douleur, ce qui donnait l'impression qu'elle souriait.
J'ai tout de suite contacté la police, qui est arrivé très vite sur les lieux.
Quelques jours après, j'ai appris que cette femme était la dernière locataire de l'immeuble, et que les propriétaires avaient fait pression sur elle pour la jeter dehors, et qu'ils avaient réussi. Elle n'avait plus de famille, et on lui avait retiré la garde de ses enfants. Elle allait finir à la rue, et ne voulant pas de cette vie, elle avait mit fin à la sienne. Une triste et sordide histoire.
Finalement, ma belle inconnue souriante était en fait un cadavre moisissant qui m'a quand-même fait bander. Et pour ma part, je n'irai plus jamais pisser dehors
Pour en revenir à cette histoire de chiottes, j'avais la flemme de monter pour aller pisser, alors j'allais faire mon affaire dans le jardin, en passant par la porte citée précédemment.
Et c'est là que je l'avais vue.
Je pissais tranquillement contre un arbre, la nuit tombée, et comme font souvent les hommes qui pissent dehors, je scrutais l'horizon, par ennui, ou bien pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui me matait. Et, en l’occurrence, il y en avait bien une. De mon jardin, on pouvait apercevoir les immeubles HLM à côté, et quand j'étais gamin, on pouvait voir un tas de gens par leur fenêtre. Maintenant, on ne peut plus voir grand monde, car l'immeuble est censé être vide.
Mais il semblait que ce n’était pas le cas. Par la fenêtre, je pouvais apercevoir une femme, qui me regardait en souriant. Ça m'avait mis très mal à l'aise, du coup j'avais très vite rangé mon engin dans mon caleçon, et j’étais rentré pour finir mon affaire aux toilettes de l'étage.
Le lendemain, j'étais rentré tard du boulot. C’était une semaine "Sans soleil" pour moi, je partais avant son lever et je rentrais après qu'il se soit couché. Ma flemme n'avait pas changé depuis la veille, alors je suis allé vers mon arbre habituel pour me soulager, j'ai sorti mon attirail, et j'ai commencé à uriner. Je me suis alors souvenu de ma spectatrice d'hier, et j'ai tourné la tête vers les HLM voisins. Et, à ma surprise, elle était encore à la fenêtre, avec le même sourire que la veille.
Cette fois, je n'ai pas pu tout remballer, car je venais à peine de commencer et je m’étais retenu depuis un moment. alors, je me suis dit "tant pis", et j'ai continué. Je me suis retenu de lui faire des doigts d'honneur au passage, parce que bon, dans l'histoire, c'est moi le crasseux qui va pisser dehors à la vue de tous. Même si cet immeuble est censé être vide, elle est chez elle et c'est à moi de ne pas lui déballer mon pénis sous le nez.
Après avoir fini mon affaire, je suis parti en lui faisant un signe de la main, comme pour m'excuser.
Ça ne s'est pas arrêté la pour autant. Durant la semaine, à chaque fois que je rentrais du boulot, j'allais faire mon petit pipi du soir sur mon arbre, et mon admiratrice était toujours là, avec son sourire. Au bout de quelques jours, j'ai pris ça pour de la drague. Peut être que ce qu'elle voyait lui plaisait. Je me suis donc décidé à aller lui rendre visite, un soir, après être rentré.
Elle était au troisième étage, et, selon ce que j'avais déduit, son appartement était celui au fond à droite. Comme je le pensais l'immeuble était vide. Finalement arrivé au troisième étage, j'ai rapidement trouvé son appartement. Je suis allé sonner, un peu anxieux, car je ne savais pas quel accueil elle allait me faire. Après tout, peut être que son sourire était moqueur, et qu'elle était là tous les soirs juste pour se foutre de ma gueule.
J'ai sonné plusieurs fois, sans réponse. J'allais partir quand j'ai remarqué que sa porte était entrouverte, et qu'une odeur pestilentielle s'échappait de l'appartement. Je suis entré en demandant s'il y avait quelqu'un, et on n'y voyait rien. Seul un rayon de lune illuminait un petit peu le salon, par la fenêtre de celui ci. C'était la fenêtre par laquelle on apercevait mon jardin.
Devant celle ci se balançait quelque chose. Je n'arrivais pas à l'identifier jusqu'à ce que j'allume la lumière.
Je n'ai pas pu m’empêcher de crier quand j'ai finalement découvert ce que c'était.
C'était bien une femme que je voyais par sa fenêtre. Mais elle était morte, et se balançait au bout d'une corde. Son visage était déformé par la douleur, ce qui donnait l'impression qu'elle souriait.
J'ai tout de suite contacté la police, qui est arrivé très vite sur les lieux.
Quelques jours après, j'ai appris que cette femme était la dernière locataire de l'immeuble, et que les propriétaires avaient fait pression sur elle pour la jeter dehors, et qu'ils avaient réussi. Elle n'avait plus de famille, et on lui avait retiré la garde de ses enfants. Elle allait finir à la rue, et ne voulant pas de cette vie, elle avait mit fin à la sienne. Une triste et sordide histoire.
