À Moscou, près d’un parent sur deux est aujourd’hui un migrant, majoritairement venu d’Asie centrale (Tadjikistan, Ouzbékistan...).
Depuis 2016, le nombre de pères tadjiks a triplé, celui des mères a plus que doublé.
La natalité des Russes de souche, elle, baisse chaque année de 3%, selon l’Académie des sciences de Russie. Le tout pendant que le gouvernement continue de prôner l’immigration massive comme solution au manque de main-d’œuvre. Lavrov lui-même l’a dit : pas question de freiner l’arrivée de migrants.
Résultat : à Moscou comme à Saint-Pétersbourg, les futures générations seront en majorité issues de l’immigration asiatiques.
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