Cet article de déchet sur JLMP

https://www.lepoint.fr/po[...]07-01-2025-2579380_20.php

Bande de pute

Ca commence

Le Diable, carrément

Les salopes vont pouvoir se réjouir

On trouvera pas un patriote de cet acabit d ici 50 ans

Le Point ce torchon.

Ces immondes ordures

On retient les noms pour la Libération

les journalistes totalement impartiaux de la république communiste de France

said mahrane on comprend mieux

Les fils de putes

Bmg

Le Foin

Exact que des putes libérales libertaires pour se frotter les mains

Danser sur la mort de quelqu'un c'est bien un truc de J / bougne

Que des déchets ces journalistes de merde

Un Point de détail, disait le menhir.

"Par Saïd Mahrane et Hugo Domenach"

Un bicot et un juif. Les états confédérés de l'anti-France.

Faut flood leur espace commentaire de rip à ce grand monsieur

pas mal l'article en vrai, ça respecte

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Dans le fond, son nationalisme, dans sa manière de le vivre, n'était pas malheureux. Il était riant, chantant et bohémien. La mort était avant tout, pour ce comédien né, un rideau qui tombe, un éclairage qui s'éteint, et moins un cercueil que l'on cloute. Il aimait la vie, et surtout la vivre.

Il affirmait cependant être un familier de la mort, parce qu'« enfant, [il] aimai[t] [s]'asseoir la nuit sur les tombes et regarder la lune. En Bretagne, on habitue les enfants très tôt à la mort ». Et puis, comme ça, entre deux silences, il se mettait à clamer ces quelques vers de Musset : « Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage / Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux. »
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