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Bonjour mes clés. Ceci est un gros pavé. En cette vieille du 80ème anniversaire de la libération du camp de concentration d'Auschwitz par les soviétiques, il me vient un brin de nostalgie quant à ce souvenir persistant d'une escapade aussi incongrue que palpitante à Varsovie, laquelle s'est déroulée quelques temps avant le Covid. Bonne lecture.
Chapitre 1 : Débarquement à Varsovie
Salut les kheys
Du fait de ma vie professionnelle débutante qui m’oblige à des déplacements réguliers à l’étranger, je suis souvent amené à passer du temps dans pas mal de pays de l’Europe.
Après l’Espagne et l’Allemagne, c’est en Pologne que je me retrouve à bourlinguer.
Ce jour de novembre 2018 est absolument dégueulasse : j’ai appris que ma délicieuse chef de 43 ans qui était chaude comme un volcan et dotée de formes
qui sonnaient en moi comme une invitation à la copulation avec
allait être mutée, ce à quoi il fallait rajouter ce temps pourri à Varsovie : un brouillard à couper au couteau, un froid à s’en faire une torsion de couilles
et une ambiance mortifère. Quoi de mieux pour me plaire, je me sentais comme un poisson dans l’eau cependant.
Je me rends donc à l’hôtel afin de récupérer ma clé, armé de quelques répliques prêtes à l’emploi en polonais.
Bien que m'étant préparé de longues semaines durant, j’ai quand même failli commettre une connerie abyssale quand, en remerciant l’hôtesse à l’accueil, j’ai commencé à rétorquer russe.
J’ouvre alors la porte de ma chambre, je dépose mes affaires et m’installe. Il est dix-huit heures trente je pars au bistro de Paris me remplir la panse. Putain ça change des MacDo de clodo
que j’avais tendance à un peu trop m’enfiler ces derniers temps.
Après avoir diné, seul comme un con évidemment,
j’ai allumé la famosa application Tinder.
En effet, voilà maintenant 4 mois que j’étais rentré à nouveau sur le marché des sentiments humains, sauts d'oxytocine et autres enculades de dopamine. L’ancienne m’avait trop pété les couilles, à défaut de me les vider et voulait que je la remplisse de foutre jusqu’aux dents cette timbrée, tout ça pour se retrouver avec un polichinelle dans le tiroir, un tas d’emmerdes prématurés sur le dos et ma carrière professionnelle sérieusement compromise.
J’ai eu chaud aux fesses quand j’y repense, je me voyais pas lui faire bouffer un cacheton de Mifépristone le jour même où j’aurais appris qu’elle était enceinte, le meilleur moyen de se faire radier de l’Ordre et remporter un magnifique séjour en cabane !
Mon profil Tinder était pas trop mal : 26 ans, 1,87m, Consultant international industrie pharma et santé publique, parle quatre langues, 7k/mois.
Comme je suis un crack des statistiques, je torche mon quotas de like autorisés sans même regarder
histoire de laisser le hasard faire et surtout la flemme de regarder trois heures mon téléphone dans la rue comme un attardé avec ce froid de tous les diables
et en cherchant un bar sympa, où je pensais qu’il pourrait y avoir de l’étudiante.
Oui les quilles, quand vous prenez de l’âge vous avez tendance à regarder un peu plus les plus jeunes, ne vous inquiétez donc pas c’est NORMAL même si je pensais sur le moment que j’aurais aussi bien aimé voir ma chef autour d’un verre avant de lui faire des choses pas très orthodoxes.
Bref, après ce court instant de déprime, je m’installe et commande une bière. Je rallume Tinder, boum ! 9 likes.
La première s’appelle Regina. Un cachalot de 150 kilos.
Poubelle. La deuxième, Illona, a un œil qui dit merde à l’autre, je passe.
Une troisième s’appelle Jacek, un bordel de trap, putain même en Pologne la décadence est sensible.
La 4ème est une vieille cougar dégueulasse avec probablement une hépatite et un début de scorbut à en juger la dentition de merde qu’elle se tapait.
Poubelle. La 5ème Weronika est plutôt bonne mais son profil affiche des mots quelque peu blasphématoires comme vegan, LGBTmachin chouette et d’autres conneries du genre.
Next. La 6ème affiche ses tarifs pour 30 min, 1h, 2h.
Même si pour 1 euro tu as 4 zloty je n’avais pas envie d’aller fourrer mon chibret dans une grotte qui me permettrai de nager le papillon sans toucher les bords et rentrer avec un gonocoque et la teub qui crache du feu pendant 3 semaines.
Arrive alors Natalia. 23 ans, bosse dans l’industrie pharmaceutique comme moi en affaires règlementaires.
Fait du basket et 1,85m. En plus d’être grande, ce qui m’affranchira d’un torticolis de merde au roulage de pelle, elle doit être bien profonde, pensait alors mon côté complètement tordu, dont l’excessive fréquentation de ce forum du démon n’y est certainement pas étrangère.
Je like.
Le temps de nexter les deux suivantes, c’est un Match !
Suite à venir.
Chapitre 1 : Débarquement à Varsovie
Salut les kheys
Du fait de ma vie professionnelle débutante qui m’oblige à des déplacements réguliers à l’étranger, je suis souvent amené à passer du temps dans pas mal de pays de l’Europe.
Je me rends donc à l’hôtel afin de récupérer ma clé, armé de quelques répliques prêtes à l’emploi en polonais.
Mon profil Tinder était pas trop mal : 26 ans, 1,87m, Consultant international industrie pharma et santé publique, parle quatre langues, 7k/mois.
Bref, après ce court instant de déprime, je m’installe et commande une bière. Je rallume Tinder, boum ! 9 likes.
Le temps de nexter les deux suivantes, c’est un Match !
Suite à venir.
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 6 mois
Chapitre 2 : L'Abordage
N’ayant pas flirté depuis un certain temps et donc me trouvant excessivement con à essayer de trouver une phrase d’approche, je mise tout sur mon français avec un simple :
– Bonsoir Mademoiselle
Une…Deux…Quatre…DIX PUTAINS DE MINUTES passent et toujours pas de réponse.
Je me dis c’est bon c’est plié, elle a rien bité en français et elle doit avoir un tas de schleus
dégueulasses en chiens sur le dos.
N’en déplaisent à certains et malgré le progrès qui arrive dans ce pays, les filles sont extrêmement prudes là-bas et pratiquantes.
Le multiculturalisme n’a pas la côte, quand tout va de mal en PiS avec los famosos quotas de migrationnos.
Les DISSIDENTES sont tout bonnement traitées comme de sales putes par leurs consœurs.
Je commence à m’emmerder un peu, y’a pas grand monde dans le bar où je squatte. J’allume mon appli de marchés boursiers histoire de m’occuper et surtout de surveiller le cours des actions que j’ai.
Cette putain de vague de Wolfe qu’on s’est morflé dans les gencives au mois d’octobre m’a quand même bien calmé sa maman.
Je passe une bonne demi-heure, en attendant la clôture de Wall Street à lire des articles à droite et gauche et… BORDEL ELLE ME REPOND !
Je sens en moi le petit poisson en train de frétiller sec
rien qu’à l’hypothèse d’une rencontre potentiellement copulatoire qui se profilerait à l’horizon malgré l’orthodoxie des moeurs des locaux.
– Bonsoir
J’ai pilé net un instant. En fait je me suis demandé si elle n’avait pas passé près d’une demi-heure à essayer de trouver la signification du mot Bonsoir dans Google trad. L’adrénaline redescend tout d’un coup. Merde. Je switche en anglais
– I’am sorry but the French came in my mouth before the English.
7 secondes. C’est le temps qu’il m’a fallu pour réaliser le caractère immonde ce que je venais de lui envoyer, digne d’un film pornographique entre trois gais qui se boxent l’oignon mutuellement.
J’en ai même eu une remontée gastrique de bière.
– Ah mais ce n’est pas grave, je préfère le français, j’aime le français surtout quand il est beau, brun, les pommettes saillantes, les épaules larges et des beaux yeux bruns comme toi.
Là c’est une bonne minute que j’ai pilé net. Je sais même plus comment je m’appelle tellement y’a trop de pression dans ma cervelle.
Apparemment cet anglais hideux ne l’a pas effleuré plus que cela ce à quoi je m’empresse de répondre une monumentale connerie :
– Et encore, tu n’as pas tout vu
– Certes, mais je crois que nous avons abordé les parties les plus intéressantes de ton anatomie.
Allez mon con, viens la prendre ta claque, jamais je ne m’étais fait latter le cul en une seule phrase comme ça.
– Que fais-tu de beau ici à Varsovie ?
– Rien de bien transcendant, je suis en mission pour une semaine chez un client, et comme ce soir je m’emmerde un peu ben … Et toi ?
– Petite stagiaire dans une grosse boite pharmaceutique après une école de commerce en France
J’ai lu grosse bite.
Je me recommande une bière ça commence à m’inquiéter toussa.
