Être élevé seulement par sa mère c'est hardcore

Ta gueule

avoir deux parents en big 2k25 = Giga golem

le déséquilibre apporté par l'absence d'un père c'est le minimum pour s'en sortir et ne pas sombrer dans l'abjecte normalité ambiante en ce début de millénaire

ceux qui grandissent dans une famille fonctionelle sont protegé des éléments, ils n'ont qu'à suivre un chemin déjà tracé, il n'y a aucune inconnue, à l'âge adulte ils ne peuvent que continuer à suivre, c'est tout ce qu'ils connaissent

Je préfère une personne qui a été éduqué par ses 2 parents que Boubacar et Sarah issues de famille monoparentale

Tu sais très bien qui va développer le plus de troubles

La fille de ma voisine qui est divorcé, à l'époque où elle etait au lycée ou collège, je voyais des groupes de 4 ou 5 chances en survet entrer chez elle parfois

boubakar et sarah aurons des troubles parceque ce sont un nègre et une bougnoule, je te parle de blancs moi pourquoi tu me ramènes l'afrique dans l'histoire

Parfois je me monte la tête a me dire que je suis trop faible , ça me boussille la vie , je suis dans l'extrême des deux côtés

Bah ma voisine est blanche

Mais soit d'accord prenons les blancs, est ce que tu as l'impression que les forumeurs qui pour une bonne partie, ont vécu sans l'un de leurs 2 parents, ont bien tourné ?

PS : Les Sarah peuvent être blanches, jamais vu de maghrébines du nom de Sarah

Oui, c'est bien pour ça que je suis ici et pas sur un réseau social pour personnes à deux parents

Tes content Titouan

Ta gueule

As-tu des pulsions homosexuel l'auteur c'est pour un sondage ?

Quel incommensurable malaise

Elle t’apprend pas à être un homme, un vrai. Elle te prépare pas à la dureté du monde, pas comme un père. Moi, j’ai dû me construire seul. Devenir un homme, dur, seul. Avant, je disais oui à tout, à n’importe qui. J’faisais pas gaffe. Avec les femmes, pareil, trop gentil. La mère t’apprend à être un bon gars, un mec doux, trop doux.

J’ai dû tout faire moi-même. J’ai fait des sports de combat pour m’endurcir. J’avais peur d’être faible, j’voulais plus jamais l’être. J’ai transpiré, j’ai souffert, j’ai pleuré. Aujourd’hui, j’suis un homme, un vrai. Équilibré.

Le bon côté, c’est que j’ai gardé de l’empathie, parfois trop. J’ai une manière de voir la vie un peu profonde, j’sais me remettre en question.

C’est pour ça qu’un père et une mère, c’est essentiel. C’est l’équilibre. T’as besoin des deux pour te construire, pour pas partir en vrille.

Petite anecdote : un jour j’ai frappé mon propre daron. Un sac à merde, alcoolique, batteur de femmes. Avant, quand je le voyais (tous les 5 ans à tout casser), je pleurais comme une merde dès qu’il haussait la voix. J’étais un ado.

Il s’est pointé un jour, bourré comme jamais, devant chez ma mère. Il voulait la cogner pour une histoire débile de “tu montes la tête à mon fils pour qu’il me parle plus”. Non. C’était moi qui voulais plus le voir.

J’lui ai mis une patate. Il est tombé. Dodo. J’ai rien ressenti. Aucune peine. C’était comme une délivrance. Tout le poids que je portais, envolé d’un coup.

Parfois j'aurais voulu avoir un père présent