Bonjour, chers kheyons.
Ce topic fait suite à celui-ci :
https://onche.org/topic/7[...]enetique#message_15046898 qui expose les motifs et les principes justifiant les mesures politiques à prendre.
Je veux dire d'emblée que la question que l'on traite ici c'est la survie de la France. Alors aucun débat sur le fond ne me semble pertinent à ce stade. On peut discuter des mesures concrètes à prendre, mais le débat de fond est terminé de mon point de vue. Le moment du débat c'était il y a 10, 20 ans. Aujourd'hui, c'est le moment de l'action.
J'ai divisé les mesures en 3 catégories :
Mesures générales de politique ethnique
Mesures générales de politique migratoire
Mesures du plan de réémigration
On va donc les examiner à tour de rôle.
La population de la France métropolitaine devra être constituée de 90% de blancs européens à tout moment et au minimum. Soit un plafond de 10% d'étrangers extra-européens. La catégorie de "blancs européens" inclut les fameux "narbo". La France d'outre-mer ne sera pas concernée par cette mesure.
Un recensement ethnique général et obligatoire aura lieu.
Des officiers de l'armée verront, dans chaque commune, la totalité de la population et la catégoriseront ethniquement. Ils réaliseront cette catégorisation en observant le pays d'origine ainsi que l'aspect physique de chaque personne. Ils seront accompagnés du maire. Une petite compensation sous forme de nourriture et boisson sera attribuée aux personnes recensées. Les travailleurs auront droit à un jour de congé.
Deux semaines plus tard, les statistiques ethniques seront publiées officiellement.
Ce recensement ethnique général n'aura lieu qu'une fois. Ensuite, les statistiques ethniques seront établies annuellement à partir des naissances.
L'ethnie des nouveau-nés sera indiquée dans leur acte de naissance et prise en compte pour dresser des statistiques ethniques, comme cela se fait au Royaume-Uni. Ces statistiques seront officielles et publiées annuellement.
L'ethnie des immigrés sera aussi répertoriée. L'immigration fera l'objet d'un contrôle systématique afin de respecter le seuil des 90% (95% pour plus de sécurité).
Aucune politique nataliste en particulier ne sera mise en place, car le reste du programme politique aura déjà un effet nataliste (la RPF, la nouvelle instruction publique, le plan de réurbanisation générale...).
Le regroupement familial sera immédiatement aboli.
Un moratoire sur l'immigration de peuplement sera mis en place. Des titres de séjour et de travail temporaires pourront être délivrés, mais ne pourront en aucun cas être étendus au-delà de leur durée initiale.
Un moratoire sur les naturalisations françaises sera mis en place. Aucune personne ne pourra obtenir les papiers français pendant une durée définie.
Les aides aux étrangers seront immédiatement abolies, sauf les aides médicales.
Cette abolition entraînera de nombreuses expulsions de HLM et de nombreuses situations de précarité. Une proposition de réémigration sera proposée à ces personnes, en échange d'une compensation. Le retour de ces personnes sera ainsi organisé et financé par l'Etat.
Le contrôle des personnes aux frontières sera renforcé. Les personnes habitant près des frontières ou voyageant régulièrement auront des passe-droit individuels.
Les individus sous OQTF seront systématiquement expulsés, quelle que soit leur ethnie.
Les conditions pour subir une OQTF seront élargies. En particulier, la durée de 3 mois (résider en France depuis moins de 3 mois...) sera élargie à 1 an.
Des traités établissant un cadre de réémigration seront négociés et signés avec tous les pays, à commencer par les premiers concernés (l'Algérie et les pays africains en général). La France fera pression militaire, économique et diplomatique sur ces pays afin d'obtenir un traité.
Ces traités permettront, notamment, de compenser économiquement les pays de réémigration et d'établir des droits fondamentaux pour les réémigrés de force (les renvoyer à la région de leur choix par exemple). En l'absence de traité, la France renverra quand même les individus sous OQTF (et les réémigrés en général) aux frontières de leur pays.
Un signal sera envoyé à toute la population. Les personnes extra-européennes seront invitées à quitter le pays dès que possible en prenant un voyage payé et organisé par l'Etat. Ils percevront de l'argent en une fois, mais auront l'interdiction formelle de revenir en France pendant 30 ans. Les personnes pouvant rester en France recevront une lettre de validation de séjour, mais seront toutefois invitées à partir si elles le souhaitent.
Les personnes extra-européennes - maghrébines et proche-orientales - seront investiguées par la police, à commencer par les plus suspects, et un dossier sera dressé pour chacune d'entre elles. Ces dossiers seront ensuite envoyés à l'armée.
Les personnes extra-européennes ayant commis des crimes ou des délits, connues des services de police, ou ayant prononcé ou soutenu des opinions anti-France (en public ou en privé, et notamment dans les réseaux sociaux) seront expulsées de force. Ces expulsions seront effectuées par l'armée. Si ces personnes ont les papiers français, ils leur seront retirés.
