Ce sujet a été résolu
C’est un couteau à longue lame, dont le rôle premier était de trancher les brioches et ouvrir les baguettes pour les sandwichs. Ce mercredi 29 mars 2023, l’objet était exhibé par un huissier devant les juges et jurés de la cour d’assises de Paris, car il a ôté la vie. Depuis mardi, deux frères, boulangers à Montmartre, sont jugés pour la mort d’un homme. Ce dernier avait tenté de les cambrioler et a été poignardé et frappé.
Le 6 mai 2017, vers quatre heures du matin, la victime, un homme au parcours chaotique ayant développé des addictions aux stupéfiants, pénètre de force dans la boutique et tente de forcer la caisse.
Les deux boulangers, qui vivent avec leurs familles au-dessus, descendent et se jettent sur l’intrus. L’un d’eux s’arme d’un couteau de la boutique, l’autre d’un cric de voiture utilisé par le cambrioleur. Des coups pleuvent, et l’individu, blessé, sort de la boulangerie.
Un restaurateur, qui travaille dans la rue, a raconté, ému, les derniers instants de la victime. « J’ai vu deux hommes en poursuivre un autre, qui s’est effondré. L’un des deux le frappait à coups de cric », relate le commerçant. Il a tenté d’arrêter le boulanger, qui lui a répondu avec véhémence que l’individu a essayé de braquer sa boutique.
Mortellement blessé, le cambrioleur a crié : « Aidez-moi, je suis en train de mourir ! ». À l’évocation de ces derniers mots, la sœur de la victime, seule partie civile, étouffe un sanglot dans la salle d’audience.
Devant les juges, le témoin a tenu à exprimer des regrets. Il connaissait de loin les deux boulangers, qui travaillent encore aujourd’hui dans cette rue du Montmartre touristique, où le crack sévissait dans les couloirs du métro à l’époque des faits. « J’aurais dû peut-être m’interposer plus fermement. Je pensais que c’était une bagarre de sans-abri. Si j’avais su que c’était les deux boulangers, je serais intervenu », s’est lamenté le restaurateur.
Un autre témoin a tenté de poursuivre le boulanger qui revenait dans la boutique, mais s’est abstenu après avoir vu le couteau dans sa main.
Car les deux accusés, âgés d’une trentaine d’années et au parcours sans histoire n’ont rien de criminels. Leurs compagnes respectives, présentes au moment des faits, ont décrit deux hommes d’une extrême gentillesse.
Dans ce procès, l’enjeu est important : les deux accusés poursuivis pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner encourent jusqu’à 15 ans de prison.
il y a 2 ans
J'espère qu'ils auront une peine aussi faible que possible. Ils ont eu à 100% raison de tuer ce chien,je suis content que pour une fois ce soit le criminel qui meurt et non l'honnête homme.
il y a 2 ans
Wohaha
2 ans
C’est un couteau à longue lame, dont le rôle premier était de trancher les brioches et ouvrir les baguettes pour les sandwichs. Ce mercredi 29 mars 2023, l’objet était exhibé par un huissier devant les juges et jurés de la cour d’assises de Paris, car il a ôté la vie. Depuis mardi, deux frères, boulangers à Montmartre, sont jugés pour la mort d’un homme. Ce dernier avait tenté de les cambrioler et a été poignardé et frappé.
Le 6 mai 2017, vers quatre heures du matin, la victime, un homme au parcours chaotique ayant développé des addictions aux stupéfiants, pénètre de force dans la boutique et tente de forcer la caisse.
Les deux boulangers, qui vivent avec leurs familles au-dessus, descendent et se jettent sur l’intrus. L’un d’eux s’arme d’un couteau de la boutique, l’autre d’un cric de voiture utilisé par le cambrioleur. Des coups pleuvent, et l’individu, blessé, sort de la boulangerie.
Un restaurateur, qui travaille dans la rue, a raconté, ému, les derniers instants de la victime. « J’ai vu deux hommes en poursuivre un autre, qui s’est effondré. L’un des deux le frappait à coups de cric », relate le commerçant. Il a tenté d’arrêter le boulanger, qui lui a répondu avec véhémence que l’individu a essayé de braquer sa boutique.
Mortellement blessé, le cambrioleur a crié : « Aidez-moi, je suis en train de mourir ! ». À l’évocation de ces derniers mots, la sœur de la victime, seule partie civile, étouffe un sanglot dans la salle d’audience.
