Chapitre 1 : Négociations
Ta mère te mets la pression pour cotiser pour la retraite depuis quelques mois
mais toi tu as déjà bossé une semaine l’an dernier, ça t’a suffi pour avoir ta dose d’esclavage
Tu te bats contre cette décision :
« J’ai pas envie et y’a que des postes qualifiés à l’intérim de toute façon »
(c’est efficace)
Ta mère réplique :
« Je suis tombée sur une annonce de l’usine agroalimentaire »
(ça ne te fait pas défaillir pour autant)
Tu te défends tant bien que mal :
« C’est super aliénant l’usine je veux pas faire ça »
(bon argument mais elle a un atout dans sa manche)
Elle te finis avec un uppercut :
« Tu as 20 ans tu es pas étudiant je peux te virer de la maison quand je veux »
(c’est plus négociable là bordel sinon une vie d’esclavage t’attends)
Tu finis par lâcher un timide « okay » de célestin.
Chapitre 2 : Le calme avant...
L’entretien s’est bien passé, t’es là pour un remplacement donc ça durera pas
Tu te lèves à 6h45 pour la première fois après 2 ans de réveils à 13h, bordel c’est dur
Tu manges même pas, t’as mal au bide à vrai dire, mais c’est pas comme si tu avais le choix
Tu enfourches ton booster et tu pilotes pendant 10 minutes, coup de bol t’étais déjà passé par cette route donc tu connais le chemin exact
Tu arrives 2min en avance et c’est pas de trop, tu trouves pas la pointeuse
Tu badges et tu embauches, c’est plutôt répétitif mais pas vraiment fatigant (si tu savais)
Déjà 4h que tu taffes à envoyer des barquettes à la chaîne, rien de bien grandissant spirituellement mais bon tu penses à la moula avant tout, c’est l’heure de manger
Ta mère a acheté du jambon blanc du boucher et du pain frais, tu t’es fait un sandwich de kalitay avec protéines lipides et glucides, pile ce qu’il faut et SURTOUT tu as 2 barres choco de randonnée pour ton dessert, ça fait plaisir comme petite douceur
Tu savoures ce mets des dieux et retourne à ton poste
Chapitre 3 : La tempête
De retour sur ta ligne tu continues à envoyer des palettes de barquettes, tu as vraiment une sensation étrange dans le bas-ventre
Tu la reconnais, c’est l’heure d’aller refaire la tapisserie, tu demandes au chef de ligne à aller pisser, celui-ci est conciliant et prends ta place en attendant
Tu as de la chance, la pause est à peu près la même pour tout le monde, tu as un peu de temps devant toi avant de croiser des gens aux vestiaires
Te voilà devant le saint trône, toi grand monarque ne demandant qu’à te libérer des pleins pouvoirs
:caca_:
Tu t’assois et ça sort d’un coup, pas passé loin de la catastrophe on dirait, se chier dessus le premier jour de taf est sans doute le pire suicide social
Te voilà soulagé mais tu te retournes et tu es surpris de la taille incommensurable du bounty que tu viens de libérer
Petit problème, tu n’as pas badgé ta sortie et en plus si tu perds trop de temps ça va se remarquer, t’étais censé pisser de base
Tu tasses ta crotte avec la brosse à chiottes, bordel ça bouge pas beaucoup, c’est trop dense
Tu tentes le all-in, tu tires la chasse en priant que ça envoie le kraken au fond de l’océan
Bingo ça a fonctionné, ces chiottes sont bénies bordel, même pas de traces sur la brosse tellement la chasse est puissante
Tu te dépêches d’y retourner et ton chef de ligne ne fait pas de commentaires mais tu sais qu’il sait
Tu enchaînes un petit temps puis vient la pause de 15min, tu restes assis à cogiter
En revenant on t’envoie au frigo chercher une palette, tu gères le transpal maintenant
Tu vois qu’il est presque vide et tu penses donc que ton calvaire est bientôt fini, fou que tu es
Tu envoies aussi vite que possible pour finir tôt, mais tu n’es pas au bout de tes peines mon pauvre
Quand tu as fini ta palette tu te dis que c’est cool de rentrer pour 17h, mais on te ramène vite à la réalité avec deux palettes en plus alors que tu t’es bien épuisé sur celles d’avant