– Ah ça explique ton français de bon aloi
– C’est essentiel pour calmer les ardeurs d’hommes comme toi
Elle s’est décidément mise dans la tête, l’idée de me péter l’anus ce soir cette sainte greluche !
Néanmoins, tel buzz l’éclair je réponds :
– Dois-je en conclure que ton homme est incapable de le faire et de protéger ses intérêts ?
Là je me reconnais. C’est dans les situations les plus délicates que mon « génie » s’exprime. Ce tic la ne m’a pas lâché depuis que j’ai commencé mes études c’est-à-dire depuis 8 bonnes années.
– Laisse mon homme hors de cela veux-tu ?
– Je prends donc cela pour un oui.
– Et si Madame ValiumRoche apprenait tout cela, que tu flirtais avec une polonaise pendant ton travail ?
– Etant donné que nous travaillons tous les deux dans l’industrie pharmaceutique, j’aurais simplement dit que c’était une « collègue » rien de plus
– Madame ValiumRoche se serait contentée d’une telle explication ?
Ça a fait tilt dans ma tête. C’est exactement la réplique de Maitre Parendon dans Maigret chez les riches, une production entre autres, franco-polonaise.
Je sais c’est vieillot comme style mais je suis de la vieille école, je crache sur toutes ces nouvelles séries de merde ces plateformes du PROGRES.
– Madame ValiumRoche ne pose jamais de questions
Et pour cause, je l’ai larguée
– Et le Seigneur alors ?
Ok ça glisse.
– Déjà arrangé avec lui, quand je passerais l’arme à gauche, je serais à sa gauche. Mais en attendant, que dirais tu que l’on se retrouve samedi que l’on passe une après-midi à faire les magasins, d’un dîner aux chandelles dans un bon restaurant et de finir au 27 ?
Le 27 c’est une boite de nuit huppée de Varsovie, t’as des bouteilles de détraqués à juste 2000 balles.
Je balance la purée, ça passe ou ça casse. Et de son gars, je m’en bat les couilles.
– C’est noté mon beau
Elle aussi elle s’en bat les miches de son jules de pacotille.
– Parfait, à samedi alors
– A samedi
Nous étions jeudi soir, j’avais deux jours pour me préparer. Mais demain, meeting à 7 heures en vue de fin de semaine infecte.
Cette Natalia reste néanmoins un super leitmotiv pour ne pas craquer.
Suite à venir
N’ayant pas flirté depuis un certain temps et donc me trouvant excessivement con à essayer de trouver une phrase d’approche, je mise tout sur mon français avec un simple :
– Bonsoir Mademoiselle
Une…Deux…Quatre…DIX PUTAINS DE MINUTES passent et toujours pas de réponse.
Je commence à m’emmerder un peu, y’a pas grand monde dans le bar où je squatte. J’allume mon appli de marchés boursiers histoire de m’occuper et surtout de surveiller le cours des actions que j’ai.
Je sens en moi le petit poisson en train de frétiller sec
– Bonsoir
J’ai pilé net un instant. En fait je me suis demandé si elle n’avait pas passé près d’une demi-heure à essayer de trouver la signification du mot Bonsoir dans Google trad. L’adrénaline redescend tout d’un coup. Merde. Je switche en anglais
– I’am sorry but the French came in my mouth before the English.
7 secondes. C’est le temps qu’il m’a fallu pour réaliser le caractère immonde ce que je venais de lui envoyer, digne d’un film pornographique entre trois gais qui se boxent l’oignon mutuellement.
– Ah mais ce n’est pas grave, je préfère le français, j’aime le français surtout quand il est beau, brun, les pommettes saillantes, les épaules larges et des beaux yeux bruns comme toi.
Là c’est une bonne minute que j’ai pilé net. Je sais même plus comment je m’appelle tellement y’a trop de pression dans ma cervelle.
– Et encore, tu n’as pas tout vu
– Certes, mais je crois que nous avons abordé les parties les plus intéressantes de ton anatomie.
Allez mon con, viens la prendre ta claque, jamais je ne m’étais fait latter le cul en une seule phrase comme ça.
– Que fais-tu de beau ici à Varsovie ?
– Rien de bien transcendant, je suis en mission pour une semaine chez un client, et comme ce soir je m’emmerde un peu ben … Et toi ?
– Petite stagiaire dans une grosse boite pharmaceutique après une école de commerce en France
J’ai lu grosse bite.
– Ah ça explique ton français de bon aloi
– C’est essentiel pour calmer les ardeurs d’hommes comme toi
Elle s’est décidément mise dans la tête, l’idée de me péter l’anus ce soir cette sainte greluche !
– Dois-je en conclure que ton homme est incapable de le faire et de protéger ses intérêts ?
Là je me reconnais. C’est dans les situations les plus délicates que mon « génie » s’exprime. Ce tic la ne m’a pas lâché depuis que j’ai commencé mes études c’est-à-dire depuis 8 bonnes années.
– Laisse mon homme hors de cela veux-tu ?
– Je prends donc cela pour un oui.
– Et si Madame ValiumRoche apprenait tout cela, que tu flirtais avec une polonaise pendant ton travail ?
– Etant donné que nous travaillons tous les deux dans l’industrie pharmaceutique, j’aurais simplement dit que c’était une « collègue » rien de plus
– Madame ValiumRoche se serait contentée d’une telle explication ?
Ça a fait tilt dans ma tête. C’est exactement la réplique de Maitre Parendon dans Maigret chez les riches, une production entre autres, franco-polonaise.
– Madame ValiumRoche ne pose jamais de questions
Et pour cause, je l’ai larguée
– Et le Seigneur alors ?
Ok ça glisse.
– Déjà arrangé avec lui, quand je passerais l’arme à gauche, je serais à sa gauche. Mais en attendant, que dirais tu que l’on se retrouve samedi que l’on passe une après-midi à faire les magasins, d’un dîner aux chandelles dans un bon restaurant et de finir au 27 ?
Le 27 c’est une boite de nuit huppée de Varsovie, t’as des bouteilles de détraqués à juste 2000 balles.
– C’est noté mon beau
Elle aussi elle s’en bat les miches de son jules de pacotille.
– Parfait, à samedi alors
– A samedi
Nous étions jeudi soir, j’avais deux jours pour me préparer. Mais demain, meeting à 7 heures en vue de fin de semaine infecte.
Suite à venir
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il y a 6 mois
Chapitre 3 : Face au Capitaine
Le lendemain je me réveille sur le coup de 05h30 avec une tête dans le cul atroce et une gaule matinale des plus réfractaires. Déjà trois jours sans branlettes, il ne fallait pas que je bousille cette performance annuelle en vue de voir la Miss, plein de kheys se sont déjà fait couilloner de la sorte en faisant pleurer le cyclope quatre à cinq fois par jour
et au moment d’honorer madame, c’est un seizième de molle en guise plat de résistance.
A la place je me suis fracassé en faisant un petit workout tranquille avant le taff genre 200 pompes, n’ayant pas de salle à ma disposition. Lavé, rasé, fringué, je pars au taff pour arriver à 06h45 tapantes. Je débarque et salue mes collègues avant d’aller me choper un café. Ma chef qui était également du voyage débarque une petite demi-heure plus tard.
– Bonjour ValiumRoche comment tu vas ?
Même à 43 piges elle faisait encore l’effet d’une de 25. J’ai eu droit à un magnifique décolleté dans les yeux, de l’Opium dans le nez (le parfum hein
), sa voix de MILF dans les tympans et un peu de son fond de teint sur la peau lorsque je lui ai fait la bise.
– Très bien la frite comme d’habitude
– C’est bon à savoir ça hum va falloir te surpasser aujourd’hui le grand manitou arrive à 09h00 et brainstorming jusque 18h00, tu tiendras le coup ?
– On m’a décrit comme tenace et endurant sur mes deux dernières lettres de recommandation rappelles toi.
J’étais en train de la chauffer comme un fdp en fait.
– A la bonne heure. Préviens-moi juste quand John arrive si tu le vois avant moi.
– Bien sûr
Ca y’est me voilà avec un début de gaulle. Je croise les jambes sur mon fauteuil pour tenter de cacher mon trouble. Je pianote jusque 08h55 tout en essayant de m’extirper de l’esprit ses pensées obscènes où j’imagine ma chef s’empaler sur mon Z.
Bref le chef arrive à 09h00, me serre la main et manque de me la broyer.
– Alors c’est toi le petit con de nouveau ?
– O..O..Ou…Oui c’est moi
– Et ça te dérange pas que je te traite de con à 09h du mat’ ? Tu vas me plaire toi !
–
– Allez pas le temps de niaser, on a des culs à péter, et surtout le tien si tu joues au crétin
C’était un chef. Un vrai chef. Un véritable chef-d’œuvre ce mec. Un poète, un artiste, un gangster de la beauté qui avait le sens du panache.
Le premier meeting se passe sans trop de problèmes, à ceci près peut être qu’on en a chié en PV avec des cas de suspicions d’hépatite fulminantes iatrogènes, le truc qui fait autant tâche qu’une giclée de foutre sur le visage d’une mariée.
