Ce sujet a été résolu
Et alors tes impressions. ?
Je la baise
Non je sais pas crayon je suis en mode shitpost aya on en reparlera peut être plus tard
Non je sais pas crayon je suis en mode shitpost aya on en reparlera peut être plus tard
il y a 2 mois
JesusDieu
2 mois
Elle est attachée comme un chien
Pour avoir lu les ouvrages de Paolini et de Gaume sur les possessions, les exorcismes en langue profane sont beaucoup moins efficace.
Nachts steht Hunger starr in unserm Traum, Tags die Schüsse knallen her vom Waldessaum.
il y a 2 mois
Intéressant clé j ai aussi assisté à une possession il y a longtemps, si tu veux en discuter hésite pas
C'était comment ?
il y a 2 mois
Cool
Nan en vrai c était pas hardcore
Nan en vrai c était pas hardcore
Comment ça s'est déroulé ?
il y a 2 mois
Comment ça s'est déroulé ?
Une proche de ma famille qd j étais jeune, pieuse très catholique, elle se livrait trop au ressenti dans la prière elle voulait être mystique et un démon lui a fait croire que c était le seigneur qui venait lui donner des grâces etc, elle a levité de qq centimètres, grande force, langue étrangère mais c était pas une possession très violente parce que c était qd même une bonne chrétienne dans l ensemble, l esprit avait peu de pouvoir par rapport à d autres possessions très spectaculaires, on l as emmené chez un exorciste et elle a été libérée très facilement, en 20 minutes, ça lui a donné une leçon spirituelle et elle est plus bcp dans la recherche du ressenti maintenant
Et toi ton histoire ?
Et toi ton histoire ?
il y a 2 mois
Une proche de ma famille qd j étais jeune, pieuse très catholique, elle se livrait trop au ressenti dans la prière elle voulait être mystique et un démon lui a fait croire que c était le seigneur qui venait lui donner des grâces etc, elle a levité de qq centimètres, grande force, langue étrangère mais c était pas une possession très violente parce que c était qd même une bonne chrétienne dans l ensemble, l esprit avait peu de pouvoir par rapport à d autres possessions très spectaculaires, on l as emmené chez un exorciste et elle a été libérée très facilement, en 20 minutes, ça lui a donné une leçon spirituelle et elle est plus bcp dans la recherche du ressenti maintenant
Et toi ton histoire ?
Et toi ton histoire ?
C'était l'été de mes douze ans.
On habitait à Lavaur, une petite bourgade près de Toulouse, dans une immonde bâtisse toute en longueur.
Petit détail qui aura son importance pour la suite : on vivait dans le même bâtiment que les propriétaires, et la séparation entre les deux appartements étaient si récentes que l'on partageait notre compteur avec eux.
Bref, mes parents avaient invité Denise, une jeune Réunionnaise de vingt-cinq ans, et Robert, son conjoint métropolitain quinquagénaire.
Ils étaient venus avec leur fille, un nourrisson de quelques mois que ma mère avait placé dans un landau sous la fenêtre de la salle à manger.
On s'attable autour d'un cari poulet, une spécialité réunionnaise.
Denise et ma mère riaient aux éclats.
Lorsque, soudain, il s'est passé deux choses en même temps : la fille de Denise se met à pleurer à grands cris et Denise s'arrête net de rire.
Son visage se fige.
Puis elle tourne lentement sa tête vers ma petite sœur et moi.
Mais elle ne nous regardait pas.
Elle semblait fixer quelque chose derrière nous.
Je me retourne pour voir ce que c'était : il n'y avait que trois plumes de paon dans un vase.
Et elle fixait l'œil d'une de ces plumes de paon.
Tout-à-coup, elle se dresse.
Son visage de métisse était devenu plus blême qu'un linge et ses yeux s'étaient remplis d'une expression de terreur.
Son menton trémulait, comme si elle était sur le point de pleurer.
Soudain, ses yeux se révulsent et elle tombe à la renverse, raide comme une planche.
Aussitôt, Robert, mon père et mon frère se précipitent pour lui porter secours ; tandis que ma mère nous amène, la fille de Denise, mes sœurs et moi, dans la chambre de mes sœurs située en face de la salle à manger.
