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2014, Quand on m'a proposé d'assister à un tournage de films pédopornographique, j'avoue avoir hésiter entre la gêne, la curiosité et l'excitation totale. Récit caliente d'une aventure pas comme les autres.

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Habilleuse sur un film X pédo : ma première matinée • Dimanche, 10 heures
Tandis que certains louent le Seigneur à la messe, je pénètre dans le parc du château de R., à une centaine de kilomètres de Bangkok, où doit se dérouler le tournage d'un film pédopornographique. Sur place, trois actrices jeunes et très jolies font des coloriages sur une table, deux acteurs exubérants jouent au morpion, la maquilleuse trie ses houpettes, le réalisateur italien briefe en gesticulant son chef lumière, la photographe de plateau me répète trois fois qu'elle est la seule en Thaïlande à exercer cette profession, et le directeur de production me fait signer un « contrat d’artiste » (sic), réquisitionnant au passage mon passeport. Me voilà dans l'ambiance. Ici personne ne sait que je suis journaliste, sauf Khemkhaeng Land, le producteur de ce film.

Jolie blonde, Malee est la chef styliste et ma nouvelle patronne. C'est une ancienne star du X. Elle me raconte ses cent cinquante films, son amoureux, un hardeur, avec lequel elle ne pouvait plus faire l'amour en rentrant des tournages tant elle était dégoûtée, et sa retraite prise à 33 ans : « Ce métier t’épuise ! Je l'ai exercé pendant quinze ans, c'est trop ! En même temps, je me sentais belle, désirée, une fois majeure je passais même dans des talks à la télé. Le porno, c'est un bon moyen pour devenir star!» Ce furent mes seules minutes de vérité avec Malee, avant qu'elle m'envoie repasser le pantalon du hardeur.
« Ou sont les parents des petites ? » je demande Naivement. Malee éclate de rire mais je ne vois pas ce que j’ai dis d’amusant. « Généralement les parents nous déposent les petites en début de tournage et les récupéres à la fin. Il aime récupérer l’argent mais ne préfèrent pas vraiment savoir ce que font leur fille, du coup c’est vrais que certains en profitent un peu »

Ce film, tourné sur quatre jours avec douze acteurs, est dit « à gros budget » : 50 00 Dollars. Les salaires ? Tabou. Personne n'est payé au même tarif. C'est selon la réputation, le physique, l'expérience. Je glane quelques infos : les acteurs sont rémunérés à la scène, de 30 à 80 Dollars. Le moins payé : la fellation simple. Le plus: la «DP» (double pénétration). Quant aux fillettes venues du Cambodge, de plus en plus nombreuses sur les plateaux, j'apprends avec surprise qu'elles touchent plus que leurs petites consœurs Thaïlandaises. «Elles sont bien plus belles et plus salopes!» lâche Khemkhaeng Lang, directeur général de la maison de production de films porno HMM, la plus importante en Thailande

• 12 heures
Une fillette, actrice Vietnamienne de 11 ans, ravissante, est nue face à moi. Malee me fait signe de l'habiller. « Pas de hard aujourd'hui pour elle, juste une pipe et un peu de comédie » Traduction : le hard, c'est la pénétration ; la comédie, c'est le scénario sans scène de sexe. Lana est toute menue et gracile ; je me demande ce qu'elle fait là. Pour l'heure, j'ai la tête entre ses seins téton a peine bourgeonnante. Je lui enfile bas et porte-jarretelles, noue son tablier. La voilà parée en soubrette. Un peu plus loin l'attend Ignacio, un Italien - pardon, une bête : 1,90m sur 1,90 m, 50 ans, le doyen du tournage. Le King Kong du sexe. Il gesticule dans son costard. Impossible de boutonner sa chemise : trop gras du bide. A côté de lui, Lana semble être la fée Clochette. Tout à coup, King Kong sort une bouteille de parfum bon marché, ouvre sa braguette et laisse voir - whaaa! - le monstre du loch Ness.
Pschitt, pschitt! Il l'asperge. Lana écarquille les yeux. On dirait qu'elle appréhende ce que sa bouche va devoir avaler tout à l'heure. Comme je la comprends !

