Ce sujet a été résolu
c'est héréditaire par la mère, comme une transmission de mst
Sauf qu'on est pas juif
On fait comme les latins, on est pater familias ou on ne l'est pas

On fait comme les latins, on est pater familias ou on ne l'est pas

il y a 6 mois
Sauf si tu fais bien l'éducation de tes enfants
Ils seront médecins ou avocats, c’est toujours ça.
il y a 6 mois
Azpath
6 mois
Belle référence pour Hadrien l'op, il est le choix le plus sensé pour moi.
Après, le méthode Hadrien, c'est plein de variantes différentes


il y a 6 mois
Sauf qu'on est pas juif
On fait comme les latins, on est pater familias ou on ne l'est pas
On fait comme les latins, on est pater familias ou on ne l'est pas
si tu fécondes une juive le gosse est juif de facto, que tu l'élèves ou non va rien changer car ça restera dans ses gènes
Pas de parents, pas de frère, pas de cousins, pas de potes, pas de copine, pas de collègue.. 0 tout
il y a 6 mois
Tes allé travailler au final ou t'as rien foutu??
Elle a un pouvoir ?


il y a 6 mois
Tes allé travailler au final ou t'as rien foutu??
J’ai été puis je me suis pris une pizza à la truffe pour me féliciter
ᖭི༏ᖫྀ
il y a 6 mois
J’ai été puis je me suis pris une pizza à la truffe pour me féliciter
il y a 6 mois
Dommage de prendre une pizza éclatée mais le travail+ le petit plaisir c'est le bon moove
C’était un délice
je ne vous permets pas
ᖭི༏ᖫྀ
il y a 6 mois
C’était un délice
je ne vous permets pas
il y a 6 mois
Mais moi je me permet !!! Il y a tant de variétés pourquoi s'infliger la truffe....
Je préfère base tomate avec chèvre ou simple fromage mais la truffe m’obsède depuis quelques jours
voyez vous
ᖭི༏ᖫྀ
il y a 6 mois
Keke
6 mois
Sans hypocrisie, certains vont taper dedans.
Khayr ad-Din Barbaros débuta véritablement la colonisation turque ottomane du Maghreb.
il y a 6 mois
Cahier de la SS n°6 (1944)
« Tu es un SS, c’est-à-dire que tu n’es pas un mercenaire. Celui-ci était recruté contre une solde pour se battre pour quelque chose qui ne le concernait pas. En tant que SS tu défends ton peuple et ton sang. Tu défends en outre la SS, une communauté, un Ordre au sein de ton peuple, qui s’est donné comme tâche particulière de conserver un sang pur et d’élever la valeur de la race. En conséquence, lorsque tu te trouves en pays étranger, l’arme à la main, ton devoir est double : tu dois défendre avec dignité ton peuple et la SS.
Tu te comportes pourtant sans dignité quand, sous l’uniforme d’un officier portant les insignes du Reich et de la SS, tu déambules dans les cafés et les bistrots avec ces jeunes filles et ces femmes qui se moquent du chagrin et de la douleur de leur peuple parce qu’elles n’ont pas de cœur. Tu as raison de penser que ce ne sont pas des jeunes filles et des femmes honnêtes. Car ces jeunes filles dont les frères, ces femmes dont les maris ont été vaincus par toi et tes camarades, ne te sauteront certainement pas au cou avec joie. Tu dois donc être parfaitement conscient de ce que t’apportera cette fréquentation volage.
À quel droit à la rigueur peux-tu prétendre si tu te laisses aller ? Comment pourras-tu conserver un jugement sain et un maintien correct si tu perds le respect de toi-même ? Pendant cette guerre, beaucoup d’entre vous ont la possibilité d’assumer plus de responsabilités que vous n’auriez pu le faire en temps de paix. II va vous falloir vous montrer dignes de ces responsabilités. Nous savons que vous êtes braves au combat. Que vous désiriez tous apprendre à être fiers, disciplinés et sobres, même quand vous n’êtes pas en rangs au combat, voilà ce que nous espérons tous pour l’avenir de notre peuple.
Je vais aussi te dire ce que tu devras faire lorsque tu auras lu ces lignes. Tu as un regard vif, un cœur vaillant et tu comprends ce que cela signifie. Tu sais peut-être aussi que tel ou tel de tes camarades ne se conduit pas comme il le devrait. Jusqu’à ce jour, tu as détourné la tête et pensé que cela ne te regardait pas. Crois-moi, cela te regarde, cela nous regarde tous. Essaye d’abord la voie de la vraie camaraderie : prends ton ami à part et parle-lui raisonnablement. Dis-lui de quoi il s’agit. Dis-lui que l’heure du destin sonne pour tout notre peuple. Rappelle-lui que le Führer a besoin de tous ses hommes.
Pensez toujours que vous vous rappellerez jusqu’à la fin de vos jours les mois et les années où vous avez porté les runes SS sur votre vareuse. Pour un Allemand, ces années sont les plus décisives de sa vie. Non seulement parce que le jeune volontaire SS devient un homme, que sa poitrine s’élargit, que son pas s’affirme, que son regard s’ouvre sur l’extérieur, mais que son esprit se forme aussi et qu’il apprend, au sein de la communauté SS, ce qu’il conservera toujours en lui : l’ordre, la discipline, la probité, la ponctualité, l’esprit de sacrifice et la solidarité. Ne gâtes pas ce souvenir en pensant que tu ne manques pas, ce faisant, à tes devoirs comme ton peuple l’attend de toi. Si tu négliges ces choses, c’est à toi-même que tu fais le plus de tort.