Ça fait chier mais bon pas le choix, tu y vas même si tu ralentis la cadence
Et tu as bien fait, une fois ces deux palettes terminées, on t’en ramène encore une autre
« Mais bordel de merde ça finit jamais » penses-tu
Heureusement ce fut la dernière mais tu finis ta journée éreinté
Tu pars donc te changer aux vestiaires, tu t’apprêtes à sortir par la porte principale, on t’interrompt et te ramène à ton poste pour nettoyer, eh oui il est déjà 18h35 mais la bosserie n’est jamais finie
Après un petit sermon et 20min de ménage tu finis par débaucher et tu rentres chez toi
Tu go douche, bouffe et dodo à 23h
Ta mère te mets la pression pour cotiser pour la retraite depuis quelques mois
mais toi tu as déjà bossé une semaine l’an dernier, ça t’a suffi pour avoir ta dose d’esclavage
Tu te bats contre cette décision :
« J’ai pas envie et y’a que des postes qualifiés à l’intérim de toute façon »
Ta mère réplique :
« Je suis tombée sur une annonce de l’usine agroalimentaire »
Tu te défends tant bien que mal :
« C’est super aliénant l’usine je veux pas faire ça »
Elle te finis avec un uppercut :
« Tu as 20 ans tu es pas étudiant je peux te virer de la maison quand je veux »
Tu finis par lâcher un timide « okay » de célestin.
Chapitre 2 : Le calme avant...
L’entretien s’est bien passé, t’es là pour un remplacement donc ça durera pas
Tu te lèves à 6h45 pour la première fois après 2 ans de réveils à 13h, bordel c’est dur
Tu manges même pas, t’as mal au bide à vrai dire, mais c’est pas comme si tu avais le choix
Tu enfourches ton booster et tu pilotes pendant 10 minutes, coup de bol t’étais déjà passé par cette route donc tu connais le chemin exact
Tu arrives 2min en avance et c’est pas de trop, tu trouves pas la pointeuse
Tu badges et tu embauches, c’est plutôt répétitif mais pas vraiment fatigant (si tu savais)
Déjà 4h que tu taffes à envoyer des barquettes à la chaîne, rien de bien grandissant spirituellement mais bon tu penses à la moula avant tout, c’est l’heure de manger
Ta mère a acheté du jambon blanc du boucher et du pain frais, tu t’es fait un sandwich de kalitay avec protéines lipides et glucides, pile ce qu’il faut et SURTOUT tu as 2 barres choco de randonnée pour ton dessert, ça fait plaisir comme petite douceur
Tu savoures ce mets des dieux et retourne à ton poste
Chapitre 3 : La tempête
De retour sur ta ligne tu continues à envoyer des palettes de barquettes, tu as vraiment une sensation étrange dans le bas-ventre
Tu la reconnais, c’est l’heure d’aller refaire la tapisserie, tu demandes au chef de ligne à aller pisser, celui-ci est conciliant et prends ta place en attendant
Tu as de la chance, la pause est à peu près la même pour tout le monde, tu as un peu de temps devant toi avant de croiser des gens aux vestiaires
Te voilà devant le saint trône, toi grand monarque ne demandant qu’à te libérer des pleins pouvoirs
:caca_:
Tu t’assois et ça sort d’un coup, pas passé loin de la catastrophe on dirait, se chier dessus le premier jour de taf est sans doute le pire suicide social
Te voilà soulagé mais tu te retournes et tu es surpris de la taille incommensurable du bounty que tu viens de libérer
Petit problème, tu n’as pas badgé ta sortie et en plus si tu perds trop de temps ça va se remarquer, t’étais censé pisser de base
Tu tasses ta crotte avec la brosse à chiottes, bordel ça bouge pas beaucoup, c’est trop dense
Tu tentes le all-in, tu tires la chasse en priant que ça envoie le kraken au fond de l’océan
Bingo ça a fonctionné, ces chiottes sont bénies bordel, même pas de traces sur la brosse tellement la chasse est puissante
Tu te dépêches d’y retourner et ton chef de ligne ne fait pas de commentaires mais tu sais qu’il sait
Tu enchaînes un petit temps puis vient la pause de 15min, tu restes assis à cogiter
En revenant on t’envoie au frigo chercher une palette, tu gères le transpal maintenant
Tu vois qu’il est presque vide et tu penses donc que ton calvaire est bientôt fini, fou que tu es