Finalement, ma belle inconnue souriante était en fait un cadavre moisissant qui m'a quand-même fait bander. Et pour ma part, je n'irai plus jamais pisser dehors
il y a 2 mois
Je me rappelle d'une fille à la fac qui vivait chez ses grands parents.
En fait elle venait d'un petit village et quand elle a du aller à la fac sur Marseille, comme ses grands parents y habitaient elle a vécu chez eux.
La fille paraissait totalement normalement, mince, super jolie, le seul truc c'est qu'elle ne pouvait pas faire de soirée parce que ses grands parents tenaient à ce qu'elle ne sorte pas, elle devait étudier, toussa toussa.
Ils habitaient pas loin de là où j'étais (quartier longchamp pour ceux qui connaissent). Un jour je dois aller la voir pour aller chercher des cours. Je tape et je vois son grand-père.
L'homme paraît super sympa, il est très grand, il a environ 80 ans, un léger surpoids, il s'apprêtait à sortir donc il avait un chapeau sur la tête. Très souriant. Je lui demande dans quoi il travaillait et il me répond qu'il était dans les courses (de chevaux mais je ne sais pas du tout quoi. Il n'avait pas une tête de jockey).
Je vois mon ami, elle le salue, il part, et je peux voir sa chambre. Un léger désordre, très "girly" mais rien d'extraordinaire. Elle me passe les cours, j'essaie un peu de la draguer en vain et je repars tranquillou.
Plus tard elle a un copain, un mec sympa. Je les surprend dans un étage à s'engueuler. Le mec l'engueule et lui dit d'aller habiter chez elle. Elle a l'air de refuser et il a l'air de la forcer. Elle accepte et elle déménage chez lui.
C'est 2-3 ans plus tard que j'apprendrais la vérité par la bouche d'une amie commune.
La fille se faisait violer depuis ses 12 ans par son grand père. Elle l'avait dit à son copain et c'était ce pourquoi elle voulait qui déménage, et qu'elle avait déménagé.
Le grand père avait fini par mourir d'un cancer (je sais plus lequel, je crois un carcinome), son copain et elle avait fini par se séparer vers la dernière année de fac.
Je ne saurais jamais pourquoi elle habitait chez son grand père qui la violait. Je n'ai que des questions en tête :
_ est ce qu'elle était tant en galère d'argent pour aller ailleurs ?
_ elle ne voulait pas que sa mère l'apprenne et cela serait paru suspect ?
_ autre chose ?
Le plus flippant c'est qu'apparemment il continuait bien à faire ça alors qu'elle était majeure et en fac, l'année même où je l'avais croisé, où j'étais rentré dans sa chambre et où sans le savoir j'avais parlé avec son bourreau.
J'ai croisé un monstre et je ne l'ai su qu'après.
Je n'ose même plus imaginer ça.
En fait elle venait d'un petit village et quand elle a du aller à la fac sur Marseille, comme ses grands parents y habitaient elle a vécu chez eux.
La fille paraissait totalement normalement, mince, super jolie, le seul truc c'est qu'elle ne pouvait pas faire de soirée parce que ses grands parents tenaient à ce qu'elle ne sorte pas, elle devait étudier, toussa toussa.
Ils habitaient pas loin de là où j'étais (quartier longchamp pour ceux qui connaissent). Un jour je dois aller la voir pour aller chercher des cours. Je tape et je vois son grand-père.
L'homme paraît super sympa, il est très grand, il a environ 80 ans, un léger surpoids, il s'apprêtait à sortir donc il avait un chapeau sur la tête. Très souriant. Je lui demande dans quoi il travaillait et il me répond qu'il était dans les courses (de chevaux mais je ne sais pas du tout quoi. Il n'avait pas une tête de jockey).
Je vois mon ami, elle le salue, il part, et je peux voir sa chambre. Un léger désordre, très "girly" mais rien d'extraordinaire. Elle me passe les cours, j'essaie un peu de la draguer en vain et je repars tranquillou.
Plus tard elle a un copain, un mec sympa. Je les surprend dans un étage à s'engueuler. Le mec l'engueule et lui dit d'aller habiter chez elle. Elle a l'air de refuser et il a l'air de la forcer. Elle accepte et elle déménage chez lui.
C'est 2-3 ans plus tard que j'apprendrais la vérité par la bouche d'une amie commune.
La fille se faisait violer depuis ses 12 ans par son grand père. Elle l'avait dit à son copain et c'était ce pourquoi elle voulait qui déménage, et qu'elle avait déménagé.
Le grand père avait fini par mourir d'un cancer (je sais plus lequel, je crois un carcinome), son copain et elle avait fini par se séparer vers la dernière année de fac.
Je ne saurais jamais pourquoi elle habitait chez son grand père qui la violait. Je n'ai que des questions en tête :
_ est ce qu'elle était tant en galère d'argent pour aller ailleurs ?
_ elle ne voulait pas que sa mère l'apprenne et cela serait paru suspect ?
_ autre chose ?
Le plus flippant c'est qu'apparemment il continuait bien à faire ça alors qu'elle était majeure et en fac, l'année même où je l'avais croisé, où j'étais rentré dans sa chambre et où sans le savoir j'avais parlé avec son bourreau.
J'ai croisé un monstre et je ne l'ai su qu'après.
Je n'ose même plus imaginer ça.
il y a 2 mois