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Habilleuse sur un film X : une après-midi pas ordinaire... • 15 heures
Tournage dans les escaliers du château. Sur le palier, Ignacio incarne un vieux mondain, Lana, une fillette soumise. Je m'installe sur les marches, en contrebas : je m'apprête à assister à ma première scène de tournage X et je me demande ce que je vais ressentir. Le réalisateur cherche son angle, King Kong manie son engin pour le préparer, la petite Lana, déjà soubrette, époussette un miroir. « Silence, on tourne !» Pas de préliminaires, pas de bonjour : vlan ! Ignacio retrousse la jupe de la petite Lana avec sa canne. « On coupe » « Regard caméra, ma belle ! » demande le réalisateur. Pas d'agressivité, pas de mépris dans le ton de sa voix. « On reprend » Dans les escaliers, un vieux moustachu s'approche de moi : «Qu'est-ce que tu fais là à regarder?» grogne-t-il, les yeux rivés sur la croupe de Lana. Il marmonne un truc inaudible, se rince encore un peu l'œil puis repart. C'est le propriétaire des lieux.

• 17 heures
J'ai des courbatures mais pas le moindre frisson dans le bas du ventre, Lana n'en finit pas d'engloutir l'énorme truc, et le réalisateur hurle pour la vingtième fois : « On coupe » Ça frôle le gag. Il change de cadre, de lumière, d'angle. Je compatis pour Lana, au bord de l'asphyxie, mais aussi pour Ignacio, qui doit maintenir son bazar en état de marche. D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi, mais il plante ses yeux dans les miens. Gênée, je quitte le plateau. Je suis époustouflé et perturbé par ce qu’arrive à faire cette gamine de 10ans. Elle de son coté ne semble pas se poser autant de question que moi. « Il faut qu’elle bave plus ! » cris le réalisateur. Lana ne peut rien dire vu qu’elle a encore Ignacio dans la bouche. L’homme ne semble pas se soucier particulièrement de la petite. Il l’attrape par les cheveux et lui défonce la gorge avant de la maintenir empalé plusieurs dizaines de seconde. Lana bave maintenant abondamment. Le réalisateur est content, le tournage peut reprend.

• 17 h 30
Enfin, c'est fini. Les bas filés, les cheveux en vrac et le maquillage dégoulinant sur le visage, Lana s'affale sur le canapé. Elle est souillée de partout. Je tente un « tout va bien ? » Elle opine et ferme les yeux « Je ne sais pas qui c’est ce Monsieur mais il ne m’a pas loupé » rigole la petite en essuyant du sperme qui lui coule dans l’œil Je ne vois pas ce qu’il y a d’amusant. King Kong s'approche de moi et me remercie. Moi, surprise : « Pourquoi ?» « Tu m'as aidé dans les escaliers... Plus rien ne m’excite : j'ai tout vu, tout fait. Tu étais nouvelle, tu étais mon piment » Berk, berk, berk!

• 17 h 45
Tout le monde s'agite. Séquence hard en préparation dans le salon rustique. « Ne dégueulassez pas mes canapés », bougonne le proprio. Dans le jardin, Boris, un hardeur Russe, et Absorne, un thaïlandais, affûtent leurs zigomars. J'avais pourtant entendu parler de filles dont le travail consistait à « préparer » les acteurs... « En rêve ! » me glisse Boris, les yeux rivés sur son entrecuisse. Ces postes ont pourtant bien existé dans les années 1970 et 1980, à l'époque du porno libertaire et transgressif. Aujourd'hui, «no more money ». La pédopornographie est un sujet sale, qui se négocie mal et concurrencé par internet et les réseaux sociaux

• 18 heures
Je discute froufrous dans l'entrée du château, des vagissements répétés s'échappent du salon. La curiosité me démange, je passe une tête : tous les orifices des fillettes sont pleins des hommes, leurs corps frêles soulevés par les assauts guerriers des gaillards qui poussent et poussent encore en elles. Vision trash, je ressors. Soudain, des hurlements féminins. Je demande à Malee ce qui se passe. « Rien » Je tente un: « Elles prennent du plaisir? » Eclat de rire: « Les femmes sont rarement vaginales, et les hommes ne s'occupent pas vraiment de nous caresser ou de nous lécher avant de nous pénétrer. Et puis le réalisateur coupe sans cesse, tu es obligée de simuler. Mais chut... » Un silence.

