Ca doit etre nul d'etre néé Arbre sur cette terre

Cet etre vivant sert a rien.

T'es la tu spawn t'es un cerisier.

Donc toute ta vie tu vas grandir en restant bloque dans le sol sans pouvoir bouger.


Meme s'incarner en fourmis c est plus interessant.

Heureusement qu on a pas spawn en etant des arbres.

Tu produit de l oxygene pour que les autres animaux s'amuse mais pendant ce temps , toi tu fais quoi ? Rien

Le pire c est que t'en a ils vivent 400 ans. Imagine la solitude a rester 400 ans planté à rien faire bordel

T'es un etre vivant sur terre ?

Oui je suis une fougere

Rigole tu verras à ta prochain réincarnation

Je veux redevenir un Humain. Perte de temps de finir en vegetaux ou en animal stupide.

Race humaine > all

Je peu pas m empecher de penser qu elles souffrent.

Si on les classes dans " la vie " , c est que ya une raison

Elles respirent , boient...

Qu'est ce qui te permet d'avancer de tel propos ?

En vrai ça doit être terrible d'être un insecte de merde qui vit qu'un jour ou deux aussi

Tu parles, enfin pouvoir se reposer
400 ans, pas de devoirs pas de taf, tout ce que t'as a faire c'est pomper de la flotte avec tes racines et attraper des rayons de soleil avec tes feuilles.

Je pense que t'as pas les capacités pour t'ennuyer sans cerveau mais tu ressentes peut être le vent dans les feuilles et l'eau qui se glisse dans la terre noire

Etre une arraignee et rejetée par tout le monde.

Se prendre des coups de claquette alors que tu veux juste vivre en paix avec les humains

Tu produis de l'oxygène et si t'es assez sociable tu peux avoir quelques nids sur tes branches pour discuter avec les oiseaux
Si t'habites en ville tu peux même avoir le coiffeur gratuit

Horrible

Être un petit pigeon et être tellement un oiseau de merde que t'es obligé de vivre en ville pour gratter des miettes de pain

Tout le monde qui essaie de te mettre des coups de pied quand tu t'approches

Quand tu passes a cote des humains, ce sentiment qu'ils te disent : " Beurk me touche pas gros degueulasse qui chie partour "

C'est dingue de se dire qu'on aurait pu être n'importe quel être vivant sur cette terre, parmis les millions d'espèces animales, et on est des humains, et des humains vivant en Occident en plus

Ça me fait cogiter des fois

t'es pire qu'un golem qui trime pour le rsa des autres

et tous les oiseaux, écureuils, tout le monde peut venir te chier dessus tu peux rien faire

On a gagne au loto. C est meme quasi improbable de naitre Humain. On represente meme pas 0.000001% du total d etre vivant

Insectes : ~10 milliards de milliards (10¹⁹)
Ex : rien que pour les fourmis, il y aurait 20 000 milliards d’individus.

Bactéries : ~5 nonillions (5 x 10³⁰)
Elles dominent en nombre et en biomasse. Un seul gramme de sol contient jusqu’à 10 milliards de bactéries.

Plantes : ~10¹² à 10¹³ (mille à dix mille milliards), selon l’espèce (beaucoup sont microscopiques).

Poissons : ~3 à 5 trillions (10¹²).

Oiseaux : ~50 à 400 milliards.

Mammifères sauvages (hors humains) : quelques milliards au total.

Imagine être une noix

Le chêne un jour dit au roseau :
« N'êtes-vous pas lassé d'écouter cette fable ?
La morale en est détestable ;
Les hommes bien légers de l'apprendre aux marmots.
Plier, plier toujours, n'est-ce pas déjà trop,
Le pli de l'humaine nature ? »
« Voire, dit le roseau, il ne fait pas trop beau ;
Le vent qui secoue vos ramures
(Si je puis en juger à niveau de roseau)
Pourrait vous prouver, d'aventure,
Que nous autres, petites gens,
Si faibles, si chétifs, si humbles, si prudents,
Dont la petite vie est le souci constant,
Résistons pourtant mieux aux tempêtes du monde
Que certains orgueilleux qui s'imaginent grands. »

Le vent se lève sur ses mots, l'orage gronde.
Et le souffle profond qui dévaste les bois,
Tout comme la première fois,
Jette le chêne fier qui le narguait par terre.
« Hé bien, dit le roseau, le cyclone passé -
Il se tenait courbé par un reste de vent -
Qu'en dites-vous donc mon compère ?
(Il ne se fût jamais permis ce mot avant)
Ce que j'avais prédit n'est-il pas arrivé ? »
On sentait dans sa voix sa haine
Satisfaite. Son morne regard allumé.
Le géant, qui souffrait, blessé,
De mille morts, de mille peines,
Eut un sourire triste et beau ;
Et, avant de mourir, regardant le roseau,
Lui dit : « Je suis encore un chêne. »