Arrive 11h et el famoso brainstorming qui risque de rimer avec fistfucking. Les heures passent, on avance en mode fourmis. Le grand manitou a, selon toute vraisemblance, manqué de lâcher une caisse dans la salle de réunion.
– Bon les enfants, on a l’ICH au cul là. La Q3D on a presque un an de retard comment on va se débarrasser de ce merdier ?
Pas un bruit, j’avais l’impression d’être au fond du Gange. Je suis sûr que si le patron aurait entendu une mouche péter ça aurait fini saignant pour un random dans la salle.
Je romps le silence
– Quid d’une approche statistique ?
– Vas-y déroule ?
– L’idée est simple on prend quelques batchs, on les passe aux peigne fin en ICP-MS on a deux labos à nous qui peuvent s’en occuper. On élabore un modèle statistique en fonction du manufacturing process et du flilling process pour la forme injectable, plus qu’à déterminer les probabilités de franchir nos seuils critiques, topic clos.
– Jouable. Et niveau GDP data integrity on fait comment ? Je te rapelle qu’on à pas 10 briques à foutre dans une putain de CSV
– Deux ou trois SOP + Excel
Putain j’ai tout le monde qui me fixe d’un œil noir.
– Enfin je veux dire Excel mais CFR21 quoi
– Excellent ! Tu fais ça comment ?
– VBA
– Parfait, tu nous ponds ça pour lundi 8h tapantes gringo !
Et mon rencard ce week-end fils de pute !
– Très bien, pour lundi
Je me suis consolé avec le regard de ma chef qui me fixait avec envie et se mordait discrètement la lèvre inférieure. A la fin du meeting, et donc le début du week-end elle est venue me remercier.
– Bravo pour ton intervention tu as fait forte impression.
-M..Me…Merci
– J’aime les hommes qui prennent des initiatives.
-M…Me…Merci
Putain ce puço que j’ai fait j’aurais dû la galocher et lui ranger Stalingrad dans le cul à cette espèce de gourgandine. Mais il n’en fut rien, je pensais à Natalia en fait, à ce samedi et surtout quand est ce que j’allais pouvoir me taper la bonne quinzaine d’heure de code et la bonne centaine de pages à écrire dans toussa pour lundi.
– A lundi ValiumRoche !
– A lundi
Bref, je retourne à l’hôtel, il pleut comme vache qui pisse. Je reçois un message de Natalia.
– Tu n’as pas trop rêvé de moi cette nuit ?
Suite à venir
Le lendemain je me réveille sur le coup de 05h30 avec une tête dans le cul atroce et une gaule matinale des plus réfractaires. Déjà trois jours sans branlettes, il ne fallait pas que je bousille cette performance annuelle en vue de voir la Miss, plein de kheys se sont déjà fait couilloner de la sorte en faisant pleurer le cyclope quatre à cinq fois par jour
– Bonjour ValiumRoche comment tu vas ?
Même à 43 piges elle faisait encore l’effet d’une de 25. J’ai eu droit à un magnifique décolleté dans les yeux, de l’Opium dans le nez (le parfum hein
– Très bien la frite comme d’habitude
– C’est bon à savoir ça hum va falloir te surpasser aujourd’hui le grand manitou arrive à 09h00 et brainstorming jusque 18h00, tu tiendras le coup ?
– On m’a décrit comme tenace et endurant sur mes deux dernières lettres de recommandation rappelles toi.
J’étais en train de la chauffer comme un fdp en fait.
– A la bonne heure. Préviens-moi juste quand John arrive si tu le vois avant moi.
– Bien sûr
Ca y’est me voilà avec un début de gaulle. Je croise les jambes sur mon fauteuil pour tenter de cacher mon trouble. Je pianote jusque 08h55 tout en essayant de m’extirper de l’esprit ses pensées obscènes où j’imagine ma chef s’empaler sur mon Z.
Bref le chef arrive à 09h00, me serre la main et manque de me la broyer.
– Alors c’est toi le petit con de nouveau ?
– O..O..Ou…Oui c’est moi
– Et ça te dérange pas que je te traite de con à 09h du mat’ ? Tu vas me plaire toi !
–
– Allez pas le temps de niaser, on a des culs à péter, et surtout le tien si tu joues au crétin
C’était un chef. Un vrai chef. Un véritable chef-d’œuvre ce mec. Un poète, un artiste, un gangster de la beauté qui avait le sens du panache.
Arrive 11h et el famoso brainstorming qui risque de rimer avec fistfucking. Les heures passent, on avance en mode fourmis. Le grand manitou a, selon toute vraisemblance, manqué de lâcher une caisse dans la salle de réunion.
– Bon les enfants, on a l’ICH au cul là. La Q3D on a presque un an de retard comment on va se débarrasser de ce merdier ?
Pas un bruit, j’avais l’impression d’être au fond du Gange. Je suis sûr que si le patron aurait entendu une mouche péter ça aurait fini saignant pour un random dans la salle.
– Quid d’une approche statistique ?
– Vas-y déroule ?
– L’idée est simple on prend quelques batchs, on les passe aux peigne fin en ICP-MS on a deux labos à nous qui peuvent s’en occuper. On élabore un modèle statistique en fonction du manufacturing process et du flilling process pour la forme injectable, plus qu’à déterminer les probabilités de franchir nos seuils critiques, topic clos.
– Jouable. Et niveau GDP data integrity on fait comment ? Je te rapelle qu’on à pas 10 briques à foutre dans une putain de CSV
– Deux ou trois SOP + Excel
Putain j’ai tout le monde qui me fixe d’un œil noir.
– Enfin je veux dire Excel mais CFR21 quoi
– Excellent ! Tu fais ça comment ?
– VBA
– Parfait, tu nous ponds ça pour lundi 8h tapantes gringo !
Et mon rencard ce week-end fils de pute !
– Très bien, pour lundi
Je me suis consolé avec le regard de ma chef qui me fixait avec envie et se mordait discrètement la lèvre inférieure. A la fin du meeting, et donc le début du week-end elle est venue me remercier.
– Bravo pour ton intervention tu as fait forte impression.
-M..Me…Merci
– J’aime les hommes qui prennent des initiatives.
-M…Me…Merci
Putain ce puço que j’ai fait j’aurais dû la galocher et lui ranger Stalingrad dans le cul à cette espèce de gourgandine. Mais il n’en fut rien, je pensais à Natalia en fait, à ce samedi et surtout quand est ce que j’allais pouvoir me taper la bonne quinzaine d’heure de code et la bonne centaine de pages à écrire dans toussa pour lundi.
– A lundi ValiumRoche !
– A lundi
Bref, je retourne à l’hôtel, il pleut comme vache qui pisse. Je reçois un message de Natalia.
– Tu n’as pas trop rêvé de moi cette nuit ?
Suite à venir
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il y a 6 mois
Chapitre 4 : Entre le plomb et le flotteur
Je lance le mode lover
– Nul besoin, tu es une fille de rêves
– Tu es bien un français toi, un séducteur né
Bordel si elle savait la presque centaine de râteaux que j’ai bouffé dans mon existence et mon passé de No-life handicapé social qui se sur-tire la nouille à s’en faire des crevasses en hiver à cause du froid
… N’empêche que j’ai commencé à trouver ça louche comment elle était à fond dans le délire.
Ça m’a rappelé cette allemande de l’est que j’avais pécho à Berlin six mois plus tôt qui était très open elle aussi et que je soupçonnais d’être en fait un bon dieu de trap prêt à m’atomiser le
sortie de boite. Néanmoins, le progrès n’étant pas aussi marqué, j’ai estimé la probabilité faible, bien en dessous de 1 sur 1000.
– On se voit à quelle heure demain ?
–
Foutre Dieu ! Aurait-elle le feu au fion, fut-ce-t-il à foison ? Je laisse un temps de réponse, j’ai pas que ça à foutre de jouer au toutou.
A mes seize ans, j’ai pris une friendzone telle qu’elle m’a marqué à vie, parce que je faisais le toutou justement.
Cette déchéance qui a suivi.
Plus concrètement j’avais un peu la tête dans le ionf, et la surflemme de programmer un truc sympa. Je pensais faire les magasins, comme j’avais ramené un peu de pognon pour me faire plaisir après ces longues années de privations en tout genre. Je checke en vitesse les magasins…
…
KIABI, Esprit
Ah Lacoste, quand même.
– Ecoutes faudrait que je passe m’acheter deux trois fringues, on peut se retrouver pour 14h près de la gare ? On peut se faire les magasins et toi me faire découvrir ta ville comme je suis tout nouveau ?
– Tu n’aurais pas voulu qu’on se voit plus tôt, qu’on déjeune tous les deux ?
Elle a faim aurait été un euphémisme
– Encore un dîner ça passe mais un déjeuner et un dîner ça fait pas un peu beaucoup ? Je veux dire ton homme risque pas de trouver ça louche ?
Le con qui joue les rédemptoristes à deux balles
J’ai vite déchanté à sa réponse
– Tu vas pas me faire chier avec lui, on s’est embrouillé il est parti le week end chez ses vieux tu comprends j’ai LA PAIX un week end.