Il fut un temps où l’on proclamait « le droit de disposer de son propre corps ». C’était l’époque qui donnait sa bénédiction au mariage d’un homme noir et d’une femme blanche, à l’union d’un Allemand et d’une Juive, celle aussi où l’on protégeait ceux qui tuaient l’enfant dans le ventre de sa mère si sa naissance importunait ses parents.
Mais les champions de cette époque que nous avons vaincus en Allemagne, grâce au combat du Führer, nous font face aujourd’hui avec ténacité sur tous les fronts.
Lorsque tu laisses ton corps et ton sang faire ce que t’enjoignent tes désirs, alors tu aides les adversaires de notre peuple et de notre idéologie. En te dominant, tu seras dans la vérité car tu trouveras la force et la fierté de vivre selon les lois de ton peuple, de ta SS et de celles que tu défends. »
« Tu es un SS, c’est-à-dire que tu n’es pas un mercenaire. Celui-ci était recruté contre une solde pour se battre pour quelque chose qui ne le concernait pas. En tant que SS tu défends ton peuple et ton sang. Tu défends en outre la SS, une communauté, un Ordre au sein de ton peuple, qui s’est donné comme tâche particulière de conserver un sang pur et d’élever la valeur de la race. En conséquence, lorsque tu te trouves en pays étranger, l’arme à la main, ton devoir est double : tu dois défendre avec dignité ton peuple et la SS.
Tu te comportes pourtant sans dignité quand, sous l’uniforme d’un officier portant les insignes du Reich et de la SS, tu déambules dans les cafés et les bistrots avec ces jeunes filles et ces femmes qui se moquent du chagrin et de la douleur de leur peuple parce qu’elles n’ont pas de cœur. Tu as raison de penser que ce ne sont pas des jeunes filles et des femmes honnêtes. Car ces jeunes filles dont les frères, ces femmes dont les maris ont été vaincus par toi et tes camarades, ne te sauteront certainement pas au cou avec joie. Tu dois donc être parfaitement conscient de ce que t’apportera cette fréquentation volage.
À quel droit à la rigueur peux-tu prétendre si tu te laisses aller ? Comment pourras-tu conserver un jugement sain et un maintien correct si tu perds le respect de toi-même ? Pendant cette guerre, beaucoup d’entre vous ont la possibilité d’assumer plus de responsabilités que vous n’auriez pu le faire en temps de paix. II va vous falloir vous montrer dignes de ces responsabilités. Nous savons que vous êtes braves au combat. Que vous désiriez tous apprendre à être fiers, disciplinés et sobres, même quand vous n’êtes pas en rangs au combat, voilà ce que nous espérons tous pour l’avenir de notre peuple.
Je vais aussi te dire ce que tu devras faire lorsque tu auras lu ces lignes. Tu as un regard vif, un cœur vaillant et tu comprends ce que cela signifie. Tu sais peut-être aussi que tel ou tel de tes camarades ne se conduit pas comme il le devrait. Jusqu’à ce jour, tu as détourné la tête et pensé que cela ne te regardait pas. Crois-moi, cela te regarde, cela nous regarde tous. Essaye d’abord la voie de la vraie camaraderie : prends ton ami à part et parle-lui raisonnablement. Dis-lui de quoi il s’agit. Dis-lui que l’heure du destin sonne pour tout notre peuple. Rappelle-lui que le Führer a besoin de tous ses hommes.
Pensez toujours que vous vous rappellerez jusqu’à la fin de vos jours les mois et les années où vous avez porté les runes SS sur votre vareuse. Pour un Allemand, ces années sont les plus décisives de sa vie. Non seulement parce que le jeune volontaire SS devient un homme, que sa poitrine s’élargit, que son pas s’affirme, que son regard s’ouvre sur l’extérieur, mais que son esprit se forme aussi et qu’il apprend, au sein de la communauté SS, ce qu’il conservera toujours en lui : l’ordre, la discipline, la probité, la ponctualité, l’esprit de sacrifice et la solidarité. Ne gâtes pas ce souvenir en pensant que tu ne manques pas, ce faisant, à tes devoirs comme ton peuple l’attend de toi. Si tu négliges ces choses, c’est à toi-même que tu fais le plus de tort.
Il fut un temps où l’on proclamait « le droit de disposer de son propre corps ». C’était l’époque qui donnait sa bénédiction au mariage d’un homme noir et d’une femme blanche, à l’union d’un Allemand et d’une Juive, celle aussi où l’on protégeait ceux qui tuaient l’enfant dans le ventre de sa mère si sa naissance importunait ses parents.
Mais les champions de cette époque que nous avons vaincus en Allemagne, grâce au combat du Führer, nous font face aujourd’hui avec ténacité sur tous les fronts.
Lorsque tu laisses ton corps et ton sang faire ce que t’enjoignent tes désirs, alors tu aides les adversaires de notre peuple et de notre idéologie. En te dominant, tu seras dans la vérité car tu trouveras la force et la fierté de vivre selon les lois de ton peuple, de ta SS et de celles que tu défends. »
il y a 6 mois