Tu envoies aussi vite que possible pour finir tôt, mais tu n’es pas au bout de tes peines mon pauvre
Quand tu as fini ta palette tu te dis que c’est cool de rentrer pour 17h, mais on te ramène vite à la réalité avec deux palettes en plus alors que tu t’es bien épuisé sur celles d’avant
Ça fait chier mais bon pas le choix, tu y vas même si tu ralentis la cadence
Et tu as bien fait, une fois ces deux palettes terminées, on t’en ramène encore une autre
« Mais bordel de merde ça finit jamais » penses-tu
Heureusement ce fut la dernière mais tu finis ta journée éreinté
Tu pars donc te changer aux vestiaires, tu t’apprêtes à sortir par la porte principale, on t’interrompt et te ramène à ton poste pour nettoyer, eh oui il est déjà 18h35 mais la bosserie n’est jamais finie
Après un petit sermon et 20min de ménage tu finis par débaucher et tu rentres chez toi
Tu go douche, bouffe et dodo à 23h
Trop d'journalistes qu'il faut pas lire, quand j'vais les croiser ils vont pâlir, aujourd'hui on peut plus rien dire
Pas lu mais j'up pour pas que sa bide
Pas lu mais j'up pour pas que sa bide
Trop d'journalistes qu'il faut pas lire, quand j'vais les croiser ils vont pâlir, aujourd'hui on peut plus rien dire
Lu, j'attends la suite, Zola 2.0 !
Pour l'instant je n'ai pas pleuré, ni ri. Est-ce le but ?
Pour l'instant je n'ai pas pleuré, ni ri. Est-ce le but ?
Chapitre 4 : Les jours se suivent et se ressemblent
Tous les jours c’est pareil, go frigo, envoie des barquettes, pause, recommence, pause, recommence, débauche et rentre
Tu commences à t’y faire, tu es déjà à ta troisième semaine de taf et hormis quelques barquettes renversées tout va bien
Tu commences à avaler des glaires et te sentir fatigué avec mal de tête, tu fais bonne figure et tu tiens jusqu’à ta pause puis tu go voir le DRH
Tu lui expliques que tu te sens pas de finir ta journée, et il t’emmène à l’écart en salle de pause, te fais des papiers de départ de poste signés et tu vas partir mais le patron te choppe dehors
Étant en intérim, tu es sous sa responsabilité et il veut pas te laisser enfourcher ton bolide et te fais rester puis appelle ta mère pour venir te chercher
Elle arrive et tu pars direct chez le doc qui te dis de revenir demain parce que aujourd’hui il peut pas
Tu reviens le lendemain et te fais examiner, il soupçonne le Covid évidemment et viole ton intimité nasale pour la première fois de ta vie, tu sens rien mais bon tu te demandes jusqu’où ça va ce machin
Tu casses le test, (« c’est la première fois que je vois ça » dit-il) mais il garde le même échantillon donc te voilà sauf d’une seconde pénétration
C’est négatif et tu as donc une Rhinite, il te fournit un arrêt de travail de 5 jours, mais tu es déjà sur ton jour de repos et après ce sera le week-end, ça te saoule un peu
Tu profites comme tu peux à base de forum, de jeux et de films avec beaucoup de bouffe, t’as faim tout le temp
Chapitre 5 : Retour en enfer
Tu entames ta 4ème semaine avec une flemme monumentale, mais tu n’es pas au bout de tes peines, ton chef de ligne cool devient UNE chef de ligne casse-couilles
Elle te fait plus de remarques en 15 minutes que son prédécesseur en 2 jours complets bordel elle est insupportable ça te fout le cafard
Tu apprends que tu resteras majoritairement dans son équipe pour cette semaine, ça te déprime encore plus
Les rares fois ou tu retrouves ton ancienne équipe te redonnent foi en la vie
Le boulot sous les ordres de cette boomeuse est un calvaire, plus les remarques sur ta lenteur à l’ouvrage arrivent, moins tu es rapide et ça boucle comme ça, sans compter que ta vitesse initiale ne change pas d’une équipe à l’autre, c’est vraiment elle qui fait chier, et 9h de taf par jour ça aide pas non plus
