c'est d'une pertinence rare
dans la forme, on y trouve au plus haut degré l'emploi d'une méthode logique, qui décèle dans celui qui en fait usage, sinon la connaissance des procédés syllogistiques profonds, enseignés et mis en usage par les philosophes grecs, au moins les progrès d'une philosophie qui n'est pas bornée à l'expression aphoristique des idées morales, mais qui est déjà passé à l'état scientifique.
je m'explique.
toute la doctrine de ses traités reposent sur un grand principe auquel tous les autres se rattachent et dont ils découlent comme de leur source naturelle : le perfectionnement de soi-même (un principe que confucius déclare obligatoire pour tous les hommes, puisque négliger ce devoir revient à se mettre dans l'impossibilité d'arriver à aucun autre perfectionnement moral)
autrement dit, l'homme doit atteindre la perfection pour réaliser sa propre loi.
on pourrait penser qu'il s'agit d'une liste de simples préceptes dogmatiques puisés dans le sentiment et la raison comme on en trouve ailleurs, mais ce sont davantage des principes métaphysiques fondés sur la nature de l'homme et les lois éternelles du monde.
il faut comprendre que la règle de conduite morale, qui oblige tous les hommes, trouve son origine dans le ciel et qu'elle ne peut changer. notre devoir est donc de la conserver et l'entretenir: les hommes qui approchent le plus de l'intelligence divine sont après tout ceux l'ont portée par leurs oeuvre à son dernier degré de perfection.
et cette réalisation porte en elle des implications importantes sur l'organisation de la société démocratique. l'exercice de la souveraineté, qui dans nos sociétés modernes n'est rarement rien de plus que l'exploitation du plus grand nombre au profit au profit de quelques uns, n'est, dans la pensée confucianiste, que l'accomplissement religieux d'un mandat céleste confié au plus dévoué et au plus digne et qui serait retirée dès l'instant que le mandataire manquerait à son mandat.
le gouvernement doit être la réalisation des lois éternelles qui font le bonheur humain, lois dont les plus hautes intelligences, par une application incessante, sont capables de connaître et d'enseigner aux hommes.
le gouvernement, dans sa conception moderne, est au contraire l'acte auquel tout le monde veut prendre part, comme la chose la plus triviale, et à laquelle on n'a pas besoin d'être préparé par le moindre travail intellectuel ou moral.
dans la forme, on y trouve au plus haut degré l'emploi d'une méthode logique, qui décèle dans celui qui en fait usage, sinon la connaissance des procédés syllogistiques profonds, enseignés et mis en usage par les philosophes grecs, au moins les progrès d'une philosophie qui n'est pas bornée à l'expression aphoristique des idées morales, mais qui est déjà passé à l'état scientifique.
je m'explique.
toute la doctrine de ses traités reposent sur un grand principe auquel tous les autres se rattachent et dont ils découlent comme de leur source naturelle : le perfectionnement de soi-même (un principe que confucius déclare obligatoire pour tous les hommes, puisque négliger ce devoir revient à se mettre dans l'impossibilité d'arriver à aucun autre perfectionnement moral)
autrement dit, l'homme doit atteindre la perfection pour réaliser sa propre loi.
on pourrait penser qu'il s'agit d'une liste de simples préceptes dogmatiques puisés dans le sentiment et la raison comme on en trouve ailleurs, mais ce sont davantage des principes métaphysiques fondés sur la nature de l'homme et les lois éternelles du monde.
il faut comprendre que la règle de conduite morale, qui oblige tous les hommes, trouve son origine dans le ciel et qu'elle ne peut changer. notre devoir est donc de la conserver et l'entretenir: les hommes qui approchent le plus de l'intelligence divine sont après tout ceux l'ont portée par leurs oeuvre à son dernier degré de perfection.
et cette réalisation porte en elle des implications importantes sur l'organisation de la société démocratique. l'exercice de la souveraineté, qui dans nos sociétés modernes n'est rarement rien de plus que l'exploitation du plus grand nombre au profit au profit de quelques uns, n'est, dans la pensée confucianiste, que l'accomplissement religieux d'un mandat céleste confié au plus dévoué et au plus digne et qui serait retirée dès l'instant que le mandataire manquerait à son mandat.
le gouvernement doit être la réalisation des lois éternelles qui font le bonheur humain, lois dont les plus hautes intelligences, par une application incessante, sont capables de connaître et d'enseigner aux hommes.
le gouvernement, dans sa conception moderne, est au contraire l'acte auquel tout le monde veut prendre part, comme la chose la plus triviale, et à laquelle on n'a pas besoin d'être préparé par le moindre travail intellectuel ou moral.
Pas lu, mais j’aime bien Lao Tseu
tant pis, merci pour le up
Pas lu, mais j’aime bien Lao Tseu
tant pis, merci pour le up
np
J’attend des adaptations en animé
J’attend des adaptations en animé
Si des gaz sortent de ton anus, il est temps d'aller faire caca
np
J’attend des adaptations en animé
J’attend des adaptations en animé
Pourquoi t’es venu l’idée de lire ceci ?
