En préambule de cette œuvre purement fictionnelle, voilà un bref résumé de cette histoire qui vous sera contée. Cette aventure se porte sur les péripéties d’un jeune Célestin, fraichement arrivé dans la cité la plus corrompue de France, la Grande Babylone (plus connue sous le nom de Paris). Notre héros, loin d’être un natif de ces lieux, a suivi son éducation dans les terres les plus paisibles de l’Ouest. Mais malheureusement pour lui, ce jeune adolescent, trop timide pour oser aborder les femmes, ne les connait pas au-delà de la bise.
Néanmoins, à son arrivée dans la grande capitale du Royaume de France et de Navarre en classe préparatoire, notre protagoniste sera confrontée aux mœurs les plus débridées. Comment notre Célestin va-t-il réagir à ce changement d’us et coutumes ?
CHAPITRE 1 : La rentrée
Fraichement arrivé en classe préparatoire littéraire dans un lycée parisien dit « prestigieux », notre Célestin, dont l’esprit est empli de préjugés et d’inquiétudes sur ses futurs coreligionnaires, jette un regard attentif à sa classe :
« Bon sur les 50 élèves, il n’y a pas tant de filles aux crânes rasées ça me rassure. Par contre on est que 5 mecs ça s’est plus compliqué. »
- Salut ! Moi c’est Nathalie et toi ?
- Euh salut ! Moi c’est Célestin !
- T’as pas trop chaud avec ton manteau et ton col roulé ?
- Euh… Un petit peu mais ça va il fait assez frais pour un mois de septembre je trouve…
- Il fait 25° degrés pourtant…
- Ah oui en effet c’est frisquet… Hum hum…
Voilà comment s’ouvre et se conclut le premier échange avec une personne de la gent féminine pour Célestin. Une interaction certes inutile mais non pas moins intéressante ; le fait étant qu’une fille que l’on noterait aisément comme une 7,5/10 solide, aux courbes flatteuses et au buste envoutant a adressé la parole à notre brave héros.
Suite à cela, l’enseignante référente, une sèche professeure de littérature proche de la retraite, fit un discours sur l’excellence de l’établissement et l’impossibilité de coïncider vie sentimentale des études sérieuses.
«Prépa maquée, prépa ratée »
Voilà qui donnait le ton de la chose. Célestin pensa alors qu’il était de nouveau plongé dans une boucle infernale comme au temps du Covid qu’il venait à peine de quitter. Le destin l’empêchait à nouveau de rencontrer de nouvelles personnes. Enfin, voilà les conclusions hâtives qu’il tira à la fin de cette rentrée...
Néanmoins, à son arrivée dans la grande capitale du Royaume de France et de Navarre en classe préparatoire, notre protagoniste sera confrontée aux mœurs les plus débridées. Comment notre Célestin va-t-il réagir à ce changement d’us et coutumes ?
CHAPITRE 1 : La rentrée
Fraichement arrivé en classe préparatoire littéraire dans un lycée parisien dit « prestigieux », notre Célestin, dont l’esprit est empli de préjugés et d’inquiétudes sur ses futurs coreligionnaires, jette un regard attentif à sa classe :
« Bon sur les 50 élèves, il n’y a pas tant de filles aux crânes rasées ça me rassure. Par contre on est que 5 mecs ça s’est plus compliqué. »
- Salut ! Moi c’est Nathalie et toi ?
- Euh salut ! Moi c’est Célestin !
- T’as pas trop chaud avec ton manteau et ton col roulé ?
- Euh… Un petit peu mais ça va il fait assez frais pour un mois de septembre je trouve…
- Il fait 25° degrés pourtant…
- Ah oui en effet c’est frisquet… Hum hum…
Voilà comment s’ouvre et se conclut le premier échange avec une personne de la gent féminine pour Célestin. Une interaction certes inutile mais non pas moins intéressante ; le fait étant qu’une fille que l’on noterait aisément comme une 7,5/10 solide, aux courbes flatteuses et au buste envoutant a adressé la parole à notre brave héros.
Suite à cela, l’enseignante référente, une sèche professeure de littérature proche de la retraite, fit un discours sur l’excellence de l’établissement et l’impossibilité de coïncider vie sentimentale des études sérieuses.
«Prépa maquée, prépa ratée »
Voilà qui donnait le ton de la chose. Célestin pensa alors qu’il était de nouveau plongé dans une boucle infernale comme au temps du Covid qu’il venait à peine de quitter. Le destin l’empêchait à nouveau de rencontrer de nouvelles personnes. Enfin, voilà les conclusions hâtives qu’il tira à la fin de cette rentrée...
Je ne sais pas à quel point mon récit rencontrera un public donc j'attends un peu avant de continuer
Up.