Tu as le temps de cogiter en faisant toujours la même chose, que tu envoies ou approvisionne ta ligne, tu te dis que même si c’est dur et éprouvant, tu as perdu ta fin de journée de mercredi, ton vendredi et ton samedi avec ton arrêt
Tu go voir le DRH à la pause pour lui demander à faire une semaine de plus, il acquiesce
Tu n’en reviens pas de cette pulsion masochiste qui vient de te prendre, toi, demander du rab de taf
Mais tu n’oublies pas la paye généreuse de l’intérim et le fait que ta mère te laissera ne pas bosser une plus longue période après en faisant ça
Chapitre 6 : Délivrance
Tu enchaînes les jours, déterminé à en finir
Cette dernière semaine tu es de nouveau avec ton ancien chef, celui qui te laisse pondre en toute tranquillité, tu te considères chanceux et ça te remet du baume au cœur
Travailler avec lui est plus sympa, moins de pression, quelques encouragements, des blagues, là ou la boomeuse te rabaissait sans t’encourager même quand elle avait rien à te reprocher et te parlait uniquement pour cette raison
Aujourd’hui tu as même de la chance, tu finis presque 2h plus tôt faute d’approvisionnement au frigo, cette fois pas de mauvaise blague tu rentres pour 17h15 une fois tout le ménage effectué
Tu en profites pour te faire une bonne séance de Battlefield 4, ton ex cheffe te foutait tellement la haine que tu enchaînes des scores que tu n’as jamais eus jusqu’à ce jour, ça finit par te détendre totalement et tu fais comme les autres jours, douche, bouffe et dodo 23h
Tu continues ta semaine serein avec la bonne équipe et les journées de taf sont plus courtes de 30min, ce qui n’est pas pour te déplaire
Tu arrives le samedi, heureux, c’est ton dernier jour et tu fais seulement 6h de taf au lieu de 9h, ça te rends encore plus heureux, tu te passes des chansons dans ta tête et tu kiffes
Fin de journée de taf, fin de contrat, fin des réveils, fin de la galère, fin de la pauvreté aussi, tu te sens bien, tu rends ton badge au chef de ligne et tu pars sans te retourner, tu rentres et tu te branles (faut relâcher la pression)
Tu avoues à ta mère que ton contrat est fini et comme prévu, elle ne te demande pas de renouveler ou de chercher ailleurs, le plan était parfait, 5 semaines de taf pour plusieurs mois de tranquillité, d’autant que tu as un projet, juste pas les bons paramètres pour le mettre à l’œuvre
Tu t’endors et te réveilles sans pression, sans réveil, retour à la tranquillité et bye bye l’esclavage
Fin, j’espère que vous avez aimé les kheys, posez-vos questions et partagez vos expériences de l'usine dream
Tous les jours c’est pareil, go frigo, envoie des barquettes, pause, recommence, pause, recommence, débauche et rentre
Tu commences à t’y faire, tu es déjà à ta troisième semaine de taf et hormis quelques barquettes renversées tout va bien
Tu commences à avaler des glaires et te sentir fatigué avec mal de tête, tu fais bonne figure et tu tiens jusqu’à ta pause puis tu go voir le DRH
Tu lui expliques que tu te sens pas de finir ta journée, et il t’emmène à l’écart en salle de pause, te fais des papiers de départ de poste signés et tu vas partir mais le patron te choppe dehors
Étant en intérim, tu es sous sa responsabilité et il veut pas te laisser enfourcher ton bolide et te fais rester puis appelle ta mère pour venir te chercher
Elle arrive et tu pars direct chez le doc qui te dis de revenir demain parce que aujourd’hui il peut pas
Tu reviens le lendemain et te fais examiner, il soupçonne le Covid évidemment et viole ton intimité nasale pour la première fois de ta vie, tu sens rien mais bon tu te demandes jusqu’où ça va ce machin
Tu casses le test, (« c’est la première fois que je vois ça » dit-il) mais il garde le même échantillon donc te voilà sauf d’une seconde pénétration
C’est négatif et tu as donc une Rhinite, il te fournit un arrêt de travail de 5 jours, mais tu es déjà sur ton jour de repos et après ce sera le week-end, ça te saoule un peu
Tu profites comme tu peux à base de forum, de jeux et de films avec beaucoup de bouffe, t’as faim tout le temp