En passant, j'ai vu le corps de Denise pris de convulsions et sa bouche bouillonnant d'écume.
Ce que je vais raconter par la suite est une espèce de reconstitution entre ce que j'ai pu entrouïr à travers la porte de la chambre et ce que mon frère, puis mes parents, m'ont avoué plus tard.
J'entends des bruits de lutte, suivis d'un gros fracas accompagné de bruits de vaisselles brisées.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient essayé, avec Robert, de la maîtriser.
Mais ils avaient eu beaucoup de mal à le faire et Denise avait même réussi à empoigner mon père de 130 kg par le cou et à le projeter contre le buffet quelques mètres plus loin.
Puis j'entends une voix d'homme, très grave.
Je ne comprenais pas ce qu'elle disait.
C'était comme si un étranger venait de pénétrer chez nous.
Tout-à-coup, j'entends Robert s'écrier :
- "Comment tu t'appelles ? D'où tu viens ?"
Et il répétait ces questions, inlassablement.
Ma mère m'a avoué plus tard qu'il lui avait dit que c'était pour "fatiguer le démon".
J'ai moi-même appris, bien plus tard, que c'est une technique employée par les prêtres exorcistes dans le même but.
Et ça marchait.
Les bruits de lutte s'estompaient progressivement.
Puis j'entends la voix cracher brusquement, en français cette fois-ci :
- "J'ai eu ta sœur, je t'aurai toi !"
Soudain, elle se met à hurler de douleur :
- "Ça brûle ! Ça brûle ! Ça brûle !"
Et la lumière s'éteint.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient appliqué un crucifix et de l'eau bénite sur la peau de Denise.
Mon père, quant à lui, était allé inspecter le compteur, croyant qu'il avait sauté.
Mais non seulement il n'avait pas sauté, mais en plus, les propriétaires, avec qui on le partageait je le rappelle, avaient la lumière allumée et regardaient la télé.
Enfin, la voix prononce des ultimes paroles que je n'ai pas comprises et la lumière revient.
Ma mère nous sort de la chambre et je vois Denise à quatre pattes dans la salle à manger.
Elle avait retrouvé ses couleurs, et ses yeux, si je puis dire.
Elle pleurait en répétant :
- "Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Mais qu'est-ce qui s'est passé ?"
Et elle vomissait blanc.
Mon frère et mes parents m'ont révélé plus tard les dernières paroles que la chose dans Denise a prononcé en les dévisageant avec ses yeux blancs :
- "Je vous retrouverai !"
On habitait à Lavaur, une petite bourgade près de Toulouse, dans une immonde bâtisse toute en longueur.
Petit détail qui aura son importance pour la suite : on vivait dans le même bâtiment que les propriétaires, et la séparation entre les deux appartements étaient si récentes que l'on partageait notre compteur avec eux.
Bref, mes parents avaient invité Denise, une jeune Réunionnaise de vingt-cinq ans, et Robert, son conjoint métropolitain quinquagénaire.
Ils étaient venus avec leur fille, un nourrisson de quelques mois que ma mère avait placé dans un landau sous la fenêtre de la salle à manger.
On s'attable autour d'un cari poulet, une spécialité réunionnaise.
Denise et ma mère riaient aux éclats.
Lorsque, soudain, il s'est passé deux choses en même temps : la fille de Denise se met à pleurer à grands cris et Denise s'arrête net de rire.
Son visage se fige.
Puis elle tourne lentement sa tête vers ma petite sœur et moi.
Mais elle ne nous regardait pas.
Elle semblait fixer quelque chose derrière nous.
Je me retourne pour voir ce que c'était : il n'y avait que trois plumes de paon dans un vase.
Et elle fixait l'œil d'une de ces plumes de paon.
Tout-à-coup, elle se dresse.
Son visage de métisse était devenu plus blême qu'un linge et ses yeux s'étaient remplis d'une expression de terreur.
Son menton trémulait, comme si elle était sur le point de pleurer.