Ah les femmes, elles savent nous mener à la baguette putain.
Et moi comme un con j’en rajoute une couche.
– Voyons chérie, c’est normal tu as tes règles
– PARDON ?
A ce même moment, j’ai eu une atroce sensation de démangeaison au fion, vous savez, le genre de démangeaison que vous calmeriez volontiers à grands coups de scalpel.
– Enfin je veux dire tu as tes règles, tes limites, qu’il a dû transgresser un peu trop souvent, mais rien ne sert de s’énerver pour autant.
– Tu m’as fait peur quand même là. Du coup 11h à la gare centrale ?
– Va pour 11h
– A demain
Me voilà dans une chiasse bien graisseuse de lendemain de torche.
J’ai 100 pages à me taper et c’te projet VBA de terroriste.
Je repère le premier MacDo et je fonce m’acheter un menu digne de Joël Robuchon.
De retour dans ma chambre d’hôtel, je me fous en mode déchet : ordi sur les genoux en calebute à bouffer cette merde, à en jouir de foutre de la graisse plein les touches de clavier.
Il fallait absolument que je torche ça aujourd’hui. Je décroche à 2 heures du mat’ la fraicheur incarnée quand je réalise qu’elle m’a glissé :
– Bonne nuit
Il me reste neuf heures pour dormir et faire mon workout pour éliminer ce repas de gros con.
Suite à venir
Je lance le mode lover
– Nul besoin, tu es une fille de rêves
– Tu es bien un français toi, un séducteur né
Bordel si elle savait la presque centaine de râteaux que j’ai bouffé dans mon existence et mon passé de No-life handicapé social qui se sur-tire la nouille à s’en faire des crevasses en hiver à cause du froid
– On se voit à quelle heure demain ?
–
Foutre Dieu ! Aurait-elle le feu au fion, fut-ce-t-il à foison ? Je laisse un temps de réponse, j’ai pas que ça à foutre de jouer au toutou.
KIABI, Esprit
Ah Lacoste, quand même.
– Ecoutes faudrait que je passe m’acheter deux trois fringues, on peut se retrouver pour 14h près de la gare ? On peut se faire les magasins et toi me faire découvrir ta ville comme je suis tout nouveau ?
– Tu n’aurais pas voulu qu’on se voit plus tôt, qu’on déjeune tous les deux ?
Elle a faim aurait été un euphémisme
– Encore un dîner ça passe mais un déjeuner et un dîner ça fait pas un peu beaucoup ? Je veux dire ton homme risque pas de trouver ça louche ?
Le con qui joue les rédemptoristes à deux balles
– Tu vas pas me faire chier avec lui, on s’est embrouillé il est parti le week end chez ses vieux tu comprends j’ai LA PAIX un week end.
Ah les femmes, elles savent nous mener à la baguette putain.
– Voyons chérie, c’est normal tu as tes règles
– PARDON ?
A ce même moment, j’ai eu une atroce sensation de démangeaison au fion, vous savez, le genre de démangeaison que vous calmeriez volontiers à grands coups de scalpel.
– Enfin je veux dire tu as tes règles, tes limites, qu’il a dû transgresser un peu trop souvent, mais rien ne sert de s’énerver pour autant.
– Tu m’as fait peur quand même là. Du coup 11h à la gare centrale ?
– Va pour 11h
– A demain
Me voilà dans une chiasse bien graisseuse de lendemain de torche.
– Bonne nuit
Il me reste neuf heures pour dormir et faire mon workout pour éliminer ce repas de gros con.
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il y a 6 mois
Chapitre 5 : Opération dragage
Saut du lit dès 7 heures
pas le temps de se torcher les couilles j’ai Miss Pologne à pécho.
Je me lance sur mes 100 pages de merde.
Je décroche à 9h, le temps de prendre un frugal petit déjeuner, je me jette dans mon workout-maison histoire de taper un peu dans mon corps de phasme
et faire ressortir tout ça. Ensuite la finition : taillage de barbe
rasage des couilles avec la satisfaction d’avoir battu mon record : seulement 4 entailles dans le scrotum
sans oublier bien évidemment los famosos poil de fionos.
Je sors à 10h30 de la salle de bain, je mise alors tout sur le bleu : un pantalon de velours bleu presque noir, une chemise bleue d’un ton plus clair une cravate gris-bleu, sobre. Résine blanchisseuse de dents, me voilà prêt. Le paquet de Davidoff, discret, sait-on jamais, les goûts de Madame, parapluie sur le bras et on y va. La gare est en vue, le traditionnel pic d’adrénaline se fait alors ressentir.
Il est 10h55. J’ai les temporales qui commencent à s’affoler. Je décide de sortir une clope histoire de me détendre. Au moment d’allumer ma clope je l’aperçois. Elle me fixe. Elle traverse la rue. Elle me rejoint.
– Bonjour toi
Les pommettes hautes, les yeux bleues, les dents blanches, le visage un poil poupin, encadré d’une magnifique chevelure blonde, et impeccablement lissée. Je devine un rapport taille hanches des plus aphrodisiaques desquelles s’échappaient deux longues jambes effilées aux cuisses fournies et aux mollets dodus, se terminant par deux talons aiguilles noirs. Pour le moment tout se passait bien, jusqu’à ce que, pour une raison inconnue je repense à ce joyeux luron du forum qui envoyait en MP cette question : Tu aimes les pieds ? LES PIEDS ?
Ensuite, je suis obligé de lever les yeux de une parce qu’elle est un peu plus grande que moi et de deux, les baisser reviendrait à se suicider dans sa poitrine, manifestement, des plus généreuses. Au moment de lui faire la bise, je m’aperçois qu’elle porte le même parfum que ma chef. Comme au scrabble, ça compte double.
– Bonjour
Faisant allusion à mon paquet de cigarettes, elle me demande
– Tu fumes ?
En la contemplant de bas en haut, je lui réponds
– Seulement pour les grandes occasions
Et je m’allume cette cigarette devant elle comme un fdp
– Et toi tu fumes ?
– Ca m’arrive de temps en temps
Elle se saisit de ma cigarette pour en tirer une taffe. Elle me la rend avec une jolie trace de son rouge à lèvres sur le mégot.
– Prends cela comme un cadeau
Sauf que j’ai ressorti une clope entre temps
– Non je t’en prie c’est cadeau, tu peux la terminer
Alpha suprême au-dessus c’est le fion du tout puissant.
En fait, j’ai toujours craqué pour ces femmes qui savent fumer une clope bordel.
– Tu ne veux plus ma cigarette parce que je l’ai taché mon rouge à lèvres ?
Putain ce malaise
– Exactement, je ne pourrais pas pleinement apprécier son gout à cause de l’odeur tu tabac.
Rouge pivoine elle est devenue. Une idée de sobriquet me traversa l’esprit : ma petite crevette.
– Tu sais que j’aurais pu t’en foutre une et te laisser comme un con ?
– Oublies pas que je suis français. Le français peut être tout aussi raffiné et romantique que désinvolte, irrévérencieux, irrespectueux.
– Ça ira pour cette fois, ça aurait pu être pire surtout si tu avais été russe. Je te fais un petit peu visiter avant d’aller déjeuner ?
Cette sueur …
J’ai pas intérêt à merder au restaurant en baragouinant dans la langue de Pouchkine.
Sur le coup je me suis rendu compte que j’avais oublié mon dictionnaire de conversations à l’hôtel
– Volontiers
Après une petite flânerie dans les rues, on se rend au restaurant on s’installe. On a déjeuné. J’ai eu moult occasions de déjeuner avec des filles qui, malgré leur physiques plutôt engageants, montraient pour la plupart une béance cérébrale inextinguible.
Dans la mesure où c’était la plupart du temps pour leur péter le minou je m’en foutais.
Mais cette fois, cette polonaise m’a offert un spectacle des plus réjouissants. Non ce n’était pas son visage d’ange aux traits si harmonieux, ni sa chevelure ou son parfum, ni sa voix d’argent ou sa poitrine de déesse. Bien plus que cela. Elle vote à droite, très à droite. Très prude, on est loin de la salope occidentale qui se fait péter la gaufrette par Jean-Mouloud en triplette dans une cave dégeulasse
et à se taper un prolapsus anal à 21ans
une hépatite à 22 et le SIDA dans la foulée
tout cela au nom du progrès
et de la LIBERTE DES MEURS.
Au contraire, elle révélait sa plus tendre et intime féminité, au point même qu’en repensant à l’Alpha que j’ai fait, je me sentis brutalement très con.
J’ouvre alors les hostilités :
– Dis-moi c’était joyeux le 11 novembre ici
– Tu peux parler avec tes gilets jaunes
1-0.
Et on est parti massacre sur massacre. Tout y a passé : les buteurs de foetus
les pédés
les femen
les LGBT el famoso progrès
ces putains de carencés de la vitamine B12 de vegans de mes couilles en kapla
, la gauchiasse
les socialistes en France
, l’occident de la décadence
la France qui devenue la dernière des fosses sceptique de la pire des maisons closes
, les ricains…les russes aussi, bref toute la pouillerie de la Terre selon elle. J’en ai une larme à l’œil.