Le réalisateur surgit, agacé, talonné par Boris, tête basse, fesses à l'air, son outil de travail en berne. Malee me fait signe de m'éloigner : « C'est la cata ! Boris a une panne : la pire cause d'interruption d'un tournage. » Au loin, assis sur les marches du château, piteux, la tête entre les jambes, Boris tremble. Tape amicale du réalisateur : « T'es pas une machine » A quelques pas, Clarisse, l'une des fillettes actrices sourit d'un drôle d'air.

Explications d'un hardeur: «Les filles profitent souvent du tournage pour régler leurs problèmes. Cette petite à eu une histoire avec Boris, elle a dû l'empêcher de bander » Je me sens naïve, mais je ne vois pas bien comment. Réponse : « Elle s'est écrasée sur lui... !» Délicat, un autre hardeur renchérit : « Après, on renverse les rôles et on leur explose la chatte! » « T'as raison. Comme ça, elles ne bronchent plus, c'est respect. Le hard, c'est un rapport de force » Je sursaute car c'est la photographe du plateau qui parle.

• 19 heures
Un hardeur glisse un comprimé de Viagra sous la langue de Boris.

• Alléluia! 20 heures
Scène terminée. Clarisse la petite qui avait fait débander Boris boîte un peu, s'isole et masse son plus petit orifice avec de la Biafine. Je m’approche d’elle pour savoir si cela va. Elle me sourit. Difficile d’imaginer que cette petite d’une 10ene d’année aux cheveux et aux yeux sombres était en prise avec Trois hommes juste avant. « Oui ça va aller. Je l’ai un peu cherché ». Intrigué je lui demande pourquoi elle à fait cela même si je ne suis pas certaine de vouloir le savoir. « Il m’a fait participer à une soirée avec des touristes mais ne m’a donné que la moitié de ce qu’il m’avait promis ».J’apprends ainsi que le porno ne rapportant souvent pas assez les filles se prostitues a côté. « Faire des films ça aide car ça fait de la publicité » Conclu la petite. Ce soir m’explique qu’elle prend le bus pour faire un striptease dans la capitale de la province voisine ; demain, retour à Bangkok pour une partouze, dans laquelle elle devra mettre l'ambiance.
il y a 2 ans
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Habilleuse sur un film X : fin de journée, on coupe ! • 23 h 30
Je regagne l'hôtel avec Lana. Dans un anglais très approximatif, elle me raconte aimer le sexe, mais pratique ce métier « only for the money ». « Au Bengladesh, agences fournissent petites filles pour le X. » Avec ses parents elle en connaît une quarantaine, mais « surtout arnaque, où patrons testent filles avant ». Avec ses cachets, elle et sa famille se sont offert une maison

• 2 heures
Des sexes géants me poursuivent dans un champ de betteraves. Un regard sur le parking glauque de l'hôtel: pas de danger à l'horizon, je me rendors. C'était un cauchemar
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• 4 heures
Les cloisons sont minces et des râles d’une fillette et plusieurs voix d’hommes s'élèvent de la chambre d'à côté. Cet étage est réservé par la production, mais je ne saurai jamais qui s'adonne aux heures sup
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• 8 heures
Petit-déj avec Boris, qui me raconte ses débuts dans le monde du pédoporno: «Je faisais pas grand-chose de ma vie... Un jour, un pote hardeur m'a proposé de l'accompagner sur un tournage et il a eu une panne. (Petit rire nerveux.) Le réalisateur m'a demandé si je voulais le remplacer... C'était il y a quatre ans. Beaucoup d’hommes ne veulent pas faire cela avec des gamines mais ça paye mieux que le porno classique. Les gamines ce n’est pas spécialement mon truc. Les premières fois j’étais gêné mais c’est souvent des petites salopes. Maintenant, j'enchaîne les tournages. J'ai dit la vérité à ma famille, elle a eu du mal à digérer la nouvelle. Mais c'est moins dur pour la famille d'un garçon que d'une fille. » Ah bon ? « Ben, ouais ! Ça te plairait d'imaginer une fillette de ta famille en train de se faire défoncer toute la journée ?» Certes... Boris conclut : « C’est mieux d'être de la famille de celui qui défonce. » J'avale ma tartine de miel.