Soudain, ses yeux se révulsent et elle tombe à la renverse, raide comme une planche.
Aussitôt, Robert, mon père et mon frère se précipitent pour lui porter secours ; tandis que ma mère nous amène, la fille de Denise, mes sœurs et moi, dans la chambre de mes sœurs située en face de la salle à manger.
En passant, j'ai vu le corps de Denise pris de convulsions et sa bouche bouillonnant d'écume.
Ce que je vais raconter par la suite est une espèce de reconstitution entre ce que j'ai pu entrouïr à travers la porte de la chambre et ce que mon frère, puis mes parents, m'ont avoué plus tard.
J'entends des bruits de lutte, suivis d'un gros fracas accompagné de bruits de vaisselles brisées.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient essayé, avec Robert, de la maîtriser.
Mais ils avaient eu beaucoup de mal à le faire et Denise avait même réussi à empoigner mon père de 130 kg par le cou et à le projeter contre le buffet quelques mètres plus loin.
Puis j'entends une voix d'homme, très grave.
Je ne comprenais pas ce qu'elle disait.
C'était comme si un étranger venait de pénétrer chez nous.
Tout-à-coup, j'entends Robert s'écrier :
- "Comment tu t'appelles ? D'où tu viens ?"
Et il répétait ces questions, inlassablement.
Ma mère m'a avoué plus tard qu'il lui avait dit que c'était pour "fatiguer le démon".
J'ai moi-même appris, bien plus tard, que c'est une technique employée par les prêtres exorcistes dans le même but.
Et ça marchait.
Les bruits de lutte s'estompaient progressivement.
Puis j'entends la voix cracher brusquement, en français cette fois-ci :
- "J'ai eu ta sœur, je t'aurai toi !"
Soudain, elle se met à hurler de douleur :
- "Ça brûle ! Ça brûle ! Ça brûle !"
Et la lumière s'éteint.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient appliqué un crucifix et de l'eau bénite sur la peau de Denise.
Mon père, quant à lui, était allé inspecter le compteur, croyant qu'il avait sauté.
Mais non seulement il n'avait pas sauté, mais en plus, les propriétaires, avec qui on le partageait je le rappelle, avaient la lumière allumée et regardaient la télé.
Enfin, la voix prononce des ultimes paroles que je n'ai pas comprises et la lumière revient.
Ma mère nous sort de la chambre et je vois Denise à quatre pattes dans la salle à manger.
Elle avait retrouvé ses couleurs, et ses yeux, si je puis dire.
Elle pleurait en répétant :
- "Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Mais qu'est-ce qui s'est passé ?"
Et elle vomissait blanc.
Mon frère et mes parents m'ont révélé plus tard les dernières paroles que la chose dans Denise a prononcé en les dévisageant avec ses yeux blancs :
- "Je vous retrouverai !"
il y a 2 mois
La technique du rouge complet qui veut enfermer ses opposants. Comme si être victime de l’abrahamisme était un délire. Je pense qu’il faut vous déconstruire oui
Ok, tu trolles.
il y a 2 mois
C'était l'été de mes douze ans.
On habitait à Lavaur, une petite bourgade près de Toulouse, dans une immonde bâtisse toute en longueur.
Petit détail qui aura son importance pour la suite : on vivait dans le même bâtiment que les propriétaires, et la séparation entre les deux appartements étaient si récentes que l'on partageait notre compteur avec eux.
Bref, mes parents avaient invité Denise, une jeune Réunionnaise de vingt-cinq ans, et Robert, son conjoint métropolitain quinquagénaire.
Ils étaient venus avec leur fille, un nourrisson de quelques mois que ma mère avait placé dans un landau sous la fenêtre de la salle à manger.
On s'attable autour d'un cari poulet, une spécialité réunionnaise.
Denise et ma mère riaient aux éclats.
Lorsque, soudain, il s'est passé deux choses en même temps : la fille de Denise se met à pleurer à grands cris et Denise s'arrête net de rire.
Son visage se fige.
Puis elle tourne lentement sa tête vers ma petite sœur et moi.
Mais elle ne nous regardait pas.