Elle est vraiment parfaite. Au moment de régler, Elle m’a quand même demandé :
– Mais je te choque peut être monsieur le Français ?
– Oui, mais dans le bon sens pour être honnête. Je règle pour deux ?
Le regard noir qu’elle m’a lancé. Qu’est-ce que j’aime ce contraste entre son côté très prude dans la séduction et son côté tu m’touches j’te bouffe. J’abdique en rajoutant :
– Tu noteras que c’est une question, pas une affirmation.
– Séparément, on n’est pas mari et femme
Avant j’étais méga détente. Là j’ai la pression en fait comme au premier rencard avec une fille.
Suite à venir
Saut du lit dès 7 heures
– Bonjour toi
Les pommettes hautes, les yeux bleues, les dents blanches, le visage un poil poupin, encadré d’une magnifique chevelure blonde, et impeccablement lissée. Je devine un rapport taille hanches des plus aphrodisiaques desquelles s’échappaient deux longues jambes effilées aux cuisses fournies et aux mollets dodus, se terminant par deux talons aiguilles noirs. Pour le moment tout se passait bien, jusqu’à ce que, pour une raison inconnue je repense à ce joyeux luron du forum qui envoyait en MP cette question : Tu aimes les pieds ? LES PIEDS ?
– Bonjour
Faisant allusion à mon paquet de cigarettes, elle me demande
– Tu fumes ?
En la contemplant de bas en haut, je lui réponds
– Seulement pour les grandes occasions
Et je m’allume cette cigarette devant elle comme un fdp
– Et toi tu fumes ?
– Ca m’arrive de temps en temps
Elle se saisit de ma cigarette pour en tirer une taffe. Elle me la rend avec une jolie trace de son rouge à lèvres sur le mégot.
– Prends cela comme un cadeau
Sauf que j’ai ressorti une clope entre temps
– Non je t’en prie c’est cadeau, tu peux la terminer
Alpha suprême au-dessus c’est le fion du tout puissant.
– Tu ne veux plus ma cigarette parce que je l’ai taché mon rouge à lèvres ?
Putain ce malaise
– Exactement, je ne pourrais pas pleinement apprécier son gout à cause de l’odeur tu tabac.
Rouge pivoine elle est devenue. Une idée de sobriquet me traversa l’esprit : ma petite crevette.
– Tu sais que j’aurais pu t’en foutre une et te laisser comme un con ?
– Oublies pas que je suis français. Le français peut être tout aussi raffiné et romantique que désinvolte, irrévérencieux, irrespectueux.
– Ça ira pour cette fois, ça aurait pu être pire surtout si tu avais été russe. Je te fais un petit peu visiter avant d’aller déjeuner ?
Cette sueur …
– Volontiers
Après une petite flânerie dans les rues, on se rend au restaurant on s’installe. On a déjeuné. J’ai eu moult occasions de déjeuner avec des filles qui, malgré leur physiques plutôt engageants, montraient pour la plupart une béance cérébrale inextinguible.
– Dis-moi c’était joyeux le 11 novembre ici
– Tu peux parler avec tes gilets jaunes
1-0.
Et on est parti massacre sur massacre. Tout y a passé : les buteurs de foetus
– Mais je te choque peut être monsieur le Français ?
– Oui, mais dans le bon sens pour être honnête. Je règle pour deux ?
Le regard noir qu’elle m’a lancé. Qu’est-ce que j’aime ce contraste entre son côté très prude dans la séduction et son côté tu m’touches j’te bouffe. J’abdique en rajoutant :
– Tu noteras que c’est une question, pas une affirmation.
– Séparément, on n’est pas mari et femme
Avant j’étais méga détente. Là j’ai la pression en fait comme au premier rencard avec une fille.
Suite à venir
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 6 mois
Chapitre 6 : L’hameçonnage
On est donc sortis du restaurant, ca commençait à pisser dehors, du coup j’ai sorti mon parapluie comme un gentleman
tout en l’invitant à saisir mon bras et venir s’abriter, ce qu’elle ne manqua pas de faire.
Les gens nous regardaient avec étonnement. Une question fondamentale me traversa quand même l’esprit.
– Dis on ne risque pas de le croiser ton mec quand même ?
– Vu ta carrure c’est plutôt lui qui doit se poser cette question. Mais pourquoi ? Il t’intéresse ? Il sera bientôt célibataire si cela t’intéresse. Regarde.
Bientôt célibataire. BIENTOT CELIBATAIRE.
Elle me sort une photo de son jules. Moi qui me trouvais fragile avec mes 87 kilos j’ai été servi. Une biscotte le mec.
J’imagine que c’est plus elle qui devait le tartiner au pieu que l’inverse.
– Ah non merci, c’est un coup à terminer façon Tokyo Tribe 2 et en cabane.
Je me marre commune baleine. TOUT SEUL. Faut vraiment que j’arrête ces blagues de merde.
– PARDON ?
– Oublies c’est une blague de merde
– Tu es sur que tu n’es pas gay ?
– Te le prouver serait un peu indécent quand même. On n’est pas mari et femme.
J’ai recroisé son regard d’acier.
– Alors ne me parles plus de lui.
On a passé l’après-midi à faire du shopping. Entre les chemises Lacoste, Hugo Boss et mes godasses ECCO (post avant Eco+) j’en ai claqué pour plus de 2000 balles
on aurait dit une meuf. En sortant du dernier magasin, la nuit commençait à tomber.
– Dis tu veux quelque chose ? Un parfum un sac à main ? Je suis le seul à me marrer depuis trois heures, y’a Louis Vuitton et Gucci juste à côté. Je ne suis plus à ce près hein.
– Qu’est-ce que j’en ai à faire de ton pognon ? Et je t’ai déjà dit qu’on n’est pas mari et femme.
Allez viens, ramène ta gueule mon putain sugar dady de mes couilles en vrac, viens te prendre une bien veineuse dans le colon.
– Comme tu voudras. On dine à Paris ce soir ?
Sa voix se fit soudainement plus douce.
– Où tu veux.
– Alors go Paris, le restaurant est vraiment bon et c’est moi qui régale pas de discussions.
Après être repassé à l’hôtel déposer tout ce bordel, nous sommes partis diner. La discussion a tourné autour des mêmes thèmes de la matinée, dézinguage de progressistes bouffeurs de beta HCG
Le bordel en Pologne avec les montées nationalistes
los famosos gilets jaunes qui se feront bouffer de l’intérieur par des collabos
et de l’extérieur par des collabos
Un film de boules. Il y a bien longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir à diner, pas seulement avec une fille, mais quelqu’un tout court en fait. Plus tard dans la soirée, j’ai réglé, nous sommes sortis.
– Je ne suis pas éternel sur Varsovie, tu n’aurais pas voulu que je te laisse un souvenir, un bon parfum un sac à main ?
– Je ne suis pas tellement sensible à ce genre de souvenir.
Allez rien à foutre je l’embrasse direct.
57 secondes, c’est le temps qu’a duré ce baiser. Peu importe le froid, peu importe la pluie, j’ai bien senti que cela nous cramait tous les deux de l’intérieur.
– Et à ce genre de souvenir ?
Suite à venir
On est donc sortis du restaurant, ca commençait à pisser dehors, du coup j’ai sorti mon parapluie comme un gentleman
– Dis on ne risque pas de le croiser ton mec quand même ?
– Vu ta carrure c’est plutôt lui qui doit se poser cette question. Mais pourquoi ? Il t’intéresse ? Il sera bientôt célibataire si cela t’intéresse. Regarde.
Bientôt célibataire. BIENTOT CELIBATAIRE.
– Ah non merci, c’est un coup à terminer façon Tokyo Tribe 2 et en cabane.
Je me marre commune baleine. TOUT SEUL. Faut vraiment que j’arrête ces blagues de merde.
– PARDON ?
– Oublies c’est une blague de merde
– Tu es sur que tu n’es pas gay ?
– Te le prouver serait un peu indécent quand même. On n’est pas mari et femme.
J’ai recroisé son regard d’acier.
– Alors ne me parles plus de lui.
On a passé l’après-midi à faire du shopping. Entre les chemises Lacoste, Hugo Boss et mes godasses ECCO (post avant Eco+) j’en ai claqué pour plus de 2000 balles
– Dis tu veux quelque chose ? Un parfum un sac à main ? Je suis le seul à me marrer depuis trois heures, y’a Louis Vuitton et Gucci juste à côté. Je ne suis plus à ce près hein.
– Qu’est-ce que j’en ai à faire de ton pognon ? Et je t’ai déjà dit qu’on n’est pas mari et femme.
Allez viens, ramène ta gueule mon putain sugar dady de mes couilles en vrac, viens te prendre une bien veineuse dans le colon.
– Comme tu voudras. On dine à Paris ce soir ?
Sa voix se fit soudainement plus douce.
– Où tu veux.
– Alors go Paris, le restaurant est vraiment bon et c’est moi qui régale pas de discussions.