Devant les juges, le témoin a tenu à exprimer des regrets. Il connaissait de loin les deux boulangers, qui travaillent encore aujourd’hui dans cette rue du Montmartre touristique, où le crack sévissait dans les couloirs du métro à l’époque des faits. « J’aurais dû peut-être m’interposer plus fermement. Je pensais que c’était une bagarre de sans-abri. Si j’avais su que c’était les deux boulangers, je serais intervenu », s’est lamenté le restaurateur.
Un autre témoin a tenté de poursuivre le boulanger qui revenait dans la boutique, mais s’est abstenu après avoir vu le couteau dans sa main.
Car les deux accusés, âgés d’une trentaine d’années et au parcours sans histoire n’ont rien de criminels. Leurs compagnes respectives, présentes au moment des faits, ont décrit deux hommes d’une extrême gentillesse.
Dans ce procès, l’enjeu est important : les deux accusés poursuivis pour violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner encourent jusqu’à 15 ans de prison.
Action réaction.
Il aurait mieux valu en France qu'ils fassent comme le juge qui a offert sa fille de 12 ans sur internet pour du sexe, au moins lui n'a eu que du sursis.
Il aurait mieux valu en France qu'ils fassent comme le juge qui a offert sa fille de 12 ans sur internet pour du sexe, au moins lui n'a eu que du sursis.
il y a 2 ans
La facon dont les victimes (les boulangers) sont présentés comme des coupables et des tueurs et le criminel présenté littéralement sous le terme de "victime"
La justice froncaise bordel
La justice froncaise bordel
Le Dernier Noeliste

il y a 2 ans
Ca parle de victime, d'accusés, de couteau, de bagarre, de drogué, et de gens sans histoire, mais aucun moment le mobil n'est évoqué.
Comme si braquer une boulangerie par un drogué était de demande du feu un peu agressivement a un passant ...
Comme si braquer une boulangerie par un drogué était de demande du feu un peu agressivement a un passant ...
il y a 2 ans
Quel beau pays
Ils auraient dû l'aider à ouvrir la caisse et lui donner tout l'argent qu'elle contenait + aller chercher tout l'argent de leur banque pour le lui donner juste avant de lui sucer la queue
Ils auraient dû l'aider à ouvrir la caisse et lui donner tout l'argent qu'elle contenait + aller chercher tout l'argent de leur banque pour le lui donner juste avant de lui sucer la queue
il y a 2 ans
arfytu
2 ans
La facon dont les victimes (les boulangers) sont présentés comme des coupables et des tueurs et le criminel présenté littéralement sous le terme de "victime"
La justice froncaise bordel
La justice froncaise bordel
QUI a écrit cet article ?
il y a 2 ans
Cet article c'est la définition même de l'inversion accusatoire
Le Dernier Noeliste

il y a 2 ans
ANTIVAX
2 ans
J'espère qu'ils auront une peine aussi faible que possible. Ils ont eu à 100% raison de tuer ce chien,je suis content que pour une fois ce soit le criminel qui meurt et non l'honnête homme.
il y a 2 ans
Franchement c'est ce que j'aurais fait si c'était moi qui décidais, j'aurais pendu le cambrioleur devant l'hôtel de ville (même s'il est mort) pour donner l'exemple et j'aurais félicité les boulangers pour leur héroïsme.
Ensuite j'aurais balancé le corps du cambrioleur aux cochons
Ensuite j'aurais balancé le corps du cambrioleur aux cochons
il y a 2 ans
Ils devraient avoir une peine sévère mais pas trop.
Le type c'était enfui, c'était pas la peine de le poursuivre dehors pour l'abattre.
Le type c'était enfui, c'était pas la peine de le poursuivre dehors pour l'abattre.
Nous sommes un.
il y a 2 ans
Franchement c'est ce que j'aurais fait si c'était moi qui décidais, j'aurais pendu le cambrioleur devant l'hôtel de ville (même s'il est mort) pour donner l'exemple et j'aurais félicité les boulangers pour leur héroïsme.
Ensuite j'aurais balancé le corps du cambrioleur aux cochons
Ensuite j'aurais balancé le corps du cambrioleur aux cochons
il y a 2 ans
En France il faut laisser le crackhead violer ta boutique, pisser dans ton levain, chier dans la farine.
Non merci.
il y a 2 ans