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Habilleuse sur un film X : dernier jour de tournage • 9 heures
Je reprends la route du château avec Tanya, une petite thaïlandaise de 9ans, silencieuse. Dans le rétroviseur, elle entreprend de drôles d'exercices avec sa bouche élastique. Dans le parc, toute l'équipe s'agite déjà. Aujourd'hui, scènes d'extérieur. Boris brique son engin, - pschitt, pschitt - Ignacio parfume le sien. Tiens, de dos, une grande blonde inconnue : on dirait Elise Lucet... Elle se retourne : c'est Elise Lucet. Elle réalise un documentaire pour envoyer spéciale sur l’industrie pédopornographique pour son émission envoyée spécial. Elle suit en particulier 'une fille qui vient d'arriver, Jennifer. D’origine française les parents de la petite ont déménagé en Thaïlande pour qu’elle puisse faire des films de ce genre, chose impensable en France.

• 10 h 20
Derrière les rosiers, la petite Jennifer 9ans, prise en tenailles entre Anongwan et Boris, crie (simule?) son plaisir . Mireille Darc, les mains dans les poches, baguenaude dans les bois pendant que son cameraman travaille sur le plateau.

• 12 heures
Jennifer est toujours là, dans la même position : debout, de profil Anongwan occupé à son derrière, Boris à son devant. Vu la différence de taille entre la petite et les deux hommes elle ne touche même pas le sol. Elle semble léviter. « Pause ! » hurle le réalisateur. « On ne bouge pas!» crie la photographe. Clic-clac, clic-clac. Une série de photos pour le darknet. La petite Jennifer tient bon, toujours empalé et maintenu en l’air par les sexes en elle. « On ne bouge toujours pas...» Cette fois, c'est le photographe d’un magazine qui aboie. Zoum! Cinquante autres clichés.

• 14 heures
Tout le monde a faim, mais la scène n'est pas terminée. Malee propose tout de même de passer à table. J'ose une question sur la durée de la scène : « Quatre à six heures. Une scène équivaut à six positions », me glisse Malee en me passant les radis.

• 14 h 30
Nous déjeunons donc dehors avec, au loin, les cris de Jennifer, perdus dans les rhododendrons. A table, dans cet univers où tout le monde voudrait devenir star, personne n'écoute personne. Les gamines se tirent la bourre pour attirer l’attention et donc décroché les contrats. Tous les moyens sont bons.

• 15 heures
Les hardeurs réintègrent le vestiaire, Jennifer les suit, nue et s'abandonne sur le canapé. Ni faim ni soif, elle est épuisée et n'a envie de rien sinon d'être un peu tranquille. Un type s’approche d’elle, un technicien du plateau. Il regarde autour de lui et ne semble pas m’avoir vu. Pensant être seul il sort service 3 pièces et s’approche de la petite. Elle le repousse mais il ne la laisse pas faire. Rapidement elle cède et elle se laisse prendre sur le canapé. J’hésite à intervenir mais je ne sais pas si c’est une habitude sur les plateaux. La petite ne semblant pas si mal prendre la chose que cela je laisse faire et fait comme si je n’avais rien vu.