Les soldats se présenteront chez ces personnes, expliqueront les motifs de leur expulsion et les emmèneront de force.
Des contrats de réémigration seront proposés aux personnes extra-européennes au casier judiciaire vierge et n'ayant pas exprimé des opinions anti-france. Ces contrats stipuleront une compensation, mais aussi l'obligation de ne pas revenir en France pendant 30 ans. Le retour sera organisé et financé par l'Etat.
Ces contrats ne seront pas proposés à tout le monde. Certaines personnes ne seront jamais inquiétées et pourront rester. L'armée choisira de façon discrétionnaire qui peut rester en France (pour rappel, 10% de la population au maximum peut être d'origine extra-européenne. Cela nous laisse avec 6,8 millions d'extra-européens).
Ce plan de réémigration s'étalera sur 5 ans au minimum. Les personnes extra-européennes seront invitées à partir d'elles-mêmes.
On visera d'abord les immigrés extra-européens (personnes nées à l'étranger), puis les descendants d'immigrés de première génération, puis le reste.
Nous sommes dans une situation très délicate et très difficile à régler. Contrairement à beaucoup de droitardés racistes et frustrés, je ne fais pas ça par plaisir. Je crois sincèrement que tous les hommes sont égaux, et je n'aime pas devoir expulser des personnes à cause de leur race. Je suis un immigré moi-même, pour rappel, et je ne suis pas blond aux yeux bleus...
Mais je crois aussi, sans une ombre de doute, que le peuple français est de race blanche européenne, comme le disait le général de Gaulle, et que rien au monde ne pourra changer cela. Si la France cesse d'être un peuple blanc, la France cessera d'être, tout simplement. Une minorité extra-europénne peut vivre en France, et notamment les habitants de la France ultramarine ; mais il faut que cela reste une minorité.
Si j'ai oublié quelque chose, ou si vous n'êtes pas d'accord avec les mesures, faites-le moi savoir.
Ce topic fait suite à celui-ci :
Je veux dire d'emblée que la question que l'on traite ici c'est la survie de la France. Alors aucun débat sur le fond ne me semble pertinent à ce stade. On peut discuter des mesures concrètes à prendre, mais le débat de fond est terminé de mon point de vue. Le moment du débat c'était il y a 10, 20 ans. Aujourd'hui, c'est le moment de l'action.
J'ai divisé les mesures en 3 catégories :
On va donc les examiner à tour de rôle.
* * *
Mesures générales de politique ethnique
Des officiers de l'armée verront, dans chaque commune, la totalité de la population et la catégoriseront ethniquement. Ils réaliseront cette catégorisation en observant le pays d'origine ainsi que l'aspect physique de chaque personne. Ils seront accompagnés du maire. Une petite compensation sous forme de nourriture et boisson sera attribuée aux personnes recensées. Les travailleurs auront droit à un jour de congé.
Deux semaines plus tard, les statistiques ethniques seront publiées officiellement.
Ce recensement ethnique général n'aura lieu qu'une fois. Ensuite, les statistiques ethniques seront établies annuellement à partir des naissances.
* * *
Mesures générales de politique migratoire.
Cette abolition entraînera de nombreuses expulsions de HLM et de nombreuses situations de précarité. Une proposition de réémigration sera proposée à ces personnes, en échange d'une compensation. Le retour de ces personnes sera ainsi organisé et financé par l'Etat.
Ces traités permettront, notamment, de compenser économiquement les pays de réémigration et d'établir des droits fondamentaux pour les réémigrés de force (les renvoyer à la région de leur choix par exemple). En l'absence de traité, la France renverra quand même les individus sous OQTF (et les réémigrés en général) aux frontières de leur pays.
* * *
Mesures du plan de réémigration
Les soldats se présenteront chez ces personnes, expliqueront les motifs de leur expulsion et les emmèneront de force.
* * *
Conclusion
Nous sommes dans une situation très délicate et très difficile à régler. Contrairement à beaucoup de droitardés racistes et frustrés, je ne fais pas ça par plaisir. Je crois sincèrement que tous les hommes sont égaux, et je n'aime pas devoir expulser des personnes à cause de leur race. Je suis un immigré moi-même, pour rappel, et je ne suis pas blond aux yeux bleus...
Mais je crois aussi, sans une ombre de doute, que le peuple français est de race blanche européenne, comme le disait le général de Gaulle, et que rien au monde ne pourra changer cela. Si la France cesse d'être un peuple blanc, la France cessera d'être, tout simplement. Une minorité extra-europénne peut vivre en France, et notamment les habitants de la France ultramarine ; mais il faut que cela reste une minorité.
Si j'ai oublié quelque chose, ou si vous n'êtes pas d'accord avec les mesures, faites-le moi savoir.
Au plaisir ~