Après être repassé à l’hôtel déposer tout ce bordel, nous sommes partis diner. La discussion a tourné autour des mêmes thèmes de la matinée, dézinguage de progressistes bouffeurs de beta HCG
– Je ne suis pas éternel sur Varsovie, tu n’aurais pas voulu que je te laisse un souvenir, un bon parfum un sac à main ?
– Je ne suis pas tellement sensible à ce genre de souvenir.
Allez rien à foutre je l’embrasse direct.
– Et à ce genre de souvenir ?
Suite à venir
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il y a 6 mois
Valium
6 mois
Chapitre 6 : L’hameçonnage
On est donc sortis du restaurant, ca commençait à pisser dehors, du coup j’ai sorti mon parapluie comme un gentleman
tout en l’invitant à saisir mon bras et venir s’abriter, ce qu’elle ne manqua pas de faire.
Les gens nous regardaient avec étonnement. Une question fondamentale me traversa quand même l’esprit.
– Dis on ne risque pas de le croiser ton mec quand même ?
– Vu ta carrure c’est plutôt lui qui doit se poser cette question. Mais pourquoi ? Il t’intéresse ? Il sera bientôt célibataire si cela t’intéresse. Regarde.
Bientôt célibataire. BIENTOT CELIBATAIRE.
Elle me sort une photo de son jules. Moi qui me trouvais fragile avec mes 87 kilos j’ai été servi. Une biscotte le mec.
J’imagine que c’est plus elle qui devait le tartiner au pieu que l’inverse.
– Ah non merci, c’est un coup à terminer façon Tokyo Tribe 2 et en cabane.
Je me marre commune baleine. TOUT SEUL. Faut vraiment que j’arrête ces blagues de merde.
– PARDON ?
– Oublies c’est une blague de merde
– Tu es sur que tu n’es pas gay ?
– Te le prouver serait un peu indécent quand même. On n’est pas mari et femme.
J’ai recroisé son regard d’acier.
– Alors ne me parles plus de lui.
On a passé l’après-midi à faire du shopping. Entre les chemises Lacoste, Hugo Boss et mes godasses ECCO (post avant Eco+) j’en ai claqué pour plus de 2000 balles
on aurait dit une meuf. En sortant du dernier magasin, la nuit commençait à tomber.
– Dis tu veux quelque chose ? Un parfum un sac à main ? Je suis le seul à me marrer depuis trois heures, y’a Louis Vuitton et Gucci juste à côté. Je ne suis plus à ce près hein.
– Qu’est-ce que j’en ai à faire de ton pognon ? Et je t’ai déjà dit qu’on n’est pas mari et femme.
Allez viens, ramène ta gueule mon putain sugar dady de mes couilles en vrac, viens te prendre une bien veineuse dans le colon.
– Comme tu voudras. On dine à Paris ce soir ?
Sa voix se fit soudainement plus douce.
– Où tu veux.
– Alors go Paris, le restaurant est vraiment bon et c’est moi qui régale pas de discussions.
Après être repassé à l’hôtel déposer tout ce bordel, nous sommes partis diner. La discussion a tourné autour des mêmes thèmes de la matinée, dézinguage de progressistes bouffeurs de beta HCG
Le bordel en Pologne avec les montées nationalistes
los famosos gilets jaunes qui se feront bouffer de l’intérieur par des collabos
et de l’extérieur par des collabos
Un film de boules. Il y a bien longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir à diner, pas seulement avec une fille, mais quelqu’un tout court en fait. Plus tard dans la soirée, j’ai réglé, nous sommes sortis.
– Je ne suis pas éternel sur Varsovie, tu n’aurais pas voulu que je te laisse un souvenir, un bon parfum un sac à main ?
– Je ne suis pas tellement sensible à ce genre de souvenir.
Allez rien à foutre je l’embrasse direct.
57 secondes, c’est le temps qu’a duré ce baiser. Peu importe le froid, peu importe la pluie, j’ai bien senti que cela nous cramait tous les deux de l’intérieur.
– Et à ce genre de souvenir ?
Suite à venir
On est donc sortis du restaurant, ca commençait à pisser dehors, du coup j’ai sorti mon parapluie comme un gentleman
– Dis on ne risque pas de le croiser ton mec quand même ?
– Vu ta carrure c’est plutôt lui qui doit se poser cette question. Mais pourquoi ? Il t’intéresse ? Il sera bientôt célibataire si cela t’intéresse. Regarde.
Bientôt célibataire. BIENTOT CELIBATAIRE.
– Ah non merci, c’est un coup à terminer façon Tokyo Tribe 2 et en cabane.
Je me marre commune baleine. TOUT SEUL. Faut vraiment que j’arrête ces blagues de merde.
– PARDON ?
– Oublies c’est une blague de merde
– Tu es sur que tu n’es pas gay ?
– Te le prouver serait un peu indécent quand même. On n’est pas mari et femme.
J’ai recroisé son regard d’acier.
– Alors ne me parles plus de lui.
On a passé l’après-midi à faire du shopping. Entre les chemises Lacoste, Hugo Boss et mes godasses ECCO (post avant Eco+) j’en ai claqué pour plus de 2000 balles
– Dis tu veux quelque chose ? Un parfum un sac à main ? Je suis le seul à me marrer depuis trois heures, y’a Louis Vuitton et Gucci juste à côté. Je ne suis plus à ce près hein.
– Qu’est-ce que j’en ai à faire de ton pognon ? Et je t’ai déjà dit qu’on n’est pas mari et femme.
Allez viens, ramène ta gueule mon putain sugar dady de mes couilles en vrac, viens te prendre une bien veineuse dans le colon.
– Comme tu voudras. On dine à Paris ce soir ?
Sa voix se fit soudainement plus douce.
– Où tu veux.
– Alors go Paris, le restaurant est vraiment bon et c’est moi qui régale pas de discussions.
Après être repassé à l’hôtel déposer tout ce bordel, nous sommes partis diner. La discussion a tourné autour des mêmes thèmes de la matinée, dézinguage de progressistes bouffeurs de beta HCG
– Je ne suis pas éternel sur Varsovie, tu n’aurais pas voulu que je te laisse un souvenir, un bon parfum un sac à main ?
– Je ne suis pas tellement sensible à ce genre de souvenir.
Allez rien à foutre je l’embrasse direct.
– Et à ce genre de souvenir ?
Suite à venir
J'ai lu seulement la toute fin en me demandant si ça allait foirer de manière inexplicable comme mon risitas, pour aucune raison apparente
Mais après j'ai lu l'intro qui laisse entendre que l'histoire se termine bien pour toi
Edit: je lirai plus tard en dépit
Mais après j'ai lu l'intro qui laisse entendre que l'histoire se termine bien pour toi
Edit: je lirai plus tard en dépit
il y a 6 mois
Chapitre 7 : Opération talonnage
Dans un silence d’outre tombe, où je suis tombé sous son charme de tombeuse, je contemplais son regard qui s’est quelque peu imprégné de larmes. Elle m’a désarmé en quelques battements de cils.
Fidèle à mon habitude de débile j’ai cassé l’ambiance :
– T’as vu je suis pas pédé
– Embrasser cela ne veut rien dire.
– On peut en discuter au 27ème autour d’un verre si tu veux.
– Pourquoi aller si haut quand c’est le 7ème qui compte ?
Entendre ici le 7ème ciel évidemment.
Je considérerais l’affaire dans la poche. Néanmoins, il ne me semblait pas question d’une partie de jambe en l’air en 4ème vitesse mais quelque chose d’un peu plus substantiel où les émotions ont une place équivalente à la baise en elle même.
Je lève un peu le pied sur cette tension qui devenait vraiment palpable.
– Mais y’a quoi au 7ème ? C’est aussi une boite de nuit aussi ?
Elle a ri en me traitant gentiment de con. Le 27 n’était pas encore ouvert. Nous avons marché dans les rues un moment sans trop savoir. On s’est arrêté devant un immeuble.
– Tu montes avec moi ?
J’ai alors pigé deux choses, que j’allais monter et pas seulement les escaliers
Elle m’invite dans l’appartement de son futur
Arrivée chez elle, elle m’a fait découvrir un peu petit peu sa vie, son passé à elle, son boulot aussi, je n’ai d’ailleurs pas manqué de lui présenter aussi le mien, même si nous bossions dans le même secteur. Elle est partie dans la salle de bain, prétextant vouloir se changer et revint dans un peignoir avec un mine très prude. Prude, en l’occurrence n’était pas incompatible avec la volupté et le raffinement, ni même la juste et délicate sensualité dépourvue de tout excès ou vulgarité, qu’une femme, on ne pourrait plus respectable, puisse offrir à l’homme auquel a choisi de s’offrir et qu'elle a choisi de s'offrir. Elle s’approche du lit
et fait tomber son peignoir pour révéler son corps embelli par de la fine dentelle et dont les courbes n’ont pas tardé à me faire vriller le zob.
J’ai croisé les jambes pour dissimuler mon trouble, ce qu’elle n’a pas manqué de remarquer :
– Qu’est ce qu’il y a ?