Chapitre 5 : Retour en enfer
Tu entames ta 4ème semaine avec une flemme monumentale, mais tu n’es pas au bout de tes peines, ton chef de ligne cool devient UNE chef de ligne casse-couilles
Elle te fait plus de remarques en 15 minutes que son prédécesseur en 2 jours complets bordel elle est insupportable ça te fout le cafard
Tu apprends que tu resteras majoritairement dans son équipe pour cette semaine, ça te déprime encore plus
Les rares fois ou tu retrouves ton ancienne équipe te redonnent foi en la vie
Le boulot sous les ordres de cette boomeuse est un calvaire, plus les remarques sur ta lenteur à l’ouvrage arrivent, moins tu es rapide et ça boucle comme ça, sans compter que ta vitesse initiale ne change pas d’une équipe à l’autre, c’est vraiment elle qui fait chier, et 9h de taf par jour ça aide pas non plus
Tu as le temps de cogiter en faisant toujours la même chose, que tu envoies ou approvisionne ta ligne, tu te dis que même si c’est dur et éprouvant, tu as perdu ta fin de journée de mercredi, ton vendredi et ton samedi avec ton arrêt
Tu go voir le DRH à la pause pour lui demander à faire une semaine de plus, il acquiesce
Tu n’en reviens pas de cette pulsion masochiste qui vient de te prendre, toi, demander du rab de taf
Mais tu n’oublies pas la paye généreuse de l’intérim et le fait que ta mère te laissera ne pas bosser une plus longue période après en faisant ça
Chapitre 6 : Délivrance
Tu enchaînes les jours, déterminé à en finir
Cette dernière semaine tu es de nouveau avec ton ancien chef, celui qui te laisse pondre en toute tranquillité, tu te considères chanceux et ça te remet du baume au cœur
Travailler avec lui est plus sympa, moins de pression, quelques encouragements, des blagues, là ou la boomeuse te rabaissait sans t’encourager même quand elle avait rien à te reprocher et te parlait uniquement pour cette raison
Aujourd’hui tu as même de la chance, tu finis presque 2h plus tôt faute d’approvisionnement au frigo, cette fois pas de mauvaise blague tu rentres pour 17h15 une fois tout le ménage effectué
Tu en profites pour te faire une bonne séance de Battlefield 4, ton ex cheffe te foutait tellement la haine que tu enchaînes des scores que tu n’as jamais eus jusqu’à ce jour, ça finit par te détendre totalement et tu fais comme les autres jours, douche, bouffe et dodo 23h
Tu continues ta semaine serein avec la bonne équipe et les journées de taf sont plus courtes de 30min, ce qui n’est pas pour te déplaire
Tu arrives le samedi, heureux, c’est ton dernier jour et tu fais seulement 6h de taf au lieu de 9h, ça te rends encore plus heureux, tu te passes des chansons dans ta tête et tu kiffes
Fin de journée de taf, fin de contrat, fin des réveils, fin de la galère, fin de la pauvreté aussi, tu te sens bien, tu rends ton badge au chef de ligne et tu pars sans te retourner, tu rentres et tu te branles (faut relâcher la pression)
Tu avoues à ta mère que ton contrat est fini et comme prévu, elle ne te demande pas de renouveler ou de chercher ailleurs, le plan était parfait, 5 semaines de taf pour plusieurs mois de tranquillité, d’autant que tu as un projet, juste pas les bons paramètres pour le mettre à l’œuvre
Tu t’endors et te réveilles sans pression, sans réveil, retour à la tranquillité et bye bye l’esclavage
Fin, j’espère que vous avez aimé les kheys, posez-vos questions et partagez vos expériences de l'usine dream
Trop d'journalistes qu'il faut pas lire, quand j'vais les croiser ils vont pâlir, aujourd'hui on peut plus rien dire
Lu, j'attends la suite, Zola 2.0 !
Pour l'instant je n'ai pas pleuré, ni ri. Est-ce le but ?
Pour l'instant je n'ai pas pleuré, ni ri. Est-ce le but ?
J'ai trop fumé je vois des gens en trop?
Trop d'journalistes qu'il faut pas lire, quand j'vais les croiser ils vont pâlir, aujourd'hui on peut plus rien dire
Mouais
Mouais