C'est comme ça qu'on appelle Paris pour s'en moquer mais je ne sais pas à quel point cette expression est vraiment utilisée
C'est comme ça qu'on appelle Paris pour s'en moquer mais je ne sais pas à quel point cette expression est vraiment utilisée
Ça manque de baise
Fondée en 1915, 890 milliards d'eurodollars de valeur monétaire, 600 000 membres. Et toi?
Je ne m'en moque pas forcément c'est juste que les moeurs sont plus libres voilà tout !
Après quelques jours où Célestin fit son petit bonhomme de chemin solitaire studieux, il avait plusieurs fois croisé le regard d’un analogue masculin de sa classe qui lui semblait fort sympathique et qui ne trainait qu’avec des filles.
- Salut, moi c’est Guillaume. Tu t’appelles comment ?
- Salut… Moi c’est Célestin !
- Joins-toi à nous !
Le groupe que Célestin rejoignait était donc constitué de ce Gabriel comme parangon masculin, ensuite comme représentants de la gent féminine se dévoilait aux yeux de Célestin tout type de profil : une fille blonde un peu frêle de la haute bourgeoisie parisienne, une musicienne un peu plus en chair et étourdie, une petite brune latine bien alléchante, une autre brune plus grande mais tout autant bien garnie et enfin le cliché de la blonde (à défaut de cerveau, ses atouts se présentaient ailleurs).
Bref, de ce groupe d’amis, Célestin s’était assez facilement intégré. En effet, la chose n’était pas si complexe car il lui suffisait de dire ce qu’il pensait et ses interlocuteurs le prenaient pour de l’humour :
- Mais franchement l’égalité homme-femme vous y croyez vraiment ? Je veux dire c’est quand même prouvé que si les hommes sont payés plus dans le milieu libéral c’est parce qu’ils sont plus entrepreneurs…
- Ahaha t’es trop drôle Célestin !
- Euh… Oui si vous le dites…
- D’ailleurs Célestin, on pensait organiser une soirée, tu serais partant ?
- Euh oui... Pourquoi pas… Ca serait où ?
- On ne sait pas encore… Est-ce que tu as un grand appart ?
- A vrai dire je viens de m’installer mais si ça vous dérange pas, vu qu’on n’est pas très nombreux, on peut faire ça chez moi.
Célestin n’était pas peu fier de pouvoir être maître d’hôte de cette soirée d’ouverture de l’année scolaire car en lui, son âme s’emplissait d’orgueil de pouvoir dire « j’ai organisé une soirée chez moi avec des filles autres que ma mère ou ma sœur »
- Salut, moi c’est Guillaume. Tu t’appelles comment ?
- Salut… Moi c’est Célestin !
- Joins-toi à nous !
Le groupe que Célestin rejoignait était donc constitué de ce Gabriel comme parangon masculin, ensuite comme représentants de la gent féminine se dévoilait aux yeux de Célestin tout type de profil : une fille blonde un peu frêle de la haute bourgeoisie parisienne, une musicienne un peu plus en chair et étourdie, une petite brune latine bien alléchante, une autre brune plus grande mais tout autant bien garnie et enfin le cliché de la blonde (à défaut de cerveau, ses atouts se présentaient ailleurs).
Bref, de ce groupe d’amis, Célestin s’était assez facilement intégré. En effet, la chose n’était pas si complexe car il lui suffisait de dire ce qu’il pensait et ses interlocuteurs le prenaient pour de l’humour :
- Mais franchement l’égalité homme-femme vous y croyez vraiment ? Je veux dire c’est quand même prouvé que si les hommes sont payés plus dans le milieu libéral c’est parce qu’ils sont plus entrepreneurs…
- Ahaha t’es trop drôle Célestin !
- Euh… Oui si vous le dites…
- D’ailleurs Célestin, on pensait organiser une soirée, tu serais partant ?
- Euh oui... Pourquoi pas… Ca serait où ?
- On ne sait pas encore… Est-ce que tu as un grand appart ?
- A vrai dire je viens de m’installer mais si ça vous dérange pas, vu qu’on n’est pas très nombreux, on peut faire ça chez moi.
Célestin n’était pas peu fier de pouvoir être maître d’hôte de cette soirée d’ouverture de l’année scolaire car en lui, son âme s’emplissait d’orgueil de pouvoir dire « j’ai organisé une soirée chez moi avec des filles autres que ma mère ou ma sœur »
Ça manque de baise
T'es pas sur le bon sous-forum clé (même s'il y aura des épisodes croustillants à venir)
Bon faut que j'aille dormir je commence assez tôt demain j'essaye de produire la suite dans la soirée
Le moment tant attendu est arrivé, la soirée chez Célestin peut commencer. Le seul hic, l’absence total de mobilier. En effet, voilà une semaine que notre protagoniste est arrivé chez lui et il ne possède dans son appartement tout simplement qu’un canapé-lit, une chaise et une table. Rapidement après les cours, Célestin fonce acheter des chaises pliables chez IKEA. 
Les achats terminés, il est temps pour Célestin de se reposer un peu avant la soirée et de faire une petite sieste pour être en forme.