MITAAAAA 
Pourquoi t’es venu l’idée de lire ceci ?
c'est d'une pertinence rare
dans la forme, on y trouve au plus haut degré l'emploi d'une méthode logique, qui décèle dans celui qui en fait usage, sinon la connaissance des procédés syllogistiques profonds, enseignés et mis en usage par les philosophes grecs, au moins les progrès d'une philosophie qui n'est pas bornée à l'expression aphoristique des idées morales, mais qui est déjà passé à l'état scientifique.
je m'explique.
toute la doctrine de ses traités reposent sur un grand principe auquel tous les autres se rattachent et dont ils découlent comme de leur source naturelle : le perfectionnement de soi-même (un principe que confucius déclare obligatoire pour tous les hommes, puisque négliger ce devoir revient à se mettre dans l'impossibilité d'arriver à aucun autre perfectionnement moral)
autrement dit, l'homme doit atteindre la perfection pour réaliser sa propre loi.
on pourrait penser qu'il s'agit d'une liste de simples préceptes dogmatiques puisés dans le sentiment et la raison comme on en trouve ailleurs, mais ce sont davantage des principes métaphysiques fondés sur la nature de l'homme et les lois éternelles du monde.
il faut comprendre que la règle de conduite morale, qui oblige tous les hommes, trouve son origine dans le ciel et qu'elle ne peut changer. notre devoir est donc de la conserver et l'entretenir: les hommes qui approchent le plus de l'intelligence divine sont après tout ceux l'ont portée par leurs oeuvre à son dernier degré de perfection.
et cette réalisation porte en elle des implications importantes sur l'organisation de la société démocratique. l'exercice de la souveraineté, qui dans nos sociétés modernes n'est rarement rien de plus que l'exploitation du plus grand nombre au profit au profit de quelques uns, n'est, dans la pensée confucianiste, que l'accomplissement religieux d'un mandat céleste confié au plus dévoué et au plus digne et qui serait retirée dès l'instant que le mandataire manquerait à son mandat.
le gouvernement doit être la réalisation des lois éternelles qui font le bonheur humain, lois dont les plus hautes intelligences, par une application incessante, sont capables de connaître et d'enseigner aux hommes.
le gouvernement, dans sa conception moderne, est au contraire l'acte auquel tout le monde veut prendre part, comme la chose la plus triviale, et à laquelle on n'a pas besoin d'être préparé par le moindre travail intellectuel ou moral.
dans la forme, on y trouve au plus haut degré l'emploi d'une méthode logique, qui décèle dans celui qui en fait usage, sinon la connaissance des procédés syllogistiques profonds, enseignés et mis en usage par les philosophes grecs, au moins les progrès d'une philosophie qui n'est pas bornée à l'expression aphoristique des idées morales, mais qui est déjà passé à l'état scientifique.
je m'explique.
toute la doctrine de ses traités reposent sur un grand principe auquel tous les autres se rattachent et dont ils découlent comme de leur source naturelle : le perfectionnement de soi-même (un principe que confucius déclare obligatoire pour tous les hommes, puisque négliger ce devoir revient à se mettre dans l'impossibilité d'arriver à aucun autre perfectionnement moral)
autrement dit, l'homme doit atteindre la perfection pour réaliser sa propre loi.
on pourrait penser qu'il s'agit d'une liste de simples préceptes dogmatiques puisés dans le sentiment et la raison comme on en trouve ailleurs, mais ce sont davantage des principes métaphysiques fondés sur la nature de l'homme et les lois éternelles du monde.
il faut comprendre que la règle de conduite morale, qui oblige tous les hommes, trouve son origine dans le ciel et qu'elle ne peut changer. notre devoir est donc de la conserver et l'entretenir: les hommes qui approchent le plus de l'intelligence divine sont après tout ceux l'ont portée par leurs oeuvre à son dernier degré de perfection.
et cette réalisation porte en elle des implications importantes sur l'organisation de la société démocratique. l'exercice de la souveraineté, qui dans nos sociétés modernes n'est rarement rien de plus que l'exploitation du plus grand nombre au profit au profit de quelques uns, n'est, dans la pensée confucianiste, que l'accomplissement religieux d'un mandat céleste confié au plus dévoué et au plus digne et qui serait retirée dès l'instant que le mandataire manquerait à son mandat.
le gouvernement doit être la réalisation des lois éternelles qui font le bonheur humain, lois dont les plus hautes intelligences, par une application incessante, sont capables de connaître et d'enseigner aux hommes.
le gouvernement, dans sa conception moderne, est au contraire l'acte auquel tout le monde veut prendre part, comme la chose la plus triviale, et à laquelle on n'a pas besoin d'être préparé par le moindre travail intellectuel ou moral.
Lit le Tao te king, ce bouquin est ma voie depuis plus de 10 ans
Ce qu'il me faut c'est du bon chichon, pour me remettre d'aplomb, et je me prendrai bien une trace
Pas un de ceux qui t’horripile j’espère
MITAAAAA
Pas un de ceux qui t’horripile j’espère
je ne sais pas si on peut appeler ça un ami, mais j'aime échanger avec lui
je ne sais pas si on peut appeler ça un ami, mais j'aime échanger avec lui
Ca a l’air compliqué tes relations
MITAAAAA