– Oh rien, j’aime ton coté très prude, jamais une fille s’est offerte à moi comme cela.
Triste constat applicable pour 99% des kheys de ce démon du forum.
Et pour cause, y’a qu’à voir la densité de tchoins qui dès 16 ans voire moins, rêvent, de faire comme la télé, c’est à dire se faire bang
par le premier full random venu.
Rajoutes à cela les
les diseuses de bons comportements à adopter, sans oublier tous ces kheys, adeptes de pratiques déviantes qui sont pourtant nos semblables, nos frères de combat,
eux qui se pignolent sur des pieds
ou rêvent de bouffer le crottin de leur bien aimée
jusqu’à se faire greffer une chatte, se gaver d’œstrogènes
en attendant de choper je ne sais combien de cancers
remettant ainsi en cause des milliers d’années d’évolution au profit d’une mode à la con, qu’une assemblée de félés appelle sobrement progrès.
Tu m’étonnes qu’avec cela, ils n’arrivent plus à triquer et passent leur temps à se plaindre des filles alors qu’ils devraient plutôt les courtiser, un peu à l’ancienne, avec cette âme d’enfant et cette naïveté parfois crédule sans pour autant renoncer aux paroles de la testo. Natalia me glissa dans l’oreille droite :
– Laisse toi faire
– C’est très agréable ce moment avec toi Natalia, mais voilà, je n’ai pas pris de préservatifs
– Mais moi non plus. Tu tiens tant à mettre un morceau de plastique entre toi et moi ? Toi qui m’as serré en un jour, laisse-moi te serrer à ma façon, à moins que tu me prennes pour une pute qui se tape des nègres et collectionne les IST ?
Bon temps mort là.
Sur le coup je ne me suis même pas inquiété pour moi, plutôt pour elle parce que je vous le concède mes kheys, et j’en suis pas fier, malgré un compteur de meufs honnête, il m’est arrivé de me réveiller en pleine nuit en PLS en chialant parce que j’avais laissé traîner mon Z dans une poubelle à IST la veille
Heureusement, que j’ai pris l’habitude de photocopier mes papiers et autres examens de santé, dont ma dernière sérologie qui était, sur le papier, aussi pure que Natalia, et de garder tout ça sur mon téléphone au cas où il m’arriverait une tuile.
– Ah non, une sainte parmi les saintes aux seins sensationnels.
Elle rit et ne cesse de rire de mes figures de style verbales. Elle s’allongea sur moi en blottissant sa tête dans mon cou.
– Mon français, tu parles tellement bien ta langue. J’espère qu’elle est tout aussi agile au lit.
– Je n’y peux rien, c’est toi qui m’aspire si bien
Blanc cocasse bordel.
– Inspire, je voulais dire inspire !
– Tu l’as fait exprès là cochon !
– Ah parce que tu doutes encore ?
Une formidable baise s’en est suivie.
Une vraie, bien serrée, longue et intense.
Celle qui purifie l’âme, qui élève l’esprit et qui fait un bien fou, celle qui ne vous fait pas sentir merdeux après la giclette, mais qui vous rend heureux, ne serait-ce qu’à l’hypothèse de l’avoir fécondé. Je m’en serais totalement battu les couilles s’il elle serait revenu vers moi deux mois plus tard en me disant qu’elle était enceinte de moi.
Ça m’a presque fait monter une larme à l’œil.
Nous nous sommes endormis tous les deux.
Suite à venir
Dans un silence d’outre tombe, où je suis tombé sous son charme de tombeuse, je contemplais son regard qui s’est quelque peu imprégné de larmes. Elle m’a désarmé en quelques battements de cils.
– T’as vu je suis pas pédé
– Embrasser cela ne veut rien dire.
– On peut en discuter au 27ème autour d’un verre si tu veux.
– Pourquoi aller si haut quand c’est le 7ème qui compte ?
Entendre ici le 7ème ciel évidemment.
– Mais y’a quoi au 7ème ? C’est aussi une boite de nuit aussi ?
Elle a ri en me traitant gentiment de con. Le 27 n’était pas encore ouvert. Nous avons marché dans les rues un moment sans trop savoir. On s’est arrêté devant un immeuble.
– Tu montes avec moi ?
J’ai alors pigé deux choses, que j’allais monter et pas seulement les escaliers
– Qu’est ce qu’il y a ?
– Oh rien, j’aime ton coté très prude, jamais une fille s’est offerte à moi comme cela.
Triste constat applicable pour 99% des kheys de ce démon du forum.
– Laisse toi faire
– C’est très agréable ce moment avec toi Natalia, mais voilà, je n’ai pas pris de préservatifs
– Mais moi non plus. Tu tiens tant à mettre un morceau de plastique entre toi et moi ? Toi qui m’as serré en un jour, laisse-moi te serrer à ma façon, à moins que tu me prennes pour une pute qui se tape des nègres et collectionne les IST ?
Bon temps mort là.
– Ah non, une sainte parmi les saintes aux seins sensationnels.
Elle rit et ne cesse de rire de mes figures de style verbales. Elle s’allongea sur moi en blottissant sa tête dans mon cou.
– Mon français, tu parles tellement bien ta langue. J’espère qu’elle est tout aussi agile au lit.
– Je n’y peux rien, c’est toi qui m’aspire si bien
Blanc cocasse bordel.
– Inspire, je voulais dire inspire !
– Tu l’as fait exprès là cochon !
– Ah parce que tu doutes encore ?
Une formidable baise s’en est suivie.
Suite à venir
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 6 mois
Chapitre 8 : Le Koursk
A 02h18 précises, je me réveille.
Ma douce dort tout près de moi,
je sens d’ailleurs sa main sur mes couilles.
Ce n’est pas cette sensation de plus agréables qui m’a tiré des bras de Morphée, à savoir une femme qui caresse vos bijoux de famille
mais une atroce envie de CHIER.
Les bistrots que j’enchaine depuis quelques jours m’ont certainement fait un beau bordel dans le colon et je sentais bien que le barrage CRS8 allait se retrouver vite fait dépassé par des évènements formidables
à je juger la pression que je commençais à ressentir. Quel merdier, il ne fallait surtout pas la réveiller.
Je tente une manœuvre quelque peu acrobatique, tout en serrant le fion.
J’arrive à me lever sans la réveiller. Une fois sorti de la chambre et refermé la porte, je me précipite vers les toilettes en silence.
Ces nom de dieu de chiottes ont fait une monstrueuse caisse de résonnance à la première caisse que je lâchai.
Doux jésus, pourvu qu’elle n’ait rien entendu.
Pour couronner le tout, j’avais comme une constipation ce qui voulait dire que, selon toute vraisemblance, c’était de véritables obus qui allaient tomber sur Verdun le temps d’une nuit.
Je tortillais du fion pour couvrir un maximum l’orifice de la cuvette des chiottes afin qu’un minimum de bruit ne s’échappent au point d’en réveiller Miss Pologne.
Après dix minutes de galères, je suis toujours au point mort. Il fallait me rendre à l’évidence : ça allait être goosh goosh cette sombre affaire ! Plus jamais j’irais bouffer dans ce restaurant de terroristes du colon putain de merde !
Je pousse je pousse sa maman bordel je me pète le diaphragme en repensant à ce Risitas du mec qui à chié dans son saladier à AUCHAN.
Je sens que ça me déchire le fion
et que, à cause de mes hémorroïdes que j’ai eu dans le passé, je risquais de me retrouver aujourd’hui avec de la tartelette aux myrtilles. C’est à ce moment précis que mon anus a montré un éclatant syndrome du coupe-cigare. Première bombe nucléaire larguée.
Quatre minutes plus tard, une deuxième.
Une troisième tombera à 02h39 précises.
Félicitations mon bon monsieur, ce sont des triplés !
J’en profite pour me reposer quelques minutes et, lorsque je m’essuyai, j’eus la satisfaction de constater que mes triplés étaient propres (heureusement parce que no bidet ici
) mais qu’ils avait laissé une belle dégueulure de sang
tout de même, comme un restant de placenta
. Les joies de l’accouchement bordel.
M’ayant fait marré 10 bonnes minutes avec toutes ces conneries, je m’apprête à tirer la chasse d’eau tout en prenant soin de faire étanchéité sonore avec mon fion.
Je tire la chasse et effectivement on n’entendait presque rien. Quelle ne fut pas ma satisfaction, mais surtout ma surprise lors que sentis mes couilles tremper dans de l’eau froide, me faisant laisser échapper un léger cri de surprise.
Je me lève pour voir ce qui se passe, le tableau est édifiant. Deux sous-marins flottaient joyeusement ras la cuvette.
Seulement voilà, je me souviens d’avoir entendu distinctement trois plouf et non deux. Je scrute la cuvette
Le troisième, que j’ai baptisé pour le coup le Koursk au trois-quarts embaumé dans du PQ, s’est plié le nez au fond de l’abîme et bouchait magistralement les chiottes !
Et, à part une brosse , aucun instrument à ma disposition pour l’en déloger.