*DING DONG*
- Hein… Qu’est-ce qui se passe ?
*DING DONG*
- Euhh… C’est qui ?
- C’est nous Lisa (la blonde bourgeoise) Anaïs (la musicienne) et Lucie (la brune bien chargée) ! Tu nous laisses rentrer ?
- Ah euh salut… Euh oui attendez juste deux secondes que je me prépare…
En effet, Célestin avait la mauvaise habitude de dormir complètement nu.
- C’est bon vous pouvez rentrer.
- Oh c’est sympa chez toi ! Mais c’est un peu vide nan ?
- Euh… C’est parce que je viens de m’installer…
- Oh okay. Et t’as acheté de quoi boire ?
- Euh non j’étais… Occupé…
- Ah d’accord bon heureusement qu’on a ramené de quoi se déchirer alors hehe.
Les achats terminés, il est temps pour Célestin de se reposer un peu avant la soirée et de faire une petite sieste pour être en forme.
*DING DONG*
- Hein… Qu’est-ce qui se passe ?
*DING DONG*
- Euhh… C’est qui ?
- C’est nous Lisa (la blonde bourgeoise) Anaïs (la musicienne) et Lucie (la brune bien chargée) ! Tu nous laisses rentrer ?
- Ah euh salut… Euh oui attendez juste deux secondes que je me prépare…
En effet, Célestin avait la mauvaise habitude de dormir complètement nu.
- C’est bon vous pouvez rentrer.
- Oh c’est sympa chez toi ! Mais c’est un peu vide nan ?
- Euh… C’est parce que je viens de m’installer…
- Oh okay. Et t’as acheté de quoi boire ?
- Euh non j’étais… Occupé…
- Ah d’accord bon heureusement qu’on a ramené de quoi se déchirer alors hehe.
- Oui oui merci beaucoup…
*DING DONG*
- Ah ça sonne je vais ouvrir. J’espère que les autres ont ramené de quoi boire aussi
Arrive ainsi le deuxième groupe constitué de Guillaume, Capucine (la petite brune latine)
, Lola (la blondasse bombasse de service) , et une autre fille au teint mâte qui accompagnait Capucine.
Ainsi débute la soirée de Célestin. Pour lui, la chose est claire, malgré une éducation religieuse et un mépris certains de la luxure, il est hors de question pour lui d’être un raté et un 0 tout à vie. Le voilà décidé à au moins séduire l’une de ces filles.
*DING DONG*
- Ah ça sonne je vais ouvrir. J’espère que les autres ont ramené de quoi boire aussi
Arrive ainsi le deuxième groupe constitué de Guillaume
Ainsi débute la soirée de Célestin. Pour lui, la chose est claire, malgré une éducation religieuse et un mépris certains de la luxure, il est hors de question pour lui d’être un raté et un 0 tout à vie. Le voilà décidé à au moins séduire l’une de ces filles.
La fête battant son plein, vient le moment fatidique de toute soirée où les femmes sont surreprésentées du jeu « j’ai déjà/ je n’ai jamais ». Des questions s’enchainent sur des sujets inintéressants aux plus futiles jusqu’à ce moment :
- Alors est-ce que vous avez déjà ken ?
Voyant tout le monde lever la main, Célestin décide de suivre le mouvement.
- Tu as dû le faire plein de fois Célestin j’en suis sûr.
- Euh… Oui oui souvent.
- Alors tu as sûrement des anecdotes à nous partager !
- Ah euh… Oui plein plein…
- Vas-y crache le morceau !
- Euh… Et bien une fois euh… Je l’ai fait dans… Dans une cave !
- Ah.
- Mais tu rigoles hein ?
- Euh non non c’est vrai…
- Mais t’es juste dégueulasse en fait.
Dans la tête de Célestin, tout est terminé, le hors-piste est total. Lui qui pensait pouvoir au moins en séduire une, le voilà qu’il se pose lui-même dans la catégorie des détraqués sexuels avec pourtant aucune expérience des femmes.
- Alors est-ce que vous avez déjà ken ?
Voyant tout le monde lever la main, Célestin décide de suivre le mouvement.
- Tu as dû le faire plein de fois Célestin j’en suis sûr.
- Euh… Oui oui souvent.
- Alors tu as sûrement des anecdotes à nous partager !
- Ah euh… Oui plein plein…
- Vas-y crache le morceau !
- Euh… Et bien une fois euh… Je l’ai fait dans… Dans une cave !
- Ah.
- Mais tu rigoles hein ?
- Euh non non c’est vrai…
- Mais t’es juste dégueulasse en fait.
Dans la tête de Célestin, tout est terminé, le hors-piste est total. Lui qui pensait pouvoir au moins en séduire une, le voilà qu’il se pose lui-même dans la catégorie des détraqués sexuels avec pourtant aucune expérience des femmes.
Aya ce flop