Elle semblait fixer quelque chose derrière nous.
Je me retourne pour voir ce que c'était : il n'y avait que trois plumes de paon dans un vase.
Et elle fixait l'œil d'une de ces plumes de paon.
Tout-à-coup, elle se dresse.
Son visage de métisse était devenu plus blême qu'un linge et ses yeux s'étaient remplis d'une expression de terreur.
Son menton trémulait, comme si elle était sur le point de pleurer.
Soudain, ses yeux se révulsent et elle tombe à la renverse, raide comme une planche.
Aussitôt, Robert, mon père et mon frère se précipitent pour lui porter secours ; tandis que ma mère nous amène, la fille de Denise, mes sœurs et moi, dans la chambre de mes sœurs située en face de la salle à manger.
En passant, j'ai vu le corps de Denise pris de convulsions et sa bouche bouillonnant d'écume.
Ce que je vais raconter par la suite est une espèce de reconstitution entre ce que j'ai pu entrouïr à travers la porte de la chambre et ce que mon frère, puis mes parents, m'ont avoué plus tard.
J'entends des bruits de lutte, suivis d'un gros fracas accompagné de bruits de vaisselles brisées.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient essayé, avec Robert, de la maîtriser.
Mais ils avaient eu beaucoup de mal à le faire et Denise avait même réussi à empoigner mon père de 130 kg par le cou et à le projeter contre le buffet quelques mètres plus loin.
Puis j'entends une voix d'homme, très grave.
Je ne comprenais pas ce qu'elle disait.
C'était comme si un étranger venait de pénétrer chez nous.
Tout-à-coup, j'entends Robert s'écrier :
- "Comment tu t'appelles ? D'où tu viens ?"
Et il répétait ces questions, inlassablement.
Ma mère m'a avoué plus tard qu'il lui avait dit que c'était pour "fatiguer le démon".
J'ai moi-même appris, bien plus tard, que c'est une technique employée par les prêtres exorcistes dans le même but.
Et ça marchait.
Les bruits de lutte s'estompaient progressivement.
Puis j'entends la voix cracher brusquement, en français cette fois-ci :
- "J'ai eu ta sœur, je t'aurai toi !"
Soudain, elle se met à hurler de douleur :
- "Ça brûle ! Ça brûle ! Ça brûle !"
Et la lumière s'éteint.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient appliqué un crucifix et de l'eau bénite sur la peau de Denise.
Mon père, quant à lui, était allé inspecter le compteur, croyant qu'il avait sauté.
Mais non seulement il n'avait pas sauté, mais en plus, les propriétaires, avec qui on le partageait je le rappelle, avaient la lumière allumée et regardaient la télé.
Enfin, la voix prononce des ultimes paroles que je n'ai pas comprises et la lumière revient.
Ma mère nous sort de la chambre et je vois Denise à quatre pattes dans la salle à manger.
Elle avait retrouvé ses couleurs, et ses yeux, si je puis dire.
Elle pleurait en répétant :
- "Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Mais qu'est-ce qui s'est passé ?"
Et elle vomissait blanc.
Mon frère et mes parents m'ont révélé plus tard les dernières paroles que la chose dans Denise a prononcé en les dévisageant avec ses yeux blancs :
- "Je vous retrouverai !"
On habitait à Lavaur, une petite bourgade près de Toulouse, dans une immonde bâtisse toute en longueur.
Petit détail qui aura son importance pour la suite : on vivait dans le même bâtiment que les propriétaires, et la séparation entre les deux appartements étaient si récentes que l'on partageait notre compteur avec eux.
Bref, mes parents avaient invité Denise, une jeune Réunionnaise de vingt-cinq ans, et Robert, son conjoint métropolitain quinquagénaire.
Ils étaient venus avec leur fille, un nourrisson de quelques mois que ma mère avait placé dans un landau sous la fenêtre de la salle à manger.
On s'attable autour d'un cari poulet, une spécialité réunionnaise.
Denise et ma mère riaient aux éclats.
Lorsque, soudain, il s'est passé deux choses en même temps : la fille de Denise se met à pleurer à grands cris et Denise s'arrête net de rire.