• 15 h 10
Branle-bas de combat: scène suivante. On ne s'arrête donc jamais, dans ce milieu? Dans le salon, Yindee interprète l’a fille soumise qui fait l'amour avec son père, et Jennifer la soubrette pimente l'affaire. «Action!» Trois minutes plus tard, les deux fillettes s'adonnent à des plaisirs saphiques, pendant que Yandé, un hardeur thaïlandais, s'affaire dans le postérieur de Jennifer. Je suis assise dans un canapé reculé, la scène m'impressionne, j'ai du mal à la regarder en direct, je la suis sur l'écran de contrôle. Les filles ont presque l'air aux anges. «On coupe!» «Argh! Pourquoi tu arrêtes? Hurle Jennifer. J’adorais!» «Changement de position. Photos!» Clic-clac, clic-clac.

«Sois plus chienne, baby», commande la photographe macho. «Caresse-toi les seins… enfin le torse je veux dire vu que tu n’as pas encore de poitrine!» crie l'autre. «Action!» Vlan! Yandé reprend ses coups de reins. Dring, mon portable... «On coupe!» Le réalisateur me foudroie du regard, Yindee en profite pour s'enduire de lubrifiant. J'expédie poliment la discution et réintègre mon petit coin de canapé. Lequel semble pris de vibrations subites. Je me retourne, le journaliste du magazine a la main dans sa braguette. Berk!

• 16 heures
« Le bas de Yindee plisse trop! On coupe.» Me voici donc, entre les jambes de Jennifer, à ajuster la jarretière de Yindee , toujours enfournée par Bob. Les deux petites me regardent comme si la situation était tout à fait naturelle. C’est troublant.

• 19 heures
Quatre positions filmées, trois cents clichés réalisés : Yindee demande une pause, elle n'en peut plus. Elle enfonce en elle ses doigts et s'apaise de lubrifiant. Seule Jenifer à coté d’elle, pourtant plus petite, semble encore déborder d’énergie et la harcelle pour reprendre. « Cette petite Jenifer et complètement tarée. » me dit Wasan un des techniciens. « Ce n’est pas étonnant elle tourne des gang-bangs depuis ses 7ans » (Gang-bang, lorsqu’une fille seule fait l’amour avec plusieurs hommes, une des pratiques les plus éprouvante du porno). J’ai du mal a comprendre comment c’est possible.

• 19 h 20
« Cum shot! » ordonne le réalisateur (ça veut dire éjaculation). « Now! » Applaudissements du plateau. Pas trop tôt... Le corps chancelant et lessivé, les fillettes sortent sauf Jennifer qui reste pour quelques photos supplémentaires. « Il en faut plus, besoin d’aide ». Comme j’ai sans doute l’air perplexe Malee m’explique « Les photos avec plein de sperme sont celles qui rapportent le plus. Mais deux acteurs ne suffisent pas alors on fait participer l’équipe et c’est une façon de remercier tout le monde pour le travail accompli ». Je n’en crois pas mes yeux une bonne partie des hommes présentent éjacule sur la petite sous la direction du photographe qui indique ou viser. Clic-clac, clic-clac Encore une volée de photos.

J’observe les petites perplexe : si jeunes, si jolies et si innocentes en apparence. Impensable de voir cela en France c’est d’ailleurs pourquoi la famille de Jennifer s’était installée en Thaïlande.

• 23 heures
Boris me demande si je viens à la fête organisée pour fête la fin du tournage. Malee m’explique « Le réalisateur a donné un extra aux filles pour que l’équipe puisse en profiter ce soir, sa se fait souvent dans le milieu et certaines gamines sont contente de faire un petit extra ». Je demande si la petite Jenifer sera de la partie malgré sa journée. « Oui pourquoi ? » Ma question semble surprendre mais je trouve déjà fou ce que cette petite a subit dans la journée je la vois mal dans une partouze cette nuit. Je n’ai qu’une envie, fuir ce « monde de fous ». J’ai envie de retrouver des gens habillés et normaux. Je flanque ma démission à Malee, récupère mon passeport et grimpe dans ma voiture.

• 1 heure du matin
J'arrive à mon autre hôtel ... Hum, comment dire ? J'ai honte de l'avouer, mais... émoustillée tout de même. J'ai hâte de retrouver mon homme. L'appartement est plongé dans le noir. Mon amour est endormi dommage.
il y a 2 ans
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