Je suis resté une bonne minute planté comme un con. J’ai repensé à Vladimir Poutine qui s’est retrouvé dans une situation similaire, bien que plus grave, en 2000.
Cela m’a permis de relativiser et de constater que le niveau de l’eau baissait lentement. Au bout de VINGT TROIS PUTAIN DE MINUTES
je prends la très risquée décision de retirer la chasse d’eau au risque d’en foutre partout. Victoire ! Le Koursk s’en est allé ! Il ne restait plus que les deux autres, qui sont partis à la chasse d’eau suivante.
Le temps de nettoyer tout ce bordel,
je file sous la douche en vitesse, l’eau était gelée, mais je ne pouvais pas imaginer une seconde me recoucher à côté d’une princesse avec le moindre copeau de merde en train de jouer à Tarzan sur mes poils de cul
03h24, j’ai passé plus d’une heure à sauver le monde. Je fis le point : putain niveau karma t’es mal gros : non seulement tu baises la meuf d’un autre et en plus tu lui tchernobylise les chiottes
Je file me recoucher, elle dormait toujours.
Mission accomplie.
Fin à suivre
A 02h18 précises, je me réveille.
Je sens que ça me déchire le fion
M’ayant fait marré 10 bonnes minutes avec toutes ces conneries, je m’apprête à tirer la chasse d’eau tout en prenant soin de faire étanchéité sonore avec mon fion.
Le troisième, que j’ai baptisé pour le coup le Koursk au trois-quarts embaumé dans du PQ, s’est plié le nez au fond de l’abîme et bouchait magistralement les chiottes !
Je file me recoucher, elle dormait toujours.
Mission accomplie.
Fin à suivre
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 6 mois
Chapitre 9 : Les cinquantièmes hurlants
Au matin, c’est elle qui m’a réveillé en califourchon sur moi, moi qui me tapait la famosa gaulle matinale.
Elle n’a d’ailleurs pas tardé à jouer avec tout en m’embrassant.
– Tu as bien dormi mon beau ?
Evidemment, avec ce qui s’est passé cette nuit avec le sauvetage du Koursk, je n’ai pu que répondre
– Comme un loir.
Restes donc là je vais préparer le petit déjeuner.
On a pris notre petit déjeuner au lit, entre quelques grosses pelles qui, à la fin du p’tit déj ont sonné comme un glas de la copulation.
Allez zou je lui ai bouffé le minou. Elle m’a dit que c’était la première fois qu’un homme lui faisait ça aussi bien.
C’est reparti en latte sérieux entre turlutte et levrette
bon dieu quelle gourgandine de qualité. On a passé le restant de la matinée au lit, à s’embrasser, à s’aimer, se faire du bien à l’heure ou le mal est omniprésent. Je suis parti dans les coups de midi, son
de mec allait pas trop tarder à revenir.
– C’est quand qu’on se revoit ?
– Ne t’en fais pas, on se reverra cette semaine quand j’ai une fenetre de dispo selon mon mec
Ce langoureux baiser sur le perron, sa langue si chaude et fougueuse m’ont ravagé les tripes.
Je suis parti. La pluie battait dans la rue, j’avais du Type O Negative dans la tête. Je suis rentré à l’hôtel tout trempé.
J’ai rien bouffé d’autre de la journée. J’avais l’estomac complètement en vrac, presque mal au ventre et comme un voile devant les yeux.
Nous nous sommes revus mardi soir. Pas de baise, juste le plaisir d’être ensemble, se toucher, s’embrasser. Cela fait très longtemps que je ne m’étais plus senti le cœur léger comme cela. La dernière fois c’était peut-être à mes seize ans, avant qu’une affreuse friendzone me plombe la gueule.
Entre temps, la reprise au boulot à été calme. J’ai présenté mon projet VBA. Ils étaient contents. Par contre ils se sont torchés avec mes 100 pages. Je m’en battais les couilles au final, comme l’an 40.
Mercredi après-midi, nous nous sommes discrètement retrouvés à la gare. Mon train partait peu avant 13h direction Berlin. Je planais encore de cette semaine de détraqué. Sans conviction de je lui ai demandé :
– On ne se reverra donc pas ?
– Non. Même si tu es un homme merveilleux et des plus désirables, je resterai ici. Je ne peux pas me permettre de me mettre en couple avec un étranger. Cela restera un petit moment de vie rien qu’à nous. Notre secret à nous deux.
Et de rajouter à mon oreille :
– Mais j’envie celle qui sera ta femme. J’envie celle qui se prendra ta grosse bite et le contenu de tes couilles.
Ce sourire et ce petit rire qui ont suivi.
Ses mots m’ont fait l’effet d’une patate en pleine gueule. J’étais sonné, littéralement.
– Tu ne veux même pas me laisser une photo de toi ?
Le parfum de ta peau je vais vite l’oublier, j’ai tellement pas de truffe.
– Non, je veux que tu te souviennes de moi par les moments qu’on a passé, comment je t’ai serré, pas seulement dans mes bras, comment je t’ai fait jouir avec mon corps, je ne veux pas que ce beau souvenir que tu garderas de moi soit terni par je ne sais combien de branlettes sur ma photo.
Putain de ta race échec et mat.
Le roi est pris… la main dans le sac de couilles ! Je monte dans mon train. Je m’installe. Je la vois à travers la vitre. Merde, elle est jolie Natalia.
Le train part doucement. Je la vois sécher une larme en vitesse. Finalement, c’était tout aussi beau que fugasse. J’ai passé plus de 6 heures dans mon train entre la nostalgie des amours passées, les chauds souvenirs de ces filles avec qui j’ai flirté, la jeunesse des temps anciens, les amis de toujours, ceux qui sont partis loin, ceux qui sont morts entre temps. Tout cela m’a repété à la gueule le temps d’un instant. Le temps qui passe et qui jamais ne s’arrête.
J’arrive à Berlin il n’est pas loin de 19h30. Le temps de rechoper mon hôtel, j’ai passé la soirée à me mordre les joues pour ne pas chialer.
FIN
Au matin, c’est elle qui m’a réveillé en califourchon sur moi, moi qui me tapait la famosa gaulle matinale.
– Tu as bien dormi mon beau ?
Evidemment, avec ce qui s’est passé cette nuit avec le sauvetage du Koursk, je n’ai pu que répondre
– Comme un loir.
On a pris notre petit déjeuner au lit, entre quelques grosses pelles qui, à la fin du p’tit déj ont sonné comme un glas de la copulation.
– C’est quand qu’on se revoit ?
– Ne t’en fais pas, on se reverra cette semaine quand j’ai une fenetre de dispo selon mon mec
Ce langoureux baiser sur le perron, sa langue si chaude et fougueuse m’ont ravagé les tripes.
Entre temps, la reprise au boulot à été calme. J’ai présenté mon projet VBA. Ils étaient contents. Par contre ils se sont torchés avec mes 100 pages. Je m’en battais les couilles au final, comme l’an 40.
– On ne se reverra donc pas ?
– Non. Même si tu es un homme merveilleux et des plus désirables, je resterai ici. Je ne peux pas me permettre de me mettre en couple avec un étranger. Cela restera un petit moment de vie rien qu’à nous. Notre secret à nous deux.
Et de rajouter à mon oreille :
– Mais j’envie celle qui sera ta femme. J’envie celle qui se prendra ta grosse bite et le contenu de tes couilles.
Ce sourire et ce petit rire qui ont suivi.
– Tu ne veux même pas me laisser une photo de toi ?
– Non, je veux que tu te souviennes de moi par les moments qu’on a passé, comment je t’ai serré, pas seulement dans mes bras, comment je t’ai fait jouir avec mon corps, je ne veux pas que ce beau souvenir que tu garderas de moi soit terni par je ne sais combien de branlettes sur ma photo.
Putain de ta race échec et mat.
FIN
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 6 mois
J'ai lu seulement la toute fin en me demandant si ça allait foirer de manière inexplicable comme mon risitas, pour aucune raison apparente
Mais après j'ai lu l'intro qui laisse entendre que l'histoire se termine bien pour toi
Edit: je lirai plus tard en dépit
Mais après j'ai lu l'intro qui laisse entendre que l'histoire se termine bien pour toi
Edit: je lirai plus tard en dépit
Tu crois pas si bien dire
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il y a 6 mois
Pep
6 mois
/autobot résume les posts de l'op
Je crois que c'est plié pour le resumé
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il y a 6 mois
Comment c'est possible de bider avec une aussi belle écriture ?
Je suis un parfait anonyme. https://jvflux.fr/Pokonche
il y a 4 mois
Valium
4 mois
Comment c'est possible de bider avec une aussi belle écriture ?
Tkt j'avais déjà lu mais je up
il y a 4 mois
Tkt j'avais déjà lu mais je up
Y'a rien qui va dans ce que je vis
Merci nonobstant de ton soutient
Merci nonobstant de ton soutient
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il y a 4 mois
il est où le post ou cancer ?
L'Annapurna, le dixième plus haut sommet du monde avec ses 8 091 mètres, est célèbre pour ses exploits et sa dangerosité
il y a 4 mois