Son visage se fige.
Puis elle tourne lentement sa tête vers ma petite sœur et moi.
Mais elle ne nous regardait pas.
Elle semblait fixer quelque chose derrière nous.
Je me retourne pour voir ce que c'était : il n'y avait que trois plumes de paon dans un vase.
Et elle fixait l'œil d'une de ces plumes de paon.
Tout-à-coup, elle se dresse.
Son visage de métisse était devenu plus blême qu'un linge et ses yeux s'étaient remplis d'une expression de terreur.
Son menton trémulait, comme si elle était sur le point de pleurer.
Soudain, ses yeux se révulsent et elle tombe à la renverse, raide comme une planche.
Aussitôt, Robert, mon père et mon frère se précipitent pour lui porter secours ; tandis que ma mère nous amène, la fille de Denise, mes sœurs et moi, dans la chambre de mes sœurs située en face de la salle à manger.
En passant, j'ai vu le corps de Denise pris de convulsions et sa bouche bouillonnant d'écume.
Ce que je vais raconter par la suite est une espèce de reconstitution entre ce que j'ai pu entrouïr à travers la porte de la chambre et ce que mon frère, puis mes parents, m'ont avoué plus tard.
J'entends des bruits de lutte, suivis d'un gros fracas accompagné de bruits de vaisselles brisées.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient essayé, avec Robert, de la maîtriser.
Mais ils avaient eu beaucoup de mal à le faire et Denise avait même réussi à empoigner mon père de 130 kg par le cou et à le projeter contre le buffet quelques mètres plus loin.
Puis j'entends une voix d'homme, très grave.
Je ne comprenais pas ce qu'elle disait.
C'était comme si un étranger venait de pénétrer chez nous.
Tout-à-coup, j'entends Robert s'écrier :
- "Comment tu t'appelles ? D'où tu viens ?"
Et il répétait ces questions, inlassablement.
Ma mère m'a avoué plus tard qu'il lui avait dit que c'était pour "fatiguer le démon".
J'ai moi-même appris, bien plus tard, que c'est une technique employée par les prêtres exorcistes dans le même but.
Et ça marchait.
Les bruits de lutte s'estompaient progressivement.
Puis j'entends la voix cracher brusquement, en français cette fois-ci :
- "J'ai eu ta sœur, je t'aurai toi !"
Soudain, elle se met à hurler de douleur :
- "Ça brûle ! Ça brûle ! Ça brûle !"
Et la lumière s'éteint.
Mon frère et mes parents m'ont dit qu'ils avaient appliqué un crucifix et de l'eau bénite sur la peau de Denise.
Mon père, quant à lui, était allé inspecter le compteur, croyant qu'il avait sauté.
Mais non seulement il n'avait pas sauté, mais en plus, les propriétaires, avec qui on le partageait je le rappelle, avaient la lumière allumée et regardaient la télé.
Enfin, la voix prononce des ultimes paroles que je n'ai pas comprises et la lumière revient.
Ma mère nous sort de la chambre et je vois Denise à quatre pattes dans la salle à manger.
Elle avait retrouvé ses couleurs, et ses yeux, si je puis dire.
Elle pleurait en répétant :
- "Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Mais qu'est-ce qui s'est passé ?"
Et elle vomissait blanc.
Mon frère et mes parents m'ont révélé plus tard les dernières paroles que la chose dans Denise a prononcé en les dévisageant avec ses yeux blancs :
- "Je vous retrouverai !"
Ça m as l air un peu romancé ton histoire crayon je sais pas si je dois te croire ou pas
il y a 2 mois
Ça m as l air un peu romancé ton histoire crayon je sais pas si je dois te croire ou pas
J'ai juste essayé de donner à cette expérience une forme lisible, en ne gardant que ce qui m'a marqué (l'expérience a été bien plus longue, elle a duré du soir jusqu'au lendemain matin).
Et en essayant de m'exprimer dans le français le plus correct possible.
Je vis à la Réunion et j'ai l'impression que je risque de perdre mon français.
C'est une façon de m'exercer.
Et en essayant de m'exprimer dans le français le plus correct possible.
Je vis à la Réunion et j'ai l'impression que je risque de perdre mon français.
C'est une façon de m'exercer.
il y a 2 mois
J'ai juste essayé de donner à cette expérience une forme lisible, en ne gardant que ce qui m'a marqué (l'expérience a été bien plus longue, elle a duré du soir jusqu'au lendemain matin).
Et en essayant de m'exprimer dans le français le plus correct possible.
Je vis à la Réunion et j'ai l'impression que je risque de perdre mon français.
C'est une façon de m'exercer.
Et en essayant de m'exprimer dans le français le plus correct possible.
Je vis à la Réunion et j'ai l'impression que je risque de perdre mon français.
C'est une façon de m'exercer.
D accord crayon
C est bien la réunion ? J envisage d y aller bientôt.
C est quoi les aspects positifs et négatifs pour aller y vivre 6 mois disons
C est bien la réunion ? J envisage d y aller bientôt.
C est quoi les aspects positifs et négatifs pour aller y vivre 6 mois disons
il y a 2 mois
D accord crayon
C est bien la réunion ? J envisage d y aller bientôt.
C est quoi les aspects positifs et négatifs pour aller y vivre 6 mois disons
C est bien la réunion ? J envisage d y aller bientôt.
C est quoi les aspects positifs et négatifs pour aller y vivre 6 mois disons
Pour les vacances, c'est bien.
Pour y vivre, un peu moins.
À moins que tu sois sûr d'avoir un travail et un logement avant de venir t'installer.
Le fait de vivre sur un caillou perdu au milieu de nulle part peut s'avérer à la fois déroutant et ennuyeux au bout d'un moment.
Ajoute à ça les cyclones et leurs conséquences, coupures d'eau et de courant, et tu conclueras très vite qu'il est largement préférable de vivre en métropole.
Pour y vivre, un peu moins.
À moins que tu sois sûr d'avoir un travail et un logement avant de venir t'installer.
Le fait de vivre sur un caillou perdu au milieu de nulle part peut s'avérer à la fois déroutant et ennuyeux au bout d'un moment.
Ajoute à ça les cyclones et leurs conséquences, coupures d'eau et de courant, et tu conclueras très vite qu'il est largement préférable de vivre en métropole.
il y a 2 mois
D accord crayon
C est bien la réunion ? J envisage d y aller bientôt.
C est quoi les aspects positifs et négatifs pour aller y vivre 6 mois disons
C est bien la réunion ? J envisage d y aller bientôt.
C est quoi les aspects positifs et négatifs pour aller y vivre 6 mois disons
Je viens de m'apercevoir que je t'ai mal répondu.
Points positifs :
- le climat, même s'il peut être étouffant pendant l'été austral ;
- les paysages, étonnamment variés sur un si petit territoire ;
- les lagons de la côte ouest ;
- le fait que l'île soit globalement plutôt développée.
Points négatifs :
- les requins (en dehors des lagons) ;
- les cyclones ;
- les éboulements ;
- les chiens errants ;
- la saleté ;
- l'aspect très montagneux de l'île qui renforce son exiguïté ;
- le chômage ;
- le manque de culture générale d'une immense partie de la population (et son goût malheureux pour la sous-culture banlieusarde métropolitaine).
Points positifs :
- le climat, même s'il peut être étouffant pendant l'été austral ;
- les paysages, étonnamment variés sur un si petit territoire ;
- les lagons de la côte ouest ;
- le fait que l'île soit globalement plutôt développée.
Points négatifs :
- les requins (en dehors des lagons) ;
- les cyclones ;
- les éboulements ;
- les chiens errants ;
- la saleté ;
- l'aspect très montagneux de l'île qui renforce son exiguïté ;
- le chômage ;
- le manque de culture générale d'une immense partie de la population (et son goût malheureux pour la sous-culture banlieusarde métropolitaine).
il y a 2 mois
Ok, tu trolles.
Je troll pas. Je pense vraiment qu’il faut vous déconstruire. Je suis agenre. Moi et mes potes queer on va vous déconstruire
il y a 2 mois